Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.20 T
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totem
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tour
Index:
Index
toujours
Le
transfert
indique
toujours
les
moments
d'errance
et d'orientation de
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 226]
Dans les
symptômes,
il s'agit
toujours
de
symboles
organisés
dans le
langage.
Les
sentiments
sont
toujours
réciproques.
*
La
résistance
se
présente
toujours
par le bout
transférentiel.
La
relation
à
l'autre
contient
toujours
en elle-même
l'élément
fondamental
originel
de
dénégation.
*
Le
mot
introjection
s'accompagne
toujours
d'une
dénomination
symbolique.
*
L'introjection
est
toujours
introjection
de la
parole
de
l'autre.
*
La
Verdrängung
est
toujours
une
Nachdrängung
.
Toute
espèce
d'emploi
est
toujours
métaphorique.
Le
concept
est
toujours
où la
Chose
n'est pas.
Tout
sémantème
a
toujours
plusieurs
sens.
*
Le
sujet
en
dit
toujours
plus
qu'il ne
veut
en
dire,
toujours
plus
qu'il ne
sait
en
dire.
Dans le
refoulement,
c'est
toujours
d'une
interruption
du
discours
qu'il s'agit.
Ce qui
apparaît
de
nouveau
paraît
aussi
toujours
s'étendre dans la
perpétuité,
indéfiniment,
au-delà
de ce qui
précède
ou ce qui
suit.
Les
résistances
ont
toujours
leur
siège
dans le
moi.
Il y a
toujours,
dans la
névrose
les
mécanismes
de
défense
qui sont
liés
à la
relation
narcissique
du
moi
à
l'autre.
Les
mécanismes
de
défense
sont
toujours
plus
ou
moins
liés
à la
relation
narcissique
du
moi,
car elle est
strictement
structurée
sur le
rapport
à
l'autre,
l'identification
possible
avec
l'autre.
Toute
espèce
de
constitution
du
monde
objectal
est
toujours
un
effort
pour
redécouvrir
l'objet.
*
Le
principe
de
l'appareil
psi
est
toujours
l'hallucination.
La
censure
a
toujours
un
rapport
avec quelque
chose
qui, dans le
discours,
se
rapporte
à la
loi
en tant qu'elle est
incomprise.
Toute
loi
a
toujours,
par son
caractère
partiel,
la
possibilité
d'être
fondamentalement
incomprise.
Par
rapport
à la
loi,
l'homme
est
toujours
en posture de ne
jamais
complètement
la
comprendre,
car
aucun
homme
ne
peut
maîtriser
dans son
ensemble
la
loi
du
discours.
L'objet
humain
se
constitue
toujours
par
l'intermédiaire
d'une
première
perte.
*
Le
rêve
est
toujours
la
réalisation
d'un
désir,
d'un
souhait.
*
La
parole
est
toujours
un
médiateur
entre
deux
sujets.
Dans le
rêve,
l'objet
est
toujours
plus
ou
moins
structuré
comme quelque
chose
qui est
l'image
du
corps
du
sujet,
le
reflet
du
sujet.
*
Le
sujet
se
réalise
toujours
ailleurs.
La
vérité
est
toujours
voilée.
La
paranoïa
est
toujours
en
relation
avec une
aliénation
imaginaire
du
moi.
*
Ce qui est du
moi
est
toujours
perçu
essentiellement
et
toujours
approprié par
l'intermédiaire
d'un
autre
spéculaire.
Le
moi
est
toujours
présentification
d'une
fonction
imaginaire
comme telle.
Le
objets
sont
toujours
représentés
par la
façon
dont les
sujets
les abordent.
*
La
nature
même
du
moi,
son
rapport
fondamental
au
monde,
est de
trouver
toujours
en
face
de lui son
reflet.
L'obsédé
est
toujours
ailleurs.
*
Les
sémantèmes
sont
toujours
des
polysémantèmes
.
*
Les
signifiants
sont
toujours
à plusieurs
significations.
