Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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Index:
Index
tout
*
Tout
jugement
est
essentiellement
un
acte.
[
Lac66a
, p. 208]
*
La
folie
est
vécue
toute
dans le
registre
du
sens.
[
Lac66a
, p. 166]
*
Tout
phénomène
de
sens
implique
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 102]
Le
moi
représente
le
centre
de
toutes
les
résistances
à la
cure
des
symptômes.
[
Lac66a
, p. 118]
Tout
le
savoir
humain
est
médiatisé
par le
désir
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 98]
Toute
science
reste
longtemps empêtrée dans le
langage.
*
Tout
acte
manqué
est un
discours
réussi.
[
Lac66a
, p. 268]
*
Le
symptôme
se
résout
tout
entier
dans une
analyse
de
langage,
parce qu'il est lui-même
structuré
comme un
langage.
[
Lac66a
, p. 269]
Le
langage
du
symptôme
a le
caractère
universel
d'une
langue
qui serait
entendue
dans
toutes
les
autres
langues.
[
Lac66a
, p. 293]
L'imaginaire
n'est pas
tout
entier
l'analysable.
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
Le
transfert
joue
une
fonction
tout
à fait
particulière
dans
l'analyse.
Dans le
rêve
ce dont il s'agit
tout
le
temps,
c'est d'un
désir.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
compréhension
du
sujet.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
réalisation
symbolique
par le
sujet
de
soi-même
qui est le
ça
inconscient.
Ce qui n'est pas
symbolisé,
c'est la
réalité
avant
toute
formation
du
symbole.
Quand
l'identification
moïque
sera
faite,
toute
nouvelle
ré-identification
du
sujet
fera
surgir
l'anxiété.
Interpréter
et
comprendre
n'est pas du
tout
la
même
chose,
c'est
exactement
le
contraire.
C'est par
rapport
au
premier
moi
imaginaire
que va se
situer
le
premier
jeu
de
l'inclusion
ou de
l'exclusion
de
tout
ce dont il s'agit dans le
sujet
avant
la
naissance
du
moi.
Négativisme
et
dénégation
ne sont pas du
tout
la
même
chose.
L'acte
de la
parole,
en tant que
fonctionnement
symbolique,
est coordonné à
tout
un
système
symbolique
déjà établi.
L'objet
aimé
se
confond,
par
toute
une
face
de ses qualités, de ses
attributs,
et aussi de son
action
dans
l'économie
psychique,
avec
l'idéal-du-moi
du
sujet.
Toute
l'expérience
analytique
se
développe
au
joint
de
l'imaginaire
et du
symbolique.
*
Dans le
monde
animal,
l'imaginaire
domine
tout.
L'idéal-du-moi
commande
un
certain
jeu
de
relations
d'où
dépend
toute
relation
à
autrui.
La
perpétuelle
réversion du
désir
à la
forme,
et la
forme
du
désir,
est le
mécanisme
fondamental
autour de quoi
tourne
tout
ce qui se
rapporte
à
l'ego.
Le
savant
est le
sujet,
car il est le
reflet,
le
miroir,
le
support
de
tout
ce qui est du
monde
objectal.
Pour
l'enfant,
tout
se
compose,
s'enrichit, se diversifie dans le
registre
de
l'imaginaire,
à partir d'une
prédominance
essentielle
du
symbolique
et du
réel.
Le
désir
humain
est
tout
entier
exposé
au
désir
de
l'autre.
Toute
espèce
d'emploi
est
toujours
métaphorique.
*
L'élément
est une
dimension
essentielle,
mais
primordiale,
de
tout
ce qui est
d'ordre
de la
parole.
Tout
sémantème
renvoie
à
l'ensemble
du
système
sémantique.
Pour
tout
ce qui est du
langage
humain,
il n'y a
jamais
univocité
du
symbole.
Tout
sémantème
a
toujours
plusieurs
sens.
Toute
signification
ne
fait
jamais
que
renvoyer
à une
autre
signification.
Toute
signification
interne
quelconque du
langage,
doit
être
définie
par
l'ensemble
des
emplois
possibles
du
terme.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
Tous les
actes
manqués
et
toutes
les
paroles
qui achoppent, sont des
paroles
qui
avouent
et des
actes
qui
réussissent
dans le
sens
d'une
vérité
qui
essentiellement
ment.
*
L'ordre
humain
se
caractérise
par ceci, que la
fonction
symbolique
intervient
à
tous
les
moments
et à
tous
les degrés de son
existence.
Les
symboles
impliquent
la
totalité
de
tout
ce qui est
humain.
*
Tout
se
classe,
s'ordonne
par
rapport
aux
symboles
surgis, aux
symboles
une
fois
qu'ils sont
apparus.
La
fonction
symbolique
chez
l'homme
constitue
un
univers
à
l'intérieur
duquel,
tout
ce qui est
humain
doit
s'ordonner.
Pour le
schizophrène,
tout
le
symbolique
est
réel.
[
Lac66a
, p. 392]
*
La
maîtrise
est
tout
entière
du
côté
de
l'esclave,
parce que lui
élabore
sa
maîtrise
contre le
maître.
*
Les
êtres
vivants
s'entretiennent
tout
seuls.
La
relation
du
moi
à
l'autre
est la
condition
primordiale
de
toute
espèce
d'objectivation
du
monde
extérieur.
Dans
toute
relation
narcissique
le
moi
est
l'autre
et
l'autre
est
moi.
Toute
espèce
de
constitution
du
monde
objectal
est
toujours
un
effort
pour
redécouvrir
l'objet.
Toute
loi
a
toujours,
par son
caractère
partiel,
la
possibilité
d'être
fondamentalement
incomprise.
La
résistance
est
tout
ce qui
s'oppose
au
travail
analytique.
*
Le
rêve
est dans
tous
les
cas
la
satisfaction
d'un
désir.
La
fonction
fondamentale
du
narcissisme
structure
toutes
les
relations
de
l'homme
avec le
monde
extérieur.
L'image
du
corps
est au
principe
de
toute
unité
perçue
dans les
objets.
Dans la
position
de
l'obsessionnel,
tout
ce qui est de
l'ordre
du
don
est
absolument
pris
dans le
réseau
narcissique
dont il ne
peut
pas
sortir.
Le
désir
est
préalable
à
toute
espèce
de
conceptualisation.
Toute
conceptualisation
sort
du
désir.
La
libido
est
avant
tout
une
énergie.
L'amour
génital
n'est
absolument
rien
du
tout.
La
rencontre
du
moi
avec son
reflet
le
dépossède
de
tout
ce qu'il
peut
atteindre
en tant qu'il est
moi.
