Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.10 J
Précédent:
jonction
Suivant:
jubilation
Index:
Index
jouissance
Plus
l'ego
s'élabore,
plus
s'approfondit pour le
sujet
l'aliénation
de sa
jouissance.
[
Lac66a
, p. 250]
L'obsédé
efface
sa
jouissance
pour ne pas
réveiller
la
colère
du
maître.
Par
rapport
à son
maître
l'obsédé
nie
sa
jouissance.
Le
maître
a
pris
à
l'esclave
sa
jouissance,
et ainsi a
perdu
son
humanité.
*
Celui qui a
conquis
la
jouissance
devient
complètement
idiot.
La
frustration
de
l'amour
et la
frustration
de la
jouissance
sont
deux
choses
différentes.
*
Ce n'est pas la
frustration
de la
jouissance
qui
engendre
la
réalité.
La
frustration
de la
jouissance
produit
tout
au
plus
la relance du
désir
mais
aucune
espèce
de
constitution
d'objet.
Ce qui
succède
à la
frustration
de
l'objet
de
jouissance
chez
l'enfant,
c'est quelque
chose
qui se
maintient
dans le
sujet
à
l'état
de
relation
imaginaire.
Le
Witz
restitue sa
jouissance
à la
demande
essentiellement
insatisfaite
sous le
double
aspect
identique
de la
surprise
et du
plaisir;
le
plaisir
de la
surprise
et la
surprise
du
plaisir.
Le
pervers
jouit
de son
désir.
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Dans la
psychose,
toute
l'épaisseur de la
créature
réelle
s'interpose
pour le
sujet
entre
la
jouissance
narcissique
de son
image
et
l'aliénation
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 572]
L'idéal-du-moi
se
forme
par l'adoption
inconsciente
de
l'image
de
l'Autre
en tant qu'il a la
jouissance
de ce
désir
[
Lac66a
, p. 752]
Là où le
phallus
est un
organe,
il est
instrument
de
jouissance.
L'obsessionnel,
ce n'est pas lui qui
jouit.
L'hystérique
ce n'est pas d'elle dont
on
jouit.
Non
seulement
le
meurtre
du
père
n'ouvre
pas la
voie
vers la
jouissance
que la
présence
du
père
était
censée
interdire,
mais elle en
renforce
l'interdiction.
*
La
transgression
dans le
sens
de la
jouissance
ne
s'accomplit
qu'à s'appuyer sur le
principe
contraire,
sur les
formes
de la
loi.
La
jouissance,
en tant que
jouissance
implique
l'acceptation de la
mort.
La
jouissance
se
présente
comme un
champ
cerné
d'une
barrière.
La
jouissance
ne se
présente
pas comme la
satisfaction
d'un
besoin
mais comme la
satisfaction
d'une
pulsion.
Le
graphe
complet,
1.30.3
, décrit:
jouissance,
,
,
castration,
,
,
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 817]
Le
manque
de la
jouissance
fait
l'Autre
inconsistant.
[
Lac66a
, pp. 819–820]
Ce n'est pas la
loi
qui
barre
l'accès
du
sujet
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 821]
C'est le
plaisir
qui
apporte
à la
jouissance
ses
limites.
[
Lac66a
, p. 821]
Dans la
dialectique
du
désir,
le
phallus
donne
corps
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 822]
L'organe
érectile
vient
à
symboliser
la
place
de la
jouissance
en tant que
partie
manquante
à
l'image
désirée.
[
Lac66a
, p. 822]
est le
phallus
symbolique,
impossible
à
négativer,
signifiant
de la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 823]
*
Le
pervers
s'imagine
être
l'Autre
pour
assurer
sa
jouissance.
[
Lac66a
, pp. 824–825]
Le
névrosé
refuse
de
sacrifier
sa
castration
à la
jouissance
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 826]
*
La
castration
veut
dire
qu'il faut que la
jouissance
soit
refusée,
pour qu'elle
puisse
être
atteinte
sur l'échelle
renversée
de la
loi
du
désir.