L'autre
est
toujours
dans une
relation
réflexive,
interchangeable.
*
L'ego
est
toujours
un
alter-ego
.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, pour les
sujets
humains
le
rapport
entre
et
passe
toujours
par le
circuit
.
*
C'est
toujours
le
moi
qui
parle.
L'émetteur
de la
parole
humaine
est
toujours
en
même
temps
un
récepteur.
*
La
signification
renvoie
toujours
à la
signification.
La
signification
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
*
La
parole
est
toujours
pacte.
La
résistance
du
patient
c'est
toujours
celle du
psychanalyste.
*
Les
langues
artificielles
sont
toujours
faites
en
essayant
de se
relier
sur la
signification.
La
signification
renvoie
toujours
à la
signification.
La
signification
est comme
l'imaginaire,
toujours
évanescente.
Le
moi
n'est
toujours
que la
moitié
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 346]
*
La
signification
renvoie
toujours
à la
signification.
[
Lac66a
, p. 352]
L'unité
de
signification
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 414]
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Dans le
sujet
il y a
toujours
un
moi
qui lui est en
partie
étranger.
Le
moi
est
toujours
en
partie
un
maître
implanté
dans le
sujet.
La
fonction
de
maîtrise
du
moi
est
toujours
à la
fois
à
l'intérieur
et à
l'extérieur.
*
La
signification
c'est le
discours
humain,
en tant qu'il
renvoie
toujours
à une
autre
signification.
Le
sens
va
toujours
vers une
autre
signification,
vers la
clôture
de la
signification.
Le
sens
renvoie
toujours
à quelque
chose
qui est
avant
5
.
529
ou qui
revient
sur lui-même.
5
.
530
Le
savoir
renvoie
toujours
à la
signification.
Le
moi
comporte
toujours
un
corrélatif
qui est un
discours
qui n'a
rien
à
faire
avec la
réalité.
Le
discours
est le
jumeau
qui
double
toujours
le
moi.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
Dans les
symptômes
hystériques,
c'est
toujours
d'une
anatomie
imaginaire
qu'il s'agit.
La
notion
de
structure
se
pose
toujours
par
rapport
à une
référence
de ce qui est
cohérent
à quelque
chose
d'autre
qui lui est
complémentaire.
Les
symptômes,
c'est
toujours
une
implication
de
l'organisme
humain
dans quelque
chose
qui est
structuré
comme un
langage.
Le
signifiant
et le
signifié
sont
toujours
dans un
rapport
dialectique.
L'Autre
est
l'absolu
auquel nous nous
adressons
toujours
au-delà
du
semblable.
*
Il y a
toujours
un
Autre
au-delà
de
tout
dialogue
concret.
*
Le
et le
sont
toujours
réciproques.
Le
tu
est là
toujours
présent
en nous.
Trouver
l'objet
est
toujours
retrouver
un
objet
perdu.
L'objet
recherché
n'est
jamais
réminiscence
mais
toujours
répétition.
L'objet
se
présente
toujours
dans une
quête
de
l'objet
perdu.
La
castration
est
toujours
un
objet
imaginaire.
Tout
ce qui est
réel
est
toujours
et
obligatoirement
à sa
place.
La
libido
sous la
forme
active
est
toujours
plutôt
parente
de la
position
masculine.
Le
propre
des
relations
imaginaires
est d'être
toujours
parfaitement
réciproques.
Le
réel
est
toujours
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Une
écriture
peut
être
figurative,
elle est
toujours,
comme un
langage,
articulée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
Le
rêve
est
toujours
articulé
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
*
Un
rêve
qui se
produit
au
cours
de
l'analyse
a
toujours
une certaine
direction
vers
l'analyste.
À une
frustration
symbolique
peut
toujours
succéder
de la
régression.
La
castration
est quelque
chose
qui est
toujours
liée
à
l'incidence,
à
l'intervention
du
père
réel.
