Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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trou
Dans le
réel,
il y a un
trou.
Dans la
psychose,
c'est avec la
réalité
extérieure
qu'il y a eu, à un
moment,
trou
et
rupture.
Dans la
psychose,
la
réalité
est pourvue d'un
trou
qui est ensuite
comblé
avec un
monde
fantastique.
Dans les
psychoses
il y a un
trou,
une
déficience
dans le
symbolique.
Le
sexe
féminin
a un
caractère
d'absence,
de
vide,
de
trou.
La
psychose
consiste
en un
manque
quelque part, un
trou
au
niveau
du
signifiant
comme tel.
La
privation
c'est un
manque
réel,
c'est un
trou.
Le
trou
est une
absence
réelle.
La
privation
est un
trou
réel.
Pour
faire
un
trou
réel
dans le
réel,
il faut y
introduire
un
objet
symbolique.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
Dans la
psychose,
le
sujet
s'est
reconstruit
autour du
trou
où le
support
de la
chaîne
signifiante
manque
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 564]
Le
défaut
du
nom-du-père
à la
place
de
l'Autre
ouvre
un
trou
dans le
signifié.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
trou
dans le
réel
provoqué par une
perte,
un
deuil
se
trouve,
par cette
fonction,
dans une
relation
inverse
de la
Verwerfung.
Le
manque
associé
à la
privation
est un
trou
réel.
cf:
5.9.1
Il y a
identité
entre
le
façonnement
du
signifiant
et
l'introduction
dans le
réel
d'une
béance,
d'un
trou.
et
participent
de cette
offre
au
signifiant
que
constitue
le
trou
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 806]
Le
sujet
n'est
rien
que le
trou
par quoi
tout
Autre
est
séparé
de la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 15]
Le
trou
central
du
tore
n'est pas un
véritable
intérieur,
il suggère quelque
chose
de
l'ordre
du
passage
de
l'intérieur
à
l'extérieur.
Le
trou
central
du
tore
est un
trou
courant d'air
.
L'oubli
freudien
c'est un
trou
pour les
phonèmes.
Le
nom
propre
est
fait
pour
combler
les
trous,
pour
donner
une
obturation,
une
fermeture.
Un
trou
est à
l'origine
du
trait
unaire.
Il y a
trou
du
sujet
de
l'énonciation.
La
science
est un
savoir
au
milieu
duquel s'étale le
trou
du
manque
de
l'objet
.
Il n'y a quant au
signifiant,
c'est-à-dire à la
structure,
aucun
autre
support
que le
trou
qu'elle
constitue
par son
bord.
*
L'homme
est
effectivement
le
premier
à
supporter
la
réalité
de ce
trou
introduit
dans la
jouissance.
La
position
de
l'analyste
se
tient
dans le
vide,
le
trou,
la
place
du
désir.
Le
lieu
de la
vérité
est un
lieu
troué.
L'objet
est le
trou
qui se
désigne
au
niveau
de
l'Autre.
*
Il y a un
trou
dans le
discours.
*
Le
pervers
est celui qui se consacre à
boucher
ce
trou
dans
l'Autre.
Ce qui est
réel,
c'est ce qui
fait
trou
dans le
semblant
articulé
qu'est le
discours
scientifique.
cf:
18.2.1
*
Un
tore
n'a de
trou,
central
ou
circulaire,
que pour qui le
regarde
en
objet,
non
pour qui en est le
sujet.
[
Lac73a
, p. 42]
L'Autre
comme
lieu
ne
tient
pas, car il y a en ce
lieu,
une
faille,
un
trou,
un
lieu
de
perte.
L'Un
n'enferme
rien
qu'un
trou.
Le
trou
dans le
réel
c'est là où il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Dans le
réel
il y a un
trou.
L'inhibition
c'est ce qui
s'arrête
de
s'immiscer
dans une
figure
de
trou
du
symbolique.
*
Pour que quelque
chose
existe
il faut qu'il y
ait
quelque part un
trou.
La
jouissance
ex-siste
au
réel
comme
faisant
trou.
L'
ex-sistence
se
définit,
se
supporte
de ce qui dans chacun de ces
termes,
R.S.I.
fait
trou.
La
sexualité
fait
trou
dans le
réel.
[
Lac74a
, p. 10]
Il y a dans le
réel
quelque
chose
qui
fait
trou.
*
Le
trou
du
symbolique
est inviolable.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est
troué.
Ça
fait
trou
en un
point
de
l'être,
du
parlêtre.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est affligé de la
seule
Chose
qui
fasse
trou,
le
symbolique.
*
Le
signifiant
fait
trou.
le
couple
est
noué
par le
trou,
par
l'interdit
de
l'inceste.
C'est le
trou
du
symbolique
en quoi
consiste
l'interdit
de
l'inceste.
Le
départ
de
tout
nœud
social
se
constitue
du
non-rapport
sexuel
comme
trou.
Dans
l'articulation
du
symptôme
au
symbole
il n'y a qu'un
faux
trou.
Le
langage
est
lié
à quelque
chose
qui, dans le
réel,
fait
trou.
C'est de cette
fonction
du
trou,
que le
langage
opère
sa
prise
sur le
réel.
La
libido
ne
peut
être
que
participant
du
trou.
Le
symbolique
comporte
un
trou.
Le
trou
est
l'essentiel
de ce qu'il en est du
symbolique.
Le
symbolique
ça a affaire avec le
trou.
*
Il n'y a que la
lettre
qui
fasse
trou.
*
La droite
infinie
a pour vertu
d'avoir
le
trou
tout
autour.
*
Le
corps
a des
trous.
*
Un
tore
fait
trou.
[
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2024-11-08