L'homme
est
tout
entier
quelque
chose
qui se
situe
dans la
succession
des
messages.
Toutes
les
significations
doivent
trouver
place
dans le
langage.
*
Il y a
derrière
tout
discours
une
vraie
parole.
*
Tout
ce qui est
intuition
est beaucoup
plus
près de
l'imaginaire
que du
symbolique.
Toute
résistance
vient
uniquement
de
l'ordre
imaginaire.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est
essentielle
à
toute
situation
subjective
comme telle.
*
Toute
résistance
vient
de
l'organisation
du
moi.
Tout
ce qui est du
moi
s'inscrit
dans des
tensions
imaginaires.
Le
moi
et
toutes
les
tendances
et
pulsions
s'inscrivent
dans
l'ordre
libidinal.
Dans
l'ordre
symbolique,
tout
élément
vaut en tant
qu'opposé
à un
autre.
Tout
ce qui est
refusé
dans
l'ordre
symbolique
reparaît
dans le
réel.
L'ensemble
du
réseau
du
langage
recouvre
toute
la
réalité.
Dans le
langage
délirant,
la
signification
renvoie
avant
tout
à la
signification
en tant que telle.
La
parole
c'est
avant
tout
parler
à
d'autres.
Toute
connaissance
humaine
prend
son
origine
dans la
dialectique
de la
jalousie.
Pour le
sujet
normal,
un
certain
nombre
de
réalités
existent,
mais il ne les
prend
pas
tout
à fait au
sérieux.
L'
acting-out
est quelque
chose
de
tout
à fait
équivalent
à un
phénomène
hallucinatoire
de
type
délirant.
L'antériorité
du
préalable
à
toute
symbolisation
est
logique
et
non
pas
chronologique.
*
La
dialectique
de la
névrose
est
toute
entière
liée
à ceci que le
refoulement
et le
retour
du
refoulé
sont une
seule
et
même
chose.
*
Toute
la
névrose
est une
parole
qui
s'articule.
Dans la
psychose,
quelque
chose
de
tout
à fait
primordial
dans
l'être
du
sujet
n'entre
pas dans la
symbolisation,
est
rejeté.
*
C'est par la
voie
de la
relation
narcissique
que se
fait
toute
identification
érotique.
Le
signifié,
ce ne sont pas les
Choses
toutes
brutes,
déjà là dans un
ordre
ouvert
à la
signification.
*
Tout
ce qui est
mondialisant
comporte
une
contradiction
en
soi.
Le
moi
de
tout
sujet
est
lié
à un
double
discursif,
discordant.
Que
l'inconscient
soit là dans la
psychose
comporte
une
inertie
toute
spéciale.
Un
ego
n'est
jamais
tout
seul;
il
comporte
un
étrange
jumeau,
le
moi-idéal.
Dans la
névrose,
au
lieu
de se
servir
des
mots,
le
sujet
se
sert
de
tout
et
devient
le
signifiant.
C'est au
niveau
du
désir
sexuel
que
s'introduit
pour la
première
fois
et sous
toutes
ses
formes,
la
loi.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
*
Tout
ce qui est de la
communication
analytique
a
structure
de
langage.
Tout
phénomène
qui
participe
du
champ
analytique,
du
symptôme,
est
structuré
comme un
langage.
Les
caractéristiques
du
signifiant
marquent
tout
ce qui est de
l'ordre
de
l'inconscient.
Toute
l'intégration
de la
sexualité
chez le
sujet
humain
est
liée
à la
reconnaissance
symbolique.
C'est
l'ordonnance
symbolique
qui
règle
tout.
*
Le
symbolisme
c'est ce qui nous livre
tout
le
système
du
monde.
La
relation
imaginaire
est
liée
à
tout
le
domaine
de
l'éthnologie
5
.
532
, à la
psychologie
animale,
aux
fonctions
de la
relation
humaine,
de la
capture
par
l'image
de
l'autre.
5
.
533
La
première
registration
des
perceptions
est
tout
à fait
inaccessible
à la
conscience.
Tout
système
de
langage
comporte
la
totalité
des
significations.
Il est
faux
que
tout
système
de
langage
épuise les
possibilités
du
signifiant.
*
Tout
vrai
signifiant
est, en tant que tel, un
signifiant
qui ne
signifie
rien.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
une
toute
autre
signification
que la
relation
d'exclusion
réciproque
que
comporte
l'affrontement
spéculaire.
Toute
la
défense
en
psychanalyse
porte
sur la
défense
d'un
mirage,
d'un
néant,
d'un
vide.
Dans la
métaphore,
il n'y a pas du
tout
de
comparaison
mais
identification.
Dans la
métaphore,
une
signification
renonce
à
toute
connexion
lexicale
préétablie.
*
Il est
tout
à fait
exclu
qu'un
animal
fasse
une
métaphore.
Dans la
métaphore
la
signification
domine
tout.
Une
métaphore
est
soutenue
avant
tout
par une
articulation
positionnelle.
*
Tout
langage
implique
un
métalangage.
Tout
langage
est déjà
métalangage.
*
Il y a
toujours
un
Autre
au-delà
de
tout
dialogue
concret.
*
Tout
ce qui se
dit
a sous
soi
un
je
qui le
prononce.
Toute
entrée
dans les
psychoses,
c'est le
moment
où, du
champ
de
l'Autre,
vient
l'appel
d'un
signifiant
essentiel
qui ne
peut
pas
être
reçu.
La
notion
du
père
ne se
suppose
que pourvue de
toute
une
série
de
connotations
signifiantes
qui lui
donnent
son
existence
et sa
consistance.
Tout
l'effort
de la
recherche
de
l'objet
est une
répétition
impossible
puisque ce n'est pas le
même
objet.
La
conscience
est
d'abord
et
avant
tout
méconnaissance.
Le
sujet
s'efforce
de
maintenir
ses
relations
d'objet
à
tout
prix.
*
L'identification
à
l'objet
est au
fond
de
toute
relation
à
l'objet.
Tout
l'accomplissement
de la
relation
duelle
comme telle
fait,
à
mesure
qu'on
s'en
approche,
surgir
un
objet
imaginaire
au
premier
plan,
le
phallus.
L'ironie
est
avant
tout
un
mode
de
question.
*
La
Wirklichkeit
c'est ce qui
implique
en
soi
toute
possibilité
des
faits.
Castration,
frustration,
privation
ne sont pas du
tout
équivalentes.
Tout
ce qui est
réel
est
toujours
et
obligatoirement
à sa
place.
