métaphore

$0012007_{1953}$
La métaphore n'est que le synonyme du déplacement symbolique, mis en jeu dans le symptôme. [Lac66a, p. 260]
$0122003_{1954}$
Toute espèce d'emploi est toujours métaphorique.
$0318004_{1956}$
Dans la métaphore, il n'y a pas du tout de comparaison mais identification.
$0318005_{1956}$
Dans la métaphore, une signification est la donnée qui domine, infléchit, commande l'usage du signifiant.
$0318006_{1956}$
Dans la métaphore, une signification renonce à toute connexion lexicale préétablie.
$0318008_{1956}$
* Il est tout à  fait exclu qu'un animal fasse une métaphore.
$0318009_{1956}$
* La métaphore est impensable dans la psychologie purement animale de l'attraction, de l'appétit et du désir.
$0318010_{1956}$
La phase du symbolisme qui s'exprime dans la métaphore est une similarité qui est manifestée uniquement par la position.
$0318014_{1956}$
La condensation s'appelle métaphore.
$0319001_{1956}$
Dans la métaphore la signification domine tout.
$0319004_{1956}$
Une métaphore est soutenue avant tout par une articulation positionnelle.
$0319012_{1956}$
La métonymie rend possible la métaphore.
$0319013_{1956}$
* La métaphore est quelque chose qui est à un autre degré que la métonymie.
$0319014_{1956}$
C'est seulement sur le fondement de la métonymie que la métaphore peut intervenir.
$0319015_{1956}$
Pour l'enfant la métaphore intervient après la métonymie.
$0319016_{1956}$
* L'opposition de la métaphore et de la métonymie correspond strictement aux deux fonctions possibles de l'autre.
$0408033_{1957}$
C'est en tant que métaphorique que la névrose hystérique prend  son sens et peut  être dénouée. 5.304
$0408034_{1957}$
Le symptôme n'est qu'une métaphore.
$0409024_{1957}$
La constitution de l'objet fétiche n'est pas métaphorique mais métonymique.
$0410019_{1957}$
* La métaphore sous-jacente à l'introjection est une métaphore orale.
$0418004_{1957}$
L'association métaphorique répond à un mot par un autre qui peut lui  être substitué.
$0418006_{1957}$
La métaphore et la métonymie sont dans le texte du sujet.
$0422013_{1957}$
La métaphore met en jeu la dimension de substitution dans la chaîne signifiante.
$0422016_{1957}$
Dans la métaphore, la substitution maintient ce à quoi elle se substitue.
$0422017_{1957}$
Dans la métaphore, ce qui est substitué est quelque chose de nouveau.
$0501014_{1957}$
Il n'y a de sens que métaphorique.
$0501016_{1957}$
Dans la formule de la métaphore $f(\frac{S}{s_{1}})S_{2}=S(+)s$, où il y a substitution de $\ensuremath{S}\xspace _{1}$ par rapport à $\ensuremath{S}\xspace _{2}$ et création de sens.
$0501028_{1957}$
Le vecteur $\gamma\rightarrow A$ du graphe 5.1.1, est tout ce qui inclut les possibilités de décomposition, de réinterprétation, d'effets métaphoriques et métonymiques.
$0502003_{1957}$
Métaphore et métonymie sont des fonctions essentielles du signifiant.
$0502009_{1957}$
Métaphore et substitution ne sont pas synonymes.
$0502010_{1957}$
La métaphore se produit dans le niveau de la substitution.
$0502012_{1957}$
La métaphore exerce sa fonction de création de signifié à la place où la substitution peut se produire.
$0502014_{1957}$
Chaque fois qu'il y a substitution il y a effet ou induction métaphorique.
$0502016_{1957}$
La formule de la métaphore $f(\frac{S}{s_{1}})S_{2}=S(+)s$ indique sa synchronie, son  mode de substitution.
$0503007_{1957}$
Toutes les significations humaines ont été à quelque moment métaphoriquement engendrée par des conjonctions signifiantes.
$0503010_{1957}$
La métaphore s'exerce par un mécanisme de substitution d'un signifiant $S$ à un signifiant $S'$.
$0503011_{1957}$
* La dimension métaphorique est celle qui correspond à la condensation.
$0503014_{1957}$
Le jeu métaphorique n'est possible que s'il y a quelque chose à substituer dans la base signifiante.
$0504007_{1957}$
La métaphore est la fonction que prend un signifiant en tant qu'il est substitué à un autre, latent, dans la chaîne, en simultanéité positionnelle.
$0504010_{1957}$
La substitution est du ressort structural de la métaphore.
$0504011_{1957}$
Dans la métaphore un signifiant est substitué à un autre dans une chaîne signifiante, \ensuremath
{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{\ensuremath{\text{\ensuremath{\thins...
...'}\xspace }{x}
\longrightarrow \ensuremath{S}\xspace \left(\frac{1}{s} \right)}.
$0504016_{1957}$
La métonymie est la structure fondamentale dans laquelle peut se produire ce quelque chose de nouveau et de créatif qui est la métaphore.
$0504017_{1957}$
Il n'y aurait pas de métaphore s'il n'y avait pas de métonymie.
$0506023_{1957}$
Je parle forcément dans le double registre de la métonymie et de la métaphore.
$0020025_{1957}$
La métaphore jaillit entre deux signifiants, dont l'un s'est substitué à  l'autre, en prenant sa place dans la chaîne signifiante. [Lac66a, p. 507]
$0020026_{1957}$
Dans la métaphore, le signifiant occulté reste présent de sa connexion métonymique au reste de la chaîne. [Lac66a, p. 507]
$0020031_{1957}$
La Verdichtung, ou condensation, c'est la structure de surimposition des signifiants où la métaphore prend son  champ. [Lac66a, p. 511]
$0020042_{1957}$
La structure métaphorique est symbolisée par la formule [Lac66a, p. 515]

