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Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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logique
Le
moment
de
conclure
du
sophisme
fonctionne
par une
logique
assertive
subjective.
[
Lac66a
, p. 207]
L'antériorité
du
préalable
à
toute
symbolisation
est
logique
et
non
pas
chronologique.
La
chaîne
signifiante
se
développe
selon des
liaisons
logiques,
dont la
prise
sur ce qui est à
signifier
s'exerce par les
effets
de
signifiant,
métaphore
et
métonymie.
[
Lac66a
, p. 575]
Il n'y a pas,
entre
les
pulsions
qui
habitent
le
ça,
de
contradiction
qui
prenne
effet
de
l'exclusion
logique.
[
Lac66a
, p. 658]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
L'éthique
de la
psychanalyse
se
fonde
d'une
logique.
[
Lac84a
, p. 10]
Le
dédoublement
du
sujet
est
nécessité
par le
rapport
logique,
initial,
inaugural
du
sujet
au
signifiant.
Je
mens
ne se
soutient
que de la
vacillation
logique.
L'objectivité
est le
corrélat
d'une
raison
pure
qui
s'articule
dans un
formalisme
logique.
Tout
développement
logique
suppose
le
langage
à
l'origine,
dont il est
détaché.
Le
symptôme
analytique
ne
saurait
être
résolu
par un
dialogue
raisonnable
et
logique.
Le
moment
de
conclure
est le
temps
logique
comme
hâte.
*
La
psychanalyse
est une
logique.
*
Une
logique
est
constitutive
de la
science.
est un
objet
dont le
statut
est dans un
rapport
logique.
Le
est le
résultat
des
opérations
logiques
de
réunion
et
d'intersection
opérées
sur le
sujet
et
l'Autre.
La
précédence
logique
est cette
nécessité
qui
distingue
radicalement
le
statut
de la
signification
et son
origine
dans le
signifiant.
Ce qui
s'oppose
le
plus
fondamentalement
à
l'interprétation
psychanalytique
c'est une
objection
logique.
*
Le
problème
de la
négation
est à poser au
niveau
de
l'écriture,
en tant qu'elle la
règle
comme
fonctionnement
logique.
*
La
logique
du
prédicat
marque
le
champ
où une
classe
se
caractérise
par un
prédicat
donné.
5
.
282
La
substitution
signifiante
à
l'origine
est d'une
nature
logique.
Le
refoulé
est le
représentant
de la
représentation
première
en tant qu'elle est
liée
au
fait
logique
du
refoulement.
Si
je
pense
est
vrai,
alors
je
suis
est
vrai
en
logique;
mais si
je
pense
est
faux
alors
je
suis
est
vrai
ou
faux
en
logique.
5
.
283
Le
se
distingue
de
l'inconscient,
en ceci qu'il est
logistiquement
5
.
284
disjoint
et
subjectivement
silencieux. [
Lac66a
, p. 55]
Le
ça
est ce qui, dans le
discours
en tant que
structure
logique,
est ce qui n'est pas
je.
Le
sens
logique
originel
de la
castration
c'est qu'au
niveau
des
Bedeutungen
,
des
significations,
le
langage
mathématiquement
fait
défaut.
est le
terme
logiquement
équivalent
du
choix
inaugural
de
l'aliénation.
La
logique
est le
métadiscours
immanent
au
langage.
Il n'y a qu'un
seul
domaine
qui
n'ait
pas de
rapport
avec
l'acte
sexuel,
en tant qu'il
intéresse
la
vérité,
c'est la
mathématique,
au
point
où elle conflue avec la
logique
5
.
285
.
La
logique
du
fantasme
s'accroche,
s'insère,
se
suspend
à
l'économie
du
fantasme.
La
scansion
du
temps
logique
inclut
le
moment
de
comprendre.
[
Lac68e
, p. 24]
Pour que la
logique
de la
psychanalyse
existe
il faut qu'il y
ait
du
psychanalyste.
La
logique
a pour
fin
de
résorber
le
problème
du
sujet
supposé
savoir.
*
Dès
qu'on
tient
un
discours
ce qui
surgit,
ce sont les
lois
de la
logique.
À
l'origine
l'hystérique
met la
jouissance
en
ordre
logiquement
en la
posant
comme un
absolu.
La
pulsion
désigne
la
conjonction
de la
logique
et de la
corporéité.
Un
discours
libéré
de la
logique
n'est pas
délié
de la
grammaire.
Les
névroses
révèlent
la
distinction
de la
grammaire
et de la
logique.
Il y a
homologie
entre
les
failles
de la
logique
et de la
structure
du
désir.
La
logique
mathématique
fait
revenir
la
structure
dans le
savoir.
[
Lac70d
, p. 90]
Le
discours
de
l'analyste
n'est
rien
d'autre
que la
logique
en
action.
La
logique
ne se
construit
que de
l'écrit.
*
Il n'y a de
question
logique
qu'à partir de
l'écrit.
*
Toute
logique
est
faussée
de
prendre
départ
du
langage-objet.
Toute
logique
se
soutient
de
l'écriture.
Le versant utile dans la
fonction
de la
lalangue
,
c'est la
logique.
Le
réel
s'affirme
dans les
impasses
de la
logique.
Le
réel
se
situe
dans une
béance
irréductible
au
discours
logique.
*
Une
logique
peut
parfaitement
se
passer
du
principe
de
contradiction.
La
logique
c'est
l'art
de
produire
une
nécessité
de
discours.
La
nécessité
logique
est
l'art
de
produire
une
nécessité
de
discours.
Un
est quelque
chose
qui
s'énonce
dans le
registre
de la
logique
du
nombre.
*
La
logique
c'est de
repérer
dans la
grammaire
ce qui
prend
forme
de la
position
de
vérité.
La
logique,
c'est ce qui dans le
langage,
le rend adéquat à
faire
vérité.
C'est de la
logique
que le
discours
psychanalytique
touche au
réel
à le
rencontrer
comme
impossible.
[
Lac73a
, p. 5]
La
jouissance
liée
au
processus
primaire
consiste
dans des
défilés
logiques.
[
Lac74b
, p. 20]
*
Le
particulier
est une
fonction
logique.
*
La
logique
ne
peut
se
définir
que
d'être
la
science
du
réel.
L'inconscient
et la
logique
c'est du
même
ordre,
c'est de
l'ordre
de
l'écrit.
La
logique
c'est le
savoir
du
réel.
La
logique
c'est un
savoir.
Un
dire
logique,
inscriptible,
c'est un
savoir.
La
logique
c'est
faire
de la
vérité
une
valeur
vide.
Les
trois
temps
logiques
sont,
l'instant
de
voir,
la
Chose
à
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
*
La
logique
c'est la
science
du
réel.
*
Il n'y a pas
d'élaboration
logicisable
et du
même
coup
mathématisable
du
rapport
sexuel.
La
logique
est une
science
du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
*
La
logique
n'a
d'autre
support
que le
logos.
La
logique
du
sujet
est une
logique
étirable. [
Lac77a
, p. 15]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08