Toute
relation
objectale
est
fondamentalement
imaginaire.
La
privation
n'est pas du
tout
quelque
chose
qui est dans le
sujet.
La
privation
est
tout
à fait
hors
du
sujet.
Au
moment
de
réalisation
de la
mère,
elle
devient
toute
puissante.
Entre
frustration
et
renonciation,
il y a
toute
la
différence
du
symbolique
au
réel.
[
Lac66a
, pp. 460–461]
La
libido
est le
synonyme
de
toute
expérience
érogène.
Derrière
l'Autre
il y a
toute
la
chaîne
en
raison
de quoi
vient
le
don.
La
demande
se
projette
tout
de
suite
sur le
narcissisme.
Le
phallus
est
l'objet
central
de
toute
l'économie
libidinale.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
La
frustration
de
l'amour
contient
toutes
les
relations
inter-subjectives
telles qu'elles pourront se
constituer
par la
suite.
La
frustration
de la
jouissance
produit
tout
au
plus
la relance du
désir
mais
aucune
espèce
de
constitution
d'objet.
La
fonction
narcissique
est au
fond
de
toute
énamoration.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
Le
souvenir-écran
et
relié
par
toute
une
chaîne
à
l'histoire.
*
Le
don
en lui-même
implique
tout
le
cycle
de
l'échange.
Les
dons
prennent
tout
l'ensemble
inter-subjectif
du
point
de
vue
du
sujet.
*
Toute
satisfaction
mise en
cause
dans la
frustration
y
vient
sur ce
fond
du
caractère
fondamentalement
décevant
de
l'ordre
symbolique.
*
La
mère
est
primordialement
toute
puissante.
*
C'est du
champ
virtuel,
néantisation
symbolique,
que la
mère
constitue,
que
tous
les
objets
à
venir
tireront
chacun à leur
tour
leur
valeur
symbolique.
*
L'existence
d'un
phallus
imaginaire
est le
pivot
de
toute
une
série
de
faits
qui exigent son
postulat.
La
castration
est la
crise
essentielle
par où
tout
sujet
s'introduit
dans,
s'habilite
à
l'ordre
de la
loi.
*
Toute
femme
qui n'est pas
permise,
est
interdite
par la
loi.
*
Tout
ce qui est
réel
se
suffit
à lui-même.
Toute
la
dialectique
de
l'agressivité,
de
l'identification,
de
l'idéalisation,
se
passe
au
niveau
du
père
imaginaire.
*
Le
complexe
de
castration
reprend sur le
plan
imaginaire
tout
ce qui est en
jeu
avec le
phallus.
La
loi
sort
avec le
signifiant
indépendamment
de
toute
expérience.
*
La
perversion
est
structurée
en
relation
avec
tout
ce qui
s'ordonne
autour de la
notion
absence
et
présence
du
phallus.
*
Tout
le
monde
n'a pas le
phallus.
5
.
534
Un
signifiant
typique
est un
signifiant
propre
à
tout
faire.
Il y a un
non-sens
à
tout
usage
du
sens.
Le
sens
est
paradoxal
par
rapport
à
toute
signification
possible.
La
théorie
analytique
de
l'œdipe
pointe
que le
réel
ne
peut
être
réordonné
dans sa
nouvelle
configuration
symbolique
qu'au
prix
d'une
réactivation
régressive
de
tous
les
éléments
les
plus
imaginaires.
Le
nom-du-père
est
essentiel
à
toute
articulation
du
langage
humain.
Toute
relation
à
l'objet
implique
une
tierce
dimension.
Toute
la
relation
d'objet
tourne
autour de la
notion
de la
privation.
Tout
discours
comporte
virtuellement
et au
départ
cet
Autre
qui est le
témoin,
le
garant,
le
lieu
idéal
de sa bonne
foi.
Le
phallus
est
l'élément
de
béance
critique
de
toute
relation
à
deux.
La
sublimation
réintroduit
toute
la
vie
des
échanges
imaginaires.
La
disparition
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre
donne
au
psychosé
la
difficulté
toute
difficulté
à se
maintenir
dans le
réel
humain,
symbolique.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est
tout
ce qui
inclut
les
possibilités
de
décomposition,
de
réinterprétation,
d'effets
métaphoriques
et
métonymiques.
Toutes
les
significations
humaines
ont été à quelque
moment
métaphoriquement
engendrée
par des
conjonctions
signifiantes.
La
structuration
de la
demande
est
tout
à
fait
à la
base,
au
fondement
de
l'exercice
premier
du
signifiant
dans
l'expression
du
désir.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
Le
soi
ne se
saisit
qu'au-delà
de
toute
élaboration
du
désir
dans le
réseau
du
langage.
Toutes
les
passions
sont
également
métonymiques.
C'est la
structure
qui
fait
de
toute
la
suite
de la
névrose
une
question
et
non
un
leurre.
[
Lac66a
, p. 454]
Le
signifiant
existe
en
dehors
de
toute
signification.
[
Lac66a
, p. 498]
La
lettre
produit
tous
ses
effets
de
vérité
dans
l'homme.
[
Lac66a
, p. 509]
La
condition
nécessaire
à
toute
satisfaction
est
entendue
au-delà
de ce qui est
dit.
Dans la
structure
de la
métaphore,
réside
toutes
possibilités
d'articuler
le
complexe
d'œdipe
et son
ressort
le
complexe
de
castration.
Toute
la
dialectique
de la
relation
d'objet
tourne
autour du
phallus.
Le
père
considéré
en tant qu'il
prive
la
mère
de
l'objet
phallique
de son
désir,
joue
un
rôle
tout
à
fait
essentiel
dans
toutes
les
névroses.
La
satisfaction
fantasmatique
ne
saurait
remplir
tous
les
besoins.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
Dans
toute
formation
perverse,
il y a
exactement
la
même
structure
de
compromis,
d'élusion, de
dialectique
du
refoulé,
et du
retour
du
refoulé
qu'il y a dans la
névrose.
Le
principe
du
plaisir
est cette
tendance
de
tout
ce qui est la
vie
de
retourner
à
l'inanimé.
Toutes
les
passions
sont
aliénation
au
désir
dans un
objet.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
Le
totem
est le
signifiant
grâce auquel
tout
s'ordonne,
et
principalement
le
sujet.
Toute
identification
qui est
identification
aux insignes de
l'autre
dépend
de la
demande
et des
rapports
de
l'autre
au
désir.
La
demande
est
liée
d'abord
et
avant
tout
à ce qui est dans les prémisses du
langage,
dans
l'existence
d'un
appel
qui est
principe
de la
présence,
et
terme
qui
permet
de la repousser.
