Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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phallicisme
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phase
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Index
phallus
C'est en
fonction
du
père
que le
phallus
est un
symbole
dont il n'y a pas de
correspondant,
d'équivalent.
L'enfant,
mâle
ou
femelle,
localise
très tôt le
phallus,
et
l'accorde
à la
mère.
Le
père
est
supposé
être
le
porteur
du
phallus.
Le
père
n'a
d'autre
fonction
que de
représenter
celui qui est le
porteur,
le
détenteur
du
phallus.
Le
père,
en tant que
père,
a le
phallus.
Tout
l'accomplissement
de la
relation
duelle
comme telle
fait,
à
mesure
qu'on
s'en
approche,
surgir
un
objet
imaginaire
au
premier
plan,
le
phallus.
La
triade
imaginaire,
phallus,
mère,
enfant
est présentée
figure
4.2.1
.
Il ne faut pas
confondre
phallus
et
pénis.
Le
phallus
a une
fonction
imaginaire.
Le
phallicisme
est
l'exigence
du
phallus.
La
mère,
l'enfant,
le
phallus
constituent
la
triade
imaginaire,
4.2.1
Il y a chez la
mère
l'exigence
du
phallus
que
l'enfant
symbolise
ou
réalise
plus
ou
moins.
Pour la
mère,
l'enfant
est loin
d'être
seulement
l'enfant
puisqu'il est aussi le
phallus.
Dans le
fétichisme,
l'enfant
vient
plus
ou
moins
occuper
la
position
de la
mère
par
rapport
au
phallus.
L'enfant
s'aperçoit
que c'est un
phallus
que la
mère
désire.
Le
schéma
du
fétichisme
avec la
mère,
le
phallus
et
l'enfant
est présenté
figure
4.3.1
.
Ce qui est mis en
jeu
dans la
dette
symbolique
c'est un
objet
imaginaire,
c'est le
phallus
comme tel.
Le
phallus
est un
objet
défini
comme
imaginaire.
Il n'est en
aucun
cas
possible
de
confondre
le
phallus
avec le
pénis
dans sa
réalité.
La
femme
a le
phallus
dans ses
manques
d'objets
essentiels.
Quand la
femme
trouve
dans
l'enfant
une
satisfaction,
c'est qu'elle
trouve
en lui ce quelque
chose
qui la
calme,
ce
pénis,
ce
besoin
de
phallus.
L'image
du
phallus
pour la
mère
n'est pas
complètement
ramenée
à
l'image
de
l'enfant.
Pour la
mère,
le
phallus
est le
tiers
terme
imaginaire.
La
mère
est
désirante
car elle
manque
de
phallus.
La
mère
manque
de
phallus.
Mère,
enfant,
phallus
constituent
la
triade
imaginaire
dans le
schéma
de la
figure
4.2.1
.
L'intérêt
de la
mère
est le
phallus.
La
mère
est
privée,
manque
elle-même de
l'objet
phallus.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
Enfin
l'enfant
reçoit
le
phallus
dont il avait
besoin.
Pour que
l'enfant
ait
besoin
du
phallus,
il faut qu'il
ait
été
préalablement
menacé
par
l'instance
castratrice
paternelle.
La
phallus
est
l'objet
du
désir
de la
mère.
L'objet
du
fétichisme
symbolise
le
phallus.
L'élément
différentiel
primordial
de
l'organisation
génitale
des
sexes
est la
possession
ou la
non-possession
du
phallus.
La
petite
fille,
au
moment
d'entrée
dans
l'œdipe,
se met à
désirer
un
enfant
du
père
comme
substitut
du
phallus
manquant.
L'objet
primordial
c'est le
phallus.
Le
phallus
est
l'objet
central
de
toute
l'économie
libidinale.
Le
fétiche,
c'est le
pénis
de la
mère
phallique.
La
symbolique
du
phallus
fait
un
lien
étroit
entre
la
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale.
Pour
l'enfant
femelle,
c'est en tant qu'elle ne
possède
pas le
phallus,
qu'elle va
être
introduite
à la
symbolique
du
don.
Pour que le
sujet
féminin
entre
dans la
dialectique
de
l'ordre
symbolique,
il faut qu'il y
entre
par quelque
chose
qui est le
don
du
phallus.
*
Le
désir
vise
le
phallus
en tant qu'il
doit
être
reçu
comme
don.
Le
phallus
a une
fonction
symbolique.
C'est en tant que le
phallus
est là ou qu'il n'est pas là que
s'instaure
la
différenciation
symbolique
des
sexes.
Le
phallus
peut
faire
à l'occasion
l'objet
d'une
nostalgie
imaginaire
de la
part
de la
femme.