La
peur
concerne
toujours
quelque
chose
d'articulable,
de
nommable,
de
réel.
La
nature,
telle qu'elle se
présente
à
l'homme,
est
toujours
profondément
dénaturée.
*
Un
mythe
est
toujours
une
tentative
d'articulation
de
solution
d'un
problème.
*
Le
trait
d'esprit
comporte
toujours
la
notion
d'une
troisième
personne.
Il y a
toujours
une
ternarité
nécessaire.
*
Un
objet
est
toujours
une
reconquête.
Le
désir
est
toujours
d'autre
chose.
Il y a
toujours
au
début
du
trait
d'esprit
un
appel
à
l'autre
comme
lieu
de la
vérification.
Le
mécanisme
normal
de la
demande
à laquelle
on
accède
est de
provoquer
des
demandes
toujours
renouvelées.
L'homologation du
peu
de
sens
de la
phrase
est
toujours
plus
ou
moins
manifeste
dans le
trait
d'esprit.
Le
rire
éclate
toujours
par une
libération
de
l'image.
Le
signifiant,
de sa
nature,
anticipe
toujours
sur le
sens,
en déployant au devant de lui sa
dimension.
[
Lac66a
, p. 502]
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
*
En tant qu'il est
viril,
un
homme
est
toujours
plus
ou
moins
sa
métaphore.
Aimer
c'est
toujours
donner
ce
qu'on
n'a pas.
Il y a
toujours
dans la
perversion
quelque
chose
que le
sujet
ne
veut
pas
reconnaître.
Il y a
l'exigence
d'un
symbole
de
marge
qui
sépare
toujours
le
désir,
désir
toujours
marqué
de
l'altération
par
l'entrée
dans le
signifiant.
L'idéal-du-moi
a
toujours
un
certain
rapport
avec ce
facteur
commun
métonymique
qu'est le
phallus.
L'idéal-du-moi
se
constitue
dans un
rapport
avec le
père,
il
implique
toujours
le
phallus.
Le
père
implique
toujours
le
phallus.
Dans le
rêve
c'est
toujours
essentiellement
un
désir.
C'est en tant que le
désir
est
toujours
lié
à un
certain
masque
que se
produit
l'idéal-du-moi.
Il y a à
l'intérieur
du
signifiant
quelque
chose
qui
toujours
est en
mesure
de le
destituer
de sa
fonction.
Le
phallus
se
trouve
toujours
recouvert par quelque
chose
qui est la
castration.
Il y a
toujours
quelque
chose
qui
reste
au-delà
de ce qui
peut
se
satisfaire
par
l'intermédiaire
de ce
signifiant,
par la
demande.
*
La
demande
demande
toujours
quelque
chose
qui est
plus,
et
au-delà
de la
satisfaction.
Le
désir
est
toujours
double,
il est à la
fois
au-delà
et
en-deça
de la
demande,
selon que la
demande
est
structurée
en
terme
de
signifiant
ou en
terme
de
besoin.
Le
fait
fantasmatique
est une
relation
articulée
et
toujours
complexe,
un
scénario.
L'obsessionnel
est
toujours
en train de
demander
une
permission.
Il y a quelque
chose
dans
l'exploit
de
l'obsessionnel
qui
reste
toujours
irrémédiablement
fictif.
Le
second
type
d'identification
est
toujours
de
nature
régressive.
*
Le
symptôme
est
toujours
surdéterminé.
*
L'obsession
est
toujours
quelque
chose
de
verbalisé.
Les
significations
sont
toujours
produites
selon les
lois
de la
chaîne
signifiante.
C'est
toujours
par un
jeu
rétroactif
de la
suite
des
signifiants
que la
signification
s'affirme
et se précise.
Un
critère
de la
réalité
est de
revenir
toujours
à la
même
place.
[
Lac66a
, p. 573]
L'identification
à
l'analyste
est
toujours
une
identification
à des
signifiants.
