jouissance

$0012005_{1953}$
Plus l'ego s'élabore, plus s'approfondit pour le sujet l'aliénation de sa jouissance. [Lac66a, p. 250]
$0222012_{1955}$
L'obsédé efface sa jouissance pour ne pas réveiller la colère du maître.
$0222013_{1955}$
Par rapport à  son maître l'obsédé nie sa jouissance.
$0303026_{1955}$
Le maître a pris à l'esclave sa jouissance, et ainsi a perdu  son humanité.
$0303027_{1955}$
* Celui qui a conquis la jouissance devient complètement idiot.
$0407018_{1957}$
La frustration de l'amour et la frustration de la jouissance sont deux choses différentes.
$0407020_{1957}$
* Ce n'est pas la frustration de la jouissance qui engendre la réalité.
$0407021_{1957}$
La frustration de la jouissance produit tout au plus la relance du désir mais aucune espèce de constitution d'objet.
$0407022_{1957}$
Ce qui succède à la frustration de l'objet de jouissance chez l'enfant, c'est quelque chose qui se maintient dans le sujet à l'état de relation imaginaire.
$0507001_{1957}$
Le Witz restitue sa jouissance à la demande essentiellement insatisfaite sous le double aspect identique de la surprise et du plaisir; le plaisir de la surprise et la surprise du plaisir.
$0517024_{1958}$
Le pervers jouit de son  désir.
$0021051_{1958}$
Le schéma $I$, figure 1.21.2, désigne les objets: $M$, qui s'adresse à  nous, $a$, la jouissance transsexualiste, le laissé tombé par le créateur, l'image de la créature, $\mathcal{S}$, $\Phi_{0}$, $\mathcal{R}$, $\ensuremath{P}\xspace _{0}$, $\mathcal{I}$, le futur de la créature, les créatures de la parole, la parole où se maintient le réel, $I$, $a '$, aime sa femme. [Lac66a, p. 571]
$0021053_{1958}$
Dans la psychose, toute l'épaisseur de la créature réelle s'interpose pour le sujet entre  la jouissance narcissique de son  image et l'aliénation de la parole. [Lac66a, p. 572]
$0028002_{1958}$
L'idéal-du-moi se forme par l'adoption inconsciente de l'image de l'Autre en tant qu'il a la jouissance de ce désir [Lac66a, p. 752]
$0624012_{1959}$
Là où le phallus est un organe, il est instrument de jouissance.
$0625016_{1959}$
L'obsessionnel, ce n'est pas lui qui jouit.
$0625017_{1959}$
L'hystérique ce n'est pas d'elle dont on jouit.
$0714001_{1960}$
Non seulement le meurtre du père n'ouvre pas la voie vers la jouissance que la présence du père était censée interdire, mais elle en renforce l'interdiction.
$0714002_{1960}$
* La transgression dans le sens de la jouissance ne s'accomplit qu'à s'appuyer sur le principe contraire, sur les formes de la loi.
$0715002_{1960}$
La jouissance, en tant que jouissance implique l'acceptation de la mort.
$0718004_{1960}$
La jouissance se présente comme un champ cerné d'une barrière.
$0718005_{1960}$
La jouissance ne se présente pas comme la satisfaction d'un besoin mais comme la satisfaction d'une pulsion.
$0030068_{1960}$
Le graphe complet, 1.30.3, décrit: jouissance, $S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$, \ensuremath{(\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \;
\ensuremath{D}\xspace )}, castration, \ensuremath{ (\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \; a)}, $d$, signifiant, $s (\ensuremath{A}\xspace )$, $A$, voix, $m$, $i ( \ensuremath{a}\xspace )$, \ensuremath {\ensuremath{I}\xspace ( \ensuremath{A}\xspace )}, $\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace $. [Lac66a, p. 817]
$0030081_{1960}$
Le manque de la jouissance fait l'Autre inconsistant. [Lac66a, pp. 819–820]
$0030082_{1960}$
Ce n'est pas la loi qui barre l'accès du sujet à la jouissance. [Lac66a, p. 821]
$0030084_{1960}$
C'est le plaisir qui apporte à la jouissance ses limites. [Lac66a, p. 821]
$0030085_{1960}$
Dans la dialectique du désir, le phallus donne corps à la jouissance. [Lac66a, p. 822]
$0030088_{1960}$
L'organe érectile vient à symboliser la place de la jouissance en tant que partie manquante à l'image désirée. [Lac66a, p. 822]
$0030090_{1960}$
$\Phi$ est le phallus symbolique, impossible à négativer, signifiant de la jouissance. [Lac66a, p. 823]
$0030098_{1960}$
* Le pervers s'imagine être l'Autre pour assurer sa jouissance. [Lac66a, pp. 824–825]
$0030105_{1960}$
Le névrosé refuse de sacrifier sa castration à la jouissance de l'Autre. [Lac66a, p. 826]
$0030108_{1960}$
* La castration veut dire qu'il faut que la jouissance soit refusée, pour qu'elle puisse être atteinte sur l'échelle renversée de la loi du désir. [Lac66a, p. 827]
$0040010_{1960}$
* Le savoir est un fantasme qui n'est fait que pour la jouissance. [Lac84a, p. 14]
$0040011_{1960}$
Le savoir manque nécessairement la jouissance. [Lac84a, p. 14]
$0040013_{1960}$
Le sujet n'est rien que le trou par quoi tout Autre est séparé de la jouissance. [Lac84a, p. 15]
$0915009_{1962}$
* La jouissance se définit par rapport à la Chose par la dimension de l'Autre comme tel, en tant que cette dimension de l'Autre se définit par l'introduction du signifiant.
