Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.18 R
Précédent:
rejet
Suivant:
relier
Index:
Index
relation
L'habitude et
l'oubli
sont les
signes
de
l'intégration
dans
l'organisme
d'une
relation
psychique.
[
Lac66a
, p. 182]
La
fonction
de
l'
imago
est
d'établir
une
relation
de
l'organisme
à la
réalité,
Innerwelt
,
Umwelt
.
[
Lac66a
, p. 96]
*
Dans un
langage
les
signes
prennent
leur
valeur
de leur
relation
les uns aux
autres.
[
Lac66a
, p. 297]
L'analyse
a pour
but
la
réalisation,
par le
sujet,
de son
histoire
dans sa
relation
à un
futur.
[
Lac66a
, p. 302]
Une
relation
analysable
est une
relation
interprétable
symboliquement.
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
*
C'est dans un
rapport
à
trois
et
non
pas dans une
relation
à
deux,
que
peut
se
formuler
pleinement, dans sa
complétude,
l'expérience
analytique.
La
relation
inter-analytique
est
triadique.
La
relation
à
l'autre
contient
toujours
en elle-même
l'élément
fondamental
originel
de
dénégation.
L'amour
passion
est, dans son
fondement,
lié
à la
relation
analytique.
La
relation
d'amour
imaginaire
a un
caractère
narcissique.
*
Il se
passe
quelque
chose
dans la
schizophrénie
qui
perturbe
complètement
les
relations
du
sujet
au
réel.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
L'idéal-du-moi
commande
un
certain
jeu
de
relations
d'où
dépend
toute
relation
à
autrui.
De la
relation
à
autrui
dépend
le
caractère
plus
ou
moins
satisfaisant
de la
structuration
imaginaire.
La
relation
symbolique
est éternelle.
Le
je
se
constitue
dans une
relation
où
l'autre
manifeste
des
ordres,
des
désirs
qu'il
doit
reconnaître.
Le
désir
est
ressenti
et
vu,
projeté dans
l'autre,
aliéné
sur le
plan
de la
relation
imaginaire
du
stade
spéculaire.
C'est dans
l'autre,
et par
l'autre,
que le
désir
va être
nommé,
reconnu,
va
entrer
dans la
relation
symbolique
du
je
et du
tu.
C'est en tant que
l'enfant
apparaît
dans le
monde
à
l'état
prématuré,
structurellement,
qu'existe
la
première
relation
libidinale
à son
image.
Sur le
plan
de
l'éros
la
relation
à
l'image
narcissique
passe
sur le
plan
de la
Verliebkeit
.
C'est au
moment
où ce qui est près d'éclore, de
surgir
dans
l'imaginaire,
est en
même
temps
là dans
l'analyse,
dans la
relation
verbale
avec
l'analyste,
que
l'interprétation
étant
donnée,
sa
valeur
décisive, mutatiste
peut
s'exercer.
La
relation
sadique
ne se
soutient
que pour autant que
l'autre
est justement à la
limite
où
l'autre
reste
un
sujet.
Le
plan
de la
reconnaissance
est au
pivot
de la
relation
symbolique.
La
relation
est
essentiellement
inter-subjective.
Le
regard
est une
dimension
constitutive
d'une
relation
comme telle qui ne
suppose
même
pas forcément
l'apparition
des
yeux.
C'est
l'incertitude
fondamentale
de la
relation
perverse
qui
fait
une
face
du
drame
de
l'homosexualité.
Pour qu'il y
ait
relation
d'objet,
il faut déjà qu'il y
ait
une
relation
du
moi
à
l'autre.
La
relation
du
moi
à
l'autre
est la
condition
primordiale
de
toute
espèce
d'objectivation
du
monde
extérieur.
Certains
organes
sont
intéressés
dans la
relation
narcissique.
Il y a
toujours,
dans la
névrose
les
mécanismes
de
défense
qui sont
liés
à la
relation
narcissique
du
moi
à
l'autre.
Les
mécanismes
de
défense
sont
toujours
plus
ou
moins
liés
à la
relation
narcissique
du
moi,
car elle est
strictement
structurée
sur le
rapport
à
l'autre,
l'identification
possible
avec
l'autre.
Dans
toute
relation
narcissique
le
moi
est
l'autre
et
l'autre
est
moi.
La
fonction
fondamentale
du
narcissisme
structure
toutes
les
relations
de
l'homme
avec le
monde
extérieur.
La
relation
symbolique,
le
pouvoir
de
nommer
les
objets,
est quelque
chose
qui
intervient
comme
absolument
essentiel
pour
structurer
la
perception
elle-même.
