1.16 Réponse au commentaire de JEAN HYPPOLITE sur la Verneinung de FREUD, 1954

$0016001_{1954}$
La parole pleine se définit par son  identité à  ce dont elle parle. [Lac66a, p. 381]
$0016002_{1954}$
* Le refoulement ne peut être distingué du retour du refoulé. [Lac66a, p. 386]
$0016003_{1954}$
L'effet de la Verwerfung est une abolition symbolique. [Lac66a, p. 386]
$0016004_{1954}$
La Verwerfung est exactement ce qui s'oppose à  la Bejahung primaire. [Lac66a, p. 387]
$0016005_{1954}$
La Verwerfung constitue comme telle ce qui est expulsé. [Lac66a, p. 387]
$0016006_{1954}$
La Bejahung est le procès primaire où le jugement attributif prend racine. [Lac66a, p. 387]
$0016007_{1954}$
* Ce qui n'est pas venu au jour du symbolique, apparaît dans le réel. [Lac66a, p. 388]
$0016008_{1954}$
Le réel est le domaine de ce qui subsiste hors de la symbolisation. [Lac66a, p. 388]
$0016009_{1954}$
L'expulsion primaire définit le réel comme extérieur au sujet. [Lac66a, p. 389]
$0016010_{1954}$
Le symbole forclos ne rentre pas dans l'imaginaire. [Lac66a, p. 392]
$0016011_{1954}$
Le symbole forclos n'existe pas. [Lac66a, p. 392]
$0016012_{1954}$
* Dans l'ordre symbolique, les vides sont aussi signifiants que les pleins. [Lac66a, p. 392]
$0016013_{1954}$
Pour le schizophrène, tout le symbolique est réel. [Lac66a, p. 392]

Jacques B. Siboni 2024-11-08