$0916002_{1962}$
L'Autre c'est la jouissance en tant qu'interdite.
$0916006_{1962}$
Le seul Autre réel est ce dont on pourrait jouir sans la loi.
$0918001_{1962}$
* Le pervers est celui qui se fait objet pour la jouissance d'un phallus dont il ne soupçonne pas l'appartenance.
$0918002_{1962}$
Le pervers est l'instrument de la jouissance d'un dieu.
$1004011_{1962}$
Le sujet pervers s'offre loyalement à la jouissance de l'Autre.
$1005008_{1962}$
L'angoisse du cauchemar est éprouvée comme celle de la jouissance de l'Autre.
$0029002_{1962}$
La jouissance de l'expérience sadienne projette d'atteindre la pudeur du sujet. [Lac66a, p. 771]
$0029023_{1962}$
Le $V$ du schéma 1.29.1 est la volonté de jouissance. [Lac66a, p. 778]
$0029029_{1962}$
Rabattre la jouissance à la misère de tel effet où trébuche sa recherche, est tourner la loi morale en dégoût et mépris. [Lac66a, p. 771]
$0029037_{1962}$
Dans le schéma 1.29.2, $V$ désigne la volonté de jouissance. [Lac66a, p. 778]
$1009022_{1963}$
* Le symptôme, dans sa nature, est jouissance.
$1012007_{1963}$
Dans la manifestation sadienne le désir se présente comme volonté de jouissance.
$1012008_{1963}$
La volonté de jouissance, chez chacun, échoue en rencontrant sa limite.
$1012019_{1963}$
Le pervers ne sait pas au service de quelle jouissance s'exerce son  activité.
$1014009_{1963}$
L'angoisse tient une position médiane entre jouissance et désir.
$1014010_{1963}$
* La jouissance ne connaîtra pas l'Autre $A$ sinon par ce reste $a$.
$1014014_{1963}$
L'angoisse se situe dans la béance du désir à la jouissance.
$1014018_{1963}$
* Le masochiste vise la jouissance de l'Autre.
$1014022_{1963}$
* L'angoisse fait le médium du désir à la jouissance.
$1014023_{1963}$
* Seul l'amour permet à la jouissance de condescendre au désir.
$1014027_{1963}$
Seul l'amour-sublimation permet à la jouissance de condescendre au désir.
$1014030_{1963}$
Chez la femme, il n'y a rien à désirer sur le chemin de la jouissance.
$1015001_{1963}$
L'angoisse se produit dans la faille entre  jouissance et désir.
$1015008_{1963}$
Pour la femme, le désir de l'Autre est le moyen pour que sa jouissance ait un objet convenable.
$1020009_{1963}$
* La jouissance de la femme et de l'homme ne se conjoignent pas organiquement.
$1021002_{1963}$
La femme ne peut jouir de $\varphi$ que parce qu'il n'est pas à sa place, à la place de sa jouissance.
$1022021_{1963}$
La jouissance dans l'Autre, axe de la sexualité, est marquée de l'instrument manquant que désigne $-\varphi$.
$1022022_{1963}$
L'axe ce la jouissance dans l'Autre est marqué de l'angoisse de castration.
$1023003_{1963}$
Le défaut de phallus est constituant de la disjonction qui joint le désir à la jouissance.
$1023009_{1963}$
* La jouissance de la femme est en elle-même, elle ne la conjoint pas à l'Autre.
$1024019_{1963}$
L'angoisse sépare le désir de la jouissance.
$1025013_{1963}$
L'objet est le désirant d'un manque qui n'est pas un manque du sujet, mais d'un défaut fait à la jouissance qui se situe au niveau de l'Autre.
$2800010_{1963}$
L'orgasme est en lui-même angoisse, pour autant que le désir est séparé de la jouissance.
$0032009_{1964}$
La jouissance est du côté de la Chose. [Lac66a, p. 853]
$1223011_{1965}$
Au centre de la perversion il y a jouissance de l'Autre.
$1302007_{1965}$
Jouir de la vérité, c'est la pulsion épistémologique.
$1303001_{1965}$
Jouir de la vérité est la visée véritable de la pulsion épistémophilique.
