Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.4 D
Précédent:
discordance
Suivant:
disjonction
Index:
Index
discours
Il
existe
une
frustration
inhérente au
discours
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 249]
*
L'inconscient
est cette
partie
du
discours
concret
en tant que
transindividuel,
qui
fait
défaut
à la disposition du
sujet
pour
rétablir
la
continuité
de son
discours
conscient.
[
Lac66a
, p. 258]
L'inconscient
du
sujet,
c'est le
discours
de
l'autre
5
.
129
. [
Lac66a
, p. 265]
*
Tout
acte
manqué
est un
discours
réussi.
[
Lac66a
, p. 268]
Dans la
folie,
l'absence
de
parole
se
manifeste
par les
stéréotypies
d'un
discours
où le
sujet
est
parlé
plutôt qu'il ne
parle.
[
Lac66a
, p. 280]
Nulle
partie
du
discours
n'a le
privilège
d'une
fonction
de
sens.
Les
réalités
deviennent
des
Choses
lors de leurs
rencontres
avec le
discours.
L'inconscient
est le
discours
de
l'autre.
5
.
130
Derrière
ce que
dit
un
discours,
il y a ce qu'il
veut
dire;
et
derrière
ce qu'il
veut
dire,
il y a
encore
un
autre
vouloir
dire.
Derrière
les
dialectiques
des
vouloir
dire
des
discours
il y a la
fonction
créatrice
de la
parole.
Le
transfert,
c'est la
prise
de
possession
d'un
discours
apparent
par un
discours
masqué,
le
discours
de
l'inconscient.
Le
discours
de
l'inconscient,
c'est le
discours
de
l'autre.
*
C'est la
contradiction
dans le
discours
qui est le
départ
entre
la
vérité
et
l'erreur.
Dans le
champ
psychanalytique,
le
discours
du
sujet
se
développe
normalement
dans
l'ordre
de
l'erreur,
de la
méconnaissance,
voire de la
dénégation.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
Dans le
refoulement,
c'est
toujours
d'une
interruption
du
discours
qu'il s'agit.
Quand le
sujet
s'interrompt
dans son
discours,
une
pensée
l'occupe
qui se
rapporte
à
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 373]
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 379]
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'autre.
5
.
131
*
Le
discours
de
l'autre
5
.
132
est le
super-ego.
L'automatisme
de
répétition
est un
discours
interrompu
qui
insiste.
La
censure
fait
partie
du
caractère
interrompu
du
discours.
La
censure
a
toujours
un
rapport
avec quelque
chose
qui, dans le
discours,
se
rapporte
à la
loi
en tant qu'elle est
incomprise.
Par
rapport
à la
loi,
l'homme
est
toujours
en posture de ne
jamais
complètement
la
comprendre,
car
aucun
homme
ne
peut
maîtriser
dans son
ensemble
la
loi
du
discours.
La
censure
est une
résistance
qui se
situe
au
niveau
interne
du
monde
du
discours.
Le
discours
du
rêve
est
absolument
lié,
cohérent,
avec le
discours
de la
veille.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'autre.
iS
c'est mettre le
discours
symbolique
sous la
forme
figurative
du
rêve.
C'est dans les
déchirures
irrationnelles
dans le
texte
du
discours
que se
situe
le
travail
de
l'analyse.
C'est au
niveau
irrationnel
du
discours
que
peuvent
intervenir
les
images
dans leur
valeur
symbolique.
Le
discours
universel
a un
rapport
avec le
langage.
Le
discours
universel
n'est
nullement
identique
au
langage.
Le
discours
universel
se
poursuit
depuis
l'origine
des
temps.
Le
sujet
est dès
avant
sa
naissance,
déjà
inscrit,
situé
dans la
ligne
d'un
discours.
Le
discours
dans lequel
s'inscrit
le
discours
est lui-même un
message.
*
La
parole
s'intercale
comme
élément
de
révélation
entre
le
discours
universel
et le
langage.
*
Il y a
derrière
tout
discours
une
vraie
parole.
*
Le
symptôme
est
l'envers
du
discours.
*
Le
discours
universel
est
symbolique.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, de
à
,
quelque
chose
du
discours
passe
et en
même
temps
ne
passe
pas.
*
Il n'y a pas de
discours
sans
un
certain
ordre
temporel.
Il y a
trois
objets
dans la
parole,
signifiant,
signifié,
et
discours
réel
concret.
Dans la
parole,
le
réel
est le
discours
dans sa
dimension
diachronique.
Il
existe
dans le
discours
constitué
la
parole
constituante.
[
Lac66a
, p. 337]
La
vraie
parole
s'oppose
au
discours
vrai.
[
Lac66a
, p. 351]
Le
discours
vrai
est
constitué
par la
connaissance
du
réel,
en tant qu'il est
visé
par le
sujet
dans les
objets.
[
Lac66a
, p. 351]
*
Le
discours
de la
tromperie
et de
l'erreur
n'est pas
sans
témoigner
de
l'existence
de la
parole
où se
fonde
la
vérité.