Le
principe
du
plaisir
est ce qui
règle
la
mesure
du
moi,
et
instaure
cette
conscience
dans ses
relations
avec
l'extérieur.
La
paranoïa
est
toujours
en
relation
avec une
aliénation
imaginaire
du
moi.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
L'autre
est
toujours
dans une
relation
réflexive,
interchangeable.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
se
produit
dans la
réalisation
symbolique
du
sujet.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est
sous-jacente,
inconsciente.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est
essentielle
à
toute
situation
subjective
comme telle.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est la
symbolisation
du
réel.
Les
deux
réseaux
du
signifiant
et du
signifié
organisent
des
relations
qui ne se
recouvrent
pas. [
Lac66a
, p. 414]
La
relation
du
narcissisme
est la
relation
imaginaire
centrale
pour le
rapport
inter-humain.
*
C'est par la
voie
de la
relation
narcissique
que se
fait
toute
identification
érotique.
La
relation
agressive
est
constituante
de la
formation
du
moi.
Le
comportement
humain
n'est
jamais
réduit
à la
relation
imaginaire.
Dans la
psychose,
l'ego,
dans sa
fonction
de
relation
au
monde
extérieur
est ce qui y est mis en
échec.
La
cure
analytique
ne se
réduit
pas à
l'analyse
d'une
relation
à
deux.
Les
paroles
imaginaires
du
sujet,
et
,
recouvrent
la
relation
spéculaire,
celle du
stade
du
miroir.
L'analyste
se
doit
d'être
assez
mort
pour ne pas
être
pris
dans la
relation
imaginaire.
Il s'agit dans
l'analyse
d'amenuiser
progressivement
l'économie
de la
relation
imaginaire.
Dans
l'ordre
imaginaire
prévaut
la
relation
de
moi
à
moi.
La
relation
imaginaire
est
liée
à
tout
le
domaine
de
l'éthnologie
5
.
413
, à la
psychologie
animale,
aux
fonctions
de la
relation
humaine,
de la
capture
par
l'image
de
l'autre.
5
.
414
La
Bewusstsein
est
seconde
et
ordonnée
comme quelque
chose
en
relation
de
causalité.
La
Bewusstsein
est le
moment
de
relation
causale
où le
signifiant
qui est
constitué
comme
signifiant,
s'ordonne.
La
notion
de
totalité
intervient
quand il s'agit d'une
relation
close
avec un
correspondant
dont la
structure
est
solidaire.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
est
prise
dans un
rapport
purement
duel
et dans un
rapport
démesuré.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
une
toute
autre
signification
que la
relation
d'exclusion
réciproque
que
comporte
l'affrontement
spéculaire.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
la
fonction
de la
capture
imaginaire,
biologiquement.
La
notion
de
Verwerfung
nomme
quelque
chose
de
préalable
qui
manque
dans la
relation
au
signifiant
comme tel.
Pour le
psychotique,
il y a une
possibilité
d'abolition
du
sujet
dans une
relation
amoureuse.
Le
signifiant,
lorsqu'il est pour
l'autre
exclu,
lorsqu'il est
appelé,
produit
à ce
moment
là la
réduction,
mais intensifiée, à la
pure
relation
imaginaire.
Le
délire
est une
perturbation
de la
relation
à
l'autre.
Dans les
névroses
il y a
relation
du
sujet
à un
lien
signifié
à
l'intérieur
des
structures
signifiantes
existantes.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
*
En
aucun
cas
la
relation
sujet
objet
n'est
centrale.
La
relation
d'objet
est une
relation
en
miroir
où il y a
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet.
Le
sujet
s'efforce
de
maintenir
ses
relations
d'objet
à
tout
prix.
*
L'identification
à
l'objet
est au
fond
de
toute
relation
à
l'objet.
La
relation
d'objet
imaginaire
est d'un
caractère
profondément
oral.
Tout
l'accomplissement
de la
relation
duelle
comme telle
fait,
à
mesure
qu'on
s'en
approche,
surgir
un
objet
imaginaire
au
premier
plan,
le
phallus.
La
relation
imaginaire
est
modulée
sur le
rapport
fondamental
mère
enfant.
Le
phallicisme
de
l'expérience
analytique
est au
centre
de la
relation
d'objet.
Le
principe
du
plaisir
s'identifie
avec une certaine
relation
d'objet,
à
savoir
le
sein
maternel.
Au
départ,
il n'y a
aucune
espèce
de
distinction
dans la
relation
mère
enfant
idéale,
entre
l'hallucination
surgie
du
sein
maternel
et la
rencontre
de
l'objet
réel
dont il s'agit.
