Cher Patrick Valas
« Quand les psychanalystes comprendront-ils que leur savoir, accumulé depuis le premier jour… »
Voilà une invitation sur votre page d’accueil dont je me réjouis. N’a-t-elle pas changé ? Ou est-ce moi qui la relis comme neuve ?
Sa lecture appelle, à la façon pour moi des grands appels, de ceux qui toujours lèvent, relèvent et font marcher.
J’entends le « prophète » (il n’y en a qu’un), dont la parole traverse les époques avec sa fermeté brûlante.
J’entends l’Appel, sa courbe civilisatoire, et frémissante.
Mais aussi sa colère, son désespoir, son affirmation d’au-delà…d’un être au monde.
Mais qu’il est bon de ce savoir, participer à cette ligne
Quand les psychanalystes comprendront-ils ?
Qu’y a-t-il à comprendre ? N’est ce pas de ne pas comprendre que les choses pourraient changer ?
Ne comprenez-vous pas, M. Fink, que vous vous trouvez ainsi que pas mal d’autres, dans ce que-c’est cela le problème- seulement vous comprenez, à partir de vous, de votre point de vue, de petit propriétaire privé appelant d’un monde, de ses droits, à l’image de sa réalité, de votre perspective et… qu’elle est limitée ?
Ne comprenez-vous pas, M. Fink et tant d’autres, que vous ratez ainsi le coche et puis la marche, que vous manquez de contribuer à ce qui pourrait chez vous s’ouvrir à quelque chose d’infiniment plus vaste dans ce que vous ne comprenez pas ?
Pauvre Monsieur F, vous servant de Lacan, de la psychanalyse, qui se tire une balle dans le pied.
Mais ça c’est le coût du Commerce du Droit, dans sa réalité… de déchet de son esprit.
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