Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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Index
autre
C'est
d'abord
dans
l'autre
que le
sujet
s'identifie.
[
Lac66a
, p. 181]
L'action
psychanalytique
suppose
un
sujet
qui se
manifeste
comme tel à
l'intention
d'un
autre.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Je
est un
autre.
[
Lac66a
, p. 118]
*
La
satisfaction
du
désir
humain
n'est
possible
que
médiatisée
par le
désir
et le
travail
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 121]
Le
je
s'objective
dans la
dialectique
de
l'identification
à
l'autre.
[
Lac66a
, p. 94]
Tout
le
savoir
humain
est
médiatisé
par le
désir
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 98]
L'inconscient
du
sujet,
c'est le
discours
de
l'autre
5
.
24
. [
Lac66a
, p. 265]
Le
désir
de
l'homme
trouve
son
sens
dans le
désir
de
l'autre
parce que son
premier
objet
est
d'être
reconnu
par
l'autre.
[
Lac66a
, p. 268]
Le
langage
du
symptôme
a le
caractère
universel
d'une
langue
qui serait
entendue
dans
toutes
les
autres
langues.
[
Lac66a
, p. 293]
*
Dans un
langage
les
signes
prennent
leur
valeur
de leur
relation
les uns aux
autres.
[
Lac66a
, p. 297]
Le
désir
du
sujet
cessant
d'être
infans
est de
devenir
le
désir
d'un
autre
qui le
domine.
[
Lac66a
, p. 319]
La
parole
est
médiation
entre
le
sujet
et
l'autre.
L'expérience
analytique
cherche
à
révéler
l'autre
face
de la
parole.
Le
moi
est
référentiel
à
l'autre.
Le
moi
se
constitue
par
rapport
à
l'autre.
Le
moi
est
corrélatif
à
l'autre.
La
relation
à
l'autre
contient
toujours
en elle-même
l'élément
fondamental
originel
de
dénégation.
*
L'introjection
est
toujours
introjection
de la
parole
de
l'autre.
L'inconscient
est le
discours
de
l'autre.
5
.
25
La
parole
pleine
vise,
forme
cette
vérité
s'établissant dans la
reconnaissance
de l'un par
l'autre.
Par une
parole
pleine,
un des
sujets
se
trouve
après,
autre
qu'il
n'était
avant.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
C'est dans le
corps
de
l'autre
que
l'être
humain
reconnaît
son
désir.
Le
symbole
introduit
un
tiers,
élément
de
médiation,
qui
fait
passer
sur un
autre
plan
les
deux
personnages
en
présence.
Le
milieu
vital
de
l'homme
est le
milieu
symbolique
du
rapport
du
moi
à
l'autre.
Je
est un
terme
verbal
d'usage
appris
en une certaine
référence
à
l'autre.
Le
je
se
constitue
dans une
relation
où
l'autre
manifeste
des
ordres,
des
désirs
qu'il
doit
reconnaître.
L'enfant
apprend
à
reconnaître
le
désir
en tant
qu'inversé
dans
l'autre.
Le
désir
est
ressenti
et
vu,
projeté dans
l'autre,
aliéné
sur le
plan
de la
relation
imaginaire
du
stade
spéculaire.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'autre,
qui est le
désir
de
l'homme,
entre
dans la
médiatisation
du
langage.
C'est dans
l'autre,
et par
l'autre,
que le
désir
va être
nommé,
reconnu,
va
entrer
dans la
relation
symbolique
du
je
et du
tu.
Le
mot
ou le
concept
n'est
point
autre
chose
que le
mot
dans sa
matérialité,
pour
l'être
humain.
C'est sur le
plan
symbolique
que les
désirs
vont être
ré-assumés
par le
sujet,
après leur
passage
dans
l'autre
spéculaire.
La
relation
sadique
ne se
soutient
que pour autant que
l'autre
est justement à la
limite
où
l'autre
reste
un
sujet.
Le
désir
humain
est
tout
entier
exposé
au
désir
de
l'autre.
*
Le
désir
propre
du
sujet
n'est
jamais
que le
désir
de
l'autre.
La
signification
ne
renvoie
jamais
qu'à elle-même, c'est à dire à une
autre
signification.
Derrière
ce que
dit
un
discours,
il y a ce qu'il
veut
dire;
et
derrière
ce qu'il
veut
dire,
il y a
encore
un
autre
vouloir
dire.
Le
discours
de
l'inconscient,
c'est le
discours
de
l'autre.
Toute
signification
ne
fait
jamais
que
renvoyer
à une
autre
signification.
Le
phonème
est un
son
s'opposant
à un
autre
son.
*
L'amour
au
sens
du
désir
d'être
aimé
est
essentiellement
tentative
de
capture
de
l'autre
dans
soi-même
objet,
pris
en tant
qu'objet.
Il n'y a pas de
maître
autre
que le
maître
absolu,
la
mort.
*
Je
est un
autre.
*
Je
est un
autre.
Le
moi
est
impossible
à
distinguer
des
captations
imaginaires
qui le
constituent
par un
autre
et pour un
autre.
[
Lac66a
, p. 374]
C'est la
dialectique
du
moi
et de
l'autre
qui
fait
l'impasse
du
névrosé.
[
Lac66a
, p. 377]
*
Il n'y a dans
l'analyse
d'autre
résistance
que celle de
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 377]
*
L'inconscient
est le
discours
de
l'autre.
5
.
26
*
Le
discours
de
l'autre
5
.
27
est le
super-ego.
Pour qu'il y
ait
relation
d'objet,
il faut déjà qu'il y
ait
une
relation
du
moi
à
l'autre.
La
relation
du
moi
à
l'autre
est la
condition
primordiale
de
toute
espèce
d'objectivation
du
monde
extérieur.
Il y a
toujours,
dans la
névrose
les
mécanismes
de
défense
qui sont
liés
à la
relation
narcissique
du
moi
à
l'autre.
Les
mécanismes
de
défense
sont
toujours
plus
ou
moins
liés
à la
relation
narcissique
du
moi,
car elle est
strictement
structurée
sur le
rapport
à
l'autre,
l'identification
possible
avec
l'autre.
Dans
toute
relation
narcissique
le
moi
est
l'autre
et
l'autre
est
moi.
Il n'y a
aucune
espèce
d'autre
moyen
d'appréhender
le
réel
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
*
L'inconscient
c'est le
discours
de
l'autre.
