29-08-1914 Eitingon à Freud

67 E

Prague, le 29 août [1914]a

Cher Professeur,

tous mes remerciements pour cette nouvelle si rapide, je me suis beau­coup réjoui de savoir que votre cadette était chez vous. Pour ma part je viens de recevoir l’ordre de quitter avec quelques collègues l’hôpital de la gar­nison de la ville pour me rendre à Kaschau dans le nord de la Hongrie1,

vraisemblablement à plus grande proximité de l’endroit où Autrichiens et Russes se rencontrent actuellement en Galicie.

Mes plus chaleureuses salutations à vous et aux vôtres

Votre M. Eitingon

a. Carte postale.

1. Voir 81 E+2.