$\displaystyle \ensuremath
{f \left( \frac{\ensuremath{S'}\xspace }{\ensuremath...
... } \right) \ensuremath{S}\xspace \cong \ensuremath{S}\xspace ( + ) s
}\xspace $

$0020043_{1957}$
La structure métaphorique indique que c'est dans la substitution du signifiant au signifiant que se produit un effet de signification. [Lac66a, p. 515]
$0020046_{1957}$
$S'$ est patent dans la métaphore. [Lac66a, p. 515]
$0020047_{1957}$
Le signe $(+)$ de la formule de la métaphore manifeste le franchissement de la barre $\frac{}{}$. [Lac66a, p. 515]
$0020048_{1957}$
Le signe $\cong$ de la formule de la métaphore désigne la congruence. [Lac66a, p. 515]
$0020054_{1957}$
Le mécanisme à  double détente de la métaphore est celui-là  même où se détermine le symptôme au sens analytique. [Lac66a, p. 518]
$0020055_{1957}$
Le symptôme est la métaphore où la chair, ou bien  la fonction, sont prises comme élément signifiant. [Lac66a, p. 518]
$0020060_{1957}$
* Le symptôme est une métaphore. [Lac66a, p. 528]
$0020062_{1957}$
Quelque chose lie la métaphore à  la question de l'être. [Lac66a, p. 528]
$0508023_{1958}$
Le trait d'esprit comme tel, se développe dans la dimension de la métaphore.
$0508035_{1958}$
La métaphore paternelle consiste en un triangle comportant le père, la mère et l'enfant cf. figure 4.2.1.
$0509023_{1958}$
Le père symbolique est une métaphore.
$0509024_{1958}$
Une métaphore c'est un signifiant qui vient à la place d'un autre signifiant.
$0509027_{1958}$
Dans la formule de la métaphore : \ensuremath
{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{\ensuremath{\text{\ensuremath{\thins...
...'}\xspace }{x}
\longrightarrow \ensuremath{S}\xspace \left(\frac{1}{s} \right)} le $x$ c'est le signifié.
$0509028_{1958}$
* C'est en tant que le père se substitue à la mère comme signifiant que va se produire ce résultat ordinaire de la métaphore.
$0509029_{1958}$
La métaphore se situe dans l'inconscient.
$0510001_{1958}$
Dans la structure de la métaphore, réside toutes possibilités d'articuler le complexe d'œdipe et son  ressort le complexe de castration.
$0510024_{1958}$
* En tant qu'il est viril, un homme est toujours plus ou moins sa métaphore.
$0510027_{1958}$
Des écritures équivalentes de la métaphore:

$\displaystyle f(\frac{S}{S_{1}})S_{2}=S(+)s,\frac{S,S',S'',\ldots}{s,s',s'',\ldots},\frac{S}{\frac{S,S',S'',\ldots}{s,s',s'',\ldots}} $

.
$0520024_{1958}$
La perception des rapports du père et de la mère s'appelle la métaphore paternelle.
$0527015_{1958}$
Une formule de la métaphore où le $s$ est nommé phallus, et où apparaissent le nom-du-père sur le désir de la mère et le désir de la mère sur sa symbolisation.

$\displaystyle \frac{S}{S'}.\frac{S'}{x}\rightarrow S\left(\frac{S}{\mathrm{phallus}}\right) $

$0527016_{1958}$
L'effet métaphorique ne se produit pas là où le nom-du-père manque.
$0527017_{1958}$
Le $x$ de la métaphore \ensuremath
{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{\ensuremath{\text{\ensuremath{\thins...
...'}\xspace }{x}
\longrightarrow \ensuremath{S}\xspace \left(\frac{1}{s} \right)} symbolise le désir de la mère en tant que phallus.
$0527023_{1958}$
La métaphore essentielle donne au désir de l'Autre le signifiant essentiel qu'est le phallus.
$0603006_{1958}$
La métaphore a un effet de substitution dans la chaîne signifiante.
$0603018_{1958}$
Dans la métaphore quelque chose de nouveau surgit qui est un sens, un signifié.
$0021037_{1958}$
La signification du phallus n'est évoquée que par la métaphore paternelle. [Lac66a, p. 555]
$0021041_{1958}$
La signification du phallus doit être  évoquée dans l'imaginaire du sujet par la métaphore paternelle. [Lac66a, p. 557]
$0021042_{1958}$
La formule de la métaphore ou substitution signifiante est: [Lac66a, p. 557]

$\displaystyle \ensuremath
{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{\ensuremath{\text{\en...
... }{x}
\longrightarrow \ensuremath{S}\xspace \left(\frac{1}{s} \right)}\xspace $

$0021043_{1958}$
Dans la formule de la métaphore, les $S$ sont des signifiants, $x$ est la signification inconnue, $s$ est le signifié induit de la métaphore, $S$ se substitue à  \ensuremath{\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace '}, \ensuremath{\text{\ensuremath{\thinspace\not\!S}}\xspace '} est élidé pour la réussite de la métaphore. [Lac66a, p. 557]
$0021060_{1958}$
La chaîne signifiante se développe selon des liaisons logiques, dont la prise sur ce qui est à  signifier s'exerce par les effets de signifiant, métaphore et métonymie. [Lac66a, p. 575]
$0021061_{1958}$
La condition essentielle de la psychose est la forclusion du nom-du-père à  la place de l'Autre et l'échec de la métaphore paternelle. [Lac66a, p. 575]
$0021064_{1958}$
Dans la psychose stabilisée, signifiant et signifié se stabilisent dans la métaphore délirante. [Lac66a, p. 577]
$0021070_{1958}$
La formule de la métaphore s'applique à  celle du nom-du-père de la façon suivante: [Lac66a, p. 557]

$\displaystyle \ensuremath
{\frac{\text{Nom-du-Père}}{\text{Désir de la Mère...
...du-Père}
\left(\frac{\ensuremath{A}\xspace }{\text{phallus}} \right)}\xspace $