C'est parce qu'il y a un
inconscient,
un
au-delà
de
l'ego,
un
sujet
qui
parle
et pourtant
inconnu
du
sujet,
qu'il faut
supposer
un
autre
principe.
Le
moi
est un
autre
qui est son
image.
Le
moi
est un
autre
avec lequel il est en
rapport
spéculaire.
L'Autre
et
l'autre
sont
distincts.
L'autre
est le
moi.
*
Le
langage
est aussi bien
fait
pour nous
fonder
dans
l'autre
que pour nous
empêcher
radicalement
de le
comprendre.
*
Ce qui est du
moi
est
toujours
perçu
essentiellement
et
toujours
approprié par
l'intermédiaire
d'un
autre
spéculaire.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
Un
sujet
se
lie
à un
autre
sujet
dans un
pacte
symbolique.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est
l'autre.
L'autre
est
essentiellement
couplé avec le
moi.
L'autre
est
toujours
dans une
relation
réflexive,
interchangeable.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
et le
,
le
moi
et
l'autre
sont les substrats
imaginaires.
Dans
l'ordre
symbolique,
tout
élément
vaut en tant
qu'opposé
à un
autre.
La
signification
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
La
parole
c'est
avant
tout
parler
à
d'autres.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre,
sous une
forme
inversée.
Parler
à
l'autre,
c'est
faire
parler
l'Autre
comme tel.
La
parole
parle
de
l'autre
en tant
qu'objet.
*
Le
moi
humain,
comme tel, c'est
l'autre.
Le
premier
abord
que le
sujet
humain
a avec les
objets,
c'est de
l'objet
en tant qu'il est
vu
comme
objet
du
désir
de
l'autre.
L'objet
est
intéressant
dans la
fonction
où il est
objet
du
désir
de
l'autre.
L'autre,
c'est
l'autre
qui est
moi.
Dans la
psychose,
le
sujet
parlant
ne
parle
pas à
l'autre,
ni de
l'autre,
mais
parle
avec
l'Autre.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre
sous une
forme
inversée.
Quand
l'Autre
est
exclu
véritablement,
ce qui
concerne
le
sujet
est
dit
par
l'autre
réellement.
*
Il y a une
altérité
qui est de la
nature
du
symbolique.
Le
névrosé
dans le
refoulement,
fabrique
une
autre
langue
avec ses
symptômes.
*
Le
désir
de
l'homme
s'aliène
dans le
désir
de
l'autre
5
.
28
. [
Lac66a
, p. 343]
Chaque
élément
du
réseau
du
signifiant
prend
son
emploi
exact
d'être
différent
des
autres.
[
Lac66a
, p. 414]
L'unité
de
signification
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 414]
Dans la
situation
analytique
il y a
deux
sujets,
pourvus chacun de
deux
objets,
le
moi
et
l'autre.
[
Lac66a
, p. 429]
L'autre
dans la
situation
analytique
est
l'indice
d'un
initial.
[
Lac66a
, p. 429]
Dans la
situation
analytique,
chaque
est
pour
l'autre
participant.
[
Lac66a
, p. 429]
Dans la
situation
analytique,
chaque
moi
est
autre
pour
l'autre
participant.
[
Lac66a
, p. 429]
L'analyste
fait
le
mort
en
annulant
sa
propre
résistance,
là où il est
l'autre.
[
Lac66a
, p. 430]
Quand
l'analyste
est
l'autre,
il est sous
l'incidence
de
l'imaginaire.
[
Lac66a
, p. 430]
L'Autre
parle
à
l'analyste,
dans le
discours
que
l'autre
tient
devant lui. [
Lac66a
, p. 430]
Le
fou
est quelqu'un qui se
passe
de la
reconnaissance
de
l'autre.
Le
moi
est un
autre.
*
Le
moi
est cette
sorte
de
maître
que le
sujet
trouve
dans un
autre.
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Dans la
psychose
on
rencontre
une
dissolution
de
l'autre
en tant
qu'identité.
Dans la
psychose,
le
refoulé
reparaît
sans
masque,
dans un
autre
lieu,
dans
l'imaginaire.
La
notion
de
défense
n'a pas
d'autre
sens
que celui de se
défendre
contre une
tentation.
*
La
signification
c'est le
discours
humain,
en tant qu'il
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
La
signification
ne vaut que pour autant qu'elle
renvoie
à une
autre
signification.
Le
sens
va
toujours
vers une
autre
signification,
vers la
clôture
de la
signification.
Il y a dans
l'analyse
autre
chose
qu'une
poussée
à
rendre
consciente..
Derrière
le petit
autre
de
l'imaginaire,
existe
un
autre
Autre.
La
défense
est
pathologique
quand elle se
produit
d'une
façon
immaîtrisée
,
par ce qui a été
censuré
dans le
discours
au
bon
niveau
et qui est
passé
dans un
autre
registre.
Le
signifiant,
en tant qu'il fait
partie
du
langage,
est un
signe
qui
renvoie
à un
autre
signe.
La
relation
imaginaire
est
liée
à
tout
le
domaine
de
l'éthnologie
5
.
29
, à la
psychologie
animale,
aux
fonctions
de la
relation
humaine,
de la
capture
par
l'image
de
l'autre.
5
.
30
La
causalité
n'est pas
autre
chose
que la
chaîne
des
signifiants.
La
notion
de
structure
se
pose
toujours
par
rapport
à une
référence
de ce qui est
cohérent
à quelque
chose
d'autre
qui lui est
complémentaire.
Le
signifiant
est un
système
corrélatif
d'éléments
qui
prennent
leur
place
synchroniquement
et
diachroniquement
les uns par
rapport
aux
autres.
Le petit
autre
est un
double
du
sujet.
*
L'hallucination
c'est un
mode
de
défense
comme les
autres.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
une
toute
autre
signification
que la
relation
d'exclusion
réciproque
que
comporte
l'affrontement
spéculaire.
La
non-acquisition
ou la
perte
de
l'Autre
entraîne,
pour le
sujet,
la
rencontre
d'un
autre
purement
imaginaire
à sa
place.
*
La
métaphore
est quelque
chose
qui est à un
autre
degré
que la
métonymie.
*
L'opposition
de la
métaphore
et de la
métonymie
correspond
strictement
aux
deux
fonctions
possibles
de
l'autre.
L'autre
est
imaginaire.