$1307005_{1966}$
La jouissance est soustraite au champ de l'amour courtois, où est permis un certain équilibre de la vérité et du savoir.
$1309005_{1966}$
* La pulsion épistémologique, c'est la vérité qui s'offre comme jouissance.
$1316005_{1966}$
La jouissance ne peut être qu'identique à toute présence de corps.
$1316006_{1966}$
La jouissance ne se conçoit que de ce qui est corps.
$1316007_{1966}$
Il n'appartient qu'à un corps de jouir ou de ne pas jouir.
$1316010_{1966}$
* En lui-même le symptôme est jouissance.
$1316017_{1966}$
Le pénis est le signifiant de la perte qui se produit au niveau de la jouissance, de par la fonction de la loi.
$1322003_{1966}$
La jouissance est prise au réseau du langage en tant qu'elle est jouissance sexuelle.
$1322007_{1966}$
* C'est du côté de l'esclave que reste la jouissance.
$1322008_{1966}$
* Dans la jouissance féminine peut entrer comme objet le désir de l'homme, comme tel.
$1322009_{1966}$
* Le fantasme et le désir sont précisément des barrières à la jouissance.
$1323002_{1966}$
\ensuremath {(-\phi)} c'est le phallus en tant qu'objet en jeu dans le rapport à la jouissance.
$1324010_{1966}$
L'angoisse surgit de ceci que la question sur la jouissance ne lui vient que du désir de l'Autre.
$0036002_{1966}$
La paranoïa identifie la jouissance dans le lieu de l'Autre. [Lac66b, p. 74]
$1412007_{1967}$
* Il ne m'est pas donné, ni donnable, d'autre jouissance que celle de mon corps.
$1413004_{1967}$
Il y a hétérogénéité radicale entre la jouissance mâle et la jouissance femelle.
$1417002_{1967}$
La valeur de jouissance est au principe de l'économie de l'inconscient.
$1417012_{1967}$
* La valeur de jouissance prend origine dans le manque, marqué par le complexe de castration.
$1417016_{1967}$
Le complexe de castration est comme originel dans la fonction économique de la jouissance.
$1420009_{1967}$
Il n'y a de jouissance repérable que du corps propre.
$1420010_{1967}$
La jouissance du corps propre ne s'évoque pas ailleurs que dans l'acte.
$1421005_{1967}$
La jouissance, distincte du plaisir constitue un au-delà.
$1421006_{1967}$
La jouissance est ce quelque chose qui a un certain rapport au sujet.
$1421010_{1967}$
Le maître jouit soit de lui-même, soit du corps de l'esclave.
$1421011_{1967}$
* Le masochiste sait qu'il est dans la jouissance.
$1421012_{1967}$
* La jouissance est ce quelque chose dans quoi marque ses traits et ses limites le principe du plaisir.
$1421013_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps.
$1421014_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps.
$1421015_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps.
$1421016_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps5.258.
$1421018_{1967}$
Le sujet met le corps et la jouissance dans un rapport de fonction d'aliénation.
$1421020_{1967}$
La jouissance est dans le fondement premier de la subjectivation du corps.
$1421023_{1967}$
L'introduction du sujet comme effet de signifiant gît dans la séparation du corps et de la jouissance.
$1421026_{1967}$
C'est du lieu de $a$ que le pervers interroge ce qu'il en est de la fonction de la jouissance.
$1421027_{1967}$
Le pervers vise la jouissance de l'Autre.
$1422007_{1967}$
Le sujet est au disjoint du corps et de la jouissance.
$1422008_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps.
$1422009_{1967}$
Il y a décalage ou  Verschiebung dès que s'introduit, entre le corps et la jouissance, la fonction du sujet.
$1422010_{1967}$
Le corps de la femme est la métaphore de la jouissance du mâle.
$1422011_{1967}$
Le phallus est le symbole d'une jouissance soustraite comme telle.
$1422013_{1967}$
$S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$ est le formule de la disjonction de la jouissance et du corps.
$1422015_{1967}$
L'acte pervers se situe au niveau de la question sur la jouissance.
$1423008_{1967}$
La fonction de sujet a pour effet la disjonction du corps et de la jouissance.
$1423009_{1967}$
C'est au niveau de la partition entre corps et jouissance qu'intervient le plus typiquement la perversion.
$1423010_{1967}$
* L'homme est effectivement le premier à supporter la réalité de ce trou introduit dans la jouissance.
$1423011_{1967}$
L'objet $a$ est le reste où se réfugie la jouissance qui ne tombe pas sous le coup du principe du plaisir.
$1424016_{1967}$
* L'érection est un phénomène qu'il faut situer sur le chemin de la jouissance.
$1424017_{1967}$
L'érection est jouissance.
