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B[erlin], le 2 août [1914]a
Cher Professeur,
Dans l’attente de rejoindre l’armée autrichienne, il faut que je vous adresse mes salutations les plus cordiales en cette heure grave. Tous les vœux, à vous, à vos proches, à nous tous –
Avec mon dévouement toujours fidèle et reconnaissant
Votre M. Eitingon
Je conduis mon épouse chez mes parents à Leipzig1.
Mirra Eitingonb
(a) Carte postale, adressée à Karlsbad, renvoyée à Vienne.
(b) Signature manuscrite de l’épouse d’Eitingon.
1. Sur la famille d’Eitingon à Leipzig, notamment sur ses parents Chaim et Alexandra Eitingon, voir l’Introduction, p. 10.