Le
manque
de
l'objet
est du
ressort
même
de la
relation
du
sujet
au
monde.
Toute
relation
objectale
est
fondamentalement
imaginaire.
*
Un
objet
peut
commencer
à
exercer
son
influence
dans les
relations
du
sujet
bien
avant
d'avoir
été
perçu
comme
objet.
Entre
un
sujet
et
l'objet
extérieur
qui est
l'analyste,
il ne
peut
en
principe
s'établir
que la
relation
pulsionnelle
primitive.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, la
relation
symbolique
et
imaginaire
s'entrecroisent.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, c'est sur la
ligne
que
s'établit
la
relation
imaginaire.
La
relation
anaclitique
s'oppose
à la
relation
narcissique.
Le
quatrième
terme
est le
père,
c'est celui qui
introduit
la
relation
symbolique.
Le
père
introduit
la
possibilité
de la
transcendance
de la
relation
de
frustration.
La
relation
de
castration
introduit
le
manque
d'objet
dans une
dialectique
qui
institue,
investit,
confère la
dimension
du
pacte
d'une
loi,
d'une
interdiction
de
l'inceste.
Le
propre
des
relations
imaginaires
est d'être
toujours
parfaitement
réciproques.
*
C'est
l'institution
du
manque
dans la
relation
à
l'objet
comme
étant
l'ordre
même
dans lequel un
amour
idéal
peut
s'épanouir.
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
La
première
version du
schéma
la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.1
, met en
relation
la
mère
imaginaire,
l'enfant
réel,
le
pénis
imaginaire
et le
père
symbolique.
La
frustration
de
l'amour
contient
toutes
les
relations
inter-subjectives
telles qu'elles pourront se
constituer
par la
suite.
Ce qui
succède
à la
frustration
de
l'objet
de
jouissance
chez
l'enfant,
c'est quelque
chose
qui se
maintient
dans le
sujet
à
l'état
de
relation
imaginaire.
La
deuxième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.2
met en
relation
l'enfant,
la dame
réelle,
le
père
imaginaire
et le
pénis
symbolique.
La
troisième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.8.1
, met en
relation
l'enfant,
la dame, le
père
imaginaire,
le
pénis
imaginaire
et un
vecteur
qui
lie
le
père
imaginaire
à la dame.
La
relation
narcissique
est
fondatrice
du
moi.
La
relation
narcissique
est la
matrice
de la
constitution
imaginaire
qui
s'appelle
le
moi.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.2
, met en
relation
Mme K., Dora et le
père.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.3
, met en
relation
Mr. K., Mme K., Dora et le
père.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.4
, met en
relation
Mme K. qui
pose
sa
question,
Mr. K. à qui Dora
s'identifie,
Dora et le
père
qui
reste
l'Autre
par excellence.
C'est une
alternance
d'identifications
à la
femme
qui
organise
le
cycle
des
relations
à
l'objet
amoureux
chez le
fétichiste.
La
fille
vit
la
relation
sexuelle
comme
étant
cette
relation
qui
fait
qu'elle-même
apporte
au
partenaire
masculin
son
phallus.
Pas
avant
le sixième mois se
produit
une
relation
à
l'image
de
l'autre
en tant qu'elle
donne
au
sujet
son
incomplétude
vécue.
Le
schéma
de la
figure
4.10.1
décrit les
relations
entre
l'idéal-du-moi,
le
moi,
l'objet
et
l'objet
extérieur.
La
relation
d'amour
n'implique
pas
seulement
un
objet
mais un
être.
Le
don
surgit
d'un
au-delà
de la
relation
objectale.
Il y a
découverte
progressive
de
l'insatisfaction
foncière
qu'éprouve
la
mère
dans la
relation
mère
enfant.
Le
schéma
de la
figure
4.12.1
indique
les
relations
entre
la
mère,
le
phallus
et
l'Autre.
Le
surmoi
et les
symptômes
sont des
signifiants
qui
marquent,
chez
l'homme,
sa
relation
au
signifiant.
5
.
415
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
L'interposition
des
fantasmes
et la
nécessité
de la
relation
symbolique
rendent très
difficile
à
l'enfant
l'appréhension
du
père
réel.
*
C'est dans la
relation
à la
mère
que
l'enfant
éprouve
le
phallus
comme
étant
le
centre
du
désir
de la
mère.
L'enfant
atteste
à la
mère
qu'il
peut
la
combler
dans une
relation
imaginaire
leurrante.
