Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.20 T
Précédent:
témoin, témoignage
Suivant:
tendance
Index:
Index
temps
Il
s'isole
dans le
sophisme
trois
moments
de
l'évidence,
l'instant
du
regard,
le
temps
pour
comprendre,
le
moment
de
conclure.
[
Lac66a
, p. 204]
Dans le
rêve
ce dont il s'agit
tout
le
temps,
c'est d'un
désir.
La
syntaxe
naît
en
même
temps
que la
nomination.
C'est au
moment
où ce qui est près d'éclore, de
surgir
dans
l'imaginaire,
est en
même
temps
là dans
l'analyse,
dans la
relation
verbale
avec
l'analyste,
que
l'interprétation
étant
donnée,
sa
valeur
décisive, mutatiste
peut
s'exercer.
L'inconscient
ne
connaît
pas le
temps.
*
Le
concept
c'est le
temps.
Le
transfert
c'est le
temps
de
l'analyse.
*
Le
rêve
n'est pas dans le
temps.
Le
nom
est
essentiellement
le
temps
de
l'objet.
Le
discours
universel
se
poursuit
depuis
l'origine
des
temps.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, de
à
,
quelque
chose
du
discours
passe
et en
même
temps
ne
passe
pas.
L'émetteur
de la
parole
humaine
est
toujours
en
même
temps
un
récepteur.
*
Il n'y a pas de
discours
sans
un
certain
ordre
temporel.
Le
discours
est une
chaîne
temporelle.
Dans les
névroses,
c'est la
signification
qui
disparaît
et qui est pour un
temps
éclipsée.
À l'aide de
frustrations,
la
mère
enseigne
à
l'enfant
que, de
temps
en
temps,
la
réalité
ne
coïncide
pas avec
l'hallucination
surgie
du
désir.
De
temps
en
temps
chez le
fétichiste
il s'agit
non
pas
d'identification
à la
mère,
mais
d'identification
à
l'objet.
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
Un
discours
prends du
temps,
s'étend dans le
temps.
Les
deux
étages du
graphe
6.2.1
fonctionnent
tous
les
deux
en
même
temps
dans
tout
acte
de
parole.
Dans le
procès
de
parole
présenté dans le
graphe
6.2.1
, les
quatre
points
,
,
,
partent en
même
temps.
La
régression
dans
l'analyse
est
régression
temporelle
du
temps
de la
remémoration.
[
Lac66a
, p. 635]
La
Bejahung
est le
premier
temps
de
l'énonciation
inconsciente.
[
Lac66a
, p. 660]
L'être
et
l'avoir
ne surviennent pas au
même
temps
du
rapport
d'identification.
Le
fantasme
de la
perversion
est
a-temporel,
hors
du
temps.
L'interdiction
de
l'inceste
désigne
à la
fois
le
principe
de la
loi
fondamentale,
primordiale,
et en
même
temps
le
désir
le
plus
fondamental.
*
Le
premier
temps
de la méditation
cartésienne
a le
trait
d'un
passage
à
l'acte.
L'investissement
de
l'image
spéculaire
est un
temps
fondamental
de la
relation
imaginaire.
L'angoisse
vient
se
constituer,
prendre
sa
place
dans un
rapport
au-delà
de ce
vide
d'un
temps
premier
de la
castration.
Le
fonctionnement
du
fantasme
implique
une
syncope
temporellement
définissable
de la
fonction
du
qui
s'efface
et
disparaît.
Le
désir
échappe au
temps.
L'inconscient
peut
être
cerné
dans une
structure
temporelle.
Une
chose
c'est ce qui dure,
identique,
un
certain
temps.
Il
existe
un
mouvement
du
sujet
qui ne
s'ouvre
que pour se
refermer,
en une certaine
pulsation
temporelle.
La
pulsation
temporelle,
quant à son
essence,
est
plus
radicale
que
l'insertion
dans le
signifiant
qui la
motive.
La
cause
du
transfert
est le
moment
de la
fermeture
de
l'inconscient,
de la
pulsation
temporelle.
L'inconscient
est
marqué
par une
pulsation
temporelle.
La
pulsation
temporelle
où
s'institue
ce qui est la
caractéristique
de
départ
de
l'inconscient,
comme tel, est la
fermeture.
cf:
11.15.2
*
C'est un
manque
engendré
du
temps
précédent,
qui
sert
à
répondre
au
manque
suscité par le
temps
suivant.
Du
trait
unaire
s'inaugure un
temps
majeur
de
l'identification,
l'idéalisation,
l'idéal-du-moi.
La
dialectique
du
sujet
se
constitue
dans le
défilé
du
signifiant,
par le
double
temps
de
l'aliénation
et de la
séparation.
Dans
toute
identification
il y a
l'instant
de
voir,
le
temps
pour
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
Le
temps
pour
comprendre
s'inscrit
dans la
diachronie.
Le
moment
de
conclure
est le
temps
logique
comme
hâte.
Faire
une
psychanalyse,
être
un
psychanalyste,
faire
un
psychanalyste
sont
trois
temps
différents.
La
répétition
est le
lieu
temporel
d'un
quadrangle
5
.
521
où viennent
agir
le
choix
aliénant,
le
du
ça,
l'inconscient
et la
castration.
La
fonction
de la
négation
en tant qu'elle
exclut
le
tiers,
veut
dire
que quelque
chose
ne
peut
être
affirmé
et
nié
en
même
temps
sous le
même
point
de
vue.
En tant que
discours
non
soumis
au
principe
de
contradiction,
il y a
vérité
d'un
discours
qui
peut
dire
oui
et
non
en
même
temps
de la
même
chose.
La
scansion
du
temps
logique
inclut
le
moment
de
comprendre.
[
Lac68e
, p. 24]
L'acte
psychanalytique
se
produit
dans le
temps
de la
passe.
[
Lac70b
, p. 15]
L'inconscient
possède
une
pulsation
temporelle.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
transfert
est un
temps
de
fermeture
lié
à la
tromperie
de
l'amour.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
temps
pour
comprendre
ne va pas s'il n'y a pas
trois.
Les
trois
temps
logiques
sont,
l'instant
de
voir,
la
Chose
à
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
L'objet
est
lié
à la
dimension
du
temps.
Le
possible,
il y a
toujours
un
temps
où il
cessera
de
s'écrire.
La
psychanalyse
opère
de
temps
en
temps.
*
Dire
a quelque
chose
à
faire
avec le
temps.
[
Lac78
]
Suivant:
tendance
Remonter:
5.20 T
Précédent:
témoin, témoignage
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08