L'altérité
en
miroir
fait
dépendre
l'humain
de la
forme
du
semblable.
*
Le
verbe
est une
fonction
dans la
phrase,
et
rien
d'autre.
Le
tu
est
exactement
celui auquel
je
s'adresse
et
rien
d'autre.
Le
tu
est quelque
chose
par quoi
l'autre
est
fixé
en un
point
de la
signification.
Le
tu
n'est pas tant ce qui
désigne
l'autre
que ce qui nous
permet
d'opérer
sur lui.
Le
tu,
c'est
l'autre
tel que
je
le
fait
voir
par son
discours.
Le
signifiant,
lorsqu'il est pour
l'autre
exclu,
lorsqu'il est
appelé,
produit
à ce
moment
là la
réduction,
mais intensifiée, à la
pure
relation
imaginaire.
Le
délire
est une
perturbation
de la
relation
à
l'autre.
Le
père
n'a
d'autre
fonction
que de
représenter
celui qui est le
porteur,
le
détenteur
du
phallus.
L'autre
est un
objet
typique
du
moi.
Le
grand
Autre
est un
autre
sujet
en tant qu'il est un
sujet
capable
de
tromper.
*
La
théorie
analytique
et la
pratique
ne
peuvent
pas se
séparer,
se
dissocier
l'une de
l'autre.
Le
principe
de
plaisir
et le
principe
de
réalité
ne sont pas
détachables
l'un de
l'autre.
Le
principe
de
plaisir
et le
principe
de
réalité
s'impliquent
et
s'incluent
l'un à
l'autre
dans un
rapport
dialectique.
Une
phobie
et un
fétiche
sont
centrés
l'un et
l'autre
sur le
même
fond
d'angoisse
fondamental
comme
mesure
de
protection.
L'enfant
se sent
dépossédé
de lui-même en
s'apercevant
que ce n'est pas lui qui est
aimé
mais quelque
chose
d'autre
qui est une
image.
L'Autre
est
au-delà
même
de
l'autre
appréhendé
imaginairement.
La
perversion
a la
propriété
de
réaliser
un
certain
mode
d'accès
à cet
au-delà
de
l'image
de
l'autre
qui
caractérise
la
dimension
humaine.
La
castration
n'est
rien
d'autre
que ce qui
instaure
la
nécessité
de la
frustration.
La
frustration
est quelque
chose
dont un
humain
est
privé
par un
autre.
La
dialectique
du
narcissisme
est
essentiellement
le
rapport
moi
petit
autre.
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
L'hystérique
aborde
l'objet
homosexuel
par
identification
avec quelqu'un de
l'autre
sexe.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
*
Ce que
l'autre
donne
à
voir
en se
montrant,
c'est aussi autre
chose
que ce qu'il
montre.
L'objet
choisi
est une
sorte
d'autre
moi
dans le
sujet.
Pas
avant
le sixième mois se
produit
une
relation
à
l'image
de
l'autre
en tant qu'elle
donne
au
sujet
son
incomplétude
vécue.
Le
phallus
s'impose
parmi les
autres
images,
et d'une
façon
prévalente,
au
désir
de la
femme.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
Les
éléments
signifiants
doivent
être
définis
pour leur
articulation
avec les
autres
éléments
signifiants.
Aucun
élément
signifiant
ne
peut
être
considéré
comme
indépendant
des
autres.
L'association
métaphorique
répond
à un
mot
par un
autre
qui
peut
lui être
substitué.
La
différence
des
sexes
s'exprime
comme
Penis-Neid
d'un
côté
et
complexe
de
castration
de
l'autre.
La
sublimation
déplace
le
dernier
et
radical
rapport
à une
altérité
essentielle
pour la
faire
habiter
par une
relation
de
mirage.
Dans la
psychose
il y a
réduction
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre.
La
disparition
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre
donne
au
psychosé
la
difficulté
toute
difficulté
à se
maintenir
dans le
réel
humain,
symbolique.
L'objet
du
désir
est
objet
du
désir
de
l'autre.
La
métaphore
est la
fonction
que
prend
un
signifiant
en tant qu'il est
substitué
à un
autre,
latent,
dans la
chaîne,
en
simultanéité
positionnelle.
Dans la
métaphore
un
signifiant
est
substitué
à un
autre
dans une
chaîne
signifiante,
.
Il y a
toujours
au
début
du
trait
d'esprit
un
appel
à
l'autre
comme
lieu
de la
vérification.
La
demande
c'est ce quelque
chose
d'un
besoin
qui
passe
au
moyen
du
signifiant
qui est
adressé
à
l'autre.
La
demande
est quelque
chose
qui par
soi-même
est relative à
l'autre.
Le
mécanisme
de la
demande
est le
fait
que
l'autre,
par
nature,
s'y
oppose.
Dans la
création
du
signifié,
il y a
création
d'un
désir
qui n'est pas
simple
traduction
du
besoin,
qui est
autre
que le
besoin.
La
demande
est
reprise
par
l'autre
et
doit
être
essentiellement
insatisfaite.
Le
chemin
du
désir
passe
nécessairement
pas
l'autre.
*
Il n'est
aucune
signification
qui se
soutienne
sinon du
renvoi
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 498]
La
métaphore
jaillit
entre
deux
signifiants,
dont l'un s'est
substitué
à
l'autre,
en
prenant
sa
place
dans la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 507]
La
chaîne
signifiante
est
faite
d'anneaux
dont le
collier
se scelle dans
l'anneau
d'un
autre
collier
fait
d'anneaux.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
désir
arrive
comme
signifié
autre
que ce qu'il
était
au
départ.
Tu
est le
signifiant
de
l'appel
à
l'autre.
*
Un
nom
n'est
jamais
qu'un
signifiant
comme les
autres.
Une
métaphore
c'est un
signifiant
qui
vient
à la
place
d'un
autre
signifiant.
Le
père,
en tant que
signifiant
substitué
à un
autre
signifiant,
est
l'unique
ressort
en tant qu'il
intervient
dans le
complexe
d'Œdipe.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
Le
trait
d'esprit
nécessite
que quelque
chose
se
réalise
au
niveau
de
l'autre.
La
demande
implique
l'autre,
celui de qui elle est
exigée.
Le
désir
infantile
essentiel
est le
désir
du
désir
de
l'autre,
ou le
désir
d'être
désiré.