[
Lac66a
, p. 619]
Le
désir
transparaît
toujours
dans la
demande,
mais est au-delà . [
Lac66a
, p. 634]
Une
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à quelque
chose
de
réel.
Ce qui
s'articule
dans les
signifiants
refoulés
est
toujours
une
demande.
*
L'omnipotence
est
toujours
du coté de
l'Autre,
du coté du
monde
de la
parole
en tant que tel.
Le
désir
est
toujours
dans cet
au-delà
de
l'Autre.
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
La
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à un
terme
réel.
cf:
5.9.1
Le
réel
se
définit
comme
toujours
plein.
Le
phallus,
la
femme
elle l'aura
toujours
en
moins.
La
femme
a à faire avec
l'objet
phallique,
toujours
en tant que
séparé.
Le
réel
revient
toujours
à la
même
place.
La
dimension
essentielle
du
désir
est
toujours
désir
au
second
degré,
désir
de
désir.
Le
réel
c'est ce qui se
retrouve
toujours
à la
même
place.
La
réalité
se
pose
pour
l'homme
comme ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
L'éthique
reste
appendue à la
recherche
de ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
La
Chose
se
présente
toujours
comme
unité
voilée.
C'est de
cerner
la
Chose
qu'il s'agit
toujours
dans
toute
œuvre
d'art.
La
demande
demande
toujours
autre
chose.
Quand le
sujet
fait
de la
culpabilité,
c'est
toujours
, à
l'origine,
à la
racine,
pour autant qu'il a
cédé
sur son
désir.
Céder
sur son
désir
s'accompagne
toujours
dans la
destinée
du
sujet
de quelque trahison.
*
Il est
toujours
inexplicable
que quoi que ce soit
réponde
au
désir.
L'action
humaine
est
toujours
impliquée
dans la
tentation
de
répondre
à
l'inconscient.
L'identification
se
fait
toujours
par un
einziger Zug
.
*
Le
réel
est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Le
fantasme
obsessionnel
vise
cette
tentative
toujours
renouvelée
et
toujours
impuissante
de
destruction
de
l'image
spéculaire.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
L'homéostasie
est
toujours
trop vite retrouvée au
seuil
le
plus
bas de la
tension.
[
Lac66a
, p. 773]
*
Une
structure
quadripartite
est depuis
l'inconscient
toujours
exigible
dans la
construction
d'une
ordonnance
subjective.
[
Lac66a
, p. 774]
Se
reconnaître
comme
objet
de son
désir,
c'est
toujours
masochiste.
*
Se
reconnaître
comme
l'objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
*
Se
reconnaître
comme
objet
de son
désir
c'est
toujours
masochisme.
*
symbolise
ce qui, dans la
sphère
du
signifiant,
est
toujours
ce qui se
présente
toujours
comme
perdu.
Le
désir
est
illusoire
parce qu'il
s'adresse
toujours
ailleurs,
à un
reste
constitué
par la
relation
du
sujet
à
l'Autre
qui
vient
s'y
substituer.
L'objet
est
non
seulement
séparé
mais
éludé,
toujours
ailleurs
que là où le
désir
le
supporte.
*
La
fonction
du
désir,
le
fantasme,
est
toujours
marqué
d'une
parenté
avec les
modèles
visuels.
L'œil
institue
le
rapport
fondamental
désirable
en ceci qu'il tend
toujours
à
faire
méconnaître,
dans le
rapport
à
l'autre,
que sous ce
désirable
il y a un
désirant.
Par
rapport
au
désir,
l'objet
se
présente
toujours
là où
s'élabore,
dans le
sujet,
la
fonction
de la
cause
même.
Chez
l'obsessionnel
les
désirs
se
manifestent
toujours
dans la
dimension
d'une
fonction
de
défense.
L'
acting-out
c'est ce qui se
produit
toujours
d'un
fait
qui
vient
d'ailleurs
que de la
cause
sur laquelle
on
vient
d'agir.