*
La
perversion
est
structurée
en
relation
avec
tout
ce qui
s'ordonne
autour de la
notion
absence
et
présence
du
phallus.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
la
mère
symbolique
est
l'agente
du
manque
de la
frustration
par
dette
imaginaire
du
sein
réel.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
Le
signifiant
n'est pas là, dans la
relation
au
signifiant,
pour
représenter
la
signification.
Toute
relation
à
l'objet
implique
une
tierce
dimension.
Toute
la
relation
d'objet
tourne
autour de la
notion
de la
privation.
Le
phallus
est
l'élément
de
béance
critique
de
toute
relation
à
deux.
La
relation
d'objet
est
destinée
à
instituer
une certaine
relation
stable
entre
les
sexes.
La
sublimation
déplace
le
dernier
et
radical
rapport
à une
altérité
essentielle
pour la
faire
habiter
par une
relation
de
mirage.
Le
moi
est
fonction
de la
relation
symbolique.
La
structure
métonymique,
c'est la
connexion
du
signifiant
au
signifiant,
qui
permet
l'élision
par quoi le
signifiant
installe
le
manque
de
l'être,
dans la
relation
d'objet.
[
Lac66a
, p. 515]
Toute
la
dialectique
de la
relation
d'objet
tourne
autour du
phallus.
La
relation
avec
l'objet
le
plus
primordial,
l'objet
maternel,
s'opère
d'emblée sur des
signes.
Dans la
relation
de
l'amour,
le
sujet
donne
essentiellement
ce qu'il n'a pas.
La
confrontation
de
l'enfant
au
personnage
maternel
aboutit
à une
relation
spéculaire
qui
fait
que le
corps
maternel
devient
le
lieu
des
pulsions
de
l'enfant.
C'est au titre d'un
élément
signifiant
privilégié,
qu'intervient
la
relation
dans
l'œdipe
de la
petite
fille
au
phallus.
*
La
relation
narcissique
est
parfaitement
ouverte
à une
sorte
de transitivisme
permanent.
L'hystérique
est le
sujet
pour lequel la
constitution
de
l'autre
en tant que
grand
Autre
est ce avec quoi il est
difficile
d'établir
la
relation
qui lui
permet
à lui,
hystérique
de garder sa
place
de
sujet.
Le
sujet
achevé,
c'est le
sujet
en tant que s'est
introduite
la
barre,
en tant que lui-même est quelque part
marqué
de la
relation
du
signifiant.
Le
fait
fantasmatique
est une
relation
articulée
et
toujours
complexe,
un
scénario.
Dans le
graphe
5.25.1
le
vecteur
est la
relation
imaginaire.
Le
meurtre
du
semblable
est
latent
dans la
relation
imaginaire.
La
relation
entre
la
pulsion
et la
chaîne
signifiante
est présentée
figure
6.1.1
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
et
représentent
les
deux
termes
imaginaires
de la
relation
narcissique.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
, soit en
,
se
situent
les
figures
de
l'autre
imaginaire
dans les
relations
d'agression
érotique
où elles se
réalisent.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
*
Le
langage
structure
tout
de la
relation
inter-humaine.
[
Lac66a
, pp. 618–619]
La
relation
sexuelle
occupe
le
champ
clos du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
Le
sujet
se
constitue
comme
signifié
d'une
relation
du
moi
à
l'autre,
puis à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 751]
La
relation
amoureuse
achevée,
c'est que
l'autre
donne
ce qu'il n'a pas.
Le
fantasme
n'est pas simplement
relation
d'objet.
Le
trou
dans le
réel
provoqué par une
perte,
un
deuil
se
trouve,
par cette
fonction,
dans une
relation
inverse
de la
Verwerfung.
Dans la
perversion,
c'est une
relation
anormale
qui est
érotisée.
*
C'est autour d'une
relation
du
sujet
au
signifiant
que
s'organise
la
position
fondamentale
de la
Verdrängung
.
Dans le
sujet,
sa
relation
au
signifiant
détermine
le
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
La
fonction
du
manque
est
essentielle,
constitutive
de la
relation
d'amour.
Le
contre-transfert
ce sont les
sentiments
éprouvés par
l'analyste
dans
l'analyse,
déterminés
à chaque
instant
par ses
relations
à
l'analysé.
L'investissement
de
l'image
spéculaire
est un
temps
fondamental
de la
relation
imaginaire.
C'est la
relation
imaginaire
qui
constitue
le
fantasme.
Ce que
l'enfant
demande
à sa
mère
de
présence
est
destinée
à
structurer
sa
relation,
présence
absence.
Pour la
prostituée,
la
relation
est presque
directement
engrenée sur la
référence
à la
mère.