Il y a la
dépendance
primordiale
du
sujet
par
rapport
au
désir
de
l'autre.
Le
désir
du
sujet
est
soumis
au
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'autre
c'est le
désir
de la
mère.
L'extérieur,
pour le
sujet
est
donné
d'abord
comme le
lieu
où se
situe
le
désir
de
l'autre.
Dans la
formule
5.17.1
et
5.17.2
le
petit
c'est le
désir,
dans la
formule
5.17.1
et
5.17.3
, le
c'est le
sujet,
c'est le
petit
autre,
c'est
l'autre
en tant qu'il est notre
semblable.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Toute
identification
qui est
identification
aux insignes de
l'autre
dépend
de la
demande
et des
rapports
de
l'autre
au
désir.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
La
demande
signe
la
présence
de
l'autre.
La
castration
est
d'abord
rencontrée
dans
l'autre.
L'autre
scène
est
nécessaire
à la
satisfaction
de
l'homme,
pour autant
qu'étant
un
être
parlant,
ses
satisfactions
doivent
passer
par
l'intermédiaire
de la
parole.
*
Installé dans la
dialectique
première,
prégénitale
de la
demande,
le
sujet
a affaire à
l'autre
désir.
Le
désir
se
situe
au-delà
du
premier
autre
auquel il
adressait
sa
demande.
Le
désir
du
sujet
dépend
entièrement
de la
demande
de
l'autre.
La
présence
et la
dimension
de
l'autre
désir
se
situe
au-delà
de ce que le
sujet
demande,
au-delà
de ce que
l'autre
demande
au
sujet.
Le
désir
du
sujet
est
d'abord
repéré
dans
l'existence
comme telle du
désir
de
l'autre,
en tant que
distinct
de la
demande.
L'hystérique
est le
sujet
pour lequel la
constitution
de
l'autre
en tant que
grand
Autre
est ce avec quoi il est
difficile
d'établir
la
relation
qui lui
permet
à lui,
hystérique
de garder sa
place
de
sujet.
Le
sujet
hystérique
se
constitue
presque
tout
entier
à partir du
désir
de
l'autre.
Le
phallus
est ce
signifiant
qui
marque
ce que
l'autre
désire.
C'est dans la
mesure
où
l'autre
est
marqué
par le
signifiant,
que le
sujet
doit
reconnaître
que lui aussi est
marqué
par les
signifiant.
C'est pour autant que
l'autre
va
reconnaître
son
désir
barré,
son
désir
insatisfait
à lui, que se
fait
sa
rencontre
avec son
désir
le
plus
authentique,
le
désir
génital.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
et comme tel il
s'articule
comme
désir
de
l'autre.
La
demande
pose
l'autre
comme
présent
ou
absent.
*
C'est en cette
place
où le
sujet
a
cherché
à
articuler
son
désir
qu'il
rencontrera
le
désir
de
l'autre
comme tel.
*
Le
désir
dans sa
fonction
inconsciente,
est le
désir
de
l'autre.
*
L'hystérique
prend
son
point
d'appui
dans un
désir
qui est le
désir
de
l'autre.
L'hystérique
vit
toute
entière
au
niveau
de
l'autre.
C'est
d'abord
au
niveau
de
l'autre
que se
pose
le
centre
de
gravité
du
mouvement
constitutif
de
l'hystérique.
L'hystérique
va
chercher
son
désir
dans le
désir
qu'elle attribue à
l'autre
comme tel.
Le
désir
conditionne
la
destruction
de
l'autre,
où le
désir
lui-même
vient
à
disparaître.
La
demande
vise
l'être
de
l'autre.
L'analyste
est vis-à-vis de cet
autre
qui est le
petit
autre,
son
semblable.
Par
l'exploit,
l'obsessionnel
cherche
à
obtenir
la
permission
de
l'autre.
Il n'y a pas
d'autre
régression
dans
l'analyse
que les
signifiants
régressifs
liés
à
l'identification
seconde.
Le
transfert
ouvre
la
possibilité
d'une
articulation
signifiante
autre
et
différente
de celle qui enferme le
sujet
dans la
demande.
L'
acting-out
est une
action
comme une
autre,
mais
provoquée
par l'utilisation du
transfert.
Le
petit
autre,
,
est le
semblable,
l'autre
imaginaire.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
La
demande
d'amour
qui
symbolise
l'Autre
distingue
l'autre
comme
objet
réel
capable
de
donner
satisfaction.
Le
signifiant
prend
sa
valeur
du
rapport
à un
autre
signifiant,
dans une certaine
synchronie.
Dans le
graphe
6.1.2
c'est un
élément
imaginaire
qui va du
moi
à
l'autre
.
L'organisation
systématique
de la
langue
est un
ensemble
à
l'intérieur
duquel chacun de ses
éléments
a sa
valeur
en tant que
distinct
des
autres.
Dans la
communication
ce qui est
communiqué,
c'est le
signe
de ce qu'est la
place
où un
autre
signifiant
n'est pas.
Ce qui
caractérise
la
demande
c'est que le
rapport
du
sujet
à un
autre
sujet
se
fait
par
l'intermédiaire
du
système
des
signifiants.
Le
rêve
n'apporte
avec
soi
aucune
autre
satisfaction
qu'une
satisfaction
verbale.
La contiguïté n'est
rien
d'autre
que la
combinaison
discursive
sur laquelle se
fonde
l'effet
de
métonymie.
Dans le
graphe
6.4.1
une
ligne
figure
le
procès
de
l'énonciation,
et une
autre
le
procès
de
l'énoncé.
Il n'y a pas
d'autre
signe
du
sujet,
que le
signe
de son
abolition
de
sujet,
notée
.
*
Il n'y a pas
d'autre
signe
du
sujet,
que le
signe
de son
abolition
de
sujet.
L'image
de
est
image
de
l'autre.
L'image
de
l'autre
est la
même
chose
que le
moi.
L'image
de
l'autre
est
marquée
du
de
l'idéal-du-moi.
La
formule
de
l'image
de
l'autre,
dans ses
rapports
avec
l'autre
du
sujet
en tant
qu'idéal,
s'écrit
.
La
chaîne
des
signifiants
subsiste
dans une
altérité
radicale
par
rapport
au
sujet.
[
Lac66a
, pp. 549–550]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
, soit en
,
se
situent
les
figures
de
l'autre
imaginaire
dans les
relations
d'agression
érotique
où elles se
réalisent.