*
Avant
toute
parole,
l'enfant
rit.
Il y a
excentricité
du
désir
par
rapport
à
toute
satisfaction.
*
Toute
espèce
de
signifiant
est, de sa
nature,
quelque
chose
qui
peut
être
barré.
Tout
signifiant
est
révocable.
Le
processus
primaire
c'est
d'abord
et
avant
tout
tissé
comme du
langage.
Le
sujet
hystérique
se
constitue
presque
tout
entier
à partir du
désir
de
l'autre.
*
L'hystérique
a
toutes
sortes de
difficultés
avec son
imaginaire.
L'hystérique
vit
toute
entière
au
niveau
de
l'autre.
L'obsessionnel
fait
passer
son
désir
avant
tout.
*
La
demande,
du
fait
d'être
articulée
en
termes
symboliques
est une
demande
qui va
au-delà
de
toutes
les
satisfactions.
Toute
tentative
de
réduire
le
désir
à quelque
chose
dont
on
demande
la
satisfaction,
se heurte à une
contradiction
interne.
*
Toute
demande
de
satisfaction
d'un
besoin
doit
passer
par les
défilés
de
l'articulation
tels que le
langage
les rend
obligatoires.
Le
désir
est
au-delà
de
toute
satisfaction
du
besoin.
Le
père
mort
est
porteur
d'un
signifiant
qui
autorise
et
fonde
tout
le
système
de
signifiant.
*
Il s'agit pour
l'hystérique,
de
faire
tenir,
de
faire
subsister
l'objet
du
désir,
en tant que
distinct
et
indépendant
de
l'objet
de
tout
besoin.
La
demande
de
mort
empêche
toute
articulation
de la
demande
du
sujet.
Les
deux
étages du
graphe
6.2.1
fonctionnent
tous
les
deux
en
même
temps
dans
tout
acte
de
parole.
*
Tout
discours
est le
discours
de
l'Autre.
Toute
la
vie
du
sujet
est
prise
dans des
actes
de
parler.
Toute
parole
part
de ce
point
de
croisement
le
point
.
6.4.1
Toute
parole
est
discours
de
l'Autre.
La
pensée
est
avant
tout
quelque
chose
du
non-dit.
La
Bejahung
est un
précédent
nécessaire
à
toute
application
possible
de la
Verneinung
.
[
Lac66a
, p. 558]
Dans la
psychose,
toute
l'épaisseur de la
créature
réelle
s'interpose
pour le
sujet
entre
la
jouissance
narcissique
de son
image
et
l'aliénation
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 572]
*
Le
langage
structure
tout
de la
relation
inter-humaine.
[
Lac66a
, pp. 618–619]
Le
rêve
sert
avant
tout
le
désir
de
dormir.
[
Lac66a
, p. 624]
Toute
réponse
à la
demande
dans
l'analyse
ramène le
transfert
à la
suggestion.
[
Lac66a
, p. 635]
l'
Entstellung
est au
principe
de
toute
pulsion.
[
Lac66a
, p. 668]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
*
Le
sujet
ne
désigne
son
être
qu'à
barrer
tout
ce qu'il
signifie.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
rapport
du
désir
au
fantasme,
dans le
graphe
6.6.1
,
s'exprime
dans le
champ
intermédiaire
entre
les
deux
lignes
structurales
de
toute
énonciation
signifiante.
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Le
partenaire
féminin,
en tant
qu'Autre
est ce qui
domine
toute
l'économie
de son
désir.
Le
signifié
de
l'Autre
est la
somme
de
toutes
les
significations.
cf:
6.17.2
Tout
manque
dans le
réel
est un
manque
à sa
place.
Le
sujet
apparaît
au
niveau
de
l'Autre
comme
soumis
à la
loi
de
tous.
Le
sens
de
l'inconscient
a
toutes
les
caractéristiques
de la
fonction
de la
chaîne
signifiantes
comme telle.
*
Tout
sujet
est
Un.
Toute
métaphore
est le
masque
d'une
métonymie,
et en
dernier
ressort,
métonymie
de la
castration.
Pour le
pervers
le
désir
est au
cœur
de
toutes
ses
demandes.
L'objet
phallique
est
latent
à
tout
rapport
de
demande
comme
signifiant
du
désir.
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
La
caractéristique
du
plaisir
est qu'elle se
trouve
toute
entière
du coté du
fictif.
Le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité
trouvent leur
opposition
fondamentale
dans un
tout
autre
système
de
référence.
*
Toute
pensée,
de par sa
nature,
s'exerce par des
voies
inconscientes.
*
Les
processus
symboliques
dominent
tout.
C'est au
principe
de
réalité
qu'est
liée
toute
la
fonction
qui
vient
s'articuler
dans le
surmoi.
Chez
l'individu,
toute
sublimation
n'est pas
possible.
5
.
535
*
La
fonction
du
principe
du
plaisir
est de
porter
le
sujet
de
signifiant
en
signifiant,
en mettant autant de
signifiants
qu'il est
nécessaire
à
maintenir
au
plus
bas le
niveau
de
tension
qui
règle
tout
le
fonctionnement
de
l'appareil
psychique.
Toutes
les
formes
de la
Chose
représentées
par
l'homme
sont du
registre
de la
sublimation.
C'est de
cerner
la
Chose
qu'il s'agit
toujours
dans
toute
œuvre
d'art.
Tout
le
réel
est
rationnel
et
tout
le
rationnel
est
réel.
*
Le
langage
scande
et
coupe
tout
ce qui se
passe
dans le
mouvement
de la
vie.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
hors
de la
satisfaction
de
tous.
*
Il n'est pas
possible
que
d'aucun
isole
son
bonheur
de la
satisfaction
de
tous.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
sans
la
satisfaction
de
tous.
Dans
toute
satisfaction
du
besoin,
la
demande
exige
autre
chose.
*
La
forme
du
corps
se
présente
comme
l'enveloppe
de
tous
les
fantasmes
du
désir
humain.
*
Tout
mythe
se
rapporte
à
l'inexplicable
du
réel.
Il y a
faille
dans
toute
morale.
Toute
demande
est
requête
de
l'amour.
[
Lac66a
, p. 813]
Tout
métalangage
est
impossible.
[
Lac66a
, p. 816]
est le
signifiant
pour quoi
tous
les
autres
signifiants
représentent
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 819]
Faute du
signifiant
,
tous
les
autres
ne
représenteraient
rien.
[
Lac66a
, p. 819]
*
Tout
discours
prend
ses
effets
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 827]
*
Toute
vérité
a une
structure
de
fiction.