$0022022_{1958}$
Dans la chaîne signifiante, la substitution d'un terme à  un autre produit l'effet de métaphore. [Lac66a, p. 622]
$0022024_{1958}$
Le rêve est métaphore du désir. [Lac66a, p. 622]
$0022025_{1958}$
La métaphore est un effet de sens positif. [Lac66a, p. 622]
$0022026_{1958}$
La métaphore est un certain passage du sujet au sens du désir. [Lac66a, p. 622]
$0022029_{1958}$
Le rêve procède par effet de la métaphore. [Lac66a, p. 622]
$0024003_{1958}$
La métonymie et la métaphore sont génératrices du signifié. [Lac66a, p. 689]
$0625015_{1959}$
La métaphore paternelle instaure chez le sujet, sous la forme du phallus, une dissociation, ou bien  le sujet ne l'est  pas, ou bien  il ne l'a  pas.
$0626012_{1959}$
Toute métaphore est le masque d'une métonymie, et en dernier ressort, métonymie de la castration.
$0705005_{1959}$
Les lois de la condensation sont les lois de la métaphore.
$0025002_{1959}$
La métaphore se définit par l'implantation, dans une chaîne signifiante, d'un autre signifiant, par quoi celui qu'il supplante tombe au rang de signifié. [Lac66a, p. 708]
$0025003_{1959}$
Le signifiant de la métaphore qui tombe au rang de signifié est un signifiant latent. [Lac66a, p. 708]
$0803003_{1960}$
L'amour comme signifiant est une métaphore.
$0803004_{1960}$
La métaphore est une substitution.
$0804006_{1960}$
C'est la métaphore aimant, objet aimé qui engendre la signification de l'amour.
$0030005_{1960}$
Les effets de substitution métaphorique du signifiant apparaissent dans la dimension synchronique du discours. [Lac66a, pp. 799–800]
$0811001_{1961}$
L'éloge a une fonction métaphorique, symbolique de l'amour.
$0824013_{1961}$
* La métaphore du désirant dans l'amour implique ce à quoi elle est substituée comme métaphore.
$1017023_{1963}$
Il n'y a rien dans la métaphore qui justifie d'opposer le sens propre au sens figuré.
$1019002_{1963}$
La phonémisation de l'objet $a$ se supporte d'un système d'oppositions, de possibilités de substitutions et de déplacements, de métaphores et de métonymies.
$1023012_{1963}$
* La métaphore du don est empruntée à la sphère anale.
$1108011_{1964}$
* Le niveau anal et le lieu de la métaphore.
$1119003_{1964}$
La condensation signifiante possède un effet de métaphore.
$1119007_{1964}$
L'effet de métaphore est constitué par un signifiant substitutif mis à la place d'un autre signifiant.

$\displaystyle \frac{S'}{S}\times\frac{S}{s'}\rightarrow\dfrac{\frac{S'}{S}}{\frac{s}{S}} $

$1119008_{1964}$
Dans la métaphore un signifiant disparaît, est refoulé pour apparaître sous la barre principale, unterdrückt.
$0031025_{1964}$
Le langage des animaux est un langage de signes qui n'admet pas la métaphore, ni n'engendre la métonymie. [Lac66a, p. 840]
$1404012_{1966}$
Le signifiant ne saurait se signifier lui-même, sauf à ce que ça  ne soit pas lui qu'il signifie, c'est-à-dire qu'il use de la métaphore.
$1404013_{1966}$
La métaphore substitue un signifiant autre qui fait ressortir la vérité.
$1404014_{1966}$
La métaphore crée un signifié faux.
$1405003_{1966}$
La position métaphorique d'un signifiant est de substitution par rapport à un autre signifiant.
$1405004_{1966}$
Par la métaphore résulte une autre signification, un effet de signifié.
$1405005_{1966}$
Dans la métaphore deux signifiants sont en cause qui font surgir un signifié $s$.
$1405006_{1966}$
La formule de la métaphore peut s'écrire