Le
contre-transfert
est ce qui, dans la
relation
analytique,
peut
survenir du
côté
de
l'analyste.
*
L'objet
choit
du
sujet,
essentiellement
dans sa
relation
au
désir.
*
L'œuf,
dans sa
position
intra-utérine,
se
présente
dans une
relation
semi-parasitaire
à
l'organisme
de la
mère.
Le
désir
est
illusoire
parce qu'il
s'adresse
toujours
ailleurs,
à un
reste
constitué
par la
relation
du
sujet
à
l'Autre
qui
vient
s'y
substituer.
L'objet
est en
relation
profonde
avec le
désir.
*
Le
symbole
du
don
est
essentiel
à la
relation
à
l'Autre.
La
vraie
fonction
de
l'inconscient,
c'est
d'être
en
relation
profonde,
initiale,
inaugurale
avec la
fonction
de la
coupure.
La
coupure
est
liée
à la
fonction
inaugurale
du
sujet,
dans sa
relation
la
plus
initiale,
constituante
au
signifiant.
La
sexualité
se
représente
par une
relation
du
sujet
qui
s'instaure
dans le
champ
du
sujet,
par une
voie
qui est la
voie
du
manque.
La
relation
du
sujet
à
l'Autre
s'engendre
toute
entière
dans un
processus
de
béance.
Sans le
processus
de
béance,
les
relations
entre
les
êtres
pourraient
s'engendrer
en termes de
relations
diversement
réciproques.
Le
sujet
a une
relation
à son
analyste
dont le
centre
est ce
signifiant
privilégié,
l'idéal-du-moi.
Le
corps
de la
science
est dans la
relation
subjective,
l'équivalent
de
l'objet
.
*
Dans un
champ
d'objets,
aucune
relation
n'est
concevable
qui
engendre
l'aliénation
sinon celle du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
L'incorporation
se
situe
au
premier
stade
inaugural
de la
relation
libidinale.
Le
nécessaire
se
fonde
dans la
relation
symbolique.
La
relation
du
sujet,
du
savoir
et du
sexe
est
marquée
de
division.
5
.
416
*
Les
relations
du
sujet
à
l'Autre
ne sont pas
réciproques.
L'homme
a pu
entrer
dans
l'ordre
symbolique,
comme
sujet,
par la
voie
d'une
béance
spécifique
de sa
relation
imaginaire
à son
semblable.
[
Lac66a
, p. 53]
La
projection
implique
une
relation
duelle.
[
Lac66a
, p. 57]
*
Le
signifiant
n'a de
sens
que de sa
relation
à un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
Le
symbolique
et
l'imaginaire
se
distinguent
dans leurs
relations
au
réel.
[
Lac66a
, p. 720]
Le
désir
féminin
et le
désir
masculin
sont dans une certaine
relation
à un
manque
symbolisé
qui est le
manque
phallique.
permet
de
destituer
de sa
fonction,
la
relation
au
tout.
Les
objets
oral
et
anal
reposent
sur la
relation
de la
demande.
[
Lac84b
, p. 12]
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
Dans la
psychanalyse,
c'est de
savoir
et
non
de
connaissance
ni de
représentation
qu'il s'agit, de la
relation
d'un
signifiant
à un
signifiant
.
C'est
seulement
de la
jouissance,
que
s'établit
la
division
dont se
distingue
le
narcissisme,
de la
relation
à
l'objet.
Il n'y a
actuellement
aucun
mode
de
relation
qui
puisse
s'écrire.
La
relation
sexuelle
n'est pas
inscriptible.
Ce que
produit
la
relation
du
signifiant
à la
jouissance
c'est
,
où
ne
désigne
qu'un
signifiant.
La
jouissance
sexuelle
est
dominée
par
l'impossibilité
d'établir
dans
l'énonçable,
l'Un
de la
relation,
le
rapport
sexuel.
Les
places
occupées dans chaque
discours
sont
l'agent,
la
vérité,
l'autre,
la
production,
qui se
relationnent
ainsi : cf:
18.2.1
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
La
relation
de la
femme
à la
fonction
phallique
est
tout
à
fait
active.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Il y a
l'impossible
d'inscrire
la
relation
sexuelle
entre
deux
corps
de
sexes
différents.
La
jouissance
phallique
est en
relation
à ce qui au
réel
ex-siste
.
*
Tout
objet
tient
à une
relation.
*
Le
savoir
et la
vérité
n'ont
aucune
relation
entre
eux.
*
la
névrose
ça
tient
aux
relations
sociales.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08