[
Lac66a
, p. 553]
*
Il n'y a pas
d'autre
résistance
à
l'analyse
que celle de
l'analyste
lui-même. [
Lac66a
, p. 595]
*
La
régression
ne
montre
rien
d'autre
que le
retour
au
présent,
de
signifiants
usités dans des
demandes
pour lesquelles il y a prescription. [
Lac66a
, p. 618]
Dans la
chaîne
signifiante,
la
substitution
d'un
terme
à un
autre
produit
l'effet
de
métaphore.
[
Lac66a
, p. 622]
Dans la
chaîne
signifiante,
la
combinaison
d'un
terme
à un
autre
produit
l'effet
de
métonymie.
[
Lac66a
, p. 622]
La
métonymie
est cet
effet
rendu
possible
de ce qu'il n'est
nulle
signification
qui ne
renvoie
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 622]
L'Autre
est le
lieu
du
déploiement
de la
parole
ou
autre
scène.
[
Lac66a
, p. 628]
La
haine
va à
nier
l'être
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 629]
Le
et le
moi,
son ombre, sont
deux
autres.
[
Lac66a
, p. 630]
L'autre
est
sujet
divisé
de la
Spaltung
[
Lac66a
, p. 693]
Le
sujet
se
constitue
comme
signifié
d'une
relation
du
moi
à
l'autre,
puis à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 751]
La
relation
amoureuse
achevée,
c'est que
l'autre
donne
ce qu'il n'a pas.
*
Pour que quelque
chose
s'engendre
dans
l'ordre
du
signifié,
il faut qu'il y
ait
substitution
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Le
moi
se
constitue
dans un
certain
rapport
imaginaire
à
l'autre.
Un
fantasme,
est
entre
le
signifiant
de
l'Autre
et le
signifié
de
l'autre
.
Il y a une
division
entre
l'Autre
en tant que
parlant
et
l'autre
en tant
qu'imaginaire.
Le
sujet
dans
l'image
de
l'autre
trouve
à se
substituer
un
rapport
du
sujet
au
désir,
.
Il y a un
rapport
narcissique
entre
le
moi
et
l'image
de
l'autre
.
*
Je
suis
un
autre
que celui qui
pense
que
je
suis.
Le
est
l'objet
autour de quoi le
sujet
s'éprouve
dans une
altérité
imaginaire.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
*
Il ne
peut
y
avoir
d'autre
sujet
qu'un
sujet
pour un
sujet.
Il n'y a
d'autre
garantie
de la
vérité
que la bonne
foi
de
l'Autre.
*
L'image
de
l'autre
spéculaire,
joue
par
rapport
au
moi.
Le
rapport
de la
coupure
du
réel
et de la
coupure
du
langage
est un
recouvrement
d'un
système
de
coupure
par un
autre
système
de
coupure.
Chez
l'
infans
,
pour ses
premières
identifications,
il est le
de
l'autre
,
idéalement
son
semblable.
est
l'image
de
l'autre.
Le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité
trouvent leur
opposition
fondamentale
dans un
tout
autre
système
de
référence.
L'inconscient
n'a pas une
autre
structure
au
dernier
terme
qu'une
structure
de
langage.
*
Le
souverain
bien,
qui est
das
Ding
,
qui est la
mère,
qui est
l'objet
de
l'inceste,
est un
bien
interdit,
et il n'y a pas
d'autre
bien.
La
métaphore
se
définit
par
l'implantation,
dans une
chaîne
signifiante,
d'un
autre
signifiant,
par quoi celui qu'il supplante
tombe
au
rang
de
signifié.
[
Lac66a
, p. 708]
*
Disposer de ses
biens,
c'est
avoir
le
droit
d'en
priver
les
autres.
Le
privateur
est le
petit
autre
comme tel, le
semblable.
Le
moi-idéal,
il est
l'autre
imaginaire.
Le
privateur
est
l'autre
en tant qu'il
représente
par lui-même, dans son
existence,
celui qui nous
prive.
Le
désir
est ce
rapport
métonymique
d'un
signifiant
à
l'autre.
Ce que
l'analyste
a à
donner
c'est ce qu'il a, soit
rien
d'autre
que son
désir
averti.
Le
nom-du-père
n'est
rien
d'autre
que le
père
mort.
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
qu'un
signifiant.
L'être
de
l'autre,
dans le
désir,
n'est
point
un
sujet.
*
Le
signifiant
ne se
constitue
que d'un
rassemblement
synchronique
et
dénombrable,
où
aucun
ne se
soutient
que du
principe
de son
opposition
à chacun des
autres.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
,
l'autre
est la
ponctuation
où la
signification
se
constitue
comme
produit
fini. [
Lac66a
, p. 806]
L'autre,
c'est le
semblable,
noté
.
[
Lac66a
, p. 810]
Les
objets
partiels
n'ont pas
d'altérité.
[
Lac66a
, p. 818]
*
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 819]
est le
signifiant
pour quoi
tous
les
autres
signifiants
représentent
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 819]
Faute du
signifiant
,
tous
les
autres
ne
représenteraient
rien.
[
Lac66a
, p. 819]
Le
passage
du
de
l'image
phallique,
d'un
côté
à
l'autre
de
l'équation
de
l'imaginaire
au
symbolique,
le
positive,
et il
devient
le
. [
Lac66a
, p. 823]
La
métonymie
n'est
autre
que la
possibilité
du
glissement
indéfini
des
signifiants
sous la
continuité
de la
chaîne
signifiante.
Grand
n'est pas un
autre
absolu.
*
Le
stade
anal
se
caractérise
en ceci que le
sujet
satisfait
un
besoin
uniquement
pour la
satisfaction
d'un
autre.
La
demande
anale
se
caractérise
par un
renversement
complet
de
l'initiative
au
bénéfice
de
l'autre.
*
Ce qui est
désiré,
c'est le
désirant
dans
l'autre.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
c'est le
moi
en tant
qu'image
de
l'autre,
en tant que foncièrement
fonction
de
méconnaissance.
Un
animal
parlant,
contrairement
à ce qui se passe chez
l'homme,
ne
prend
jamais
l'humain
pour un
autre.
C'est en
prenant
l'autre
pour un
autre
que le
sujet
met cet
autre
au
niveau
de
l'Autre.
