Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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Index
corps
Les
imagos
du
corps
morcelé
représentent
les
intentions
agressives.
[
Lac66a
, p. 104]
Le
langage
est
corps
5
.
102
. [
Lac66a
, p. 301]
C'est dans le
corps
de
l'autre
que
l'être
humain
reconnaît
son
désir.
Ce qui
fait
la
différence
entre
le
comportement
humain
et
animal,
c'est que
l'homme
se
sait
comme
corps.
*
Par son
corps
même,
le
sujet
émet
une
parole
qui, comme telle, est
parole
de
vérité.
L'image
du
corps
est au
principe
de
toute
unité
perçue
dans les
objets.
Dans le
rêve,
l'objet
est
toujours
plus
ou
moins
structuré
comme quelque
chose
qui est
l'image
du
corps
du
sujet,
le
reflet
du
sujet.
Au
niveau
du
il y a quelque
chose
qui est au
niveau
de
l'imaginaire,
c'est le
moi
et le
corps
morcelé.
Dans la
Verwerfung
à la
base
de la
paranoïa
il s'agit d'un
processus
primordial
d'exclusion
d'un
premier
corps
de
signifiant.
Les
fantasmes
de
corps
morcelé
sont des
phénomènes
hystériques.
Le
tu
est
essentiellement
comme un
corps
étranger.
L'image
du
corps
n'est pas un
objet.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
Le
rapport
du
moi
à
l'image
spéculative
5
.
103
est la
fonction
unifiante
de
l'image
totale
du
corps.
La
confrontation
de
l'enfant
au
personnage
maternel
aboutit
à une
relation
spéculaire
qui
fait
que le
corps
maternel
devient
le
lieu
des
pulsions
de
l'enfant.
Le
sujet
a
peu
d'accès
à la
réalité
de son
corps.
[
Lac66a
, p. 676]
Les
zones
érogènes
se
limitent
à des
points
élus, à des
points
de
béance,
à un
nombre
limité
de
bouches
à la
surface
du
corps.
*
La
forme
du
corps
se
présente
comme
l'enveloppe
de
tous
les
fantasmes
du
désir
humain.
La
médecine
est la
science
des
érotiques
du
corps.
5
.
104
Dans la
dialectique
du
désir,
le
phallus
donne
corps
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 822]
*
L'image
spéculaire
est le
canal
que
prend
la transfusion de la
libido
du
corps,
vers
l'objet.
[
Lac66a
, p. 822]
*
Le
moi
est
avant
tout
une entité
corporelle.
Le
pénis,
partie
du
corps
réel,
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
L'incarnation
corporelle
du
signifiant
est
vocale.
Le
psychotique
est
normal
dans sa
psychose
parce que le
psychotique,
dans le
désir,
a affaire à son
corps.
Dès que quelque
chose
du
réel
vient
au
savoir,
un
morceau
de
corps
est
perdu.
Nous ne sommes
objets
de
désir
que comme
corps.
Le
sujet,
dès qu'il
parle,
est déjà, par cette
parole,
impliqué
dans son
corps.
La
racine
de la
connaissance,
c'est
l'engagement
de son
corps,
par le
sujet.
Le
point
d'angoisse
est au
niveau
de
l'Autre,
au
niveau
du
corps
de la
mère.
*
La
mamelle
fait
partie
du
monde
intérieur
du
sujet
et
non
pas du
corps
de la
mère.
Le
sujet
se
voit
dans une
image
réelle
et
inversée
de son
propre
corps.
La
lamelle
vient
s'insérer
sur la
zone
érogène,
un des
orifices
du
corps.
Les
orifices
du
corps
sont
liés
à
l'ouverture
fermeture
de la
béance
de
l'inconscient.
Le
corps
de la
science
est dans la
relation
subjective,
l'équivalent
de
l'objet
.
*
La
libido
est cette
lamelle
que
glisse
l'être
de
l'organisme
à sa
véritable
limite,
qui va plus loin que celle du
corps.
[
Lac66a
, p. 848]
*
L'image
du
corps,
le
s'origine
dans le
sujet,
dans
l'expérience
spéculaire.
La
jouissance
ne
peut
être
qu'identique
à
toute
présence
de
corps.
La
jouissance
ne se
conçoit
que de ce qui est
corps.
Il
n'appartient
qu'à un
corps
de
jouir
ou de ne pas
jouir.
La
poussée,
le
Drang
prend
son
appui
sur
l'orifice
du
corps,
d'où il tire sa
constance.
C'est un
objet
chu
du
corps
qui
organise
la
demande
et le
désir.
Dans
l'objet
il s'agit des
pièces
détachables
et pourtant foncièrement reliées au
corps.
*
Il ne m'est pas
donné,
ni
donnable,
d'autre
jouissance
que celle de
mon
corps.
Le
corps
est le
lieu
de
l'Autre.
L'Autre
c'est le
corps.
Le
corps
est
fait
pour
inscrire
quelque
chose
qui
s'appelle
la
marque.
*
Le
corps
est
fait
pour
être
marqué.
