Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.9 I
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image
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imaginer
Index:
Index
imaginaire
Le
moi
a une
structure
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 178]
Le
narcissisme
est un
nœud
imaginaire
essentiel.
[
Lac66a
, p. 186]
L'
imago
est la
forme
définissable
dans
l'imaginaire
qui a pour
fonction
de
réaliser
l'identification
résolutive
d'une
phase
psychique.
[
Lac66a
, p. 188]
Il
existe
trois
registres
très
distincts
de la
réalité
humaine,
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Dans les
troubles
névrotiques,
la
satisfaction
est
d'ordre
imaginaire.
L'ordre
des
satisfactions
imaginaires
ne
peut
se
trouver
que dans
l'ordre
des
registres
sexuels.
Le
fantasme
est un
élément
imaginaire.
L'imaginaire
est une
fonction.
L'analysable
rencontre
l'imaginaire.
L'imaginaire
n'est pas
tout
entier
l'analysable.
L'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel
sont
trois
systèmes
de
référence.
C'est par
rapport
au
premier
moi
imaginaire
que va se
situer
le
premier
jeu
de
l'inclusion
ou de
l'exclusion
de
tout
ce dont il s'agit dans le
sujet
avant
la
naissance
du
moi.
Dans la
psychose
il y a
synthèse
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
névrose
de
transfert
noue
dans ses fils la
personne
imaginaire
de
l'analyste.
La
nature
du
lien
imaginaire
établi dans le
transfert
a le
plus
étroit
rapport
avec la
notion
de
rapport
objectal.
La
relation
d'amour
imaginaire
a un
caractère
narcissique.
L'amour
survient en tant que
ressort
imaginaire
dans
l'analyse.
La
notion
de
transfert
s'exerce à la
fois
dans les
registres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
sont des
registres
fonctionnels.
Le
psychotique
ne
retrouve
aucune
substitution
de
l'imaginaire;
c'est cela qui le
distingue
du
névrotique.
Il y a une
distinction
stricte
entre
symbolique
et
imaginaire.
L'ego
a un
caractère
imaginaire.
L'idéalisation
du
moi
est dans le
plan
de
l'imaginaire.
Toute
l'expérience
analytique
se
développe
au
joint
de
l'imaginaire
et du
symbolique.
*
Dans le
monde
animal,
l'imaginaire
domine
tout.
C'est la
parole,
la
fonction
symbolique
qui
peut
définir
le
plus
ou
moins
grand
degré
de perfection, de
complétude,
d'approximation de
l'imaginaire.
De la
relation
à
autrui
dépend
le
caractère
plus
ou
moins
satisfaisant
de la
structuration
imaginaire.
*
Les
objets
réels
sont à la
même
place
que
l'objet
imaginaire.
La
position
dans la
structuration
imaginaire
n'est
strictement
concevable
que pour autant
qu'au-delà
se
trouve
un
guide
au
niveau
du
plan
symbolique.
L'amour
est un
phénomène
qui se
passe
au
niveau
de
l'imaginaire.
C'est son
propre
moi
qu'on
aime
dans
l'amour,
réalisé
à ce
moment
au
niveau
imaginaire.
Chez
l'homme
la
libido
est
originellement
contrainte
de
passer
par une
étape
imaginaire.
La
constitution
de
l'
Ideal-Ich
est la
forme
essentiellement
imaginaire,
spéculaire,
de la
genèse,
de
l'origine
fondamentalement
imaginaire
du
moi.
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
Il n'y a pas
moyen
de s'avancer dans
l'expérience
analytique
sans
distinguer
les
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Le
désir
est
ressenti
et
vu,
projeté dans
l'autre,
aliéné
sur le
plan
de la
relation
imaginaire
du
stade
spéculaire.
Le
masochisme
fondamental
se
situe,
dans sa
forme
structurante,
fondamentale,
non
déviée,
au
point
de
jonction
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Les
trois
mots,
l'identification
imaginaire,
narcissique,
spéculaire
sont
équivalents.