[
Lac84a
, p. 12]
Le
sujet
n'est
rien
que le
trou
par quoi
tout
Autre
est
séparé
de la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 15]
*
Dans le
sujet,
il y a une
part
où
ça
parle
tout
seul.
La
chaîne
signifiante
impose
sa
marque
à
toutes
les
manifestations
de la
vie
du
sujet
qui
parle.
La
libido
sexuelle
c'est ce surplus qui rend
vaine
toute
satisfaction
du
besoin.
Il s'agit de
considérer
le
phallus
comme
signifiant
comme
centre
de
toute
appréhension
cohérente
de ce dont il s'agit dans le
complexe
de
castration.
Toute
action
a un
certain
rapport
à
l'action
la
plus
originelle,
au
refoulé
le
plus
originel,
l'
Urverdrängt
.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
L'image
se
définit
comme
tout
arrangement
physique
qui a pour
résultat,
entre
deux
systèmes,
de
constituer
une concordance
biunivoque,
à quelque
niveau
que ce soit.
Le
trait
unique
est
dépersonnalisé
de
tout
contenu
subjectif.
Tout
signifiant
est
avant
tout
constitué
comme
trait.
*
Ce qui
distingue
le
signifiant,
c'est
seulement
d'être
ce que
tous
les
autres
ne sont pas.
*
Le
moi
est
avant
tout
une entité
corporelle.
L'amour
est la
source
de
tous
les
maux.
*
La
fonction
de la
répétition
dans
l'inconscient
se
distingue
absolument
de
tout
cycle
naturel.
L'idéal
c'est
tout
ce qu'il y a de
réel
dans le
symbolique.
Le
désir
inconscient
est la
métonymie
de
toutes
les
demandes.
Le
phallus
est le
pivot,
le
point
tournant
de la
constitution
de
tout
objet
comme
objet
du
désir.
Tout
ce que nous
voulons
posséder
pour le
désir
et
non
pour la
satisfaction
d'un
besoin
nous fuit et se
dérobe.
Tout
désir
porte
avec lui de
l'aveuglement.
Le
névrosé,
c'est le
normal
en tant que pour lui
l'Autre
a
toute
l'importance.
Le
pervers,
c'est le
normal
en tant que pour lui le
phallus
a
toute
l'importance.
La
libido
est au
cœur
de la
constitution
de
tout
objet.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
Pas
tout
l'investissement
libidinal
passe
dans
l'image
spéculaire,
il y a un
reste,
le
phallus.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
*
Toute
activité
humaine
s'épanouit
dans la
certitude.
*
La
bipolarité
dont
s'instaure
la
loi
morale
n'est
rien
d'autre que cette
refente
du
sujet
qui
s'opère
de
toute
intervention
du
signifiant,
nommément du
sujet
de
l'énonciation
au
sujet
de
l'énoncé.
[
Lac66a
, p. 770]
Le
sujet
sadien
vise
que sa
division
de
sujet
lui soit
toute
entière
de
l'Autre
renvoyée.
[
Lac66a
, p. 774]
L'objet
est un
objet
externe
à
toute
définition
possible
de
l'objectivité.
*
Est
contre-transfert
tout
ce que, de ce qu'il
reçoit
dans
l'analyse
comme
signifiant,
le
psychanalyste
refoule.
Le
masochiste
comme
tous
les
pervers
cherche
l'angoisse
de
l'autre.
*
L'angoisse,
de
tous
les
signaux,
est celui qui ne
trompe
pas.
Le
mode
le
plus
ordinaire de la
séduction
entre
sexes,
c'est de
faire
des
attributs
féminins
les
signes
de la
toute
puissance
de
l'homme.
Tout
ce que le
sujet
reçoit
de
l'Autre
par le
langage,
est qu'il le
reçoit
sous une
forme
vocale.
*
La
vérité
entre
dans le
monde
avec le
signifiant
et
avant
tout
contrôle.
Dans
toute
avancée,
comme tel,
l'angoisse
apparaît
en
fonction
de son
rapport
au
désir
de
l'Autre.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
*
L'angoisse
paraît
avant
toute
articulation
comme telle de la
demande
de
l'Autre.
*
Il est un
réel
qui
commande
plus
que
tout
autre
nos activités.
Tout
tableau
est
piège
à
regard.
*
Au
niveau
du
point
lumineux c'est là qu'est
tout
ce qui me
regarde.
*
Tout
désir
humain
est
centré
sur la
castration.
L'Autre
est déjà là dans
toute
ouverture,
même
fugitive, de
l'inconscient.
Toute
énonciation
parle
du
désir.
Tout
ce que
vivent
les
sujets
relèvent de la
satisfaction.
Le
losange
est au
cœur
de
tout
rapport
de
l'inconscient,
entre
la
réalité
et le
sujet.
La
chaîne
du
signifiant
commande
tout
ce qui va
pouvoir
se
présentifier
du
sujet.
Toute
pulsion
est par
essence
pulsion
partielle.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
La
relation
du
sujet
à
l'Autre
s'engendre
toute
entière
dans un
processus
de
béance.
L'interprétation
vise
à aider à
retrouver
les
déterminants
de
toute
la
conduite
du
sujet.
*
À
toute
représentation,
il faut un
sujet.
L'interprétation
n'est pas
ouverte
à
tout
sens.
Le
signifiant
primordial
abolit
tous
les
sens.
Le
signifiant
primordial
constitue
le
sujet
dans sa
liberté
à l'égard de
tous
les
sens.
Le
signifiant,
dans
l'inconscient
n'est pas
ouvert
à
tous
les
sens.
Toutes
les
pulsions
sexuelles
s'articulent
au
niveau
des
significations
dans
l'inconscient.
L'interprétation
n'est pas
ouverte
à
tous
les
sens.
*
La
structure
grammaticale
est
absolument
corrélative
des
toutes
premières
apparitions
du
langage.
*
Toute
pulsion
est
virtuellement
pulsion
de
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
Dans
toute
identification
il y a
l'instant
de
voir,
le
temps
pour
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
Tout
système
du
signifiant
doit
suffire
pour
l'usage
de
tout
ce qui
peut
être
du
dire.
Tout
ce qui se
dit
au
lieu
de
l'Autre
est une
demande.
Toute
interjection
se
situe
exactement
quelque
part
dans la
coupure
entre
le
et le
.
Toute
la
pulsation
du
désir
va contre
l'homéostasie
de la moindre
tension.
La
nature
de
tout
désir
humain
est
fondamentalement
sexuelle.