[
Lac66a
, p. 353]
Le
réseau
du
signifié
est
l'ensemble
diachronique
des
discours
concrètement
prononcés.
[
Lac66a
, p. 414]
*
La
première
résistance
à quoi
l'analyse
a à faire, c'est celle du
discours
lui-même. [
Lac66a
, p. 418]
L'Autre
parle
à
l'analyste,
dans le
discours
que
l'autre
tient
devant lui. [
Lac66a
, p. 430]
Le
lieu
de
l'Autre
s'étend bien
au-delà
du
discours
qui
prend
du
moi
ses
mots
d'ordre.
[
Lac66a
, p. 431]
La
parole
a
trois
étapes,
le
signifiant,
la
signification,
le
discours.
La
Verneinung
est de
l'ordre
du
discours.
*
La
signification
c'est le
discours
humain,
en tant qu'il
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
L'aliéné
prend
au
sérieux
la
plus
grande
part
de son
discours
intérieur.
Le
sujet
normal
se met dans la
position
de ne pas
prendre
au
sérieux
la
plus
grande
part
de son
discours
intérieur.
Le
moi
de
tout
sujet
est
lié
à un
double
discursif,
discordant.
La
participation
de
l'auditeur
du
discours
à celui qui en est
l'émetteur
est
absolument
permanente.
*
Si la
psychanalyse
habite
le
langage,
elle ne
saurait
sans
s'altérer
le
méconnaître
en son
discours.
Le
moi
a la
fonction
d'un
discours
de la
réalité.
Le
discours
de la
liberté
a un
caractère
profondément
délirant.
Le
moi
comporte
toujours
un
corrélatif
qui est un
discours
qui n'a
rien
à
faire
avec la
réalité.
Le
discours
est le
jumeau
qui
double
toujours
le
moi.
La
défense
est
pathologique
quand elle se
produit
d'une
façon
immaîtrisée
,
par ce qui a été
censuré
dans le
discours
au
bon
niveau
et qui est
passé
dans un
autre
registre.
Le
rapport
entre
la
signification
et le
signifiant
est celui qui est fourni par la
structure
du
discours.
Le
discours
est une
chaîne
temporelle.
Dans la
névrose,
le
réel
ou
l'imaginaire
entre
dans le
discours.
*
Le
fondement
même
du
discours
humain
est le
malentendu.
Le
phénomène
analytique
n'est pas un
discours.
De
l'aliénation
purement
imaginaire
du
psychotique,
résulte
l'apparition
du
discours
permanent.
*
Le
je
est le
je
de celui qui
prononce
le
discours.
Le
tu
est à
l'intérieur
du
discours.
Le
tu,
c'est
l'autre
tel que
je
le
fait
voir
par son
discours.
L'usage
de la
troisième
personne
est
absolument
essentiel
au
discours
en tant qu'il
désigne
ce qui est le
sujet
même
du
discours.
Le
cours
du
signifiant
est le
discours
concret.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 16]
Tout
discours
comporte
virtuellement
et au
départ
cet
Autre
qui est le
témoin,
le
garant,
le
lieu
idéal
de sa bonne
foi.
Un
discours
prends du
temps,
s'étend dans le
temps.
Dans le
point
de
capiton
présenté
graphe
5.1.1
, le
vecteur
est le
discours
rationnel.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est le
discours
courant de la
réalité.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est le
discours
concret
de celui qui
parle.
La
lettre
est le
support
matériel
que le
discours
concret
emprunte
au
langage.
[
Lac66a
, p. 495]
Le
sujet
est serf du
langage,
et
encore
plus,
serf d'un
discours.
[
Lac66a
, p. 495]
Le
père
apparaît
en tant
qu'interdicteur
dans le
discours
de la
mère.
Là où
ça
parle,
cela
fait
partie
du
discours
du
sujet.
L'Autre
de
l'Autre
c'est là où
s'articule
le
discours
de
l'inconscient
5
.
133
.
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.2.1
est le
discours
signifiant
de la
demande.
*
Tout
discours
est le
discours
de
l'Autre.
La contiguïté n'est
rien
d'autre
que la
combinaison
discursive
sur laquelle se
fonde
l'effet
de
métonymie.
Toute
parole
est
discours
de
l'Autre.
Ce qui se déroule en
l'Autre
est
articulé
comme un
discours.
[
Lac66a
, p. 549]
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 549]
L'écoute
du
psychanalyste
se
situe
au-delà du
discours.
[
Lac66a
, p. 616]
Ce que le
psychanalyste
entend
est un
discours.
[
Lac66a
, p. 616]
L'existence
du
discours
conditionne
le
désir.
[
Lac66a
, p. 628]
Le
désir
du
rêve
est
discours
articulé
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 629]
Le
sujet
avant
sa
naissance
est un
pôle
de
signifiants
plus
ou
moins
liés
en un
discours.
[
Lac66a
, p. 652]
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Le
désir
se
fixe
quelque part dans le
discours
de
l'Autre.