*
Ce qui
distingue
le
signifiant,
c'est
seulement
d'être
ce que
tous
les
autres
ne sont pas.
*
Le
signifiant
ne
peut
se
définir,
sinon que comme
n'étant
pas ce que sont les
autres
signifiants.
*
Les
signifiants
ne
manifestent
d'abord
que la
présence
de la
différence
comme telle et
rien
d'autre.
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'automatisme
de
répétition
n'est
rien
d'autre,
en son
essence,
qu'un
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
névrosé
essaie
de
satisfaire,
par la conformation de son
désir,
à la
demande
de
l'autre.
Le
désir
de l'un qui est
demande
de
l'autre,
la
demande
de l'un qui est le
désir
de
l'autre,
est le
nœud
où se
coince
la
dialectique
de la
frustration.
La
propriété
de
l'anneau
symbolise
la
fonction
du
sujet
dans ses
rapports
à
l'autre.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
signifie
auprès de
l'autre
signifiant
cette
Chose
privilégiée
qu'est le
sujet
en tant que
rien.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que la
conséquence
qu'il y a du
signifiant.
ne
désigne
pas
l'autre
imaginaire.
L'autre
imaginaire,
dans la
méconnaissance
moïque
c'est
.
C'est parce que
l'objet
devient
reconnaissable
comme
signifiant
d'une
demande
latente
qu'il
prend
valeur
d'un
désir
qui est d'un
autre
registre.
La
répétition
n'est
rien
d'autre
que la
forme
la
plus
radicale
de
l'expérience
de la
demande.
le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
moment
de la
castration
n'est
rien
d'autre
que le
moment
de
l'interprétation
de la
castration.
le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Ce n'est pas tellement la
souffrance
de
l'autre
qui est
cherchée
dans
l'intention
sadique,
que son
angoisse.
Le
désir
sadique
s'entend
à
faire
vibrer
l'angoisse
de
l'autre
par
rapport
à son
existence
essentielle
comme
sujet.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
masochiste
comme
tous
les
pervers
cherche
l'angoisse
de
l'autre.
La
femme
se
tente
en
tentant
l'autre.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
L'œil
institue
le
rapport
fondamental
désirable
en ceci qu'il tend
toujours
à
faire
méconnaître,
dans le
rapport
à
l'autre,
que sous ce
désirable
il y a un
désirant.
Pour que la
voix
réponde,
elle
doit
être
incorporée
comme
l'altérité
de ce qui se
dit.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
L'inhibition
est
l'introduction
dans une
fonction
d'un
autre
désir
que celui que la
fonction
satisfait
naturellement.
Le
trauma
de la
naissance
n'est pas
séparation
de la
mère
mais aspiration en
soi
de ce
milieu
foncièrement
autre.
Dans le
rêve
il s'agit
d'autre
chose
que d'un
fantasme
comblant un vœu.
Ce qui
réveille,
c'est
l'autre
réalité
cachée
derrière
le
manque
de ce qui
tient
lieu
de
représentation.
*
Il est un
réel
qui
commande
plus
que
tout
autre
nos activités.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
regard
est cet
objet
perdu
et soudain
retrouvé,
dans la conflagration de la
honte,
par
l'introduction
de
l'autre.
Ce n'est que lors de
l'apparition
du
sujet
au
niveau
de
l'autre
que
peut
être
réalisé
ce qu'il en est de la
fonction
de la
pulsion.
Un
signifiant
représente
un
sujet,
mais pas pour un
autre
sujet.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
peut
occuper
diverses
places
selon que
l'analyste
le met sous l'un ou
l'autre
des
signifiants
de
l'interprétation.
L'aliénation
consiste
dans ce
vel,
qui condamne le
sujet
à
n'apparaître
que dans une
division
où il
apparaît,
d'un coté comme
sens
produit
par le
signifiant,
de
l'autre
comme
aphanisis
.
Le
vel
se
définit
d'un
choix,
dont les
propriétés
dépendent qu'il y a, dans la
réunion,
un
élément
qui
comporte
que, quel que soit le
choix
qui
s'opère,
il a pour
conséquence,
un “ni l'un ni
l'autre”.
cf:
11.16.3
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre
en tant que le
premier
signifiant,
le
signifiant
unaire,
surgit
au
champ
de
l'Autre,
et qu'il
représente,
comme tel, le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
celui-ci a pour
effet
l'
aphanisis
du
sujet.
*
Il n'y a de
surgissement
du
sujet
au
niveau
du
sens,
que de
l'
aphanisis
du
sujet
en
l'autre
lieu
qui est celui de
l'inconscient.
Deux
signifiants
en
couple
sont un
ensemble
d'éléments
tels que, s'il n'en
existe
que
deux,
le
phénomène
d'aliénation
se
produit;
d'où il
résulte
qu'au
niveau
de
l'autre
signifiant
le
sujet
s'évanouit.
L'effet
de
métaphore
est
constitué
par un
signifiant
substitutif
mis à la
place
d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
signifie
que pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
signifie
jamais
rien
d'autre
que le
sujet.
La
formule
signifiant
sur
signifié,
,
dénote
qu'il y a un
ordre
de
référence
du
signifiant
qui est un
autre
signifiant.
La
barre
de la
formule
est cet
autre
effet
du
signifiant
en quoi le
signifiant
ne
fait
que
représenter
le
sujet.
Le
sujet
ne
peut
être
rien
d'autre
que ce qui
pense:
Donc
je
suis.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
fonction
du
signifiant
est le
fait
que le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
[
Lac66a
, p. 835]
Le
registre
du
signifiant
s'institue
de ce qu'un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
La
sexualité
se répartit d'un
côté
à
l'autre
du
bord,
seuil
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 849]
*
L'enseignement
de la
psychanalyse
ne
peut
se
transmettre
d'un
sujet
à un
autre
que par les
voies
d'un
transfert
de
travail.
[
Lac82a
, p. 76]
*
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
L'autre
5
.
31
est
conjoint
non
point au pareil mais au
même.
*
Le
signifiant,
à la
différence
du
signe,
c'est quelque
chose
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Parmi les
signes,
il y en a certains qui sont des
signifiants
en tant qu'ils
représentent
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
praxis
psychanalytique
n'implique
d'autre
sujet
que celui de la
science.
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
que ce
point
de
manque
qu'il
indique
dans le
sujet.
Un
signifiant
renvoie
toujours
à un
autre
signifiant.