Quand
Un
fait
irruption
au
champ
de
l'Autre,
c'est au
niveau
du
corps.
*
Il n'y a
d'autre
support
du
corps
que le
tranchant
qui préside à son
découpage.
Il n'y a de
jouissance
repérable
que du
corps
propre.
La
jouissance
du
corps
propre
ne
s'évoque
pas
ailleurs
que dans
l'acte.
*
La
rencontre
sexuelle
des
corps
ne
passe
pas, dans son
essence,
par le
principe
du
plaisir.
Le
lieu
de
l'Autre
est dans le
corps.
Le
corps,
lui-même, est
d'origine
ce
lieu
de
l'Autre
en tant que c'est là que
s'inscrit
la
marque
en tant que
signifiant.
Le
maître
jouit
soit de lui-même, soit du
corps
de
l'esclave.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps
5
.
105
.
Le
sujet
met le
corps
et la
jouissance
dans un
rapport
de
fonction
d'aliénation.
La
jouissance
est dans le
fondement
premier
de la
subjectivation
du
corps.
Ce qui
tombe
dans la
dépendance
de la
subjectivation
du
corps,
s'efface.
L'Autre
c'est
l'ensemble
des
corps
dominés
par la
loi.
L'introduction
du
sujet
comme
effet
de
signifiant
gît
dans la
séparation
du
corps
et de la
jouissance.
Le
sujet
est au
disjoint
du
corps
et de la
jouissance.
*
Il n'y a de
jouissance
que du
corps.
Il y a
décalage
ou
Verschiebung
dès que
s'introduit,
entre
le
corps
et la
jouissance,
la
fonction
du
sujet.
Le
corps
de la
femme
est la
métaphore
de la
jouissance
du
mâle.
Le
phallus
est cette
partie
négativée
du
corps,
ce qui le
distingue
du
pénis.
est le
formule
de la
disjonction
de la
jouissance
et du
corps.
La
fonction
de
sujet
a pour
effet
la
disjonction
du
corps
et de la
jouissance.
C'est au
niveau
de la
partition
entre
corps
et
jouissance
qu'intervient
le
plus
typiquement la
perversion.
Le
corps
est
disjoint
de sa
jouissance.
[
Lac68a
, p. 57]
*
Le
corps
fait
le lit de
l'Autre
par
l'opération
du
signifiant.
[
Lac68a
, p. 58]
L'objet
est le
résidu
corporel
qui
incarne
le
Dasein
.
[
Lac68a
, p. 58]
Le
lieu
de
l'Autre
n'est pas à
prendre
ailleurs
que dans le
corps.
[
Lac84b
, p. 17]
La
jouissance
est
rapport
au
corps,
essentiellement.
La
pulsion
désigne
la
conjonction
de la
logique
et de la
corporéité.
L'image
du
corps
se
pose
comme
liée
à ce quelque
chose
d'essentiel
dans
l'économie
libidinale
considéré
comme
étant
la
maîtrise
motrice
du
corps.
Le
maître
a
privé
l'esclave
de la disposition de son
corps,
mais à cet
esclave
il lui a laissé la
jouissance.
C'est de la
répétition
que
s'engendre
la
perte
où le
plus-de-jouir
prend
corps.
L'entrée
en
jeu
du
langage
fonde
la
séparation
de la
jouissance
et du
corps.
La
structure
s'attrape
du
point
où le
symbolique
prend
corps.
[
Lac70d
, p. 60]
Le
symbolique
possède
un
corps.
[
Lac70d
, p. 61]
Le
corps
est ce qui
peut
porter
la
marque
propre
à le
ranger
dans une
suite
de
signifiants.
[
Lac70d
, p. 61]
constitue
un
certain
corps
de
savoir.
cf:
18.2.1
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
*
Pour
jouir
il faut un
corps.
Le
corps
est une des
formes
de
l'Un.
Le
propre
de la
jouissance,
c'est que quand il y a
deux
corps,
on
ne
peut
pas
dire
lequel
jouit.
Dans les
entretiens
préliminaires
il y a
confrontation
de
corps.
Dans le
discours
analytique
il n'est plus
question
de
corps.
L'essence
du
sommeil
c'est la
suspension
du
rapport
du
corps
à la
jouissance.
Le
corps
de
l'autre
symbolise
l'Autre.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
5
.
106
qui le
symbolise,
n'est pas le
signe
de
l'amour.
*
L'être
du
corps
est
sexué.
*
L'être
c'est la
jouissance
du
corps.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
La
jouissance
phallique
est
l'obstacle
par quoi
l'homme
n'arrive
pas à
jouir
du
corps
de la
femme.
La
jouissance
de
l'Autre,
du
corps
de
l'autre
ne se promeut que de
l'infinitude.
Le
langage
ex-siste
hors
de ces
corps
qui en sont
agités.
La
femme
est pas
toute,
dans son
corps,
comme
être
sexué.
Le
corps
symbolise
l'Autre
dans sa
jouissance.
*
Un
corps,
ça se
jouit.