La
fonction
de
l'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
*
L'inconscient
se
présentifie
sous la
forme
du
discours
de
l'Autre.
*
L'histoire
du
désir
s'organise
en un
discours
qui se
développe
dans
l'insensé
Dans le
discours
de
l'Autre,
quelque
chose
fait
défaut
au
sujet.
L'inconscient
est le
discours
de
l'Autre.
La
chaîne
est celle du
discours
concret.
cf:
6.22.1
La
chaîne
, le
sujet
ne
l'articule
pas en tant que
discours.
cf:
6.22.2
*
Dans le
fantasme,
le
sujet
est
présent
comme
sujet
du
discours
inconscient.
Dans le
discours
deux
chaînes
existent,
la
chaîne
refoulée
et la
chaîne
patente,
manifeste.
Le
sujet
qui
parle
ne se
soutient
que du
discours.
[
Lac66a
, p. 709]
l'
Urverdrängung
désigne
la
réduplication
du
sujet
que le
discours
provoque.
[
Lac66a
, p. 710]
Dans le
discours
de la
science,
il y a une
Verwerfung
qui
rejette
la
perspective
et la
présence
de la
Chose.
*
Le
discours
issu des
mathématiques
est un
discours
qui, par
structure,
par
définition
n'oublie
rien.
La
mémorisation
première
du
discours
mémorial
de
l'inconscient,
dont le
centre
est
absent,
est proprement le
signe
de cette
omission
fondamentale
où le
sujet
vient
à se
situer.
Le
discours
des
mathématiques
ne
saurait
procéder,
à
moins
que
rien
ne soit
oublié
5
.
134
.
Le
discours
de la
physique
est ce
discours
engendré
par la
toute-puissance
du
signifiant.
*
Il n'y aura
jamais
d'univers
que de
discours.
*
le
discours
engendre
la
dimension
de la
vérité.
La
chaîne
de
signifiants
insiste
pour
interférer
dans les
coupures
que lui
offre
le
discours
effectif.
[
Lac66a
, p. 799]
Les
effets
de
substitution
métaphorique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
synchronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Les
effets
de
combinaison
métonymique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
diachronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
La
plus
forte
coupure
dans le
discours
est la
barre
entre
signifiant
et
signifié.
[
Lac66a
, p. 801]
Le
moi
ne
s'achève
qu'à
être
articulé
comme
métonymie
de la
signification
du
je
du
discours.
[
Lac66a
, p. 809]
Le
moi
ne
s'achève
pas comme
je
du
discours.
[
Lac66a
, p. 809]
Dans
l'inconscient
est le
discours
de
l'Autre,
il s'agit
d'à propos de
, par
détermination
objective.
[
Lac66a
, p. 814]
*
Tout
discours
prend
ses
effets
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 827]
L'inconscient
a la
structure
du
discours.
[
Lac84a
, p. 12]
*
L'énonciation
ne se réduira
jamais
à
l'énoncé
d'aucun
discours.
[
Lac66a
, p. 892]
La
conscience
est la
surface
par où ce qui est au
cœur
du
sujet
reçoit
du
dehors,
ses
propres
pensées,
son
propre
discours.
Le
je
est
shifter
du
discours
lui-même.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
Un
manque
est, par le
sujet,
rencontré
dans
l'Autre,
dans
l'intimation
même
que lui
fait
l'Autre
par son
discours.
Le
désir
de
l'Autre
est
appréhendé
par le
sujet,
dans ce qui ne
colle
pas, dans les
manques
du
discours
de
l'Autre.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
Une
perte
se
produit
chaque
fois
que le
langage
essaie,
dans un
discours,
de
rendre
raison
de lui-même.
La
demande
est
essentiellement
ce en quoi le
discours
s'inscrit
au
lieu
de
l'Autre.
*
La
demande
est
définie
comme le
discours
qui
vient
expressément
s'inscrire
au
lieu
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
L'ensemble
des
énoncés
fait
partie
de
l'univers
du
discours
qui est
situé
dans le
.
*
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même,
reste
partie
de
l'univers
du
discours.
Il y a rapprochement
entre
l'université
et
l'univers
du
discours.
Il n'est pas
tenable
de
considérer
qu'il y
ait
un
univers
du
discours.
*
L'univers
du
discours
ne se
ferme
pas.
Le
fait
qu'il n'y
ait
pas
d'univers
du
discours
connote
ce qui
manque
dans la
chaîne
signifiante.
Au
plan
écrit
il y a
non-existence
de
l'univers
du
discours.
est le
signifiant
comme
manquant
à
l'univers
du
discours.
Le
ça
est ce qui, dans le
discours
en tant que
structure
logique,
est ce qui n'est pas
je.
*
La
psychanalyse
n'est
pensable
qu'à mettre dans ses
précédents
le
discours
de la
science.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
articulé
dans le
discours
de
l'inconscient.
*
L'univers
de
discours
n'existe
pas.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
le
discours
de la
vérité.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'Autre.
La
présence
de la
dimension
de la
vérité
est
inévitable
dans
l'instauration
du
discours
analytique.