*
L'erreur
de bonne
foi
est de
toutes
la
plus
impardonnable.
Toute
demande
se
prononce
avec la
bouche.
L'analyste
est, au
départ,
le
représentant
pour le
sujet,
de la
toute
puissance
de la
frustration.
Le
refoulement
originaire
attire à lui
tous
les
autres.
[
Lac66a
, p. 868]
*
Au-delà
de
tout
ce qui
s'articule,
quelque
chose
parle.
Le
je
ne
sait
pas du
tout
qui il est.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
*
Tout
dialogue
repose
sur un
malentendu.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir
tout
sauf ce qu'il en est de la
vérité
du
patient.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
Tout
humain
est
narcissique.
*
Féminin
est
radicalement
trompeur,
sous
toutes
les
formes
où il se
présente.
La
négation
a, dans les
formations
de
l'inconscient,
des
représentants
tout
à
fait
repérés
et clairs.
Tout
métalangage
est
partie
du
langage.
La
jouissance
ne
peut
être
qu'identique
à
toute
présence
de
corps.
Le
fantasme
est le
représentant
de
toute
représentation
possible
du
sujet.
Peu
de
réalité,
c'est là
toute
la
réalité
à laquelle nous
pouvons
accéder.
*
Toute
la
réalité
humaine
n'est
rien
d'autre que
montage
du
symbolique
et de
l'imaginaire.
Un
signifiant
substitué
à un
autre
signifiant
sur la
chaîne
signifiante,
est la
source
et
l'origine
de
toute
signification.
*
Il est de la
nature
de
tout
et
d'aucun
signifiant
de ne
pouvoir
en
aucun
cas
se
signifier
lui-même.
*
Il est de la
caractéristique
du
faux
de
rendre
tout
vrai.
Le
rapport
du
signifiant
à la
vérité
peut
court-circuiter
toute
pensée
qui le
supporte.
Tout
amour
est
fondé
du
narcissisme
premier.
L'ordre
symbolique
n'explique
pas
tout.
[
Lac66a
, p. 42]
Le
manque
à sa
place
est
nécessaire
au
départ
de la
dimension
de
déplacement
d'où
procède
tout
le
jeu
du
symbole.
[
Lac66a
, p. 722]
Ce qui n'est pas
je
est
tout
le
reste
de la
structure
et comme telle est
grammaticale.
L'essence
du
ça
n'est pas
je,
c'est
tout
le
reste
de la
structure
grammaticale.
Il y a incapacité de
toute
Bedeutung
à
couvrir
ce qu'il en est du
sexe.
Le
,
de
barré
est le
signifiant
constituant
un des
points
nodaux
du
réseau
autour duquel
s'articule
toute
la
dialectique
du
désir.
*
Tout
ce qui a simplement
forme
grammaticale,
fait
sens.
*
L'aliénation
n'a
absolument
rien
à
faire
avec ce qui
résulte
de
déformation
de
perte,
dans
tout
ce qui est
communication.
La
Verwerfung
,
ou
rejet,
est que
tout
ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Le
sujet,
dans
l'acte,
est
équivalent
à son
signifiant,
tout
en
restant
divisé.
*
Il y a
répétition
intrinsèque
à
tout
acte.
Le
sujet
est
tout
entier
transformé
par
l'acte.
La
structure
de
coupure
appartient
à
tout
acte.
Tout
ce qui est
identification
part
précisément pour le
sujet,
par
identification
à
l'idéal-du-moi,
au
niveau
de
l'Autre.
*
L'acte
sexuel
implique
un
élément
tiers
à
tous
les
niveaux.
La
perversion
tout
entière
a
toujours
une
dimension
démonstrative.
L'acte
psychanalytique
désigne
une
structure
qui
suspend
tout
ce qui s'est
formulé
comme
statut
de
l'acte,
à sa
propre
loi.
Le
sujet
supposé
savoir
est le
pivot
d'où
s'articule
tout
ce qu'il en est du
transfert.
[
Lac68e
, p. 19]
*
Tout
ce qui est de
l'inconscient
ne
joue
que sur des
effets
de
langage.
[
Lac68d
, p. 36]
*
Le
primaire,
de sa
structure,
ne
fonctionne
que d'un
tout
ou
rien
de
trace.
[
Lac68a
, p. 55]
*
Tout
acte
n'est que
figure
plus
ou
moins
complète
de
l'acte
analytique.
[
Lac70b
, p. 13]
La
psychanalyse,
dans son
principe,
commande
la
suspension
de
tout
acte.
De
l'expérience
analytique
il s'agit
d'exclure
tout
acte,
toute
injonction
d'acte.
Tout
acte
a pour
fin
l'objet
.
Il y a
inégalité
du
sujet
à
toute
subjectivation
possible
de sa
réalité
sexuelle.
Le
psychanalyste
opère
en tant
qu'objet
tout
en
n'étant
pas
tout
objet
.
Le
psychanalysant
est
sujet
mais pas
tout
sujet,
d'être
divisé.
*
Dans la
psychanalyse,
l'hystérique
guérit de
tout
sauf de son
hystérie.
Le
particulier
c'est le pas
tous.
*
Il y a
tout
un
niveau
où le
savoir
est de
langage.
*
En
tout
acte,
il y a quelque
chose
qui, comme
sujet,
lui échappe.
*
C'est
l'objet
qui est au
principe
du
mirage
du
tout.
permet
de
destituer
de sa
fonction,
la
relation
au
tout.
*
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
peut
être
tout
ce qui
représente
le
sujet.
Le
sexe
n'est pas
tout.
*
Tout
savoir
n'est pas
conscient.
5
.
536
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
rêve
n'est pas
l'inconscient
à lui
tout
seul.
*
Le
langage
n'est pas du
tout
acte
du
sujet.
*
Tout
savoir
nous
vient
de
l'Autre.
Le
sujet,
d'être
second
par
rapport
au
savoir,
ne
dit
pas
tout
ce qu'il
sait.
Le
sujet
ne
sait
pas
tout
ce qu'il
dit.
*
Tout
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
Le
champ
de
l'Autre
est ce
lieu
où
tout
discours
au
moins
se
pose.
*
Tout
discours
se
présente
comme gros de
conséquences.
*
Tout
discours
scientifique
sur la
langue
se
présente
par
réduction
de son
matériel.
*
Tout
élément
signifiant
s'extrait de
toute
totalité
concevable.
*
Le
grand
ne
contient
que des
,
,
, qui
tous
sont
distincts
de ce que
grand
représente
comme
signifiant.
Le
sujet
est le
sous-ensemble
de
tous
les
signifiants.