$0047006_{1967}$
* Le plaisir défend l'accès à la jouissance. [Lac68a, p. 57]
$0047007_{1967}$
Le corps est disjoint de sa jouissance. [Lac68a, p. 57]
$0047009_{1967}$
C'est de la jouissance que la vérité trouve à résister au savoir. [Lac68a, p. 58]
$1506015_{1968}$
* C'est pour ne pas renoncer à la jouissance que l'esclave devient esclave.
$1506016_{1968}$
Le statut du maître est d'avoir renoncé à la jouissance.
$1601007_{1968}$
La fonction du plus-de-jouir apparaît par le fait du discours parce qu'elle démontre, dans la renonciation à la jouissance, un effet du discours lui-même.
$1601008_{1968}$
* Le discours détient les moyens de jouir en tant qu'ils impliquent le sujet.
$1601012_{1968}$
* C'est dans le discours sur la fonction de la renonciation à la jouissance que s'introduit le terme de l'objet $a$.
$1603001_{1968}$
La jouissance fait la substance de la psychanalyse.
$1603002_{1968}$
La jouissance introduit la fonction du plus-de-jouir.
$0041072_{1968}$
Le plaisir fait barrière à la jouissance. [Lac84b, p. 22]
$1607002_{1969}$
La jouissance n'est point  identifiable à la règle du plaisir.
$1607003_{1969}$
La jouissance se colore.
$1607004_{1969}$
La jouissance est rapport au corps, essentiellement.
$1607005_{1969}$
La jouissance est un rapport qui se fonde sur l'exclusion et l'inclusion.
$1607006_{1969}$
La topologie de la jouissance est la topologie du sujet.
$1607007_{1969}$
Tous les problèmes de la jouissance sont essentiellement liés à la division du sujet.
$1607008_{1969}$
* Le sujet fait la structure de la jouissance.
$1607009_{1969}$
Le maître laisse à l'autre la jouissance.
$1608004_{1969}$
* La jouissance est visée dans un effort de retrouvailles.
$1609002_{1969}$
* Le jouir de la mère est interdit.
$1609003_{1969}$
* Ce qui est interdit c'est le jouir de la mère.
$1613010_{1969}$
À l'origine l'hystérique met la jouissance en ordre logiquement en la posant comme un absolu.
$1613011_{1969}$
C'est en posant la jouissance comme un absolu que l'hystérique est rejetée.
$1614007_{1969}$
La jouissance des pulsions est liée à la sexualité.
$1616001_{1969}$
La jouissance est ce terme qui ne s'institue que de son  évacuation du champ de l'Autre.
$1616003_{1969}$
* L'objet $a$ a ce quelque chose qui peut fonctionner comme équivalent de la jouissance.
$1616017_{1969}$
Il y a une limite imposée à la jouissance par la fonction du principe du plaisir.
$1616018_{1969}$
* C'est à la jouissance de l'Autre que l'exhibitionniste veille.
$1617006_{1969}$
La jouissance de l'instrument phallus fait barrage à la jouissance de l'Autre.
$1617008_{1969}$
Le principe du plaisir c'est la barrière à la jouissance.
$1620022_{1969}$
Le principe du plaisir constitue la barrière à la jouissance.
$1620023_{1969}$
* Il n'y a pas de sujet de la jouissance sexuelle.
$1620025_{1969}$
Le phallus est ce qui est, de la jouissance sexuelle, radicalement forclos.
$1620027_{1969}$
Le père primordial, c'est celui qui confond dans sa jouissance, toutes les femmes.
$1621001_{1969}$
* Par un lien à quelque chose qui n'est rien d'autre que ce qui permet l'émergence du savoir, la jouissance est exclue.
$1621005_{1969}$
Le signifiant phallus est le signifiant de la jouissance, signifiant exclu.
$1622030_{1969}$
* Pour le névrosé, le savoir est la jouissance du sujet supposé savoir.
$1623008_{1969}$
L'obsessionnel entend  échapper à la jouissance.
$1625004_{1969}$
C'est parce que le trait unaire vise à la répétition d'une jouissance qu'un autre trait unaire $\ensuremath{S}\xspace _{2}$ surgit après-coup.
$1701002_{1969}$
Le savoir est la jouissance de l'Autre.
$1701009_{1969}$
* Le savoir est la jouissance de l'Autre.
$1701010_{1969}$
Le chemin vers la mort s'appelle la jouissance.
$1703011_{1970}$
La répétition nécessite la jouissance.
$1703013_{1970}$
* La répétition est fondée sur un retour de la jouissance.
$1703015_{1970}$
* Dans la répétition même, il y a déperdition de jouissance.
$1703019_{1970}$
La répétition inaugurale dans la structure du signifiant est répétition visant à jouissance.
$1703020_{1970}$
Dans la répétition, et sous la forme du trait unaire, le savoir se trouve être le moyen de la jouissance.
$1703021_{1970}$
Là où il y a perte de jouissance, quelque chose qu'introduit la répétition surgit, la fonction de l'objet perdu, le $a$.