$\displaystyle \frac{S}{S'}\times\frac{S'}{s}\rightarrow S(\frac{1}{s}) $

$1405007_{1966}$
La métaphore a un effet métaphorique de signification.
$1405013_{1966}$
Le $S$ de la métaphore se trouve représenter le sujet de l'inconscient dont il s'agit de déterminer l'effet comme effet de signification, le symptôme.
$1418005_{1967}$
Le $a$ est l'enfant métaphorique de l'Un et l'Autre qui est comme déchet de la répétition inaugurale.
$1422010_{1967}$
Le corps de la femme est la métaphore de la jouissance du mâle.
$1509010_{1968}$
Les objets $a$ qu'incarnent les psychanalystes, sein, déchet, regard, voix, ne sont pas des métaphores.
$1511009_{1968}$
Le complexe d'Œdipe c'est d'abord une métaphore.
$1511010_{1968}$
La métaphore présente des effets métonymiques.
$1515004_{1968}$
Dans le rêve apparaît d'abord la métaphore et la métonymie.
$1603009_{1968}$
La chaîne du signifiant reste perméable aux effets de la métaphore et de la métonymie.
$1606002_{1969}$
* Le recours à l'image pour expliquer la métaphore est toujours faux.
$0053028_{1970}$
La métaphore, c'est la substitution d'un signifiant à un autre. [Lac70d, p. 67]
$0053030_{1970}$
La métaphore obtient un effet de sens d'un signifiant. [Lac70d, p. 68]
$0053031_{1970}$
La métaphore n'obtient pas un effet de signification. [Lac70d, p. 68]
$0053045_{1970}$
L'inconscient n'est que terme métaphorique à désigner le savoir qui ne se soutient qu'à se présenter comme impossible. [Lac70d, p. 77]
$1803004_{1971}$
Tout usage du langage se déplace dans la métaphore.
$1803005_{1971}$
* Il n'y a de langage que métaphorique.
$1803007_{1971}$
* Toute désignation est métaphorique.
$1803010_{1971}$
La linguistique ne peut être qu'une métaphore.
$1803011_{1971}$
La psychanalyse se déplace dans la même métaphore que la linguistique.
$1803012_{1971}$
* Le propre de la métaphore, c'est de ne pas être toute seule.
$1810005_{1971}$
Rien de ce que le langage permet de faire n'est autre que métaphore ou métonymie.
$2702015_{1971}$
La métaphore sert à faire surgir un sens qui dépasse de beaucoup les moyens.
$2702023_{1971}$
* Le discours de la connaissance est une métaphore sexuelle.
$0058036_{1972}$
* Le rapport d'organe du langage à l'être parlant est métaphore. [Lac73a, p. 33]
$2104003_{1973}$
L'amour est la métaphore de quelque chose qui se réfère d'abord à l'événement.
$2310003_{1976}$
Les trois éléments du nœud borroméen sont enchaînés et font métaphore.
$2401015_{1976}$
La métaphore en usage pour ce qu'on appelle l'accès au réel, c'est le modèle.
$2408002_{1977}$
* La différence qu'il y a entre la métaphore et la structure, c'est que la métaphore est justifiée par la structure.
$2503014_{1977}$
La métaphore, ça  colle avec la linguistique. [Lac78]
$2503015_{1977}$
L'étoffe de la métaphore, c'est ce qui, dans la pensée, fait matière ou corps. [Lac78]
$0037008_{1977}$
La formule de la métaphore est: [Lac77b, p. 12]

$\displaystyle \ensuremath
{\frac{\ensuremath{S}\xspace }{\ensuremath{\text{\en...
... }{x}
\longrightarrow \ensuremath{S}\xspace \left(\frac{1}{s} \right)}\xspace $

$0037009_{1977}$
La métaphore peut s'écrire: [Lac77b, p. 12]

$\displaystyle \ensuremath
{f \left( \frac{\ensuremath{S'}\xspace }{\ensuremath...
... } \right) \ensuremath{S}\xspace \cong \ensuremath{S}\xspace ( + ) s
}\xspace $

$0037012_{1977}$
La formule de la métaphore rend compte de la condensation dans l'inconscient. [Lac77b, p. 15]
$2510002_{1978}$
L'art est une métaphore. [Lac78]

Jacques B. Siboni 2024-11-08