16-07-1914 フロイトにアブラハム

* ベルリンW, Rankestrasse 24

16.7.14.

親愛なる教授,

C’est une bonne chose que nos lettres ne se soient pas croisées une fois de plus. C’est avec grande satisfaction que j’envisage la perspective du prochain retrait des Suisses (1).

La lettre de Bleuler que Jones m’a fait parvenir aujourd’hui me rappelle les derniers temps passés à Burghölzli, Jung éloigné de l’association : c’est sans doute là une passerelle qui peut nous ramener Bleuler. Avez-vous pris garde à la dernière phrase?

Je crois que Bleuler voudrait qu’on l’incite à reprendre la tête en Suisse. Nous l’inviterons tout de même au congrès; nous verrons bien ce qui se passera. Son ralliement compenserait à la face du monde tous les torts qu’a pu nous causer le schisme.

Pour l’affaire Pfister en revanche, je suis d’un avis tout à fait opposé au vôtre, 親愛なる教授!

J’attends avec impatience les dernières révélations concer­nant la sexualité de l’enfant!

まだ 10 または 12 jours, et je file.

受け取る, あなたとあなたの妻, les bien cordiales salutations de votre

カール·アブラハム.


(1) Se rapporte à Jung et à ses partisans.