$1703022_{1970}$
* Le signifiant s'introduit comme appareil de la jouissance.
$1703023_{1970}$
C'est seulement de la jouissance, que s'établit la division dont se distingue le narcissisme, de la relation à l'objet.
$1703024_{1970}$
La jouissance s'introduit dans la dimension de l'être du sujet.
$1703025_{1970}$
La jouissance prend statut seulement dans un effet d'entropie, de déperdition.
$1703027_{1970}$
C'est avec le savoir en tant que moyen de la jouissance que se produit ce travail qui a un sens de vérité.
$1703037_{1970}$
* Là où c'était le plus-de-jouir, le jouir de l'Autre, c'est là que moi, en tant que je profère l'acte psychanalytique, je dois venir.
$1705002_{1970}$
Ce qui déprime chez un con c'est qu'on ne sait pas très bien en quoi il a affaire à la jouissance.
$1705003_{1970}$
Le principe du plaisir c'est le moins de jouissance.
$1705005_{1970}$
Dans le travail de la vérité, il n'y a de discours que de la jouissance.
$1705006_{1970}$
* Le savoir est moyen de la jouissance.
$1705010_{1970}$
L'esclave est seul possesseur des moyens de la jouissance.
$1706015_{1970}$
Dans le discours du maître, le sujet se trouve lié, avec toutes ses illusions, au signifiant maître, alors que l'insertion de la jouissance est le fait du savoir.
$1706019_{1970}$
La perte de jouissance c'est le plus-de-jouir,

$\displaystyle \frac{\text{Désir}}{\text{Vérité}}\genfrac{}{}{0pt}{0}{\longrightarrow}{\lozenge}\frac{\text{Autre}}{\text{Perte}} $

$1706020_{1970}$
Le savoir dans le discours de l'hystérique vient à la place de la jouissance.
$1707016_{1970}$
Le maître a privé l'esclave de la disposition de son  corps, mais à cet esclave il lui a laissé la jouissance.
$1707018_{1970}$
Le maître, d'avoir renoncé à la jouissance, réclame à l'esclave le plus-de-jouir.
$1707019_{1970}$
Quelque chose de la jouissance doit être rendu au maître, c'est le plus-de-jouir.
$1707020_{1970}$
Dans la partie \ensuremath{ (\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace \; \lozenge \; a)} du discours du maître, le fantasme fait barrière à la jouissance du maître.
$1707033_{1970}$
Le meurtre du père est jouissance subjective et objective de la mère, elle jouit et on en jouit.
$1708004_{1970}$
Le discours du maître montre la jouissance comme venant de l'Autre.
$1712016_{1970}$
C'est de l'entrée en jeu du signifiant que peut se marquer la jouissance.
$1712018_{1970}$
L'entrée en jeu du langage fonde la séparation de la jouissance et du corps.
$0053036_{1970}$
La métonymie, joue de la jouissance où le sujet se produit comme coupure. [Lac70d, p. 70]
$1802028_{1971}$
Le réel s'incarne de la jouissance sexuelle comme impossible.
$1802030_{1971}$
La jouissance sexuelle ne s'articule que du phallus, en tant qu'il est son  signifiant.
$1802031_{1971}$
Le phallus est la jouissance sexuelle en tant qu'elle est coordonnée, qu'elle est solidaire d'un semblant.
$1802033_{1971}$
Le phallus est le réel de la jouissance sexuelle, en tant qu'elle est détachée.
$1802034_{1971}$
Le réel de la jouissance sexuelle, c'est le phallus, c'est le nom-du-père.
$1802035_{1971}$
* La femme est en position, au regard  de la jouissance sexuelle, de ponctuer l'équivalence de la jouissance et du semblant.
$1802037_{1971}$
* La jouissance est semblant.
$1802038_{1971}$
La femme sait ce qui, de la jouissance et du semblant, est disjonctif.
$1802039_{1971}$
Jouissance et semblant s'équivalent dans une dimension du discours.
$1804020_{1971}$
Le phallus vise son  rapport à la jouissance.
$1804021_{1971}$
Le phallus c'est l'organe, en tant qu'il est la jouissance féminine.
$1804026_{1971}$
Le père primordial jouit de toutes les femmes.
$1804028_{1971}$
Le phallus c'est la jouissance féminine.
$1806008_{1971}$
* La jouissance sexuelle se trouve ne pas pouvoir être écrite.
$1806014_{1971}$
La symbolisation de la jouissance sexuelle emprunte tout son  symbolisme à la jouissance, en tant qu'elle est interdite par le principe du plaisir.
$1806015_{1971}$
Le principe du plaisir a pour sens, pas trop de jouissance, car l'étoffe de toutes les jouissances confine à la souffrance.
$1806016_{1971}$
La jouissance sexuelle n'a trouvé pour se structurer que la référence à l'interdit, en tant que nommé, de la jouissance mortelle.
