Trois narcissismes et trois formes d’identification. Grâce à ces approches nous revenons sur le passage d’un objet de la réalité qui devient un objet de désir quand l’humain se l’approprie. Il est également souligné l’importance particulière du narcissisme premier et de l’identification première qui conditionnent l’anaclitisme du sujet.
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Pierre Belon nous présente son travail sur l’article de Jacques Lacan « Propos sur la Causalité Psychique » de 1946. Le texte de préparation de ce travail est accessible à Jacques Lacan 1946
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Ce film de Martin McDonagh décrit les habitants d’une petite île d’Irlande au moment de la fin de la guerre entre protestants et catholiques en 1923. Dans cette communauté, pas de psychiatre, pas de reconnaisance d’une quelconque maladie mentale. Même une gravissime automutilation n’est pas reconnue comme le signe de bascules psychotiques. Cela nous conduit à interroger les rôles du psychiatre et du psychanalyste dans la cité, à partir de leur absence.
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Michel Roussan, faisant suite à Emmanuel Brassat, associe les causalités aristotéliciennes aux structures lacaniennes de la pulsion et du graphe du désir.
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Emmanuel Brassat a eu la gentillesse de nous parler de la notion des quatre causalités qu’Aristote a introduits. La cause matérielle, la cause formelle, la cause efficiente, la cause finale.
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Jean-Jacques Allégret et Pierre Baron évoquent cette structure topologique que Lacan utilise notamment dans les quatre concepts de la psychanalyse et dans l’Acte analytique
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C’est en remarquant une ressemblance particulière entre l’enregistrement de « L’Homme au Magnétophone » et la pièce d’Edward Albee « Zoo Story » que Jean François La Bouverie et moi-même avons décidé de les rapprocher au cours d’une lecture. Dans l’un il s’agit d’un internement par procuration, et dans l’autre d’un suicide par procuration.
Les précédents ateliers au sujet de l’Homme au magnétophone sont #46 et #49
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Pierre Belon et Jean-François La Bouverie présentent leurs expériences de leur rencontre avec l’Homme au Magnétophone, textuelle pour l’un, par rencontre pour l’autre.
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Captation d’une lecture privée de la pièce de Peter Brook « Je suis un phénomène ». Réalisée par les acteurs Jean-François La Bouverie, Jules Lanzaro, Justine Schmitt. Il s’agit d’une pièce à partir de l’essai du neuropsychologue A. R. Luria à propos d’un mnémoniste russe ayant une mémoire phénoménale. Son nom est Solomon Veniaminovitch Shereshevskly.
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Jean-Jacques Abrahams, en analyse pendant 20 ans à Bruxelles, décida un jour de venir avec un magnétophone pendant la séance et de l’enregistrer. Les conséquences ont été désastreuses pour le psychiatre. Nous réécoutons cet enregistrement et avons tenté de pointer les erreurs et errements dans la conduite de la cure analytique.
L’enregistrement est également présent: ici
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