Toute
énonciation
se
fait
demande
de ce qui
manque
à
l'Autre.
*
Tout
passage
à
l'acte
ne
s'opère
qu'à
contresens.
[
Lac84b
, p. 15]
Hors le
moment
du
passage
du
psychanalysant
au
psychanalyste,
toute
condition
est
contingente
pour qu'il y
ait
acte
analytique.
[
Lac84b
, p. 18]
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
La
fonction
du
Un
domine
tout
ce qu'il en est du
champ
métaphysique.
*
Toute
la
normativité
s'organise
pour
l'homme
comme pour la
femme
autour de la
passation
d'un
manque.
La
tache
est
essentielle
et
structurante
au titre de
place
de
manque
dans
toute
vision.
*
Tout
ce qui est
refoulé
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Le
père
primordial,
c'est celui qui
confond
dans sa
jouissance,
toutes
les
femmes.
*
Tout
ce qui est du
champ
de la
structure
est
impensable
sans
cause
finale.
Tout
savoir,
d'être
savoir
se
sait
comme tel.
C'est du
trait
unaire
que
prend
son
origine
tout
ce qui
intéresse
l'analyste
comme
savoir.
La
vérité
ne
peut
se
dire
toute
entière.
L'inconscient,
c'est le
savoir
qui
parle
tout
seul.
Au
départ
il n'y a pas de
signifiant
maître
car
tous
les
signifiants
s'équivalent.
Un
signifiant
peut
tout
signifier
sauf lui-même.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
Tout
est
vrai
à
condition
d'en
exclure
le
contraire.
*
Le
fantasme
domine
toute
la
réalité
du
désir,
c'est-à-dire la
loi.
*
C'est du
discours
que
dépend
toute
détermination
du
sujet,
donc de
pensée.
Est
sémiotique,
toute
discipline qui
part
du
signe
pris
pour
objet.
[
Lac70d
, p. 56]
Le
tout,
c'est
l'index
de la
connaissance,
et comme tel, il est
impossible
de le pointer. [
Lac70d
, p. 93]
*
Le
fait
énoncé
est
tout
ensemble
le
fait
du
discours.
Tout
usage
du
langage
se
déplace
dans la
métaphore.
*
Toute
désignation
est
métaphorique.
*
Le
propre
de la
métaphore,
c'est de ne pas
être
toute
seule.
L'écrit
est
second
par
rapport
à
toute
fonction
du
langage.
Le
rapport
sexuel,
comme
tout
autre
rapport,
ne
subsiste
que de
l'écrit.
Le
père
primordial
jouit
de
toutes
les
femmes.
L'instrument
phallus
n'est pas du
tout
à
confondre
avec le
pénis.
Le
plus-de-jouir
prend
sa
source
dans le
champ
d'où
tout
part,
l'effet
du
langage
dans le
désir
de
l'Autre.
Il est
impensable
de
dire
la
femme
parce
qu'on
ne
peut
pas
dire
toutes
les
femmes.
Que le
père
possède
toutes
les
femmes,
est
manifestement
le
signe
d'une
impossibilité.
La
symbolisation
de la
jouissance
sexuelle
emprunte
tout
son
symbolisme
à la
jouissance,
en tant qu'elle est
interdite
par le
principe
du
plaisir.
Le
principe
du
plaisir
a pour
sens,
pas trop de
jouissance,
car
l'étoffe
de
toutes
les
jouissances
confine à la
souffrance.
*
Toute
logique
est
faussée
de
prendre
départ
du
langage-objet.
*
Tout
ce qui est du
langage,
a affaire avec le
sexe,
est dans un
certain
rapport
avec le
sexe.
*
L'homme
est
fonction
phallique
en tant qu'il est
tout
homme.
*
Il n'y a pas de
toute
femme.
Ce n'est pas de
tout
que
peut
être
posé
la
fonction
.
*
C'est par
rapport
à
toute
femme
qu'une
femme
se
situe.
L'écriture
donne
accès
à
toutes
les
jouissances
qui, de
part
le
discours,
s'avèrent
s'ouvrir
à
l'être
parlant.
Toute
logique
se
soutient
de
l'écriture.
*
La
fécondité
est forgerie
phallique,
et c'est bien par là que
tout
enfant
est
reproduction
du
phallus.
*
Tout
organe
n'est
instrument
que par le truchement de ceci dont
tout
instrument
se
fonde,
c'est que c'est un
signifiant.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
Le
rapport
sexuel
détermine
tout
ce qui
s'élabore
d'un
discours
dont la
nature
est
d'être
un
discours
rompu.
Un
mathème
est le
point
pivot
de
tout
enseignement.
*
Le
réel
c'est ce qui
commande
toute
la
fonction
de la
signifiance.
L'objet
c'est un
objet,
seulement
en ce
sens
qu'il se
substitue
définitivement à
toute
notion
de
l'objet
comme
supporté
par un
sujet.
*
Dans
tout
savoir,
il y a du
savoir-faire.
Tout
ce qui
s'inscrit
dans le
langage
n'est
pensable
que par
référence
au
grand
Autre.
*
L'analyste
est
impliqué
dans
toute
analyse.
L'origine
de
toute
dialectique
tient
à ceci que le
sophiste
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
La
fonction
prend
une
valeur
vraie
pour
tout
du
domaine.
*
Il n'y a pas de
tout
des
femmes.
*
La
jouissance
sexuelle
est le
pivot
de
toute
jouissance.
*
La
répétition
ne
fonde
aucun
tous.
*
Tout
ce que nous touchons du
réel,
c'est la
Spaltung
,
c'est la
fente.
*
Tout
ce qui est
dit
est
semblant.
*
Tout
ce qui est
dit
est
vrai.
*
Tout
ce qui est
dit
fait
jouir.
Au
fond
de
tous
les
droits
il y a la
jouissance.
*
La
femme
n'est pas
toute.
La
femme
se
définit
d'une
position
du pas
toute
à
l'endroit
de la
jouissance
phallique.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
La
femme
est pas
toute,
dans son
corps,
comme
être
sexué.
*
On
ne
peut
pas
tout
dire.
s'énonce,
pour
tout
,
est
satisfait.
[
Lac73a
, pp. 14–15]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
Le
rapport
sexuel
est
absent
de
toute
mathématisation.
[
Lac73a
, p. 35]
La
monade,
c'est
l'Un
qui se
sait
tout
seul.
[
Lac75f
, p. 8]
L'origine
de
tous
les
faits
est que quoi que ce soit ne
prend
rang
de
fait
que quand c'est
dit.