Le
discours
analytique,
c'est un
discours
soumis
à la
loi
de solliciter une
vérité
qui
parle.
En tant que
discours
non
soumis
au
principe
de
contradiction,
il y a
vérité
d'un
discours
qui
peut
dire
oui
et
non
en
même
temps
de la
même
chose.
*
L'inconscient,
c'est le
discours
de
l'Autre.
[
Lac68d
, p. 35]
L'inconscient
a une
structure
isomorphe
au
discours.
[
Lac68b
, p. 42]
Un
sujet
se
définit
comme
effet
de
discours
en ceci qu'il
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
L'effet
du
discours
du
psychanalysant
produit
de
l'objet
.
*
Il ne
saurait
y
avoir
d'univers
du
discours.
Il y a
isomorphisme
de
l'inconscient
au regard de ce qu'il en est du
discours
sur le
langage.
Le
discours
peut
parfois
être
acte
du
sujet.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
L'essence
de la
théorie
psychanalytique
est un
discours
sans
parole.
*
Il n'y a pas
d'univers
du
discours.
Il n'y a pas de
clôture
du
discours.
La
fonction
du
plus-de-jouir
apparaît
par le
fait
du
discours
parce qu'elle
démontre,
dans la
renonciation
à la
jouissance,
un
effet
du
discours
lui-même.
*
Le
discours
détient les
moyens
de
jouir
en tant qu'ils
impliquent
le
sujet.
Le
plus-de-jouir
est
produit
par le
discours,
pour qu'il
apparaisse
comme
effet.
*
C'est dans le
discours
sur la
fonction
de la
renonciation
à la
jouissance
que
s'introduit
le
terme
de
l'objet
.
Le
plus-de-jouir
est une
fonction
de la
renonciation
sous
l'effet
du
discours.
Le
champ
de
l'Autre
est ce
lieu
où
tout
discours
au
moins
se
pose.
*
Au
champ
de
l'Autre,
il n'y a pas de
possibilité
d'entière
consistance
du
discours.
L'énergétique
n'est pas
concevable
autrement que comme
conséquence
du
discours.
*
Tout
discours
se
présente
comme gros de
conséquences.
*
Tout
discours
scientifique
sur la
langue
se
présente
par
réduction
de son
matériel.
L'absolutisation
du
marché
est une
condition
pour que la
plus-value
apparaisse
dans le
discours.
*
Nul
discours
ne
peut
dire
la
vérité.
*
L'objet
est
effet
du
discours
analytique.
Le
cercle
du
discours
est
constitué
de
sémantèmes.
Un
discours
sans
parole
est
l'essence
de la
théorie
analytique.
Là où il y a
pathos
du
signifiant
sans
aucun
arrimage
encore
fait
dans le
discours
du
sujet
est un des
champs
du
sujet.
Le
sujet
dans le
discours
ne se
produit
jamais
que
divisé.
*
Dès
qu'on
tient
un
discours
ce qui
surgit,
ce sont les
lois
de la
logique.
Le
champ
de
l'Autre
est le
champ
de ce qui
s'articule
dans le
discours.
Dans les
mathématiques,
on
appelle
métalangage
le
discours
dont un
langage
veut
s'exclure.
[
Lac84b
, p. 19]
Il est de la
nature
du
discours,
non
seulement
d'être
équivoque,
mais
d'être
essentiellement
fait
du
glissement
radical
de la
signification.
Un
fait
est une affaire de
discours.
*
Il y a un
trou
dans le
discours.
*
Le
discours
existe.
L'être
parlant
est
pris
dans le
discours.
Un
discours
libéré
de la
logique
n'est pas
délié
de la
grammaire.
*
La
psychanalyse
c'est un
discours
sans
parole.
Le
discours
du
maître
se note
Le
discours
de
l'hystérique
se note
Le
discours
de
l'université
se note
Le
discours
de
l'analyste
se note
Le
discours
du
maître
indique
le
signifiant
qui
représente
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant
Dans le
discours
du
maître,
le
savoir
c'est la
part
de
l'esclave.
L'essence
du
discours
du
maître,
c'est qu'il ne
sait
pas ce qu'il
veut.
Le
savoir
du
discours
du
maître
est un tout-savoir,
situé
en
dans
Le
discours
de
l'analyste
ne se
confond
pas avec le
discours
du
psychanalysant.
L'analyste
institue
dans
l'expérience
analytique,
une
hystérisation
du
discours.
Par
l'artifice
de
l'analyse
s'introduit
structuralement
le
discours
de
l'hystérique,
Hommes
et
femmes,
quand ils se font
analyser
sont
forcés
d'en
passer
par la
loi
du
discours
de
l'hystérique.
*
Il semble que ce soit le
discours
philosophique
qui
ait
animé
le
maître
du
désir
de
savoir.
Ce qui importe à
l'hystérique
c'est que
l'autre
sache
quel
objet
précieux elle
devient
dans ce contexte de
discours.
dans le
discours
du
maître
est à la
place
de
l'esclave.
