vue

$0108008_{1954}$
* Ce qui n'est pas reconnu, fait irruption dans la conscience sous forme du vu.
$0114010_{1954}$
* C'est la relation symbolique qui définit la position du sujet comme voyant.
$0116027_{1954}$
Le désir est ressenti et vu, projeté dans l'autre, aliéné sur le plan de la relation imaginaire du stade spéculaire.
$0303022_{1955}$
Le premier abord que le sujet humain a avec les objets, c'est de l'objet en tant qu'il est vu comme objet du désir de l'autre.
$0313011_{1956}$
Lorsque l'analyste entre  dans le couplage de la résistance, il parle alors en $a '$, il se voit alors dans le sujet.
$0324006_{1956}$
Le tu, c'est l'autre tel que je le fait voir par  son discours.
$0410013_{1957}$
* Ce que l'autre donne à voir en se montrant, c'est aussi autre  chose que ce qu'il montre.
$0623001_{1959}$
L'être a à voir avec le réel et le symbolique.
$0718003_{1960}$
C'est par rapport à la Spaltung que doit être articulé, situé, vu dans sa fonction le désir comme tel.
$0814011_{1961}$
Dans les coupures suivies d'explosions dans le bégaiement se laisse entrevoir la fonction symbolique du ruban excrémentiel.
$0902003_{1961}$
* C'est de cesser de penser que je peux entrevoir que je sois.
$1015009_{1963}$
* Laisser voir son  désir pour l'homme, c'est essentiellement laisser voir ce qu'il n'y a pas.
$1019005_{1963}$
* La fonction du désir, le fantasme, est toujours marqué d'une parenté avec les modèles visuels.
$1108007_{1964}$
* Jamais tu ne me regardes, là d'où je te vois.
$1108008_{1964}$
* Ce que je regarde n'est jamais ce que je veux voir.
$1109012_{1964}$
Le regard opère dans une descente de désir à l'Autre, au bout duquel est le donné à voir.
$1111010_{1964}$
Le sujet se voit comme image de l'objet $a$.
$1111011_{1964}$
Le sujet se voit redoublé dû à la confusion de la fonction de $S$ avec $i ( \ensuremath{a}\xspace )$ image de l'objet $a$.
$1111012_{1964}$
Le sujet se voit comme constitué par l'image reflétée, momentanément précaire, de sa maîtrise.
$1111022_{1964}$
* Là d'où le sujet se voit, ce n'est pas là d'où il se regarde.
$1111023_{1964}$
Le sujet se voit dans une image réelle et inversée de son  propre corps.
$1111024_{1964}$
Le sujet se voit dans l'espace de l'Autre.
$1114028_{1964}$
Ce que le sujet voyeur cherche à voir, c'est l'objet, en tant qu'absence.
$1119015_{1964}$
Ce qui est essentiel dans l'interprétation, c'est que le sujet voit, au-delà de la signification, à quel signifiant, il est, comme sujet, assujetti.
$1204005_{1965}$
* Le sujet, d'où il se voit, ce n'est pas là d'où il se regarde.
$1205001_{1965}$
* L'instant de voir, c'est toujours un tableau.
$1205003_{1965}$
Dans toute identification il y a l'instant de voir, le temps pour comprendre, et le moment de conclure.
$1205004_{1965}$
Dans l'instant de voir, le langage s'instaure comme synchronie.
$1318004_{1966}$
Le sujet est le sujet du regard, il est le sujet d'un monde vu.
$1319010_{1966}$
* Tu ne me vois pas d'où je te regarde.
$1320003_{1966}$
* Tu ne me vois pas d’où je te regarde.
$1423014_{1967}$
* Le sadisme n'est nullement à voir comme un retournement du masochisme.
$1424004_{1967}$
Le principe de non-contradiction, ça  n'a absolument rien à voir avec le réel.
$1515007_{1968}$
* L'homme et la femme n'ont ensemble rien à voir.
$1515008_{1968}$
* L'homme et la femme finalement n'ont ensemble rien à voir.
$1515009_{1968}$
L'homme et la femme peuvent aller ensemble sans avoir rien à voir ensemble.
$1515013_{1968}$
L'homme et la femme n'ont ensemble rien à voir.
$2111010_{1974}$
Les trois temps logiques sont, l'instant de voir, la Chose à comprendre, et le moment de conclure.
Jacques B. Siboni 2024-11-08