*
L'inconscient
se
manifeste
toujours
comme ce qui
vacille
dans une
coupure
du
sujet.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
La
répétition
est quelque
chose
qui est
toujours
voilé
dans
l'analyse.
5
.
531
Ce qui se
répète
est
toujours
quelque
chose
en
rapport
à la
tuché
et qui se
produit
comme au
hasard.
Le
réel
est ce qui
gît
toujours
derrière
l'automaton.
Dans le
rapport
aux
choses,
le
regard
est quelque
chose
qui
glisse
pour y
être
toujours
à quelque
degré,
élidé.
La
fonction
de
ratage
est
toujours
présente
dans
répétition
analytique.
La
répétition
est
répétition
par
rapport
à quelque
chose
de
toujours
manqué.
La
fermeture
de
l'inconscient
est le
manque,
toujours
à
point
nommé,
de la bonne
rencontre.
La
fonction
biologique
a
toujours
un
rythme.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
Une
chaîne
signifiante
engendre
toujours
une
signification,
n'importe laquelle.
L'être
humain
doit
toujours
se fournir d'un
homoncule
dans sa
tête
pour
faire
d'un
réel
une
réalité.
[
Lac66a
, p. 846]
*
L'instant
de
voir,
c'est
toujours
un
tableau.
La
demande,
c'est ce
mouvement
circulaire
qui tend à
être
à
soi-même
parallèle et
toujours
répété.
La
position
du
sujet
est comme
apparaissant
et
disparaissant
en une
pulsation
toujours
répétée
comme
effet
toujours
évanouissant
et
renaissant
du
signifiant.
La
demande
vient
toujours
au
joint
du
sujet
et de
l'Autre.
*
Le
désir,
c'est
toujours
le
désir
de
l'Autre.
Le
signe
fonctionne
toujours
pour quelqu'un.
Il y a
toujours
dans le
symptôme
l'indication
qu'il est
question
de
savoir.
L'humain
est
toujours
responsable
de sa
position
de
sujet.
Un
désigne
toujours
l'objet
comme
manquant.
La
fonction
de
l'aliénation,
c'est un
choix
qui n'en est pas un, en ce
sens
qu'on
y
perd
toujours
quelque
chose.
Un
signifiant
renvoie
toujours
à un
autre
signifiant.
*
Le
réel
c'est
toujours
l'impossible.
*
Un
désir
suppose
toujours
au
moins
deux
demandes
et une
demande
suppose
toujours
au
moins
deux
désirs.
La
Verneinung
est
toujours
dans la
secondarité.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
signifiant,
toujours
autre.
[
Lac66b
, p. 74]
*
La
trace
a
toujours
causé
la
pensée.
*
La
Verleugnung
est
toujours
ce qui a affaire à
l'ambiguïté
qui
résulte
des
effets
de
l'acte
comme tel.
La
définition
du
possible
exige
toujours
une
première
symbolisation.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
La
perversion
tout
entière
a
toujours
une
dimension
démonstrative.
Le
psychanalyste
est
toujours
à la merci du
psychanalysant.
[
Lac70b
, p. 21]
*
La
croyance,
c'est
toujours
le
semblant
en
acte.
[
Lac70b
, p. 29]
Le
savoir
laisse
toujours
un
résidu.
*
Il y a
toujours
un
Autre
où est la tradition,
l'accumulation,
le
réservoir.
*
Le
recours
à
l'image
pour
expliquer
la
métaphore
est
toujours
faux.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Le
névrosé,
noté
veut
dire
que le
sujet
est
toujours
Autre,
mais qu'en
plus
cet
Autre
n'est pas le
bon.
L'acte
manqué
c'est
toujours
un
acte
réussi.
C'est de quelque
chose
de bien
réel
qu'il est
toujours
question
dans la
frustration.
L'économie
est
toujours
un
fait
de
discours.
Le
référent
est
toujours
réel,
parce qu'il est
impossible
à
désigner.
La
parole
dépasse
toujours
le
parleur,
qui est un
parlé.