La
praxis
de la
psychanalyse
n'implique
pas
d'autre
sujet
que la
science.
[
Lac66a
, p. 863]
Le
refoulement
originaire
attire à lui
tous
les
autres.
[
Lac66a
, p. 868]
Il n'y a pas
d'autre
support
de
l'expérience
analytique
que la
parole
et le
langage.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
rétroaction
d'un
signifiant
sur
l'autre
est ce qui est la
condition
fondamentale
de
l'apparition
du
sujet.
L'objet
est d'un
statut
autre
qu'imaginaire.
*
Il n'y a de
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
L'
Urverdrängung
ou
refoulement
originaire,
c'est ce qu'un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant.
Un
signifiant
substitué
à un
autre
signifiant
sur la
chaîne
signifiante,
est la
source
et
l'origine
de
toute
signification.
Le
signifiant
se
définit
de sa
fonction
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
métaphore
substitue
un
signifiant
autre
qui
fait
ressortir la
vérité.
La
position
métaphorique
d'un
signifiant
est de
substitution
par
rapport
à un
autre
signifiant.
Par la
métaphore
résulte
une
autre
signification,
un
effet
de
signifié.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
n'a de
sens
que de sa
relation
à un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
signifiant,
toujours
autre.
[
Lac66b
, p. 74]
L'Autre
ne s'assure de
rien
d'autre
que de
l'instauration
de
l'être
comme
étant
l'être
du
je.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
*
Il ne m'est pas
donné,
ni
donnable,
d'autre
jouissance
que celle de
mon
corps.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
ne
vient
au jour que par le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
Pour les
analystes
la
vérité
n'a
d'autre
forme
que le
symptôme.
Il n'y a quant au
signifiant,
c'est-à-dire à la
structure,
aucun
autre
support
que le
trou
qu'elle
constitue
par son
bord.
*
Il n'y a
d'autre
support
du
corps
que le
tranchant
qui préside à son
découpage.
La
fonction
du
sujet
n'est
rien
d'autre
que ce qui est
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
L'acte
névrotique
n'a pas
d'autre
fin
que de
soutenir
l'effet
du
désir.
La
fonction
du
fantasme,
a deux
caractéristiques,
la
présence
d'un
objet
et
d'autre
part
ce qui
engendre
le
sujet
comme
,
à
savoir
une
phrase.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Du
fait
de son
entrée
en
analyse,
l'analysant
fait
référence
à un
sujet
supposé
savoir
mieux que les
autres.
Le
sujet
est
déterminé
par un
signifiant
le
représentant
pour un
autre
signifiant.
L'autre
imaginaire
est
identique
au
petit
autre.
[
Lac68e
, p. 18]
*
Aucun
sujet
n'est
supposable
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 18]
Le
sujet
supposé
savoir
est
supposé
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 19]
Un
sujet
ne
suppose
rien,
il est
supposé
par le
signifiant
qui le
représente
pour un
autre
signifiant.
[
Lac68e
, p. 19]
est
l'image
du
petit
autre
spéculaire.
[
Lac68b
, p. 47]
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il n'est
plus
ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
s'articule
à un
autre
signifiant
sans
y
représenter
un
sujet.
Le
sujet,
c'est ce qu'un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est
essentiellement
ce quelque
chose
qui n'est que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
ne
s'institue
que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
*
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
On
n'a
jamais
le
savoir
de
l'autre
sexe.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Un
sujet
c'est ce qui
peut
être
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est tel qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
*
Le
mot
d'esprit
ne
tient
pas comme tel d'un
interlocuteur
à
l'autre.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représentant
un
sujet
pour un
autre
signifiant
est ce qui
représente
le
savoir.
Le
signifiant
est le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant
qui
représente
le
sujet
.
*
Le
signifiant
ne
représente
le
sujet
que pour un
autre
signifiant.
indique
l'altérité
de
l'Autre.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Il n'y a pas
d'autre
mode
d'entrée
pour le
sujet
dans le
réel
que le
fantasme.
[
Lac84b
, p. 16]
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 20]
Le
maître
laisse à
l'autre
la
jouissance.
Ce qui
caractérise,
ce qui
fonde
le
signifiant,
c'est sa
différence
qui
réside
dans les
autres.
*
Rien
d'autre
ne
fonde
la
fonction
du
signifiant
que
d'être
différence
absolue.
*
Ce n'est que ce par quoi les
autres
diffèrent
de lui que le
signifiant
se
soutient.
Il est de la
nature
du
signifiant
en tant qu'épinglage, de
permettre
la
substitution
d'un
signifiant
à un
autre.
*
Une
dupe
c'est quelqu'un que quelqu'un
d'autre
exploite.
Le
signifiant
est
représentant
du
sujet
pour un
signifiant
qui est
autre.
est le
lieu
des
signifiants
autres.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
rapport
premier
du
signifiant
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant
se note
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
*
Par un
lien
à quelque
chose
qui n'est
rien
d'autre
que ce qui
permet
l'émergence
du
savoir,
la
jouissance
est
exclue.
Un
signifiant
ne
peut
renvoyer
à lui-même qu'en tant
qu'autre.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant
,
Un
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
C'est parce que le
trait
unaire
vise
à la
répétition
d'une
jouissance
qu'un
autre
trait
unaire
surgit
après-coup.
Le
signifiant
fonctionne
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
discours
du
maître
indique
le
signifiant
qui
représente
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Ce qui importe à
l'hystérique
c'est que
l'autre
sache
quel
objet
précieux elle
devient
dans ce contexte de
discours.
Un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
rien
d'autre qu'un
sujet.
Le
signifiant
s'articule
de
représenter
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
manque
d'oubli
c'est la
même
chose
que le
manque-à-être,
car
être
ce n'est
rien
d'autre
que
d'oublier.
Un
signifiant
passe
en
position
de
signifiant
maître,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
La
mathématique
représente
le
savoir
du
maître
en tant que
constitué
sur
d'autres
lois
que le
savoir
mythique.
De
l'autre
coté du
désir
est le site de
l'Autre,
*
C'est du
discours
de
l'analyste
que
peut
surgir
un
autre
style de
signifiant
maître.
*
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac70d
, p. 65]
Le
signifiant
ne
représente
pas pour un
autre
sujet.
[
Lac70d
, p. 65]
La
métaphore,
c'est la
substitution
d'un
signifiant
à un
autre.