Le
phallus
que la
femme
n'a pas est
phallus
symbolique
qui
existe
là en tant
qu'absence.
L'idée
de la
castration
chez la
femme
tient
à ce qu'elle n'a pas le
phallus
symboliquement.
L'absence
de
phallus
symbolique
chez la
femme
a pour
conséquence
qu'elle
peut
l'avoir.
La
petite
fille
entre
dans le
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
elle
peut
l'avoir.
Le
petit
garçon
sort
du
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
il
peut
l'avoir.
C'est par
l'intermédiaire
de la
valorisation
symbolique
du
phallus
que les
femmes
entrent
dans la
chaîne
de
l'échange
symbolique.
Le
fétiche
représente
le
phallus
en tant
qu'absent.
C'est la
mère
phallique
qui est au
centre
de la
genèse
du
fétichisme.
Pour la
mère
son
phallus
est
imaginaire.
Le
transvestiste
s'identifie
à la
mère
phallique.
La
mère
phallique
voile
son
manque
de
phallus.
La
fille
vit
la
relation
sexuelle
comme
étant
cette
relation
qui
fait
qu'elle-même
apporte
au
partenaire
masculin
son
phallus.
Le
phallus
en tant qu'il
manque
à la
mère
est
au-delà
d'elle.
Le
phallus
est
l'objet
qui
manque.
*
L'existence
d'un
phallus
imaginaire
est le
pivot
de
toute
une
série
de
faits
qui exigent son
postulat.
*
La
mère
manque
de
phallus.
La
mère
désire
le
phallus
parce qu'elle en
manque.
*
C'est
seulement
en tant que quelque
chose
donne
à la
mère
le
phallus
qu'elle
peut
être
satisfaite.
Le
phallus
imaginaire
joue
un
rôle
signifiant
majeur
dans
l'ordre
symbolique.
C'est en tant
qu'imaginaire
symbolisé
que le
fait
d'avoir
ou de ne pas
avoir
de
phallus
prend
l'importance
économique
qu'il a au
niveau
de
l'œdipe.
Ce sont les
particularités
de
l'ordre
symbolique
qui
donnent
sa
prévalence
à cet
élément
de
l'imaginaire
qu'est le
phallus.
Pour
l'enfant
en
fin
de
phase
préœdipienne,
il s'agit qu'il
assume
le
phallus
en tant que
signifiant
de
façon
qu'il le
fasse
instrument
de
l'ordre
symbolique
des
échanges.
C'est le
désir
du
phallus
chez la
mère
qui
induit
le
manque
dans
l'objet
maternel.
Pour la
mère
symbolique,
il
devient
la
notion,
qu'au
niveau
du
grand
Autre,
il y a quelqu'un qui a le
phallus
en tant que
pénis
réel.
L'objet
phallique
peut
être
à la
fois
là et pas là,
présent
et
absent,
insuffisamment
présent.
Le
schéma
de la
figure
4.12.1
indique
les
relations
entre
la
mère,
le
phallus
et
l'Autre.
*
C'est dans la
relation
à la
mère
que
l'enfant
éprouve
le
phallus
comme
étant
le
centre
du
désir
de la
mère.
*
L'enfant
se
présente
à la
mère
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
offre
le
phallus
en lui-même.
L'offrande
phallique
que
fait
l'enfant
à sa
mère
peut
être
identification
à la
mère,
identification
au
phallus,
identification
à la
mère
comme
porteuse
du
phallus,
porteur
lui-même du
phallus.
*
Le
complexe
de
castration
reprend sur le
plan
imaginaire
tout
ce qui est en
jeu
avec le
phallus.
*
La
castration
c'est le
phallus
imaginaire.
Le
phallus
est un
objet
imaginaire.
*
La
perversion
est
structurée
en
relation
avec
tout
ce qui
s'ordonne
autour de la
notion
absence
et
présence
du
phallus.
Le
phallus
a une
valeur
symbolique
dans le
système
signifiant.
Le
phallus
s'impose
parmi les
autres
images,
et d'une
façon
prévalente,
au
désir
de la
femme.
Le
phallus
est un
élément
de
médiation.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
*
Tout
le
monde
n'a pas le
phallus.
5
.
356
Ce que la
mère
désire,
ce n'est pas
l'enfant,
c'est le
phallus
imaginaire.
Le
phallus
est
l'élément
de
béance
critique
de
toute
relation
à
deux.
La
mère
est
liée
sur le
plan
imaginaire
au
phallus
en tant que
manque.
Toute
la
dialectique
de la
relation
d'objet
tourne
autour du
phallus.
*
La
position
du
signifiant
du
père
est
fondatrice
de la
position
du
phallus
dans le
plan
imaginaire.
