14.22 Qu'est-ce qu'il y a de commun ..., 7 juin 1967

Éléments établis à partir du texte [Lac67a, 07 juin 1967] et des enregistrements audios.
$1422001_{1967}$
Il y a une difficulté inhérente à l'acte sexuel.
$1422002_{1967}$
Un  acte n'a pas besoin d'être pensé pour être un acte.
$1422003_{1967}$
* Ou je ne pense pas, ou je ne suis pas.
$1422004_{1967}$
“Je ne suis pas” est du côté du “pour l'Autre”.
$1422005_{1967}$
* Je suisje ne pense pas.
$1422006_{1967}$
* Je penseje ne suis pas.
$1422007_{1967}$
Le sujet est au disjoint du corps et de la jouissance.
$1422008_{1967}$
* Il n'y a de jouissance que du corps.
$1422009_{1967}$
Il y a décalage ou  Verschiebung dès que s'introduit, entre le corps et la jouissance, la fonction du sujet.
$1422010_{1967}$
Le corps de la femme est la métaphore de la jouissance du mâle.
$1422011_{1967}$
Le phallus est le symbole d'une jouissance soustraite comme telle.
$1422012_{1967}$
Le phallus est cette partie négativée du corps, ce qui le distingue du pénis.
$1422013_{1967}$
$S (\ensuremath{/\negthinspace\negthickspace\negthickspace\ensuremath{A}\xspace })$ est le formule de la disjonction de la jouissance et du corps.
$1422014_{1967}$
Il y a une distinction radicale entre l'acte pervers et l'acte névrotique.
$1422015_{1967}$
L'acte pervers se situe au niveau de la question sur la jouissance.
$1422016_{1967}$
L'acte névrotique n'a pas d'autre fin que de soutenir l'effet du désir.

Jacques B. Siboni 2024-11-08