Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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poser
Il n'y a pas par
essence
d'erreur
qui ne se
pose
et ne
s'enseigne
comme
vérité.
Le
sujet
se
pose
comme
opérant,
comme
humain,
au
moment
où
apparaît
le
système
symbolique.
Le
sujet
pose
sa
question
névrotique
avec son
moi.
L'hystérique
homme
et
femme
se
pose
la
même
question,
celle qui
concerne
la
position
féminine.
La
notion
de
structure
se
pose
toujours
par
rapport
à une
référence
de ce qui est
cohérent
à quelque
chose
d'autre
qui lui est
complémentaire.
Le
schéma
de Dora,
figure
4.8.4
, met en
relation
Mme K. qui
pose
sa
question,
Mr. K. à qui Dora
s'identifie,
Dora et le
père
qui
reste
l'Autre
par excellence.
*
La
névrose
est une
question
posée
par le
sujet
au
niveau
de son
existence
même.
La
névrose
est une
question
que
l'être
pose
pour le
sujet
de là où il
était
avant
que le
sujet
vint au
monde.
[
Lac66a
, p. 520]
La
demande
pose
l'autre
comme
présent
ou
absent.
C'est
d'abord
au
niveau
de
l'autre
que se
pose
le
centre
de
gravité
du
mouvement
constitutif
de
l'hystérique.
Quelque
chose
qui se
pose
comme
pouvant
être
effacé
inaugure le
signifiant.
*
Il se
pose,
pour le
sujet,
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Que
veux-tu?
est la
question
qui se
pose
au
sujet.
L'être
c'est quelque
chose
qui se
pose
comme un
réel
articulé
dans le
symbolique.
Le
das Ding
est
exclu
en tant qu'il est
posé
comme
extérieur.
La
réalité
se
pose
pour
l'homme
comme ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
L'hystérique
se
pose
comme
signe
de quelque
chose
à quoi
l'Autre
pourrait
croire.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
Le
mensonge
comme tel se
pose
lui-même dans la
dimension
de la
vérité.
*
Le
matérialisme,
c'est ce qui ne
pose
pour
existant
que ce dont nous
avons
des
signes
matériels.
Le
sujet
se
pose
d'abord
sous la
forme
du
shifter
.
Au
lieu
de
l'Autre,
tout
ce qui
s'articule
comme
parole
se
pose
comme
vrai,
même et y compris le
mensonge.
L'Autre
comme
lieu
de la
parole
n'est
rien
d'autre
que le
lieu
où
l'assertion
se
pose
comme
véridique.
Le
trait
unaire
joue
le
rôle
de
repère
symbolique
d'exclure
que ce ne soit pas la
différence
qui se
pose
au
principe
de la
différenciation.
Le
champ
de
l'Autre
est ce
lieu
où
tout
discours
au
moins
se
pose.
*
Le
sujet
du
savoir
est
posé
comme se
sachant
lui-même.
À
l'origine
l'hystérique
met la
jouissance
en
ordre
logiquement
en la
posant
comme un
absolu.
C'est en
posant
la
jouissance
comme un
absolu
que
l'hystérique
est
rejetée.
L'image
du
corps
se
pose
comme
liée
à ce quelque
chose
d'essentiel
dans
l'économie
libidinale
considéré
comme
étant
la
maîtrise
motrice
du
corps.
La
linguistique
s'institue
d'une
coupure
qui est la
barre
posée
entre
le
signifiant
et le
signifié.
[
Lac70d
, p. 55]
Ce n'est pas de
tout
que
peut
être
posé
la
fonction
.
L'arithmétique
comporte
toujours
d'énonçable,
dans les
termes
propres
qu'elle
comporte,
qui ne sera pas à la
portée
de ce qu'elle
pose
à elle-même comme
mode
à
tenir
pour
reçu
de la
démonstration.
désigne
qu'il
existe
au
moins
un
, qui se
pose
comme
fonction
qui a une
valeur
qualifiable de
vrai.
*
Le
dit
se
pose
toujours
en
vérité.
[
Lac73a
, p. 8]
La
fonction
de la
parole
c'est
d'être
la
seule
forme
d'action
qui se
pose
comme
vérité.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
L'interrogation
que
pose
la
théorie
des
ensembles
c'est
pourquoi
yadlun
.
Le
langage
se
pose
comme
appareil
de
jouissance.
L'Autre
est le
lieu
où le
signifiant
se
pose.
La
dit-mansion
est la
résidence
du
dit
dont le
savoir
pose
l'Autre
comme
lieu.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08