Le
père
considéré
en tant qu'il
prive
la
mère
de
l'objet
phallique
de son
désir,
joue
un
rôle
tout
à
fait
essentiel
dans
toutes
les
névroses.
Le
sujet
a
pris
position
à un
certain
moment
de son
enfance
sur le
rôle
du
père,
que la
mère
n'a pas le
phallus.
La
possibilité
d'être
castré
est
essentielle
dans
l'assomption
du
fait
d'avoir
le
phallus.
Dans la
mesure
où il n'accepte pas le
phallus,
cela
entraîne
homme
ou
femme
à
être
le
phallus.
Le
phallus
est un
objet
métonymique.
Le
phallus
est un
objet
qui a sa
fonction
instinctuelle.
La
fonction
du
phallus
est ce qui
signifie
son
désir
pour la
mère
5
.
357
.
Le
signifiant
du
signifié
est en général le
phallus.
Le
phallus
est
voilé.
Le
phallus
est un
signifiant
dernier
dans le
rapport
du
signifiant
au
signifié.
Le
phallus
signifie.
La
lettre
est le
phallus.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
C'est grâce à la
mutilation
fondamentale
que le
phallus
devient
le
signifiant
du
pouvoir.
*
La
fille
se
croit
d'abord
pourvue d'un
phallus.
La
fille
croit
d'abord
sa
mère
pourvue d'un
phallus.
C'est au titre d'un
élément
signifiant
privilégié,
qu'intervient
la
relation
dans
l'œdipe
de la
petite
fille
au
phallus.
Le
phallus
est le
signifiant
du
manque.
Le
phallus
est le
signifiant
de la
distance
de la
demande
du
sujet
à son
désir.
Le
désir
de la
femme
est précisément
signifié
par ce qui lui
manque,
et par le
phallus.
Le
phallus
est
pris
dans une
fonction
subjective
qui
doit
remplir
le
rôle
de
signifiant.
L'origine
du
phallus
est
imaginaire.
Le
phallus
est un
signifiant
carrefour
vers lequel converge ce qui se
passe
dans la
prise
du
sujet
humain
dans le
système
signifiant
Le
petit
phi,
c'est le
phallus.
L'idéal-du-moi
a
toujours
un
certain
rapport
avec ce
facteur
commun
métonymique
qu'est le
phallus.
L'idéal-du-moi
se
constitue
dans un
rapport
avec le
père,
il
implique
toujours
le
phallus.
Le
père
implique
toujours
le
phallus.
Le
phallus
n'est pas une
castration
s'adressant
aux
organes
génitaux
dans leur
ensemble.
Le
phallus
est le
signifiant
qui
introduit
quelque
chose
de
nouveau
dans
l'Autre.
Le
signifiant
phallus
est
irréductible
dans le
complexe
de
castration.
Le
phallus
joue
un
rôle
de
signifiant.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Le
phallus
est ce qui
habite
la
prostituée.
Le
phallus
est ce qui
représente
le
désir
dans sa
forme
la
plus
manifeste.
Le
phallus
se
trouve
toujours
recouvert par quelque
chose
qui est la
castration.
Le
phallus
est le
signe
même
de ce qui est
désiré.
Le
phallus
est ce
signifiant
qui
marque
ce que
l'autre
désire.
La
fonction
du
phallus
est
marquée
par le
signifiant.
Le
signifiant
est la
fonction
du
signifiant
phallus.
Le
phallus
n'est ni un
fantasme,
ni une
image,
ni un
objet,
c'est un
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir.
Le
phallus
n'est pas
l'objet
du
désir,
mais le
signifiant
du
désir.
Pour ce qui est du
signifiant
phallus,
le
sujet
peut
l'avoir
ou
l'être.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
et comme tel il
s'articule
comme
désir
de
l'autre.
Le
phallus
est ce
signifiant
particulier
qui est spécialisé à
désigner
comme tel
l'ensemble
des
effets
du
signifiant
sur le
signifié.
Le
phallus
est le
signifiant
par excellence du
rapport
de
l'homme
au
signifié.
Le
phallus
est le
signifiant
de ce qui est frappé par
l'action
du
signifiant.
Le
sujet
ne
peut
avoir
le
phallus
que sur le
fond
de ceci qu'il ne l'a pas.
Pour le
développement
de la
femme,
elle
doit
être
le
phallus
sur le
fond
qu'elle ne l'est pas.
Pour le
développement
de
l'homme,
le
complexe
de
castration
fait
qu'il a le
phallus
sur le
fond
qu'il ne l'a pas.
