62 Το
B[erlin], ο 2 Αύγουστος [1914]ένα
Αγαπητέ καθηγητή,
Dans l’attente de rejoindre l’armée autrichienne, il faut que je vous adresse mes salutations les plus cordiales en cette heure grave. Tous les vœux, à vous, à vos proches, à nous tous –
Avec mon dévouement toujours fidèle et reconnaissant
M σας. Eitingon
Je conduis mon épouse chez mes parents à Leipzig1.
Mirra Eitingonβ
(ένα) Καρτ ποστάλ, adressée à Karlsbad, renvoyée à Vienne.
(β) Signature manuscrite de l’épouse d’Eitingon.
1. Sur la famille d’Eitingon à Leipzig, notamment sur ses parents Chaim et Alexandra Eitingon, voir l’Introduction, p. 10.