L'objet
désigne
ce que sont des
effets
de
discours.
Dans le
discours
du
maître,
occupe
la
place
de la
dominante,
de la
loi.
La
loi
est à la
place
dominante
dans le
discours
du
maître.
Dans le
discours
de
l'hystérique,
la
dominante
apparaît
sous la
forme
du
symptôme.
C'est autour du
symptôme
que
s'ordonne
le
discours
de
l'hystérique.
Dans le
discours
de
l'analyste,
la
place
dominante
est
occupée
par
l'objet
.
Dans le
discours
du
maître
le
a
fonction
de
plus-value.
Les
femmes
sont
moins
enfermées dans le
cycle
des
discours
que
l'homme,
mâle,
viril.
Dans le
travail
de la
vérité,
il n'y a de
discours
que de la
jouissance.
Dans le
discours
du
maître,
l'objet
est le
plus-de-jouir.
Les
places
dans les
quatre
discours
sont
La révolution des
discours:
Le
discours
du
maître
et le
discours
analytique
présentent une
symétrie
par
rapport
à un
point,
ce sont des
pôles
opposés.
Le
discours
du
maître
commence
avec la
prédominance
du
sujet
en tant qu'il tend à
être
identique
à son
propre
signifiant.
Le
discours
du
maître
écrit
en toutes
lettres
est ainsi:
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
Les
quatre
places
de chacun des
quatre
discours
sont:
Le
savoir
dans le
discours
de
l'hystérique
vient
à la
place
de la
jouissance.
Dans le
discours
de
l'analyste,
un
certain
savoir
est au site de la
vérité,
Dans le
champ
du
discours
du
maître,
le
père
est dès
l'origine,
castré.
C'est de ce que la
vérité
du
discours
du
maître
est
masquée
que
l'analyse
prend
son
importance.
Chaque
place
dans les
quatre
discours
ne se
distingue
que du
fonctionnement
de ce qui y
vient
de
l'articulation
à chaque
place,
Chacune des
places
dans les
quatre
discours
est une
place
d'ordre,
de
commandement.
Le
discours
du
maître
masque
la
division
du
sujet.
Le
tient
la
place
dominante
du
discours
universitaire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
c'est
l'objet
qui
vient
à la
place
du
commandement.
Le
discours
de
l'analyste
c'est
Dans le
discours
du
maître
la
liaison
fait
le
lien
du
discours
du
maître
à
l'esclave.
Dans la
partie
du
discours
du
maître,
le
fantasme
fait
barrière
à la
jouissance
du
maître.
*
Le
discours
du
maître,
en son
départ
fondamental,
exclut
le
fantasme.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
est à la
place
dite de la
vérité.
Dans le
discours
de
l'analyste,
ce qui
peut
savoir
est prié de
fonctionner
au
registre
de la
vérité.
Le
discours
de
l'analyste
interroge
le
savoir
en
fonction
de
vérité.
Le
mythe
central
du
discours
psychanalytique,
c'est le
mythe
d'Œdipe.
Dans le
discours
de
l'analyste,
pour le
psychanalyste,
le
contenu
latent
est en
Le
discours
du
maître
montre
la
jouissance
comme
venant
de
l'Autre.
Le
discours
du
maître
est
l'envers
du
discours
psychanalytique.
*
C'est du
discours
que
dépend
toute
détermination
du
sujet,
donc de
pensée.
Le
discours
du
maître
c'est aussi le
discours
du
m'être
.
Les
quatre
discours
sont des
discours
sans
parole.
Le
discours
universitaire
c'est un quart de
tour
par
rapport
au
discours
du
maître.
Les
quatre
places
du
discours
peuvent
s'écrire:
Gouverner,
éduquer,
analyser,
désirer
font
partie
du
discours
de
l'hystérique.
Dans le
discours
du
maître,
la flèche
est
marquée
de
l'impossible
qu'il y
ait
un
maître
qui
fasse
marcher son
monde.
*
C'est du
discours
de
l'analyste
que
peut
surgir
un
autre
style de
signifiant
maître.
Dans le
discours
de
l'analyste,
marque
l'impossibilité
pour le
sujet
de sa
position
de
représenter
l'agent,
la
cause
du
désir.
L'objet
au
niveau
du
discours
universitaire
vient
à la
place
de
l'exploitation.
Le
discours
universitaire
est un
discours
du
maître
perverti.
Plus le
discours
est
interprété,
plus
il se confirme
d'être
inconscient.
[
Lac70d
, p. 71]
Être
fait
sujet
d'un
discours
peut
rendre
l'être
humain
sujet
au
savoir.
[
Lac70d
, p. 85]
Le
discours
du
maître,
c'est
l'envers
du
discours
du
psychanalyste.
[
Lac70d
, p. 88]
Le
discours
universitaire,
c'est le
discours
du
maître,
mais
renforcé
d'obscurantisme.
[
Lac70d
, p. 88]
Le
passage
au
discours
de
l'hystérique
s'opère
d'un
effet
de
régression.