[
Lac66a
, p. 827]
*
Le
savoir
est un
fantasme
qui n'est
fait
que pour la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
Le
savoir
manque
nécessairement
la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
Le
sujet
n'est
rien
que le
trou
par quoi
tout
Autre
est
séparé
de la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 15]
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
L'Autre
c'est la
jouissance
en tant
qu'interdite.
Le
seul
Autre
réel
est ce dont
on
pourrait
jouir
sans
la
loi.
*
Le
pervers
est celui qui se
fait
objet
pour la
jouissance
d'un
phallus
dont il ne soupçonne pas
l'appartenance.
Le
pervers
est
l'instrument
de la
jouissance
d'un
dieu.
Le
sujet
pervers
s'offre
loyalement à la
jouissance
de
l'Autre.
L'angoisse
du cauchemar est
éprouvée
comme celle de la
jouissance
de
l'Autre.
La
jouissance
de
l'expérience
sadienne
projette
d'atteindre
la
pudeur
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 771]
Le
du
schéma
1.29.1
est la
volonté
de
jouissance.
[
Lac66a
, p. 778]
Rabattre la
jouissance
à la misère de tel
effet
où trébuche sa
recherche,
est
tourner
la
loi
morale
en
dégoût
et
mépris.
[
Lac66a
, p. 771]
Dans le
schéma
1.29.2
,
désigne
la
volonté
de
jouissance.
[
Lac66a
, p. 778]
*
Le
symptôme,
dans sa
nature,
est
jouissance.
Dans la
manifestation
sadienne
le
désir
se
présente
comme
volonté
de
jouissance.
La
volonté
de
jouissance,
chez chacun,
échoue
en
rencontrant
sa
limite.
Le
pervers
ne
sait
pas au
service
de quelle
jouissance
s'exerce son
activité.
L'angoisse
tient
une
position
médiane
entre
jouissance
et
désir.
*
La
jouissance
ne
connaîtra
pas
l'Autre
sinon par ce
reste
.
L'angoisse
se
situe
dans la
béance
du
désir
à la
jouissance.
*
Le
masochiste
vise
la
jouissance
de
l'Autre.
*
L'angoisse
fait
le
médium
du
désir
à la
jouissance.
*
Seul
l'amour
permet
à la
jouissance
de condescendre au
désir.
Seul
l'amour-sublimation
permet
à la
jouissance
de condescendre au
désir.
Chez la
femme,
il n'y a
rien
à
désirer
sur le
chemin
de la
jouissance.
L'angoisse
se
produit
dans la
faille
entre
jouissance
et
désir.
Pour la
femme,
le
désir
de
l'Autre
est le
moyen
pour que sa
jouissance
ait
un
objet
convenable.
*
La
jouissance
de la
femme
et de
l'homme
ne se
conjoignent
pas
organiquement.
La
femme
ne
peut
jouir
de
que parce qu'il n'est pas à sa
place,
à la
place
de sa
jouissance.
La
jouissance
dans
l'Autre,
axe
de la
sexualité,
est
marquée
de
l'instrument
manquant
que
désigne
.
L'axe
ce la
jouissance
dans
l'Autre
est
marqué
de
l'angoisse
de
castration.
Le
défaut
de
phallus
est
constituant
de la
disjonction
qui
joint
le
désir
à la
jouissance.
*
La
jouissance
de la
femme
est en elle-même, elle ne la
conjoint
pas à
l'Autre.
L'angoisse
sépare
le
désir
de la
jouissance.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
L'orgasme
est en lui-même
angoisse,
pour autant que le
désir
est
séparé
de la
jouissance.
La
jouissance
est du
côté
de la
Chose.
[
Lac66a
, p. 853]
Au
centre
de la
perversion
il y a
jouissance
de
l'Autre.
Jouir
de la
vérité,
c'est la
pulsion
épistémologique.
Jouir
de la
vérité
est la
visée
véritable
de la
pulsion
épistémophilique.
La
jouissance
est
soustraite
au
champ
de
l'amour
courtois,
où est
permis
un
certain
équilibre
de la
vérité
et du
savoir.
