Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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vue
*
Ce qui n'est pas
reconnu,
fait
irruption
dans la
conscience
sous
forme
du
vu.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
Le
désir
est
ressenti
et
vu,
projeté dans
l'autre,
aliéné
sur le
plan
de la
relation
imaginaire
du
stade
spéculaire.
Le
premier
abord
que le
sujet
humain
a avec les
objets,
c'est de
l'objet
en tant qu'il est
vu
comme
objet
du
désir
de
l'autre.
Lorsque
l'analyste
entre
dans le
couplage
de la
résistance,
il
parle
alors en
,
il se
voit
alors dans le
sujet.
Le
tu,
c'est
l'autre
tel que
je
le
fait
voir
par son
discours.
*
Ce que
l'autre
donne
à
voir
en se
montrant,
c'est aussi autre
chose
que ce qu'il
montre.
L'être
a à
voir
avec le
réel
et le
symbolique.
C'est par
rapport
à la
Spaltung
que
doit
être
articulé,
situé,
vu
dans sa
fonction
le
désir
comme tel.
Dans les
coupures
suivies d'explosions dans le
bégaiement
se laisse
entrevoir
la
fonction
symbolique
du ruban
excrémentiel.
*
C'est de
cesser
de
penser
que
je
peux
entrevoir
que
je
sois.
*
Laisser
voir
son
désir
pour
l'homme,
c'est
essentiellement
laisser
voir
ce qu'il n'y a pas.
*
La
fonction
du
désir,
le
fantasme,
est
toujours
marqué
d'une
parenté
avec les
modèles
visuels.
*
Jamais
tu
ne me
regardes,
là d'où
je
te
vois.
*
Ce que
je
regarde
n'est
jamais
ce que
je
veux
voir.
Le
regard
opère
dans une descente de
désir
à
l'Autre,
au bout duquel est le
donné
à
voir.
Le
sujet
se
voit
comme
image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
redoublé
dû à la
confusion
de la
fonction
de
avec
image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
comme
constitué
par
l'image
reflétée,
momentanément précaire, de sa
maîtrise.
*
Là d'où le
sujet
se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
Le
sujet
se
voit
dans une
image
réelle
et
inversée
de son
propre
corps.
Le
sujet
se
voit
dans
l'espace
de
l'Autre.
Ce que le
sujet
voyeur
cherche
à
voir,
c'est
l'objet,
en tant
qu'absence.
Ce qui est
essentiel
dans
l'interprétation,
c'est que le
sujet
voit,
au-delà
de la
signification,
à quel
signifiant,
il est, comme
sujet,
assujetti.
*
Le
sujet,
d'où il se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
*
L'instant
de
voir,
c'est
toujours
un
tableau.
Dans
toute
identification
il y a
l'instant
de
voir,
le
temps
pour
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
Dans
l'instant
de
voir,
le
langage
s'instaure
comme
synchronie.
Le
sujet
est le
sujet
du
regard,
il est le
sujet
d'un
monde
vu.
*
Tu
ne me
vois
pas d'où
je
te
regarde.
*
Tu
ne me
vois
pas d’où
je
te
regarde.
*
Le
sadisme
n'est
nullement
à
voir
comme un
retournement
du
masochisme.
Le
principe
de
non-contradiction,
ça n'a
absolument
rien
à
voir
avec le
réel.
*
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
L'homme
et la
femme
finalement
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
L'homme
et la
femme
peuvent
aller
ensemble
sans
avoir
rien
à
voir
ensemble.
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
Les
trois
temps
logiques
sont,
l'instant
de
voir,
la
Chose
à
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
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2024-11-08