[
Lac70d
, p. 88]
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
de la
structure
a
place
de
vérité.
[
Lac70d
, p. 98]
Le
schéma
18.2.1
désigne
les
quatre
discours:
le
discours
du
maître,
le
discours
de
l'université,
le
discours
de
l'hystérique,
le
discours
de
l'analyste.
[
Lac70d
, p. 99]
*
Le
discours
du
maître
s'éclaire par
régression
du
discours
de
l'hystérique.
cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
*
Le
discours
de
l'université
s'éclaire de son
progrès
dans le
discours
de
l'analyste.
cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
Dans chaque
discours,
les
places
sont: cf:
18.2.1
[
Lac70d
, p. 99]
Dans le
schéma
18.2.1
sur les
quatre
discours,
les
termes
présents sont:
, le
signifiant
maître,
, le
savoir,
, le
plus-de-jouir,
, le sujet.[
Lac70d
, p. 99]
*
Le
discours
du
maître
n'est pas
l'envers
de la
psychanalyse.
Le
discours
du
maître
est là où se
démontre
la
torsion
propre
du
discours
de la
psychanalyse.
*
Il n'y a de
fait
que de
fait
du
discours.
*
Le
fait
énoncé
est
tout
ensemble
le
fait
du
discours.
Le
discours
est du
semblant.
L'économie
est
toujours
un
fait
de
discours.
Le
plus-de-jouir
est un
effet
de
discours.
Le
discours
de
l'inconscient
c'est
l'émergence
d'une certaine
fonction
du
signifiant.
C'est de ce qu'un
discours
se
centre
de son
effet
comme
impossible,
qu'il aurait quelque chance
d'être
un
discours
qui ne serait pas du
semblant.
Il est
impossible,
sans
la
référence
au
semblant,
de qualifier ce qu'il en est du
discours.
Le
discours
se
supporte
de
quatre
places
privilégiées. cf:
18.2.1
Le
discours
du
maître
existe
quand le
signifiant
maître
est en
place
d'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'université
existe
quand le
savoir
occupe
la
place
de
l'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'hystérique
existe
quand le
sujet
est en
place
de
l'agent
dans sa
division
fondatrice
de
l'inconscient.
cf:
18.2.1
Le
discours
de
l'analyste
existe
quand le
plus-de-jouir
occupe
la
place
de
l'agent.
cf:
18.2.1
Le
discours
du
maître,
par le
signifiant
en tant que
maître
,
occupe
la
place
du
semblant.
cf:
18.2.1
L'objet
est
directement
conséquence
du
discours
du
maître.
cf:
18.2.1
dans le
discours
du
maître
occupe
la
place
de la
vérité.
cf:
18.2.1
*
Le
discours,
c'est
l'artefact.
Le
discours
scientifique
ne
trouve
le
réel
qu'à ce qu'il dépende de la
fonction
du
semblant.
Ce qui est
réel,
c'est ce qui
fait
trou
dans le
semblant
articulé
qu'est le
discours
scientifique.
cf:
18.2.1
Le
du
sujet
est le
point
qui, dans le
discours
du
maître,
est
rompu.
Le
semblant
humain
est véhiculé dans un
discours.
Le
passage
à
l'acte
est le
réel
qui se
rencontre
aux
limites
du
discours.
*
Le
discours
est là, en tant qu'il
permet
l'enjeu de ce qu'il en est du
plus-de-jouir.
Jouissance
et
semblant
s'équivalent
dans une
dimension
du
discours.
Le
signifiant
à quoi se
réfère
le
discours,
évoque
un
référent.
Le
plus-de-jouir
comme la
plus-value
ne sont détectables que dans le
discours
du
capitaliste.
Le
discours
de
l'analyste
s'écrit
:
Le
discours
de
l'analyste
n'est
rien
d'autre
que la
logique
en
action.
La
fonction
définie
par le
discours
analytique
est
liée.
C'est la
fonction
du
phallus
qui est à l'œuvre dans
l'institution
du
discours
analytique.
Dans le
schéma
18.2.1
, le
discours
du
maître
comprend
:
,
,
,
,
et la
formule:
Le
discours
commence
de ce qu'il y a
béance.
*
C'est parce que le
discours
commence
que la
béance
se
produit.
Le
discours
est
impliqué
dans la
béance
et ne
peut
en
sortir.
Le
discours
universitaire,
c'est du
savoir
mis en
usage
à partir du
semblant.
Le
langage
ne rend
possible
qu'un
nombre
déterminé
de
discours.
Aucun
discours
n'élimine la
fonction
du
signifiant
maître.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
L'homme,
la
femme
sont des
faits
de
discours.
*
Il n'est
discours
que de
semblant.
L'écriture
donne
accès
à
toutes
les
jouissances
qui, de
part
le
discours,
s'avèrent
s'ouvrir
à
l'être
parlant.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
Le
discours
analytique
s'instaure
de la
restitution
de la
vérité
à
l'hystérique.