*
La
pulsion
épistémologique,
c'est la
vérité
qui
s'offre
comme
jouissance.
La
jouissance
ne
peut
être
qu'identique
à
toute
présence
de
corps.
La
jouissance
ne se
conçoit
que de ce qui est
corps.
Il
n'appartient
qu'à un
corps
de
jouir
ou de ne pas
jouir.
*
En lui-même le
symptôme
est
jouissance.
Le
pénis
est le
signifiant
de la
perte
qui se
produit
au
niveau
de la
jouissance,
de par la
fonction
de la
loi.
La
jouissance
est
prise
au
réseau
du
langage
en tant qu'elle est
jouissance
sexuelle.
*
C'est du
côté
de
l'esclave
que
reste
la
jouissance.
*
Dans la
jouissance
féminine
peut
entrer
comme
objet
le
désir
de
l'homme,
comme tel.
*
Le
fantasme
et le
désir
sont précisément des
barrières
à la
jouissance.
c'est le
phallus
en tant
qu'objet
en
jeu
dans le
rapport
à la
jouissance.
L'angoisse
surgit
de ceci que la
question
sur la
jouissance
ne lui
vient
que du
désir
de
l'Autre.
La
paranoïa
identifie
la
jouissance
dans le
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66b
, p. 74]
*
Il ne m'est pas
donné,
ni
donnable,
d'autre
jouissance
que celle de
mon
corps.
Il y a
hétérogénéité
radicale
entre
la
jouissance
mâle
et la
jouissance
femelle.
La
valeur
de
jouissance
est au
principe
de
l'économie
de
l'inconscient.
*
La
valeur
de
jouissance
prend
origine
dans le
manque,
marqué
par le
complexe
de
castration.
Le
complexe
de
castration
est comme
originel
dans la
fonction
économique
de la
jouissance.
Il n'y a de
jouissance
repérable
que du
corps
propre.
La
jouissance
du
corps
propre
ne
s'évoque
pas
ailleurs
que dans
l'acte.
La
jouissance,
distincte
du
plaisir
constitue
un
au-delà.
La
jouissance
est ce quelque
chose
qui a un
certain
rapport
au
sujet.
Le
maître
jouit
soit de lui-même, soit du
corps
de
l'esclave.
*
Le
masochiste
sait
qu'il est dans la
jouissance.
*
La
jouissance
est ce quelque
chose
dans quoi
marque
ses
traits
et ses
limites
le
principe
du
plaisir.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps
5
.
258
.
Le
sujet
met le
corps
et la
jouissance
dans un
rapport
de
fonction
d'aliénation.
La
jouissance
est dans le
fondement
premier
de la
subjectivation
du
corps.
L'introduction
du
sujet
comme
effet
de
signifiant
gît
dans la
séparation
du
corps
et de la
jouissance.
C'est du
lieu
de
que le
pervers
interroge
ce qu'il en est de la
fonction
de la
jouissance.
Le
pervers
vise
la
jouissance
de
l'Autre.
Le
sujet
est au
disjoint
du
corps
et de la
jouissance.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
Il y a
décalage
ou
Verschiebung
dès que
s'introduit,
entre
le
corps
et la
jouissance,
la
fonction
du
sujet.
Le
corps
de la
femme
est la
métaphore
de la
jouissance
du
mâle.
Le
phallus
est le
symbole
d'une
jouissance
soustraite
comme telle.
est le
formule
de la
disjonction
de la
jouissance
et du
corps.
L'acte
pervers
se
situe
au
niveau
de la
question
sur la
jouissance.
La
fonction
de
sujet
a pour
effet
la
disjonction
du
corps
et de la
jouissance.
C'est au
niveau
de la
partition
entre
corps
et
jouissance
qu'intervient
le
plus
typiquement la
perversion.
*
L'homme
est
effectivement
le
premier
à
supporter
la
réalité
de ce
trou
introduit
dans la
jouissance.
L'objet
est le
reste
où se réfugie la
jouissance
qui ne
tombe
pas sous le coup du
principe
du
plaisir.