[
Lac70d
, p. 67]
L'autre
savoir
conditionne
l'inconscient
d'une
figure
représentable.
[
Lac70d
, p. 78]
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
où le
sujet
n'est pas.
Le
discours
de
l'analyste
n'est
rien
d'autre
que la
logique
en
action.
Le
rapport
sexuel,
comme
tout
autre
rapport,
ne
subsiste
que de
l'écrit.
*
Il n'y a pas, dans le
langage,
d'autre
Bedeutung
que le
phallus.
Rien
de ce que le
langage
permet
de
faire
n'est
autre
que
métaphore
ou
métonymie.
L'évitement
de la
castration
par
l'hystérique
consiste
à
l'unilatériser
de
l'autre
coté, du coté du
partenaire.
*
Il n'y a pas
d'autre
existence
de
l'Un
que
l'existence
mathématique.
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
noté
objet
.
*
Les bons
sentiments,
c'est la
jurisprudence,
et
rien
d'autre
qui les
fonde
5
.
32
.
Le
corps
de
l'autre
symbolise
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
5
.
33
qui le
symbolise,
n'est pas le
signe
de
l'amour.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
ne se promeut que de
l'infinitude.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
Les
places
occupées dans chaque
discours
sont
l'agent,
la
vérité,
l'autre,
la
production,
qui se
relationnent
ainsi : cf:
18.2.1
*
Le
mot
n'a
d'autre
point
où se
faire
collection que le
dictionnaire
où il
peut
être
rangé.
*
On
ne
peut
jouir
que d'une
partie
du
corps
de
l'autre.
Le
corps
de l'un
jouit
d'une
part
du
corps
de
l'autre.
*
Le
sens
d'un
discours
ne se
produit
jamais
que d'un
autre.
[
Lac81a
, p. 3]
C'est la
topologie
sphérique
de
l'objet
qui se
projette
sur
l'autre
du composé
hétérogène
que
constitue
le
cross-cap
.
[
Lac73a
, p. 30]
Le
sens
se
produit
de la
traduction
d'un
discours
dans un
autre.
[
Lac73a
, p. 36]
*
Le
signifiant
Un
n'est pas un
signifiant
entre
autres.
[
Lac75f
, p. 8]
Le
signifié
d'un
signifiant
vient
toujours
de la
place
où le
même
signifiant
occupe
un
autre
discours.
La
femme
recèle
une
autre
jouissance
que la
jouissance
phallique.
Exister
ce n'est pas
être,
c'est
dépendre
de
l'autre.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
Ce dont il s'agit quand il s'agit de
sexe,
c'est de
l'autre
sexe.
est le
sujet
pour autant qu'il n'est
rien
d'autre
que
l'effet
du
signifiant.
Le
sujet
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'ensemble
n'est
rien
d'autre
que le
sujet
et donc ne
saurait
se manier
sans
l'addition
de
l'ensemble
vide.
Ce dont il s'agit dans le
discours
analytique,
c'est
toujours,
à ce qui
s'énonce
de
signifiant,
de
donner
une
autre
lecture
que ce qu'il
signifie.
Le
signifiant
se
caractérise,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet,
ce n'est
rien
d'autre
que ce qui
glisse
dans une
chaîne
de
signifiants.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que
l'effet
intermédiaire
entre
ce qui
caractérise
un
signifiant
et un
autre
signifiant.
Tous les
besoins
de
l'être
parlant
sont contaminés par le
fait
d'être
impliqués
dans une
autre
satisfaction,
à quoi ils
peuvent
faire
défaut.
Il n'y a pas
d'autre
appareil
que le
langage.
L'Autre
a quelque
rapport
avec
l'autre
sexe.
L'être
de la
signifiance
n'a
d'autre
lieu
que le
lieu
de
l'Autre.
ne
désigne
rien
d'autre
que la
jouissance
de
femme.
*
Le
partenaire
de
l'autre
sexe
reste
l'Autre.
Par
passion
de
l'ignorance,
de
l'être
de
l'autre,
le
parlant
ne
veut
rien
savoir.
Le
signifiant
n'est
rien
d'autre
qu'une
différence
avec un
autre
signifiant.
Le
sujet
n'est
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
c'est un
signe
qui ne
s'adresse
qu'à un
autre
signe.
L'analyse
n'emploie
pas
d'autre
moyen
que la
parole.
Un
être
vivant
se
distingue
des
autres
d'habiter
le
langage.
[
Lac75d
, p. 12]
*
La
consistance
est d'un
autre
ordre
que
l'évidence.
L'écrit
est d'une
autre
dimension
que le
dire.
*
La
vérité
du
maître,
ça n'est
rien
d'autre
que le
sujet.
*
Il n'y a pas
d'autre
essence
que de
question.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sens
c'est ce par quoi
répond
quelque
chose
qui est
autre
que le
symbolique.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
La
jouissance
phallique
intéresse
l'autre
du
corps,
l'autre
sexe.
Le
nom-du-père
n'est
rien
d'autre
que le
nœud.
Le
phallus
est ce qui
barre
la
jouissance
du
corps
de
l'autre.
La
femme
est un
autre
nom
de
Dieu,
c'est en quoi elle
n'
ex-siste
pas.
*
Le
sujet
c'est ce qu'un
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
symptôme
hystérique,
c'est le
symptôme
pour
LOM
d'intéresser
au
symptôme
de
l'autre
comme tel. [
Lac75e
, p. 16]
Le
sens
est
autre
au
langage.
[
Lac75g
, p. 4]
*
La
logique
n'a
d'autre
support
que le
logos.
*
Il n'y a pas
d'autres
faits
que ceux que le
parl-être
reconnaît
comme tels en les
disant.
*
C'est du
sinthome
qu'est
supporté
l'autre
sexe.
Le
sujet
réside
dans cette
division
même
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Un
sujet
est un
signifiant
en tant qu'il est
représenté
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Une
bande
de
Mœbius
n'est
rien
d'autre
qu'une
coupure.
Un
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Un
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
La
conscience
n'a pas
d'autre
support
que de
permettre
une
bévue.
*
On
ne
parle
jamais
d'une
langue
que dans une
autre
langue.
[
Lac78
]
*
La
science
n'est
rien
d'autre
qu'un
fantasme.
[
Lac78
]
La
science
n'est
rien
d'autre
qu'un
noyau
fantasmatique.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08