Les
discours
du
maître,
universitaire,
de
l'hystérique,
de
l'analyste
ont la
propriété
de
toujours
avoir
leur
point
d'ordonnance,
d'être
à partir du
semblant.
cf:
18.2.1
5.26.3
Le
signifiant
maître
du
discours
analytique
c'est le
nom-du-père.
Le
rapport
sexuel
détermine
tout
ce qui
s'élabore
d'un
discours
dont la
nature
est
d'être
un
discours
rompu.
Le
discours
analytique
se
tient
à la
frontière
entre
la
vérité
et le
savoir.
On
peut
parler
de
rapport
quand un
discours
l'établit,
et quand ce
rapport,
on
l'énonce.
*
Le
discours
universitaire
se
constitue
de
faire
du
savoir
un
semblant.
*
Le
discours
hystérique,
c'est le
discours
scientifique
lui-même.
*
Le
discours
de la
connaissance
est une
métaphore
sexuelle.
Le
réel
se
situe
dans une
béance
irréductible
au
discours
logique.
Le
discours
naïf
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Le
sophiste
s'en
prend
au
discours.
La
logique
c'est
l'art
de
produire
une
nécessité
de
discours.
Le
sens
du
discours
reste
voilé.
Ce qui
constitue
le
discours
c'est
l'absence
de
sens.
La
nécessité
logique
est
l'art
de
produire
une
nécessité
de
discours.
La
nécessité
est
toujours
le
fait
d'un
discours.
Je
te
demande
de me
refuser
ce que
je
t'offre,
parce que ce n'est pas
ça,
fonde
le
discours
de
l'analysant.
Dans le
discours
du
maître,
le
signifiant
maître
n'existe
que grâce au
savoir
de
l'esclave
.
Le
signifiant
se
trouve
au
niveau
de la
production
dans le
discours
analytique.
Le
discours
analytique
donne
accès
au
réel
par le
symbolique.
Il ne s'agit pas dans le
discours
analytique
d'un
discours
scientifique,
mais d'un
discours
dont la
science
fournit le
matériel.
Le
discours
analytique
se
caractérise
de
situer
l'objet
à la
place
du
semblant.
La
position
du
semblant
n'est
tenable
qu'au
niveau
du
discours
scientifique.
La
place
du
semblant
est
tenue
différemment dans le
discours
universitaire
et
psychanalytique.
Le
discours
analytique
n'est pas
ontologique.
La
vérité,
ça
implique
le
discours.
*
Le
discours
comme tel, est
toujours
discours
du
semblant.
Le
discours
du
maître
est le
premier
qui a
surgi.
Dans le
discours
analytique
il n'est plus
question
de
corps.
*
Il n'y a de
discours
sur
l'origine
qu'à
traiter
de
l'origine
d'un
discours.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
L'amour,
c'est le
signe
qu'on
change
de
discours.
cf:
18.2.1
Dans le
discours
psychanalytique,
il y a
toujours
émergence,
à chaque
passage,
d'un
discours
à un autre. cf:
18.2.1
Les
places
occupées dans chaque
discours
sont
l'agent,
la
vérité,
l'autre,
la
production,
qui se
relationnent
ainsi : cf:
18.2.1
Le
graphe
18.2.1
décrit les
quatre
discours.
La
notion
de
discours
est à
prendre
comme
lien
social
fondé
sur le
langage.
*
Le
discours
de
l'analyste
n'est pas le
scientifique.
[
Lac81a
, p. 3]
*
Le
sens
d'un
discours
ne se
produit
jamais
que d'un
autre.
[
Lac81a
, p. 3]
C'est de la
logique
que le
discours
psychanalytique
touche au
réel
à le
rencontrer
comme
impossible.
[
Lac73a
, p. 5]
C'est dans
l'analyse
que
l'inconscient
s'ordonne
en
discours.
[
Lac73a
, p. 9]
*
Du
discours
psychanalytique,
un
organe
se
fait
le
signifiant.
[
Lac73a
, p. 12]
Le
discours
psychanalytique
est celui qui
peut
fonder
un
lien
social
nettoyé
d'aucune
nécessité
de groupe. [
Lac73a
, p. 31]
*
L'inconscient
est un
fait
en tant qu'il se
supporte
du
discours
même
qui
l'établit.
[
Lac73a
, p. ]
Le
sens
se
produit
de la
traduction
d'un
discours
dans un
autre.
[
Lac73a
, p. 36]
Le
prolétaire
est le
sujet
du
discours
du
capitaliste.
Ce qui
distingue
le
discours
du
capitaliste
c'est que le
sujet
est le
prolétaire.
Dans le
discours
du
capitaliste
il y a
rejet
de la
castration.
Dans la
psychanalyse
il s'agit de
langage,
c'est un
nouveau
discours.
Le
discours
du
maître
c'est le
discours
sur le
maître.
Le
discours
de
l'analyste
c'est le
discours
sur
l'analyste
en tant
qu'objet
.
L'objet
c'est ce par quoi
l'être
parlant,
quand il est
pris
dans des
discours,
se
détermine.