*
L'érection
est un
phénomène
qu'il faut
situer
sur le
chemin
de la
jouissance.
L'érection
est
jouissance.
*
Le
plaisir
défend
l'accès
à la
jouissance.
[
Lac68a
, p. 57]
Le
corps
est
disjoint
de sa
jouissance.
[
Lac68a
, p. 57]
C'est de la
jouissance
que la
vérité
trouve
à
résister
au
savoir.
[
Lac68a
, p. 58]
*
C'est pour ne pas
renoncer
à la
jouissance
que
l'esclave
devient
esclave.
Le
statut
du
maître
est
d'avoir
renoncé
à la
jouissance.
La
fonction
du
plus-de-jouir
apparaît
par le
fait
du
discours
parce qu'elle
démontre,
dans la
renonciation
à la
jouissance,
un
effet
du
discours
lui-même.
*
Le
discours
détient les
moyens
de
jouir
en tant qu'ils
impliquent
le
sujet.
*
C'est dans le
discours
sur la
fonction
de la
renonciation
à la
jouissance
que
s'introduit
le
terme
de
l'objet
.
La
jouissance
fait
la
substance
de la
psychanalyse.
La
jouissance
introduit
la
fonction
du
plus-de-jouir.
Le
plaisir
fait
barrière
à la
jouissance.
[
Lac84b
, p. 22]
La
jouissance
n'est point
identifiable
à la
règle
du
plaisir.
La
jouissance
se colore.
La
jouissance
est
rapport
au
corps,
essentiellement.
La
jouissance
est un
rapport
qui se
fonde
sur
l'exclusion
et
l'inclusion.
La
topologie
de la
jouissance
est la
topologie
du
sujet.
Tous les
problèmes
de la
jouissance
sont
essentiellement
liés
à la
division
du
sujet.
*
Le
sujet
fait
la
structure
de la
jouissance.
Le
maître
laisse à
l'autre
la
jouissance.
*
La
jouissance
est
visée
dans un
effort
de
retrouvailles.
*
Le
jouir
de la
mère
est
interdit.
*
Ce qui est
interdit
c'est le
jouir
de la
mère.
À
l'origine
l'hystérique
met la
jouissance
en
ordre
logiquement
en la
posant
comme un
absolu.
C'est en
posant
la
jouissance
comme un
absolu
que
l'hystérique
est
rejetée.
La
jouissance
des
pulsions
est
liée
à la
sexualité.
La
jouissance
est ce
terme
qui ne
s'institue
que de son évacuation du
champ
de
l'Autre.
*
L'objet
a ce quelque
chose
qui
peut
fonctionner
comme
équivalent
de la
jouissance.
Il y a une
limite
imposée
à la
jouissance
par la
fonction
du
principe
du
plaisir.
*
C'est à la
jouissance
de
l'Autre
que
l'exhibitionniste
veille.
La
jouissance
de
l'instrument
phallus
fait
barrage
à la
jouissance
de
l'Autre.
Le
principe
du
plaisir
c'est la
barrière
à la
jouissance.
Le
principe
du
plaisir
constitue
la
barrière
à la
jouissance.
*
Il n'y a pas de
sujet
de la
jouissance
sexuelle.
Le
phallus
est ce qui est, de la
jouissance
sexuelle,
radicalement
forclos.
Le
père
primordial,
c'est celui qui
confond
dans sa
jouissance,
toutes
les
femmes.
*
Par un
lien
à quelque
chose
qui n'est
rien
d'autre
que ce qui
permet
l'émergence
du
savoir,
la
jouissance
est
exclue.
Le
signifiant
phallus
est le
signifiant
de la
jouissance,
signifiant
exclu.
*
Pour le
névrosé,
le
savoir
est la
jouissance
du
sujet
supposé
savoir.
L'obsessionnel
entend échapper à la
jouissance.
C'est parce que le
trait
unaire
vise
à la
répétition
d'une
jouissance
qu'un
autre
trait
unaire
surgit
après-coup.
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
*
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
Le
chemin
vers la
mort
s'appelle
la
jouissance.