Une
formule
de la
métaphore
où le
est
nommé
phallus,
et où
apparaissent
le
nom-du-père
sur le
désir
de la
mère
et le
désir
de la
mère
sur sa
symbolisation.
Le
de la
métaphore
symbolise
le
désir
de la
mère
en tant que
phallus.
La
métaphore
essentielle
donne
au
désir
de
l'Autre
le
signifiant
essentiel
qu'est le
phallus.
Le
phallus
est
signifiant
d'une
image.
Le
phallus
est
signifiant
de
l'incidence
du
signifiant
sur le
vivant.
*
Le
phallus
est la
métonymie
du
sujet
dans
l'être.
Le
phallus
et le
signifiant
manquant.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
Le
phallus
est le
symbole
d'un
objet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 554]
La
signification
du
phallus
n'est
évoquée
que par la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 555]
Dans la
perversion
l'enfant
s'identifie
à
l'objet
imaginaire
du
désir
que la
mère
le
désire,
en tant que la
mère
elle-même le
symbolise
dans le
phallus.
[
Lac66a
, p. 554]
La
signification
du
phallus
doit
être
évoquée
dans
l'imaginaire
du
sujet
par la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 557]
Le
phallus
a une
fonction
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 555]
Le
phallus
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 608]
Le
désir
du
névrosé
est
d'être
le
phallus.
[
Lac66a
, p. 642]
Il faut que
l'homme,
mâle
ou
femelle,
accepte
d'avoir
et de ne pas
avoir
le
phallus,
à partir de la
découverte
qu'il ne l'est pas. [
Lac66a
, p. 642]
Pour le
névrosé,
recevoir
et
donner
le
phallus
sont
également
impossibles.
[
Lac66a
, p. 642]
Le
sujet
sacrifie
son
phallus
à la
fonction
. [
Lac66a
, p. 683]
Le
phallus
n'est pas un
fantasme.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
n'est pas un
effet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
n'est pas un
objet.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
n'est pas
l'organe,
pénis
ou
clitoris,
qu'il
symbolise.
[
Lac66a
, p. 690]
*
Le
phallus
est un
signifiant.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
est le
signifiant
destiné à
désigner,
dans leur
ensemble,
les
effets
de
signifié.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
marque
où la
part
du
logos
se
conjoint
à
l'avènement
du
désir.
[
Lac66a
, p. 692]
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
raison
du
désir.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
sujet
a
accès
au
phallus,
à la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
signifiant
phallus
est
voilé.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est
raison
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
*
Si le
désir
de la
mère
est le
phallus,
l'enfant
veut
être
le
phallus
pour le
satisfaire.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 694]
*
Ce qui
ressurgit
dans
l'inconscient
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre,
soit le
phallus
désiré
par la
mère.
[
Lac66a
, p. 733]
La plupart des
perversions
mâles
ont pour
motif
imaginaire
le
désir
de
préserver
un
phallus,
qui est celui qui a
intéressé
le
sujet
dans la
mère.
[
Lac66a
, p. 734]
Le
phallus
est à
considérer
comme le
signifiant
du
sujet.
Le
phallus
ne
devient
un
objet
amovible que par son
passage
au
rang
de
signifiant.
À la marionnette il
manque
le
phallus.
Pour autant que la
femme
symbolise
le
phallus,
l'homme
y
retrouve
le
complément
de son
être.
L'homme
dans
l'amour
est
aliéné
au
phallus
objet
de son
désir.
*
Il y a un
rapport
entre
le
phallus
et le
grand
Autre.
Le
phallus
a un
rapport
avec
l'être
du
sujet.
Le
sujet
par
rapport
au
signifiant
phallus,
c'est soit
être
le
phallus,
soit
l'avoir.
Le
phallus
on
ne
peut
pas
l'être
et
l'avoir.
Pour que le
sujet
vienne à
avoir
le
phallus,
il faut qu'il y
ait
renoncement
à
l'être.
La
loi
rappelle au
sujet
qu'il a ou qu'il n'a pas le
phallus.
La
castration
exprime
ceci, que le
sujet
est et n'est pas le
phallus,
mais il n'est pas
sans
l'avoir.
Le
rapport
du
sujet
féminin
au
phallus
c'est
d'être
sans
l'avoir.
Le
sujet
veut
maintenir
le
phallus
de la
mère.
Le
phallus
dans
l'Autre
est indisponible.
Dans le
fantasme,
la
fonction
de
l'objet
est de
prendre
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement,
le
phallus.
signifie
ce dont le
sujet
est
privé
qui est le
signifiant
de son
aliénation,
le
phallus.