L'objet
métonymique
est ce qui court
tout
au long de ce qui se déroule comme
discours.
*
La
femme,
au
regard
de la
fonction
phallique
ne se
situe
que du pas
toute
à y
être
sujette.
*
Si la
femme
n'est pas
toute,
c'est que sa
jouissance,
elle, est
duelle.
*
La
femme
n'est pas
toute.
est
tout
mâle
est serf de la
fonction
phallique.
La
relation
de la
femme
à la
fonction
phallique
est
tout
à
fait
active.
Tout
savoir
naïf
est
associé
à un
voilement
de la
jouissance
qui s'y
réalise.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
*
Tout
parent
traumatique
est en
somme
dans la
même
position
que le
psychanalyste.
Les
langues
ne sont pas
toutes.
C'est d'une
suppléance
du pas
toute
sur quoi
repose
la
jouissance
de la
femme.
La
jouissance
de la
femme
n'est pas
toute.
Pour
l'homme,
tout
est
fonction
de
.
La
femme
n'est pas
toute.
femme
n'est pas
toute,
ce qui ne
permet
pas de
parler
de la
femme.
Pour
tout
tel que
de
est la
fonction
phallique
de
l'homme
qui se note
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
femme
n'est pas
toute
le
phallus.
cf:
20.8.1
*
Toute
la
vérité,
c'est ce qui ne
peut
pas se
dire.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Tout
ce qu'il est
permis
d'aborder de
réalité
reste
enraciné
dans le
fantasme.
est
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai.
cf:
20.9.1
*
L'homme
sait
déjà
tout
ce qu'il y a
savoir.
Dans le
désir
de
toute
demande,
il n'y a que la
requête
de ce quelque
chose
qui, au
regard
de la
jouissance,
serait
satisfaisant.
Je
est le
sujet
de
toute
phrase
de
demande.
Pour
tout
être
parlant,
la
cause
du
désir
est
strictement
équivalente
à sa
division
du
sujet.
*
Lalangue
nous
affecte
d'abord,
par
tout
ce qu'elle
comporte
comme
effets,
qui sont
affects.
Les
effets
de
lalangue
,
déjà là comme
savoir,
vont bien au delà de
tout
ce que
l'être
qui
parle
est
susceptible
d'énoncer.
Le
signifiant
Un
est
l'ordre
signifiant,
en tant qu'il
s'instaure
de
l'enveloppement,
par où
toute
la
chaîne
subsiste.
Le
désir
est
strictement,
durant
toute
la
vie,
toujours
le
même.
*
Toute
parole
n'est pas un
dire
5
.
537
.
C'est
impossible
de
dire
toute
la
vérité.
[
Lac74b
, p. 9]
C'est par
l'impossible
de
dire
toute
la
vérité
qu'elle
tient
au
réel.
[
Lac74b
, p. 9]
Tout
signifiant,
du
phonème
à la
phrase,
peut
servir
de
message
chiffré.
[
Lac74b
, p. 22]
Les
femmes
ne sont pas
toutes.
[
Lac74b
, p. 63]
*
La
femme
n'est pas
toute.
Le
dire
vrai
est
distinct
de
toute
science
du
réel.
*
Pour
tout
savoir,
il faut qu'il y
ait
invention.
Tout
mi-dire
a la
mort
pour
principe.
*
Tout
ce qui
fait
sens
dans
lalangue
s'avère
lié
à
l'ex-sistence
de cette
langue.
*
Quelque
chose
commence
à
trois
qui
inclut
tous
les
nombres
aussi loin qu'ils soient
dénombrables.
*
L'inconscient
est pour
tout
dire
ce qui
répond
du
symptôme.
L'existence
ne se
définit
qu'à
l'effacement
de
tout
sens.
*
Il n'y a pas de
vérité
qu'on
puisse
dire
toute.
[
Lac82d
]
*
Tout
abord
du
réel
est
tissé
par le
nombre.
Dieu
est la
femme
rendue
toute.
La
femme
n'est pas
toute.
Tout
couple
se
réduit
à
l'imaginaire.
*
L'imaginaire
c'est la
place
où
toute
vérité
s'énonce.
*
Le
réel
c'est pas
tout.
Le
départ
de
tout
nœud
social
se
constitue
du
non-rapport
sexuel
comme
trou.
Tout
sujet
n'est
toujours
qu'une
supposition.
*
L'imagination
de
consistance
va
tout
droit
à
l'impossible
de la
cassure.
Les
trois
cercles
du
nœud
borroméen
sont
tous
trois
équivalents.
Le
ratage
peut
être
défini
comme ce qui est
sexuel
dans
tout
acte
humain.
Toute
interprétation
est
juste
une
conjecture.
Le
réel
a affaire avec
tout
le
corps.
Les
vérités
ne
peuvent
se
dire
toutes,
car beaucoup ont une
existence
mythique.
*
Dans une corde le
nœud
est
tout
ce qui
ex-siste
.
Un
sens
est
l'objet
de la
réponse
de
l'analyste
à
l'exposé
par
l'analysant
tout
au long de son
symptôme.
*
Tout
ce que nous
pensons,
nous en sommes réduits à
l'imaginer.
*
C'est la
façon
de les
présenter
dans leur
nœud
de
chaîne
qui, à elle
toute
entière,
fait
le
réel
du
nœud.
La
femme
n'est pas
toute.
La
fonction
du
signifiant
crée
tout
signifié.
*
Tout
objet
tient
à une
relation.
*
La droite
infinie
a pour vertu
d'avoir
le
trou
tout
autour.
Il y a,
derrière
tout
lapsus,
une
finalité
signifiante.
*
Toute
sexualité
humaine
est
perverse.
*
L'une-bévue
c'est un
tout
faux.
*
Le
signe
du
tout
c'est le
signifié.
Toute
langue
nouvelle
est une
métalangue.
*
La
duplicité
de
sens
est
commune
à
tout
signifiant.
*
Tout
discours
a un
effet
de
suggestion,
il est
hypnotique.
*
L'Un
dialogue
tout
seul,
puisqu'il
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
*
Il n'y a pas de
tous.
*
Toute
pulsion
est
sexuelle.
[
Lac78
]
Toute
science
est
tissée
de
fantasmes.
[
Lac78
]
Dans
tout
énoncé,
le
sujet
de
l'énonciation
est
séparé
de
l'être
par une
barre.
[
Lac77a
, p. 14]
Tout
le
monde
est
fou,
c'est-à-dire
délirant.
[
Lac75g
]
Suivant:
trace
Remonter:
5.20 T
Précédent:
tour
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Jacques B. Siboni
2024-11-08