La
répétition
nécessite
la
jouissance.
*
La
répétition
est
fondée
sur un
retour
de la
jouissance.
*
Dans la
répétition
même,
il y a
déperdition
de
jouissance.
La
répétition
inaugurale
dans la
structure
du
signifiant
est
répétition
visant
à
jouissance.
Dans la
répétition,
et sous la
forme
du
trait
unaire,
le
savoir
se
trouve
être
le
moyen
de la
jouissance.
Là où il y a
perte
de
jouissance,
quelque
chose
qu'introduit
la
répétition
surgit,
la
fonction
de
l'objet
perdu,
le
.
*
Le
signifiant
s'introduit
comme
appareil
de la
jouissance.
C'est
seulement
de la
jouissance,
que
s'établit
la
division
dont se
distingue
le
narcissisme,
de la
relation
à
l'objet.
La
jouissance
s'introduit
dans la
dimension
de
l'être
du
sujet.
La
jouissance
prend
statut
seulement
dans un
effet
d'entropie, de
déperdition.
C'est avec le
savoir
en tant que
moyen
de la
jouissance
que se
produit
ce
travail
qui a un
sens
de
vérité.
*
Là où
c'était
le
plus-de-jouir,
le
jouir
de
l'Autre,
c'est là que
moi,
en tant que
je
profère
l'acte
psychanalytique,
je
dois
venir.
Ce qui
déprime
chez un
con
c'est
qu'on
ne
sait
pas très
bien
en quoi il a affaire à la
jouissance.
Le
principe
du
plaisir
c'est le
moins
de
jouissance.
Dans le
travail
de la
vérité,
il n'y a de
discours
que de la
jouissance.
*
Le
savoir
est
moyen
de la
jouissance.
L'esclave
est
seul
possesseur
des
moyens
de la
jouissance.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
La
perte
de
jouissance
c'est le
plus-de-jouir,
Le
savoir
dans le
discours
de
l'hystérique
vient
à la
place
de la
jouissance.
Le
maître
a
privé
l'esclave
de la disposition de son
corps,
mais à cet
esclave
il lui a laissé la
jouissance.
Le
maître,
d'avoir
renoncé
à la
jouissance,
réclame à
l'esclave
le
plus-de-jouir.
Quelque
chose
de la
jouissance
doit
être
rendu au
maître,
c'est le
plus-de-jouir.
Dans la
partie
du
discours
du
maître,
le
fantasme
fait
barrière
à la
jouissance
du
maître.
Le
meurtre
du
père
est
jouissance
subjective
et
objective
de la
mère,
elle
jouit
et
on
en
jouit.
Le
discours
du
maître
montre
la
jouissance
comme
venant
de
l'Autre.
C'est de
l'entrée
en
jeu
du
signifiant
que
peut
se
marquer
la
jouissance.
L'entrée
en
jeu
du
langage
fonde
la
séparation
de la
jouissance
et du
corps.
La
métonymie,
joue
de la
jouissance
où le
sujet
se
produit
comme
coupure.
[
Lac70d
, p. 70]
Le
réel
s'incarne
de la
jouissance
sexuelle
comme
impossible.
La
jouissance
sexuelle
ne
s'articule
que du
phallus,
en tant qu'il est son
signifiant.
Le
phallus
est la
jouissance
sexuelle
en tant qu'elle est
coordonnée,
qu'elle est
solidaire
d'un
semblant.
Le
phallus
est le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
en tant qu'elle est
détachée.
Le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
c'est le
phallus,
c'est le
nom-du-père.
*
La
femme
est en
position,
au regard de la
jouissance
sexuelle,
de ponctuer
l'équivalence
de la
jouissance
et du
semblant.
*
La
jouissance
est
semblant.
La
femme
sait
ce qui, de la
jouissance
et du
semblant,
est
disjonctif.
Jouissance
et
semblant
s'équivalent
dans une
dimension
du
discours.
Le
phallus
vise
son
rapport
à la
jouissance.
Le
phallus
c'est
l'organe,
en tant qu'il est la
jouissance
féminine.