L'objet
de la
castration
est le
phallus
imaginaire.
cf:
5.9.1
L'objet
de la
privation
est le
phallus
symbolique.
cf:
5.9.1
La
castration
se
rapporte
à
l'objet
phallique
imaginaire.
cf:
5.9.1
L'objet
soutient
le
rapport
du
sujet
à ce qu'il n'est pas, le
phallus.
L'objet
de la
castration
s'appelle
le
phallus.
La
deuxième
espèce
d'objet
est
l'objet
phallus.
Là où le
phallus
est un
organe,
il est
instrument
de
jouissance.
Le pas
Un
se
transforme
en
phallus
ressenti
comme
absence
chez la
femme.
Le
phallus
est un
signifiant.
Le
phallus,
la
femme
elle l'aura
toujours
en
moins.
La
femme
a à faire avec
l'objet
phallique,
toujours
en tant que
séparé.
Dans
l'inconscient
de la
femme,
le
phallus
à la
fois
elle
l'est ,
et elle
l'a .
La
métaphore
paternelle
instaure
chez le
sujet,
sous la
forme
du
phallus,
une
dissociation,
ou bien le
sujet
ne
l'est
pas, ou bien il ne
l'a
pas.
La
formule
,
pour le
névrosé,
se
transforme
en
identification
de son
être
inconscient,
barré
en
phallus
barré
,
.
*
Il n'y a
jamais
qu'un
seul
phallus.
*
Le
névrosé
ne
peut
être
le
phallus
qu'au
nom
de
l'Autre.
La
métonymie
du
névrosé,
c'est que le
phallus,
il ne
l'est
pas et pour autant il ne
l'a
pas, et qu'il s'agit de ne pas le
révéler.
*
Le
pervers
est
identifié
à la
forme
imaginaire
du
phallus.
Le
sujet
n'accepte le
phallus
que comme
signifiant.
le
phallus
est le
désir
du
désir
de
l'Autre.
Le
phallus
est le
signifiant
du
désir
du
désir.
L'objet
phallique
est
latent
à
tout
rapport
de
demande
comme
signifiant
du
désir.
*
Le
phallus
a la
fonction
de
signifiant
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
perte
que le
sujet
subit,
par le
morcellement
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 715]
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
qu'un
signifiant.
Dans la
dialectique
du
désir,
le
phallus
donne
corps
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 822]
Le
passage
du
de
l'image
phallique,
d'un
côté
à
l'autre
de
l'équation
de
l'imaginaire
au
symbolique,
le
positive,
et il
devient
le
. [
Lac66a
, p. 823]
est le
phallus
symbolique,
impossible
à
négativer,
signifiant
de la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 823]
C'est
l'absence
de
pénis
de la
femme
qui la
fait
phallus,
objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 825]
Le
sein,
le
phallus,
la
merde
sont des
objets
partiels.
*
L'objet
phallique
comme
objet
imaginaire
ne
saurait
en
aucun
cas
prêter à
révéler
d'une
façon
complète
le
fantasme
fondamental.
L'objet
phallus,
objet
disjoint
du
désir,
n'est pas la
simple
spécification, l'homologue du
imaginaire.
L'objet
phallus
c'est un
objet
privilégié
dans le
champ
de
l'Autre
qui
vient
en
déduction
du
statut
de
l'Autre.
*
Le
c'est le
grand
moins
phi,
.
Le
phallus
rencontré
au
champ
de
l'imaginaire,
est la
racine
du
manque
d'un
signifiant.
*
Quelque
chose
est
plus
précieux que le
désir
lui-même, d'en garder le
symbole
qui est le
phallus.
Il s'agit de
considérer
le
phallus
comme
signifiant
comme
centre
de
toute
appréhension
cohérente
de ce dont il s'agit dans le
complexe
de
castration.
*
C'est en
proportion
d'un
certain
renoncement
au
phallus
que le
sujet
entre
en
possession
de la pluralité des
objets
qui
caractérise
le
monde
humain.
est le
phallus
symbolique.
est le
phallus
imaginaire.
Le
signifiant
phallus
a une
polarité
symbolique
et une
polarité
imaginaire.
Le
du
phallus
est le
manque
de
signifiant.
Le
phallus
n'est pas simplement
l'organe
de la
copulation.
Le
phallus
comme
signe
du
désir
se
manifeste
comme
objet
du
désir.
La
castration
est
identique
à ce
phénomène
qui
fait
que
l'objet
de son
manque
est
identique
à
l'instrument
même
du
désir,
le
phallus.
Le
phallus,
à la
place
symbolique
de
l'instrument
du
désir
est porté à la
fonction
de
signifiant.
La
place
symbolique
du
phallus
est la
place
du
point
mort
occupé par le
père
en tant que déjà
mort.
est le
phallus
symbolique.