L'objet
métonymique
est ce qui court
tout
au long de ce qui se déroule comme
discours.
Le
signifié
d'un
signifiant
vient
toujours
de la
place
où le
même
signifiant
occupe
un
autre
discours.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
Le
discours
de la
science
est
insertion
du
langage
sur le
réel
mathématique.
Ce n'est qu'avec le
discours
analytique
qu'un
universel
peut
trouver
dans
l'existence
de
l'exception,
son
fondement
véritable.
Comprendre,
c'est
être
toujours
compris
soi-même
dans les
effets
du
discours.
*
C'est dans la
mesure
où elle converge vers un
signifiant,
qui en
émerge,
que la
névrose
va
s'ordonner
selon le
discours
dont les
effets
ont
produit
le
sujet.
L'opération
de la
névrose
c'est
l'opération
du
discours
analytique.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
Le
discours
universitaire
se
définit
de ce que le
savoir
est mis en
position
de
semblant.
Le
psychanalyste
est mis, par le
discours
qui le
conditionne,
dans une
position
difficile.
Dans le
discours
analytique
il ne s'agit que de ce qui se
lit.
Le
discours
analytique
est ce
mode
de
rapport
qui est
fondé
seulement
de ce qui
fonctionne
comme
parole.
Le
signifiant
se
réfère
à un
discours.
*
Il y a un
certain
effet
de
discours
et qui
s'appelle
l'écriture.
La
condition
de
l'écrit,
c'est qu'il se
soutienne
d'un
discours.
La
lettre
est
effet
de
discours.
Ce dont il s'agit dans le
discours
analytique,
c'est
toujours,
à ce qui
s'énonce
de
signifiant,
de
donner
une
autre
lecture
que ce qu'il
signifie.
L'amour
est au
cœur
du
discours
philosophique.
Le
discours
philosophique
est une
variante
du
discours
du
maître.
C'est de
l'effet
du
signifiant
qu'il s'agit dans le
discours
hystérique.
Le
discours
est une
forme
de
lien
social.
La
personne
c'est
toujours
le
discours
du
maître.
La
situation
qui
résulte
du
discours
analytique
vise
au
sens.
Le
discours
analytique
fait
surgir
que le
sens
est de
semblant.
Un
discours,
c'est ce qui
détermine
une
forme
de
lien
social.
Dans le
discours
analytique
on
ne
fait
que
parler
d'amour.
Dans le
discours
analytique,
le
se
soutient
de ce
,
savoir
en
place
de la
vérité.
cf:
L'inconscient
n'
ex-siste
qu'à un
discours.
[
Lac74b
, p. 26]
Le
discours
analytique,
c'est le
lien
social
déterminé
par la
pratique
d'un
analyse.
[
Lac74b
, p. 27]
*
Le
discours
scientifique
et le
discours
hystérique
ont presque la
même
structure.
[
Lac74b
, p. 36]
Le
discours
hystérique
manifeste
un
réel
proche
du
discours
scientifique.
[
Lac75d
, p. 15]
Le
lien
social
est
fondé
par un
discours.
C'est le
discours
analytique
qui
fait
coller
à un
savoir.
Le
discours
analytique
réserve
la
place
de la
vérité.
Le
discours
du
maître
repose
sur le
,
le
commandement,
l'impératif.
Le
discours
analytique
a sa
place
d'
ex-sistence
.
Le
discours
du
maître
fait
signifiant
Un
du
phallus.
La
vérité
est, dans le
discours
du
maître,
comme
supposée
dans le
sujet.
C'est en tant que le
discours
du
maître
règne, que le
se
divise
du
symbole
et du
symptôme.
Le
discours
universitaire
et le
discours
scientifique
ne se
confondent
pas.
Il y a un
rapport
entre
le
discours
scientifique
et le
discours
hystérique.
Le
discours
scientifique
ne se
distingue
du
discours
hystérique
que par
l'ordre
dans lequel se répartissent les
fonctions
en cause.
Le
discours
du
maître
est le
discours
le
moins
vrai.
Le
discours
du
maître
est le
discours
le
plus
impossible.
Le
discours
du
maître
est
menteur
en cela qu'il
atteint
le
réel.
Le
discours
sert
d'abord
à
ordonner.
*
Tout
discours
a un
effet
de
suggestion,
il est
hypnotique.
*
Il n'est pas de
savoir
sans
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
Un
savoir
en
position
de
vérité
ne se
conçoit
que d'une
structure
de
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
Le
discours
de
l'université
est
déségrégatif.
[
Lac77b
, p. 8]
Le
discours
de
l'université
véhicule le
discours
du
maître.
[
Lac77b
, p. 8]
*
Aucun
discours
n'est
émis
de quelque part qu'à y
être
retour
du
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac77b
, p. 10]
Seul
le
discours
analytique
ne se
prend
pas pour la
vérité.
[
Lac75g
]
Le
discours
analytique
n'enseigne
rien.
[
Lac75g
]
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5.4 D
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Jacques B. Siboni
2024-11-08