Le
père
primordial
jouit
de
toutes
les
femmes.
Le
phallus
c'est la
jouissance
féminine.
*
La
jouissance
sexuelle
se
trouve
ne pas
pouvoir
être
écrite.
La
symbolisation
de la
jouissance
sexuelle
emprunte
tout
son
symbolisme
à la
jouissance,
en tant qu'elle est
interdite
par le
principe
du
plaisir.
Le
principe
du
plaisir
a pour
sens,
pas trop de
jouissance,
car
l'étoffe
de
toutes
les
jouissances
confine à la
souffrance.
La
jouissance
sexuelle
n'a
trouvé
pour se
structurer
que la
référence
à
l'interdit,
en tant que
nommé,
de la
jouissance
mortelle.
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
Entre
la
jouissance
et le
savoir,
la
lettre
ferait
littoral.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a un
littoral.
*
L'écrit
c'est la
jouissance.
La
vérité
ne
peut
dire
que le
semblant
sur la
jouissance.
L'écriture
donne
accès
à
toutes
les
jouissances
qui, de
part
le
discours,
s'avèrent
s'ouvrir
à
l'être
parlant.
*
Parler
veut
dire
la
division
sans
remède de la
jouissance
et du
semblant.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
*
Ce que
dit
le
surmoi
c'est
jouis
!
Le
signifiant
c'est la
jouissance,
et le
phallus
c'est le
signifié.
*
La
femme
ne
sait
jouir
que dans une
absence.
La
jouissance
sexuelle
fait
barrage
au
rapport.
*
La
jouissance
sexuelle
ouvre
pour
l'être
parlant
la porte à la
jouissance.
Ce que
produit
la
relation
du
signifiant
à la
jouissance
c'est
,
où
ne
désigne
qu'un
signifiant.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a
littoral.
[
Lac71a
, p. 7]
Le
bénéfice
de
l'interprétation
est à
situer
au
niveau
de la
jouissance.
*
Pour
jouir
il faut un
corps.
Le
savoir
est de
l'ordre
de la
jouissance.
Le
noyau
de la
psychanalyse
qui
s'appelle
jouissance
sexuelle,
est opaque.
Il y a
béance
d'une
indétermination
du
rapport
commun
à la
jouissance
de
l'homme
et de la
femme.
*
La
jouissance
sexuelle
est le
pivot
de
toute
jouissance.
*
On
ne
jouit
que de
l'Autre.
On
ne
jouit
que de
l'Autre,
mais pas
sexuellement.
On
jouit
mentalement
de
l'Autre.
est la
formule
qu'on
jouit
mentalement
de
l'Autre.
Nos
fantasmes
nous
jouissent.
*
La
jouissance
constitutive
de
l'être
parlant
se démarque de la
jouissance
sexuelle.
Le
propre
de la
jouissance,
c'est que quand il y a
deux
corps,
on
ne
peut
pas
dire
lequel
jouit.
*
Tout
ce qui est
dit
fait
jouir.
L'essence
du
sommeil
c'est la
suspension
du
rapport
du
corps
à la
jouissance.
Au
fond
de
tous
les
droits
il y a la
jouissance.
*
La
jouissance
ça ne
sert
à
rien.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
5
.
259
qui le
symbolise,
n'est pas le
signe
de
l'amour.
Il y a de la
béance
de
l'Un
à quelque
chose
qui
tient
à
l'être,
et
derrière
l'être
à la
jouissance.
*
L'être
c'est la
jouissance
du
corps.
La
jouissance
sexuelle
est
dominée
par
l'impossibilité
d'établir
dans
l'énonçable,
l'Un
de la
relation,
le
rapport
sexuel.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
La
femme
se
définit
d'une
position
du pas
toute
à
l'endroit
de la
jouissance
phallique.
La
jouissance
phallique
est
l'obstacle
par quoi
l'homme
n'arrive
pas à
jouir
du
corps
de la
femme.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
ne se promeut que de
l'infinitude.
*
La
jouissance
en tant que
sexuelle
est
phallique.
