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[En-tête Vienne], le 15 mars 1914
Cher Docteur Recevez, vous et votre chère épouse, mes remerciements très cordiaux pour votre participation à notre bonheur familial. Je suis toujours le même, capable d’appeler bonheur la naissance d’un enfant humain. A ce que l’on m’en a dit, la mère et l’enfant se portent bien. La grand-mère restera encore quelques semaines chez eux. Votre dernière contribution critique était tellement remarquable qu’elle ne pouvait qu’éveiller le regret1 que vous connaissez déjà (a). Salutations cordiales et au revoir ! Votre vieux Freud
a. Ajouté après coup.
1. Sur le fait qu’Eitingon ait aussi peu publié.