$1806017_{1971}$
La jouissance mortelle rejoint la dimension du sexuel, à porter l'interdit sur le corps dont le corps propre sort, à savoir sur le corps propre de la mère.
$1807002_{1971}$
Entre la jouissance et le savoir, la lettre ferait littoral.
$1807009_{1971}$
* Entre centre et absence, entre savoir et jouissance, il y a un littoral.
$1808001_{1971}$
* L'écrit c'est la jouissance.
$1809006_{1971}$
La vérité ne peut dire que le semblant sur la jouissance.
$1809017_{1971}$
L'écriture donne accès à toutes les jouissances qui, de part le discours, s'avèrent s'ouvrir à l'être parlant.
$1809021_{1971}$
* Parler veut dire la division sans remède de la jouissance et du semblant.
$1809022_{1971}$
L'hystérique conjugue la vérité de sa jouissance au savoir implacable qu'elle a que l'Autre propre à la causer, c'est le phallus, soit un semblant.
$1810015_{1971}$
* Ce que dit le surmoi c'est jouis !
$1901008_{1971}$
Le signifiant c'est la jouissance, et le phallus c'est le signifié.
$1901009_{1971}$
* La femme ne sait jouir que dans une absence.
$1902009_{1971}$
La jouissance sexuelle fait barrage au rapport.
$1902010_{1971}$
* La jouissance sexuelle ouvre pour l'être parlant la porte  à la jouissance.
$1902011_{1971}$
Ce que produit la relation du signifiant à la jouissance c'est $\Phi (x)$,$x$ ne désigne qu'un signifiant.
$0055007_{1971}$
* Entre centre et absence, entre savoir et jouissance, il y a littoral. [Lac71a, p. 7]
$2701017_{1971}$
Le bénéfice de l'interprétation est à situer au niveau de la jouissance.
$2701018_{1971}$
* Pour jouir il faut un corps.
$2701025_{1971}$
Le savoir est de l'ordre de la jouissance.
$2702020_{1971}$
Le noyau de la psychanalyse qui s'appelle jouissance sexuelle, est opaque.
$1903012_{1972}$
Il y a béance d'une indétermination du rapport commun à la jouissance de l'homme et de la femme.
$1903014_{1972}$
* La jouissance sexuelle est le pivot de toute jouissance.
$1906001_{1972}$
* On ne jouit que de l'Autre.
$1906002_{1972}$
On ne jouit que de l'Autre, mais pas sexuellement.
$1906003_{1972}$
On jouit mentalement de l'Autre.
$1906004_{1972}$
$S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$ est la formule qu'on jouit mentalement de l'Autre.
$1906005_{1972}$
Nos fantasmes nous jouissent.
$1909012_{1972}$
* La jouissance constitutive de l'être parlant se démarque de la jouissance sexuelle.
$1912009_{1972}$
Le propre de la jouissance, c'est que quand il y a deux corps, on ne peut pas dire lequel jouit.
$1912020_{1972}$
* Tout ce qui est dit fait jouir.
$1912028_{1972}$
L'essence du sommeil c'est la suspension du rapport du corps à la jouissance.
$2001002_{1972}$
Au fond de tous les droits il y a la jouissance.
$2001003_{1972}$
* La jouissance ça  ne sert à rien.
$2001005_{1972}$
La jouissance de l'Autre, du corps de l'autre5.259 qui le symbolise, n'est pas le signe de l'amour.
$2001018_{1972}$
Il y a de la béance de l'Un à quelque chose qui tient à l'être, et derrière l'être à la jouissance.
$2001025_{1972}$
* L'être c'est la jouissance du corps.
$2001026_{1972}$
La jouissance sexuelle est dominée par l'impossibilité d'établir dans l'énonçable, l'Un de la relation, le rapport sexuel.
$2001029_{1972}$
* Le sexe de la femme ne dit rien à l'homme si ce n'est par l'intermédiaire de la jouissance du corps.
$2001031_{1972}$
La femme se définit d'une position du pas toute à l'endroit de la jouissance phallique.
$2001032_{1972}$
La jouissance phallique est l'obstacle par quoi l'homme n'arrive pas à jouir du corps de la femme.
$2001034_{1972}$
La jouissance de l'Autre, du corps de l'autre ne se promeut que de l'infinitude.
$2001040_{1972}$
* La jouissance en tant que sexuelle est phallique.
$2001043_{1972}$
* L'être sexué est intéressé dans la jouissance.
$2003006_{1972}$
La jouissance de l'Autre n'est pas le signe de l'amour.
$2003013_{1972}$
Le corps symbolise l'Autre dans sa jouissance.
$2003014_{1972}$
La jouissance de l'Autre c'est proprement celle de l'Autre sexe.
$2003029_{1972}$
* Un  corps, ça  se jouit.
$2003030_{1972}$
Un  corps ne se jouit que de le corporiser de façon signifiante.