*
L'être
sexué
est
intéressé
dans la
jouissance.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
Le
corps
symbolise
l'Autre
dans sa
jouissance.
La
jouissance
de
l'Autre
c'est proprement celle de
l'Autre
sexe.
*
Un
corps,
ça se
jouit.
Un
corps
ne se
jouit
que de le
corporiser
de
façon
signifiante.
*
On
ne
peut
jouir
que d'une
partie
du
corps
de
l'autre.
Le
corps
de l'un
jouit
d'une
part
du
corps
de
l'autre.
La
jouissance
n'est pas un
signe
de
l'amour.
*
Le
signifiant
se
situe
au
niveau
de la
substance
jouissante.
*
Le
signifiant,
c'est la
cause
de la
jouissance.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
fait
halte à la
jouissance.
La
jouissance
pense,
calcule,
juge.
[
Lac75f
, p. 9]
La
jouissance
est de
l'Autre.
[
Lac75f
, p. 9]
Le
pôle
du
semblant
est
corrélatif
du
pôle
de la
jouissance
en tant
qu'obstacle
au
rapport
sexuel.
La
femme
recèle
une
autre
jouissance
que la
jouissance
phallique.
La
jouissance
proprement
féminine
ne
dépend
nullement
de la
jouissance
phallique.
*
Si la
femme
n'est pas
toute,
c'est que sa
jouissance,
elle, est
duelle.
Tout
savoir
naïf
est
associé
à un
voilement
de la
jouissance
qui s'y
réalise.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
C'est d'une
suppléance
du pas
toute
sur quoi
repose
la
jouissance
de la
femme.
La
jouissance
de la
femme
n'est pas
toute.
La
jouissance
de
l'Autre
est
symbolisée
par le
corps.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
*
La
réalité
est abordée avec les
appareils
de la
jouissance.
*
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
est
appareillée.
Le
langage
se
pose
comme
appareil
de
jouissance.
La
réalité
est abordée avec les
appareils
de la
jouissance.
On
refoule
la
jouissance.
La
jouissance
ne convient pas au
rapport
sexuel.
Du
fait
que la
jouissance
parle,
le
rapport
sexuel
n'est pas.
*
La
pensée
est
jouissance.
*
Il y a
jouissance
de
l'être.
La
femme
a, par
rapport
à ce que
désigne
de
jouissance
la
fonction
phallique,
une
jouissance
supplémentaire.
Il y a une
jouissance
au-delà
du
phallus.
La
jouissance
de
femme
est en
plus.
Le
phallus
se
supporte
chez
l'homme
de la
jouissance
phallique.
cf:
20.8.1
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
*
Parler
d'amour
est en
soi
une
jouissance.
ne
désigne
rien
d'autre
que la
jouissance
de
femme.
*
La
jouissance
est une
limite.
La
jouissance
ne
s'évoque,
ne
s'élabore
qu'à partir d'un
semblant.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
La
fondation
d'un
savoir
est que la
jouissance
de son
exercice
est la
même
que celle de son
acquisition.
L'inconscient,
c'est que
l'être,
en
parlant,
jouisse.
La
structure
est du
texte
même
de la
jouissance.
Là où
ça
parle,
ça
jouit.
La
fin
de la
jouissance
est à coté de ce à quoi elle
aboutit,
c'est à
savoir
la
reproduction.
Le
corps
parlant
ne
peut
réussir
à se
reproduire
que grâce à un
malentendu
sur sa
jouissance.
Dans le
désir
de
toute
demande,
il n'y a que la
requête
de ce quelque
chose
qui, au
regard
de la
jouissance,
serait
satisfaisant.
Ce qui
s'écrit,
c'est les
conditions
de la
jouissance.
La
jouissance
de
l'Autre
n'est pas le
signe
de
l'amour.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
Dans la
jouissance
perverse,
l'Autre
se
réduit
à
l'objet
.
Le
travail
c'est ce qui
fait
des
rapports
au
savoir,
la
jouissance.
*
C'est dans le
chiffrage
qu'est la
jouissance.