*
Une
lettre
toujours
en
vient
à sa
destination.
Les
discours
du
maître,
universitaire,
de
l'hystérique,
de
l'analyste
ont la
propriété
de
toujours
avoir
leur
point
d'ordonnance,
d'être
à partir du
semblant.
cf:
18.2.1
5.26.3
Les
rencontres
sexuelles
c'est
toujours
raté.
Un
signe
est
toujours
le
signe
d'un
sujet.
Le
signifié,
c'est
toujours
autre
chose
que ce que le
signifiant
a l'air
d'indiquer.
L'arithmétique
comporte
toujours
d'énonçable,
dans les
termes
propres
qu'elle
comporte,
qui ne sera pas à la
portée
de ce qu'elle
pose
à elle-même comme
mode
à
tenir
pour
reçu
de la
démonstration.
La
nécessité
est
toujours
le
fait
d'un
discours.
*
Le
discours
comme tel, est
toujours
discours
du
semblant.
Le
sujet
est
toujours
béant.
L'amour
est
toujours
réciproque.
*
Les
sentiments
c'est
toujours
réciproques.
Dans le
discours
psychanalytique,
il y a
toujours
émergence,
à chaque
passage,
d'un
discours
à un autre. cf:
18.2.1
*
Le
dit
se
pose
toujours
en
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
*
Les
lettres
viennent
toujours
à
destination.
La
fonction
de la
parole
n'est pas
toujours
appliquée
à
dénoter
des
faits.
Le
signifié
d'un
signifiant
vient
toujours
de la
place
où le
même
signifiant
occupe
un
autre
discours.
C'est de la
fonction
unique
toujours
de
que
s'engendre
la
difficulté
et la complication.
Comprendre,
c'est
être
toujours
compris
soi-même
dans les
effets
du
discours.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
Avant
qu'un
signifiant
soit mis à sa
place,
il y a
toujours
des
effets
de circulation.
Ce dont il s'agit dans le
discours
analytique,
c'est
toujours,
à ce qui
s'énonce
de
signifiant,
de
donner
une
autre
lecture
que ce qu'il
signifie.
La
personne
c'est
toujours
le
discours
du
maître.
*
Je
dis
toujours
plus
que
je
n'en
sais.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
*
L'image,
c'est
toujours
une
intuition
de ce qui est à
symboliser.
*
Les
sentiments
sont
toujours
réciproques.
Le
désir
est
strictement,
durant
toute
la
vie,
toujours
le
même.
Derrière
la
vérité
il y a
toujours
un
désir.
*
Dans ce qu'il en est de
l'amour,
les
sentiments
sont
toujours
réciproques.
*
Le
trois
est
toujours
voilé
par quelque
côté.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
L'imaginaire
toujours
tend à se
réduire
d'une mise à
plat.
L'inhibition
est
toujours
affaire de
corps,
soit de
fonction.
Tout
sujet
n'est
toujours
qu'une
supposition.
Une
supposition
est
toujours
livrée à une
ambiguïté.
Le
sujet
est
toujours
divisé.
*
Le
sentimental
est débile parce que
toujours,
par quelque
biais,
réductible
à
l'imaginaire.
La
cassure
peut
toujours
être
le
réel
comme
impossible.
*
Un
acte
manqué
a
toujours
affaire avec le
sexe.
L'inconscient
suppose
toujours
un
savoir
parlé.
Le
possible,
il y a
toujours
un
temps
où il
cessera
de
s'écrire.
L'imaginaire
a
toujours
tort.
*
Une
lettre
arrive
toujours
à
destination.
Les
signifiants
sont
toujours
reçus.
*
Un
sujet
est
toujours
supposé.
[
Lac78
]
*
La stabilité de la
religion
vient
de ce que le
sens
est
toujours
religieux.
[
Lac82e
, p. 81]
Il y a
toujours
du
refoulé.
[
Lac82f
, p. 92]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08