Un
corps
ne se
jouit
que de le
corporiser
de
façon
signifiante.
*
On
ne
peut
jouir
que d'une
partie
du
corps
de
l'autre.
Le
corps
de l'un
jouit
d'une
part
du
corps
de
l'autre.
*
Le
corps
des
parlants
est
sujet
à se
diviser
de ses
organes.
[
Lac73a
, p. 12]
*
Le
savoir
affecte
le
corps
de
l'être
qui ne se
fait
être
que de
paroles.
[
Lac75f
, p. 8]
Le
psychanalyste
donne
corps
au
signifiant
qui
représente
le
signifiant
maître.
La
psychanalyse,
c'est le
repérage
de ce qui se
comprend
d'obscurci, de ce qui s'obscurcit en
compréhension
du
fait
d'un
signifiant
qui a
marqué
un
point
du
corps.
La
jouissance
de
l'Autre
est
symbolisée
par le
corps.
La
vérité
présume le
désir,
inscrit
d'une
contingence
corporelle.
Le
corps
fonde
l'être.
*
Je
parle
avec son
corps.
Il y a
l'impossible
d'inscrire
la
relation
sexuelle
entre
deux
corps
de
sexes
différents.
Le
corps
parlant
ne
peut
réussir
à se
reproduire
que grâce à un
malentendu
sur sa
jouissance.
Le
savoir
de
l'Un
ne
vient
pas du
corps.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
*
Le
sujet
de
l'inconscient
ne touche à
l'âme
que par le
corps.
[
Lac74b
, p. 16]
L'homme
pense
de ce qu'une
structure
découpe
son
corps.
[
Lac74b
, p. 16]
Le
corps
n'est
affecté
que par la
structure.
[
Lac74b
, p. 39]
Le
propre
du
corps
est
d'habiter
le
langage.
[
Lac74b
, p. 41]
*
Le
sexe
est très
spécifiquement
lié
à la
mort
du
corps.
*
Il n'y a que chez les
êtres
sexués
que le
corps
meurt.
Le
corps
est une
substance
jouissante.
*
Le
corps
jouit
de lui-même.
*
L'imaginaire
est la
prévalence
donnée
à un
besoin
du
corps,
qui est de
dormir.
Le
corps
réprime
sa
jouissance.
La
jouissance,
le
corps,
la
mort
sont
noués
seulement
par cette
impasse
invérifiable
du
sexe.
L'inhibition
est
toujours
affaire de
corps,
soit de
fonction.
La
jouissance
phallique
intéresse
l'autre
du
corps,
l'autre
sexe.
*
Le
facteur
commun
du
,
c'est
d'être
lié
aux
orifices
du
corps.
L'effet
du
langage
c'est le
pathème
, la
passion
du
corps.
*
Le
phallus
c'est ce qui
donne
corps
à
l'imaginaire.
Le
phallus
est ce qui
barre
la
jouissance
du
corps
de
l'autre.
*
Il n'y a pas
d'affinité
du
corps
avec le
nœud.
l'inconscient
donne
corps
à
l'instinct.
*
Il n'y a que
l'inconscient
à
donner
corps
à
l'instinct.
*
Les
pulsions
c'est l'écho dans le
corps
du
fait
qu'il y a un
dire.
L'orifice
le
plus
important
du
corps
c'est
l'oreille
parce qu'il ne
peut
pas se
fermer.
Le
symptôme
est un
événement
de
corps.
[
Lac75e
, p. 16]
*
L'esclave
se
définit
de ce que quelqu'un a
pouvoir
sur son
corps.
Le
réel
a affaire avec
tout
le
corps.
L'analyse
n'appréhende
du
corps
que ce qu'il y a de
plus
imaginaire.
Le
corps
est la
seule
consistance
mentale.
D'avoir
un
corps
à adorer, c'est la
racine
de
l'imaginaire.
*
L'inconscient
ne va pas
sans
référence
au
corps.
*
Le
corps
a des
trous.
La
psychologie
n'est pas autre
chose
que cette
image
qu'on
a de notre
propre
corps.
*
Son
corps,
on
l'a,
on
ne l'est à
aucun
degré.
*
Si
l'ego
est
dit
narcissique,
c'est bien parce qu'il y a quelque
chose
à un
certain
niveau
qui
supporte
le
corps
comme
image.
L'homme
dit
que le
corps,
il l'a.
*
Il y a un
corps
de
l'imaginaire.
Il y a un
corps
du
symbolique,
c'est
lalangue
.
Il y a un
corps
du
réel.
Le
matériel
se
présente
sous la
subsistance
du
corps,
de ce qui est
consistant.
Le
corps
ne se
fonde
que que sur la
vérité
de
l'espace.
*
Une
idée
ça a un
corps,
c'est le
mot
qui la
représente.
[
Lac78
]
L'étoffe
de la
métaphore,
c'est ce qui, dans la
pensée,
fait
matière
ou
corps.
[
Lac78
]
Suivant:
correction
Remonter:
5.3 C
Précédent:
copule
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08