Le
seul
sens
de
l'interprétation
c'est la
jouissance.
La
jouissance
fait
obstacle
à ce que le
rapport
sexuel
ne
puisse
d'aucune
façon
s'inscrire.
L'imaginaire
pris
comme
moyen
signe
l'amour
courtois
dans ce qu'il
imagine
de la
jouissance
et de la
mort.
*
L'amour
devient
réellement
le
moyen
par quoi la
mort
s'unit
à la
jouissance.
La
jouissance
liée
au
processus
primaire
consiste
dans des
défilés
logiques.
[
Lac74b
, p. 20]
Les
chaînes
signifiantes
ne sont pas de
sens,
mais de
jouis-sens.
[
Lac74b
, p. 22]
*
Le
saint
est le
rebut
de la
jouissance.
[
Lac74b
, p. 29]
La
jouissance
ne
fait
pas
énergie.
[
Lac74b
, p. 35]
Ce qui
fait
obstacle
au
rapport
sexuel
établi, c'est que dans le
chiffrage
est la
jouissance.
[
Lac75d
, p. 14]
La
jouissance
de la
femme
ne va pas
sans
le
dire
de la
vérité.
Un
connote
la
jouissance.
Le
corps
est une
substance
jouissante.
*
Le
corps
jouit
de lui-même.
Les
mathématiciens
jouissent
du
réel.
*
La
jouissance
du
réel
ne va pas
sans
le
réel
de la
jouissance.
Le
corps
réprime
sa
jouissance.
La
jouissance,
le
corps,
la
mort
sont
noués
seulement
par cette
impasse
invérifiable
du
sexe.
La
jouissance
fait
éruption
5
.
260
dans le
réel.
*
Le
savoir
c'est pas pareil que la
jouissance.
Un
surgit
de la
jouissance
phallique.
La
jouissance
phallique
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
signifiant
est le
substitut
à la
jouissance
phallique.
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
phallique
prévaut.
*
c'est le
lieu
de la
jouissance
de la
femme.
La
jouissance
participe
de
l'imaginaire
du
sens.
*
Au
regard
du
réel,
c'est d'autre
chose
que de
sens
qu'il s'agit dans la
jouissance.
La
jouissance
phallique
est en
relation
à ce qui au
réel
ex-siste
.
La
jouissance
ex-siste
au
réel
comme
faisant
trou.
La
jouissance
phallique
intéresse
l'autre
du
corps,
l'autre
sexe.
Il y a un
rapport
du
sens
à la
jouissance
phallique.
[
Lac74a
, p. 9]
*
Le
sens
du
sens
est qu'il se
lie
à la
jouissance
du
garçon
comme
interdite.
[
Lac74a
, p. 10]
La
jouissance
phallique
est aussi bien l'affaire d'une
femme.
Dans la
jouissance
de
l'Autre
il s'agit d'un génitif
objectif.
Le
jouir
est à
l'horizon
du
plus
et du
moins,
point
idéal
nommé
phallus.
Il y a un
réel
qui
ex-siste
au
phallus,
c'est la
jouissance.
Le
phallus
est ce qui
barre
la
jouissance
du
corps
de
l'autre.
L'imaginaire
c'est le pas de
jouissance.
*
Il n'y a pas de
jouissance
de
l'Autre
en ceci qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
La
jouissance
du
phallus
n'est pas la
jouissance
pénienne.
La
jouissance
phallique
se
situe
à la
conjonction
du
symbolique
avec le
réel.
*
La
jouissance
phallique
est au
joint
du
symbolique
et du
réel.
Jouis-sens
c'est
rendre
la
jouissance
possible,
c'est
ouïr
un
sens.
*
La
jouissance
c'est du
réel.
La
jouissance
du
réel
comporte
le
masochisme.
Le
masochisme
est le
majeur
de la
jouissance
que
donne
le
réel.
La
femme
n'est pas
privée
de la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
La
femme
n'a pas
moins
que
l'homme
la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
Suivant:
jubilation
Remonter:
5.10 J
Précédent:
jonction
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08