Paru dans les Lettres
de l’École freudienne,1973, n° 11, pp. 2-3
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Docteur Lacan – Je voudrais dire ce petit mot aux gens qui, ici sont les gens de l’École.
Il est certain qu’avec le nombre, l’assistance que nous avons, puisque ceux qui ne sont pas de l’École ne sont (3)là que pour savoir ce qui se fait à l’École – car n’oublions pas ce que veulent dire ces journées – ces Journées c’est la première manifestation d’une école qui, après tout, n’existe que de cette année – cette année il s’est produit un certain mouvement de précipitation des choses et notamment du travail à l’École – c’est un devoir pour ceux qui représentent, de quelque façon que ce soit, ce qui s’est passé à l’École, de le sortir, de le manifester ici.
Donc, tout à fait indépendamment des interventions ou des communications déjà annoncées, il faut que chaque groupe se sente vraiment appelé, sinon vraiment à se manifester dans toute la portée de ce qu’il a fait, du moins à répondre à l’attente de ces gens qui viennent pour savoir ce qui peut bien se faire à l’École freudienne de Paris.
En d’autres termes, c’est à vous qu’est la parole, à ceux qui, répartis dans cette Assemblée sont de l’École freudienne.
Tachez de leur faire sentir que ce n’est pas de la théorie.