Quatrième atelier sur le séminaire La logique du fantasme. Le tout premier Autre c’est le corps réel. Puis il est troué par un signifiant qui y inscrit sa marque indélébile.
Le nombre qu’utilise Lacan n’est pas le nombre d’or, appellons le « le Nombre de Lacan »
De nombreuses hésitations mais une petite trouvaille (pour moi) …
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La logique du fantasme. Ici la troisième partie de cet atelier. Les thèmes abordés sont: le nombre d’or et son interprétation lacanienne, les catégories aristotéliciennes, et l’utilisation des sciences par la psychanalyse.
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Je souhaiterais faire connaître mon approche en vous présentant un exercice de style: cette relecture du schéma en L de Lacan.
J’espère ainsi retenir l’attention d’une ou deux personnes avec lesquelles je puisse avancer. Peut-être en formant un groupe de réflexion?
Le lien vers ce document: http://www.entropologie.fr/2016/09/la-schema-en-l-de-lacan.html
La logique du fantasme, séminaire très dense et complexe de Jacques Lacan. Ici la deuxième partie de cet atelier. Nous essayons de comprendre l’usage que Jacques Lacan fait de la structure du groupe de Klein. Notamment les connexions avec la répétition, le passage à l’acte, l’acting out et la sublimation.
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Répertorié comme une annexe secondaire à Vappereau‘ 4≠ 3. Clarifie et définit les fonctions et les applications bijectives à l'aide de Hilbert’avec ses quantificateurs logiques.
[Ajouté: 2025/08/23]La logique du fantasme, séminaire très dense et complexe de Jacques Lacan. Nous abordons une première partie qui décrit quatre variétés de négations utilisées par le sujet dans ses relations avec ses objets de désir. (À noter une panne de la caméra qui m’a obligé de réenregistrer cet atelier! Dommage.)
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Discours du maître, de l’hystérique, de l’université, et de l’analyste; ces 4 modalités de discours structurent notre intersubjectivité. Une dérive fréquente du discours de l’analyste le pousse vers le discours universitaire. Si elle est présente dans les contrées latines, elle est la règle dans les pays anglo-saxons.
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Le sinthome, cette voie de sublimation décrite par Lacan, prend une forme toute particulière chez James Joyce. Celle-ci se cristallise dans un rapport inhabituel à l’autre sexe, une forme de folie à deux.
Merci à Gérard Crovisier qui nous apporte son éclairage.
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Le site de Patrick Valas est en miroir sur Lutecium:
Le site miroir
En cas de difficultés voici l’adresse du site original:
Le site original