commun

$0118025_{1954}$
Le monde symbolique n'est pas uniquement limité au sujet car le monde symbolique se réalise dans une langue qui est la langue commune, qui est le système symbolique universel.
$0124008_{1954}$
L'erreur est l'incarnation commune et habituelle de la vérité.
$0210005_{1955}$
Le symptôme et le rêve ne sont communs que parce qu'ils ont une grammaire commune.
$0314030_{1956}$
La question de la procréation est le facteur commun à la position masculine et féminine.
$0402005_{1956}$
En fin d'analyse, l'objet se détache, non plus  sur fond d'angoisse, mais sur le fond de réalité commune.
$0516011_{1958}$
L'idéal-du-moi a toujours un certain rapport avec ce facteur commun métonymique qu'est le phallus.
$1008028_{1963}$
Le désir et la loi c'est la même chose car ils ont leur objet commun.
$1009003_{1963}$
L'angoisse est ce qui est commun au sujet et à l'Autre.
$1020010_{1963}$
* C'est parce que le phallus ne réalise pas, si ce n'est dans son  évanescence, la rencontre des désirs, qu'il devient le lieu commun de l'angoisse.
$1102006_{1964}$
Ce qui est commun au rêve, à l'acte manqué, dans le mot d'esprit, c'est l'achoppement, la défaillance, la fêlure.
$1903012_{1972}$
Il y a béance d'une indétermination du rapport commun à la jouissance de l'homme et de la femme.
$2703002_{1972}$
* Il y a du sens, mais il n'y en a pas de commun.
$2102001_{1973}$
* Il n'y a rien de commun entre l'inconscient et l'occulte.
$2205003_{1975}$
* Le facteur commun du $a$, c'est d'être lié aux orifices du corps.
$2409003_{1977}$
* La duplicité de sens est commune à tout signifiant.

Jacques B. Siboni 2024-11-08