$2003031_{1972}$
* On ne peut jouir que d'une partie du corps de l'autre.
$2003032_{1972}$
Le corps de l'un jouit d'une part du corps de l'autre.
$2003033_{1972}$
La jouissance n'est pas un signe de l'amour.
$2003034_{1972}$
* Le signifiant se situe au niveau de la substance jouissante.
$2003035_{1972}$
* Le signifiant, c'est la cause de la jouissance.
$2003036_{1972}$
* Le signifiant, c'est ce qui fait halte à la jouissance.
$0060013_{1972}$
La jouissance pense, calcule, juge. [Lac75f, p. 9]
$0060014_{1972}$
La jouissance est de l'Autre. [Lac75f, p. 9]
$2704016_{1972}$
Le pôle du semblant est corrélatif du pôle de la jouissance en tant qu'obstacle au rapport sexuel.
$2705014_{1972}$
La femme recèle une autre jouissance que la jouissance phallique.
$2705015_{1972}$
La jouissance proprement féminine ne dépend nullement de la jouissance phallique.
$2705016_{1972}$
* Si la femme n'est pas toute, c'est que sa jouissance, elle, est duelle.
$2706003_{1972}$
Tout savoir naïf est associé à un voilement de la jouissance qui s'y réalise.
$2706004_{1972}$
Tout savoir naïf pose la question de ce qui s'y trahit des limites de la puissance du tracé imposé à la jouissance.
$2004021_{1973}$
C'est d'une suppléance du pas toute sur quoi repose la jouissance de la femme.
$2004022_{1973}$
La jouissance de la femme n'est pas toute.
$2005001_{1973}$
La jouissance de l'Autre est symbolisée par le corps.
$2005002_{1973}$
La jouissance de l'Autre n'est pas le signe de l'amour.
$2006005_{1973}$
* La réalité est abordée avec les appareils de la jouissance.
$2006007_{1973}$
* Chez l'être parlant la jouissance est appareillée.
$2006009_{1973}$
Le langage se pose comme appareil de jouissance.
$2006010_{1973}$
La réalité est abordée avec les appareils de la jouissance.
$2006019_{1973}$
On refoule la jouissance.
$2006020_{1973}$
La jouissance ne convient pas au rapport sexuel.
$2006021_{1973}$
Du fait que la jouissance parle, le rapport sexuel n'est pas.
$2007013_{1973}$
* La pensée est jouissance.
$2007014_{1973}$
* Il y a jouissance de l'être.
$2007027_{1973}$
La femme a, par rapport à ce que désigne de jouissance la fonction phallique, une jouissance supplémentaire.
$2007028_{1973}$
Il y a une jouissance au-delà du phallus.
$2007029_{1973}$
La jouissance de $\not\!\!La$ femme est en plus.
$2008024_{1973}$
Le phallus se supporte chez l'homme de la jouissance phallique. cf: 20.8.1
$2008027_{1973}$
C'est en tant que sa jouissance est radicalement Autre que $\not\!\!La$ femme a plus rapport à Dieu.
$2008033_{1973}$
* Parler d'amour est en soi une jouissance.
$2008035_{1973}$
$S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$ ne désigne rien d'autre que la jouissance de $\not\!\!La$ femme.
$2009005_{1973}$
* La jouissance est une limite.
$2009006_{1973}$
La jouissance ne s'évoque, ne s'élabore qu'à partir d'un semblant.
$2009009_{1973}$
Le schéma 20.9.1 désigne les relations entre réel, symbolique, imaginaire, l'impossibilité de dire tout le vrai $S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$, le peu de réalité $\Phi$, le semblant d'être $a$, et la jouissance $J$.
$2009025_{1973}$
La fondation d'un savoir est que la jouissance de son  exercice est la même que celle de son  acquisition.
$2011002_{1973}$
L'inconscient, c'est que l'être, en parlant, jouisse.
$2011018_{1973}$
La structure est du texte même de la jouissance.
$2011021_{1973}$
Là où ça parle, ça jouit.
$2012015_{1973}$
La fin de la jouissance est à coté de ce à quoi elle aboutit, c'est à savoir la reproduction.
$2012019_{1973}$
Le corps parlant ne peut réussir à se reproduire que grâce à un malentendu sur sa jouissance.
$2012029_{1973}$
Dans le désir de toute demande, il n'y a que la requête de ce quelque chose qui, au regard de la jouissance, serait satisfaisant.
$2012041_{1973}$
Ce qui s'écrit, c'est les conditions de la jouissance.
$2013001_{1973}$
La jouissance de l'Autre n'est pas le signe de l'amour.
$2013028_{1973}$
Il n'y a pas de rapport sexuel, parce que la jouissance de l'Autre, prise comme corps, est toujours inadéquate.
$2013029_{1973}$
Dans la jouissance perverse, l'Autre se réduit à l'objet $a$.