C'est à partir du
phallus
que
s'ouvre
la
distinction
de
l'être
et de
l'avoir.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
Le
pénis
n'est pas
phallique.
C'est en
raison
de la
fonction
signifiante
du
phallus
comme tel, que le
pénis
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
Le
phallus
a une
fonction
privilégiée
dans
l'identification
du
sujet.
est le
symbole
du
phallus.
Le
phallus
est
l'instrument
du
désir.
Le
phallus
est un
médium
entre
demande
et
désir.
*
Le
phallus
est cet
élément
de
médiation
qui
donne
au
désir
son
support.
*
Le
sujet
demande
le
désir
et le
phallus
désire.
*
Le
pervers
est celui qui se
fait
objet
pour la
jouissance
d'un
phallus
dont il ne soupçonne pas
l'appartenance.
Le
phallus
n'est
jamais
tant là que quand il est
absent.
Le
phallus
est le
pivot,
le
point
tournant
de la
constitution
de
tout
objet
comme
objet
du
désir.
*
Le
phallus,
dans sa
fonction
radicale,
est ce
seul
signifiant
qui
peut
se
signifier
lui-même.
Le
phallus
est
innommable
comme tel.
Le
pervers,
c'est le
normal
en tant que pour lui le
phallus
a
toute
l'importance.
*
Le
pervers
est
normal
dans sa
perversion,
parce qu'il a affaire dans sa
variété
au
phallus.
Le
désir
de
l'Autre
est le
point
nodal,
le
point
phallique.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
On
demande
à la
mère
la
seule
chose
qu'elle
n'ait
pas, le
phallus.
Pas
tout
l'investissement
libidinal
passe
dans
l'image
spéculaire,
il y a un
reste,
le
phallus.
*
Le
phallus
apparaît
en
moins.
Le
phallus
est une
réserve
opératoire.
Le
phallus
est
cerné,
coupé
de
l'image
spéculaire.
Le
rapport
du
sujet
au
phallus
est qu'il n'est pas
sans
l'avoir.
*
Pour
avoir
le
phallus,
pour s'en
servir,
il faut justement ne pas
l'être.
La
loi
du
père
c'est un
phallus
absolu
.
La
fonction
phallique
pour
l'homme
est
marquée
du
signe
moins.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
Les cinq
états
de
l'objet
sont,
l'oral,
l'anal,
le
phallique,
l'œil,
l'oreille.
Le
phallus
fonctionne
partout
sauf au
stade
phallique.
C'est
l'évanouissement
de la
fonction
phallique
qui est le
principe
de
l'angoisse
de
castration.
*
C'est parce que le
phallus
ne
réalise
pas, si ce n'est dans son
évanescence,
la
rencontre
des
désirs,
qu'il
devient
le
lieu
commun
de
l'angoisse.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
*
Le
phallus,
là où il est
attendu
comme
sexuel,
n'apparaît
jamais
que comme
manque.
Le
phallus
est
présent
partout
là où il n'est pas en
situation.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
Au
niveau
du
stade
phallique,
la
fonction
de
est
représentée
essentiellement
par un
manque,
par le
défaut
de
phallus.
Le
défaut
de
phallus
est
constituant
de la
disjonction
qui
joint
le
désir
à la
jouissance.
Le
phallus
fait
défaut
à ce qui
pourrait
être
atteint
de
réel
dans la
visée
du
sexe.
La
refente
du
sujet
se
fonde
dans une
refente
de
l'objet
phallique.
[
Lac66a
, p. 842]
La
nature
du
phallus
se
révèle
au
sujet
par le
manque
du
pénis
de la
mère.
5
.
358
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
que ce
point
de
manque
qu'il
indique
dans le
sujet.
La
femme,
de
n'avoir
pas le
phallus,
incarne
le parfait
accomplissement
de la
castration.
c'est le
phallus
en tant
qu'objet
en
jeu
dans le
rapport
à la
jouissance.
L'essence
de la
castration
se
manifeste
en ceci que la
différence
sexuelle
ne se
supporte
que de la
Bedeutung
de quelque
chose
qui
manque
sous l'aspect du
phallus.
Le
phallus
représente
la
possibilité
d'un
manque
d'objet.
Le
phallus
comme
signifiant
donne
la
moyenne
et extrême
raison
de la
division
harmonique
du
désir.
désigne
le
rapport
significatif
de la
fonction
phallique
en tant que
manque
essentiel
de la
jonction
du
rapport
sexuel
avec sa
réalisation
subjective.
C'est parce qu'elle n'a pas le
phallus
que le
don
de la
femme
prend
une
valeur
privilégiée
quant à
l'être.
Pour
l'homme
le
manque
phallique
s'appelle
la
castration.
