trou

$0124025_{1954}$
Dans le réel, il y a un trou.
$0304004_{1955}$
Dans la psychose, c'est avec la réalité extérieure qu'il y a eu, à un moment, trou et rupture.
$0304006_{1955}$
Dans la psychose, la réalité est pourvue d'un trou qui est ensuite comblé avec un monde fantastique.
$0312046_{1956}$
Dans les psychoses il y a un trou, une déficience dans le symbolique.
$0314020_{1956}$
Le sexe féminin a un caractère d'absence, de vide, de trou.
$0316013_{1956}$
La psychose consiste en un manque quelque part, un trou au niveau du signifiant comme tel.
$0402030_{1956}$
La privation c'est un manque réel, c'est un trou.
$0402040_{1956}$
Le trou est une absence réelle.
$0413004_{1957}$
La privation est un trou réel.
$0415002_{1957}$
Pour faire un trou réel dans le réel, il faut y introduire un objet symbolique.
$0416003_{1957}$
Le tableau 4.16.1 des relations d'objet, le père imaginaire est l'agent du manque de la privation par trou réel du phallus symbolique.
$0021049_{1958}$
Dans la psychose, le sujet s'est reconstruit autour du trou où le support de la chaîne signifiante manque au sujet. [Lac66a, p. 564]
$0021063_{1958}$
Le défaut du nom-du-père à  la place de l'Autre ouvre un trou dans le signifié. [Lac66a, p. 577]
$0618004_{1959}$
Le trou dans le réel provoqué par une perte, un deuil se trouve, par cette fonction, dans une relation inverse de la Verwerfung.
$0619003_{1959}$
Le manque associé à la privation est un trou réel. cf:5.9.1
$0709013_{1960}$
Il y a identité entre le façonnement du signifiant et l'introduction dans le réel d'une béance, d'un trou.
$0030025_{1960}$
$A$ et $s (\ensuremath{A}\xspace )$ participent de cette offre au signifiant que constitue le trou dans le réel. [Lac66a, p. 806]
$0040013_{1960}$
Le sujet n'est rien que le trou par quoi tout Autre est séparé de la jouissance. [Lac84a, p. 15]
$0920003_{1962}$
Le trou central du tore n'est pas un véritable intérieur, il suggère quelque chose de l'ordre du passage de l'intérieur à l'extérieur.
$0921003_{1962}$
Le trou central du tore est un trou courant d'air.
$1204004_{1965}$
L'oubli freudien c'est un trou pour les phonèmes.
$1204010_{1965}$
Le nom propre est fait pour combler les trous, pour donner une obturation, une fermeture.
$1302005_{1965}$
Un  trou est à l'origine du trait unaire.
$1302011_{1965}$
Il y a trou du sujet de l'énonciation.
$1303002_{1965}$
La science est un savoir au milieu duquel s'étale le trou du manque de l'objet $a$.
$1419032_{1967}$
Il n'y a quant au signifiant, c'est-à-dire à la structure, aucun autre support que le trou qu'elle constitue par son  bord.
$1423010_{1967}$
* L'homme est effectivement le premier à supporter la réalité de ce trou introduit dans la jouissance.
$1504010_{1967}$
La position de l'analyste se tient dans le vide, le trou, la place du désir.
$1603032_{1968}$
Le lieu de la vérité est un lieu troué.
$1603033_{1968}$
L'objet $a$ est le trou qui se désigne au niveau de l'Autre.
$1611002_{1969}$
* Il y a un trou dans le discours.
$1616016_{1969}$
* Le pervers est celui qui se consacre à boucher ce trou dans l'Autre.
$1802019_{1971}$
Ce qui est réel, c'est ce qui fait trou dans le semblant articulé qu'est le discours scientifique. cf: 18.2.1
$0058048_{1972}$
* Un  tore n'a de trou, central ou circulaire, que pour qui le regarde en objet, non pour qui en est le sujet. [Lac73a, p. 42]
$2004006_{1973}$
L'Autre comme lieu ne tient pas, car il y a en ce lieu, une faille, un trou, un lieu de perte.
$2012025_{1973}$
L'Un n'enferme rien qu'un trou.
$2108007_{1974}$
Le trou dans le réel c'est là où il n'y a pas de rapport sexuel.
$2108010_{1974}$
Dans le réel il y a un trou.
$2202022_{1974}$
L'inhibition c'est ce qui s'arrête de s'immiscer dans une figure de trou du symbolique.
$2203013_{1974}$
* Pour que quelque chose existe il faut qu'il y ait quelque part  un trou.
$2203015_{1974}$
La jouissance ex-siste au réel comme faisant trou.
$2203016_{1974}$
L'ex-sistence se définit, se supporte de ce qui dans chacun de ces termes, R.S.I. fait trou.
$0063002_{1974}$
La sexualité fait trou dans le réel. [Lac74a, p. 10]
$2204002_{1975}$
Il y a dans le réel quelque chose qui fait trou.
$2208011_{1975}$
* Le trou du symbolique est inviolable.
$2211005_{1975}$
L'inconscient c'est le réel en tant qu'il est troué.
$2211007_{1975}$
Ça fait trou en un point de l'être, du parlêtre.
$2211008_{1975}$
L'inconscient c'est le réel en tant qu'il est affligé de la seule Chose qui fasse trou, le symbolique.
$2211009_{1975}$
* Le signifiant fait trou.
$2211019_{1975}$
le couple est noué par le trou, par l'interdit de l'inceste.
$2211020_{1975}$
C'est le trou du symbolique en quoi consiste l'interdit de l'inceste.
$2211022_{1975}$
Le départ de tout nœud social se constitue du non-rapport sexuel comme trou.
$2301026_{1975}$
Dans l'articulation du symptôme au symbole il n'y a qu'un faux trou.
$2302008_{1975}$
Le langage est lié à quelque chose qui, dans le réel, fait trou.
$2302009_{1975}$
C'est de cette fonction du trou, que le langage opère sa prise sur le réel.
$2302018_{1975}$
La libido ne peut être que participant du trou.
$2302021_{1975}$
Le symbolique comporte un trou.
$2303004_{1975}$
Le trou est l'essentiel de ce qu'il en est du symbolique.
$3602006_{1975}$
Le symbolique ça  a affaire avec le trou.
$3604008_{1975}$
* Il n'y a que la lettre qui fasse trou.
$2311009_{1976}$
* La droite infinie a pour vertu d'avoir le trou tout autour.
$2311014_{1976}$
* Le corps a des trous.
$2505001_{1978}$
* Un  tore fait trou. [Lac78]

Jacques B. Siboni 2024-11-08