$2101004_{1973}$
Le travail c'est ce qui fait des rapports au savoir, la jouissance.
$2102007_{1973}$
* C'est dans le chiffrage qu'est la jouissance.
$2102011_{1973}$
Le seul sens de l'interprétation c'est la jouissance.
$2102012_{1973}$
La jouissance fait obstacle à ce que le rapport sexuel ne puisse d'aucune façon s'inscrire.
$2104012_{1973}$
L'imaginaire pris comme moyen signe l'amour courtois dans ce qu'il imagine de la jouissance et de la mort.
$2104017_{1973}$
* L'amour devient réellement le moyen par quoi la mort s'unit à la jouissance.
$0059012_{1973}$
La jouissance liée au processus primaire consiste dans des défilés logiques. [Lac74b, p. 20]
$0059019_{1973}$
Les chaînes signifiantes ne sont pas de sens, mais de jouis-sens. [Lac74b, p. 22]
$0059022_{1973}$
* Le saint est le rebut de la jouissance. [Lac74b, p. 29]
$0059025_{1973}$
La jouissance ne fait pas énergie. [Lac74b, p. 35]
$0061006_{1973}$
Ce qui fait obstacle au rapport sexuel établi, c'est que dans le chiffrage est la jouissance. [Lac75d, p. 14]
$2107028_{1974}$
La jouissance de la femme ne va pas sans le dire de la vérité.
$2108008_{1974}$
Un connote la jouissance.
$2109010_{1974}$
Le corps est une substance jouissante.
$2109011_{1974}$
* Le corps jouit de lui-même.
$2109013_{1974}$
Les mathématiciens jouissent du réel.
$2109014_{1974}$
* La jouissance du réel ne va pas sans le réel de la jouissance.
$2110011_{1974}$
Le corps réprime sa jouissance.
$2110012_{1974}$
La jouissance, le corps, la mort sont noués seulement par cette impasse invérifiable du sexe.
$2112009_{1974}$
La jouissance fait éruption5.260 dans le réel.
$2112010_{1974}$
* Le savoir c'est pas pareil que la jouissance.
$2113005_{1974}$
Un surgit de la jouissance phallique.
$2114010_{1974}$
La jouissance phallique fait obstacle au rapport sexuel.
$2114011_{1974}$
Le signifiant est le substitut à la jouissance phallique.
$2114012_{1974}$
Chez l'être parlant la jouissance phallique prévaut.
$2115007_{1974}$
* $\exists x.\overline{\Phi x}$ c'est le lieu de la jouissance de la femme.
$2202019_{1974}$
La jouissance participe de l'imaginaire du sens.
$2203010_{1974}$
* Au regard du réel, c'est d'autre  chose que de sens qu'il s'agit dans la jouissance.
$2203014_{1974}$
La jouissance phallique est en relation à ce qui au réel ex-siste.
$2203015_{1974}$
La jouissance ex-siste au réel comme faisant trou.
$2203022_{1974}$
La jouissance phallique intéresse l'autre du corps, l'autre sexe.
$0063001_{1974}$
Il y a un rapport du sens à la jouissance phallique. [Lac74a, p. 9]
$0063003_{1974}$
* Le sens du sens est qu'il se lie à la jouissance du garçon comme interdite. [Lac74a, p. 10]
$2205019_{1975}$
La jouissance phallique est aussi bien  l'affaire d'une femme.
$2206003_{1975}$
Dans la jouissance de l'Autre il s'agit d'un génitif objectif.
$2208003_{1975}$
Le jouir est à l'horizon du plus et du moins, point idéal nommé phallus.
$2208007_{1975}$
Il y a un réel qui ex-siste au phallus, c'est la jouissance.
$2208017_{1975}$
Le phallus est ce qui barre la jouissance du corps de l'autre.
$2209012_{1975}$
L'imaginaire c'est le pas de jouissance.
$2303013_{1975}$
* Il n'y a pas de jouissance de l'Autre en ceci qu'il n'y a pas d'Autre de l'Autre.
$2303014_{1975}$
La jouissance du phallus n'est pas la jouissance pénienne.
$2303015_{1975}$
La jouissance phallique se situe à la conjonction du symbolique avec le réel.
$3602008_{1975}$
* La jouissance phallique est au joint du symbolique et du réel.
$2304028_{1976}$
Jouis-sens c'est rendre la jouissance possible, c'est ouïr un sens.
$2306001_{1976}$
* La jouissance c'est du réel.
$2306002_{1976}$
La jouissance du réel comporte le masochisme.
$2306003_{1976}$
Le masochisme est le majeur de la jouissance que donne le réel.
$0068002_{1980}$
La femme n'est pas privée de la jouissance phallique. [Lac82b, p. 83]
$0068003_{1980}$
La femme n'a pas moins que l'homme la jouissance phallique. [Lac82b, p. 83]

Jacques B. Siboni 2024-11-08