Pour la
femme
le
manque
phallique
s'appelle
Penis-neid
.
La
valeur
phallique
c'est la
femme
qui le
5
.
359
représente.
*
C'est pour autant que
l'homme
a
l'organe
phallique
qu'il ne l'est pas.
C'est en tant qu'elle n'a pas le
phallus
que la
femme
peut
en
prendre
la
valeur.
Le
phallus
doit
manquer
à celui qui l'a, c'est-à-dire à
l'homme.
Le
phallus
devient
l'être
du
partenaire
qui ne l'a pas.
Le
complexe
de
castration
veut
dire
qu'il n'y a pas
d'objet
phallique
et qu'il y a un
acte
sexuel.
Le
phallus
est le
symbole
d'une
jouissance
soustraite
comme telle.
Le
phallus
est cette
partie
négativée
du
corps,
ce qui le
distingue
du
pénis.
Le
désir
féminin
et le
désir
masculin
sont dans une certaine
relation
à un
manque
symbolisé
qui est le
manque
phallique.
La
jouissance
de
l'instrument
phallus
fait
barrage
à la
jouissance
de
l'Autre.
*
La
femme
est
distinguée
de ceci qu'elle n'a pas le
phallus.
Le
principe
de la
structure
perverse
est de
parer
à la
béance
radicale
dans
l'ordre
du
signifiant
en pourvoyant de quelque
chose
qui
comble,
qui remplace le
manque
phallique.
Le
phallus
se
définit
d'abord
comme ce qui
manque.
*
Le
phallus
est le
signifiant
manquant.
Le
phallus
est le
signifiant
manquant,
hors
système.
Le
phallus
est ce qui est, de la
jouissance
sexuelle,
radicalement
forclos.
Le
signifiant
phallus
est le
signifiant
de la
jouissance,
signifiant
exclu.
Le
phallus
est le
contenu
manifestement
imaginaire
de
l'énigme
de la
castration.
*
Au
phallus
se résume le
point
de
mythe
où le
sexuel
se
fait
passion
du
signifiant.
[
Lac70d
, p. 64]
Le
phallus
est le
pénis
imaginé
comme
organe
de la
tumescence.
[
Lac70d
, p. 90]
La
jouissance
sexuelle
ne
s'articule
que du
phallus,
en tant qu'il est son
signifiant.
Le
phallus
est la
jouissance
sexuelle
en tant qu'elle est
coordonnée,
qu'elle est
solidaire
d'un
semblant.
C'est
réel
que le
garçon
et la
fille
sont le
phallus
pendant un
moment.
Le
phallus
est le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
en tant qu'elle est
détachée.
Le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
c'est le
phallus,
c'est le
nom-du-père.
C'est la
fonction
du
phallus
qui est à l'œuvre dans
l'institution
du
discours
analytique.
La
fonction
du
phallus
rend intenable la
bipolarité
sexuelle.
La
fonction
du
phallus
volatilise ce qu'il en est de ce qui
peut
s'écrire
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
phallus
ne
désigne
nullement
l'organe,
pénis.
Le
phallus
vise
son
rapport
à la
jouissance.
Le
phallus
c'est
l'organe,
en tant qu'il est la
jouissance
féminine.
Le
phallus
laisse
ouverte
la
béance
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
introduit
le
choix
qu'il y a
entre
les
fonctions
de
l'être
et de
l'avoir.
Le
phallus
c'est la
jouissance
féminine.
L'instrument
phallus
n'est pas du
tout
à
confondre
avec le
pénis.
c'est le
signifiant
phallus.
Le
rapport
sexuel
ne va pas
sans
un
tiers
terme,
qui est le
phallus.
*
L'homme
est
fonction
phallique
en tant qu'il est
tout
homme.
Die
Bedeutung
des
Phallus
est un pléonasme.
*
Il n'y a pas, dans le
langage,
d'autre
Bedeutung
que le
phallus.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
Il n'y a qu'une
Bedeutung
,
le
phallus.
Du
phallus
ne
sort
aucune
parole.
*
La
fécondité
est forgerie
phallique,
et c'est bien par là que
tout
enfant
est
reproduction
du
phallus.
Le
signifiant
c'est la
jouissance,
et le
phallus
c'est le
signifié.
Le
phallus
est le
signifié,
majeur,
global.
Le
phallus
désigne
un
signifié
d'un
signifiant
parfaitement
évanouissant.
La
fonction
phallique
est ce qui
obture
le
rapport
sexuel.
Les
femmes
ne sont pas
castrables,
parce que le
phallus
elle ne
l'ont
pas.
*
Il n'est pas
impossible
que la
femme
connaisse
la
fonction
phallique.
*
Le
phallus
c'est
l'objection
de
conscience
faite
par un des
deux
êtres
sexués
au
service
à
rendre
à
l'Autre.
La
femme
se
définit
d'une
position
du pas
toute
à
l'endroit
de la
jouissance
phallique.
La
jouissance
phallique
est
l'obstacle
par quoi
l'homme
n'arrive
pas à
jouir
du
corps
de la
femme.
*
La
jouissance
en tant que
sexuelle
est
phallique.
Être
ou
avoir
le
phallus
est la
fonction
qui
supplée
au
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 14]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
Bander
pour une
femme,
ça
veut
dire
lui
donner
la
fonction
, ça
veut
dire
la
prendre
comme
phallus.
Le
phallus,
c'est la
signification
par quoi le
langage
signifie
qu'il n'y a qu'une
Bedeutung
,
c'est le
phallus.
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
affirme
qu'il est
vrai
que ce qui se
rapporte
au
registre
de
l'acte
sexuel
relève de la
fonction
phallique.
La
fonction
phallique
domine
également
les
deux
partenaires.
*
La
femme,
au
regard
de la
fonction
phallique
ne se
situe
que du pas
toute
à y
être
sujette.
*
C'est en tant que la
fonction
phallique
ne
fonctionne
pas qu'il y a une chance de
rapport
sexuel.
La
femme
recèle
une
autre
jouissance
que la
jouissance
phallique.
La
jouissance
proprement
féminine
ne
dépend
nullement
de la
jouissance
phallique.
est
tout
mâle
est serf de la
fonction
phallique.
La
relation
de la
femme
à la
fonction
phallique
est
tout
à
fait
active.
La
fonction
du
phallus
ne
s'articule
que des
faits
d'absence.
La
castration
est quelque
chose
qui
dit
non
à la
fonction
phallique.
La
femme
a, par
rapport
à ce que
désigne
de
jouissance
la
fonction
phallique,
une
jouissance
supplémentaire.
Il y a une
jouissance
au-delà
du
phallus.
Pour
tout
tel que
de
est la
fonction
phallique
de
l'homme
qui se note
femme
n'est pas
toute
le
phallus.
cf:
20.8.1
,
le
phallus
est le
signifiant
qui n'a pas de
signifié.
cf:
20.8.1
Le
phallus
se
supporte
chez
l'homme
de la
jouissance
phallique.
cf:
20.8.1
Le
phallus
est le point-clé, le
point
extrême de ce qui
s'énonce
comme
cause
du
désir.
L'expérience
analytique
ne
cesse
pas
d'écrire
le
phallus.
Un
surgit
de la
jouissance
phallique.
Le
dire
non
à la
fonction
phallique
c'est
c'est la
fonction
de
castration.
La
jouissance
phallique
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
signifiant
est le
substitut
à la
jouissance
phallique.
Chez
l'être
parlant
la
jouissance
phallique
prévaut.
La
jouissance
phallique
est en
relation
à ce qui au
réel
ex-siste
.
La
jouissance
phallique
intéresse
l'autre
du
corps,
l'autre
sexe.
Il y a un
rapport
du
sens
à la
jouissance
phallique.
[
Lac74a
, p. 9]
c'est le
phallus.
La
jouissance
phallique
est aussi bien l'affaire d'une
femme.
Le
jouir
est à
l'horizon
du
plus
et du
moins,
point
idéal
nommé
phallus.
*
Le
phallus
c'est ce qui
donne
corps
à
l'imaginaire.
Le
phallus
c'est le
réel
surtout en tant
qu'on
l'élide.
*
Le
phallus
ce n'est pas
l'
ex-sistence
du
réel.
Il y a un
réel
qui
ex-siste
au
phallus,
c'est la
jouissance.
Un
phallus
vaut par son
absence.
Le
phallus
est ce qui
barre
la
jouissance
du
corps
de
l'autre.
Le
discours
du
maître
fait
signifiant
Un
du
phallus.
Le
phallus
c'est la
conjonction
d'un
petit
bout de
queue
avec la
fonction
de la
parole.
La
jouissance
du
phallus
n'est pas la
jouissance
pénienne.
La
jouissance
phallique
se
situe
à la
conjonction
du
symbolique
avec le
réel.
*
La
jouissance
phallique
est au
joint
du
symbolique
et du
réel.
*
Le
phallus
ça se
transmet
de
père
en
fils.
La
femme
n'est pas
privée
de la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
La
femme
n'a pas
moins
que
l'homme
la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
Il n'y a pas
trace
d'une
nature
anti-phallique
dans
l'inconscient.
[
Lac82b
, p. 83]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08