C'est au
moment
où ce qui est près d'éclore, de
surgir
dans
l'imaginaire,
est en
même
temps
là dans
l'analyse,
dans la
relation
verbale
avec
l'analyste,
que
l'interprétation
étant
donnée,
sa
valeur
décisive, mutatiste
peut
s'exercer.
C'est au
moment
où, en
présence
d'une
situation
où
l'imaginaire
et le
réel
de la
situation
analytique
se
confondent
que le
désir
du
sujet
est là à la
fois
présent
et
inexprimable.
*
L'ego
est une
fonction
imaginaire.
Pour
l'enfant,
tout
se
compose,
s'enrichit, se diversifie dans le
registre
de
l'imaginaire,
à partir d'une
prédominance
essentielle
du
symbolique
et du
réel.
*
L'homme
n'a
jamais
peur
que d'une
peur
imaginaire.
Les
catégories
élémentaires
sont la
tripartition
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
symbolique
et de
l'imaginaire
s'appelle
l'amour.
La
ligne
d'arête à la
jonction
de
l'imaginaire
et du
réel
s'appelle
la
haine.
*
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
*
Le
moi
qui est une
fonction
imaginaire,
n'intervient,
dans la
vie
psychique
que comme
symbole.
Le
moi
est un
objet
qui
remplit
une
fonction
imaginaire.
Le
moi
est
impossible
à
distinguer
des
captations
imaginaires
qui le
constituent
par un
autre
et pour un
autre.
[
Lac66a
, p. 374]
Le
symbole
forclos
ne
rentre
pas dans
l'imaginaire.
[
Lac66a
, p. 392]
Le
moi
a une
fonction
imaginaire.
La
résistance
du
sujet
est quelque
chose
qui est
lié
à la
fixation
imaginaire.
La
folie
paranoïaque
est la
plus
grande
perturbation
imaginaire
qui soit.
*
Le
moi
est une
construction
imaginaire.
Un
fou
est celui qui est
complètement
adhérent
à son
imaginaire.
La
paranoïa
est
toujours
en
relation
avec une
aliénation
imaginaire
du
moi.
Le
moi
est
toujours
présentification
d'une
fonction
imaginaire
comme telle.
Prendre
l'imaginaire
pour du
réel
caractérise
la
paranoïa.
*
Tout
ce qui est
intuition
est beaucoup
plus
près de
l'imaginaire
que du
symbolique.
Toute
résistance
vient
uniquement
de
l'ordre
imaginaire.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
et le
,
le
moi
et
l'autre
sont les substrats
imaginaires.
Le
moi
est une des
formes
de la
fonction
imaginaire
du
vivant.
Le
est
imaginaire.
Tout
ce qui est du
moi
s'inscrit
dans des
tensions
imaginaires.
L'aliénation
est une
forme
générale
de
l'imaginaire.
La
répartition
triple
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel
s'applique au
langage.
La
signification
est de la
nature
de
l'imaginaire.
La
signification
est comme
l'imaginaire,
toujours
évanescente.
Au
niveau
du
il y a quelque
chose
qui est au
niveau
de
l'imaginaire,
c'est le
moi
et le
corps
morcelé.
La
parole
intègre les
trois
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
parole,
l'imaginaire
est
représenté
par la
signification.
C'est dans la désagrégation de
l'unité
imaginaire
que
constitue
le
moi,
que le
sujet
trouve
le
matériel
signifiant
de ses
symptômes.
[
Lac66a
, p. 427]
Quand
l'analyste
est
l'autre,
il est sous
l'incidence
de
l'imaginaire.
[
Lac66a
, p. 430]
La
relation
du
narcissisme
est la
relation
imaginaire
centrale
pour le
rapport
inter-humain.
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Le
comportement
humain
n'est
jamais
réduit
à la
relation
imaginaire.
Dans la
psychose,
le
refoulé
reparaît
sans
masque,
dans un
autre
lieu,
dans
l'imaginaire.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
imaginaire
dans la
psychose.
L'ordre
symbolique
est un
milieu
distinct
du
milieu
réel
et de la
dimension
imaginaire.
Dans
l'ordre
de
l'imaginaire,
l'aliénation
est un
début,
car elle est
constituante.
L'aliénation
c'est
l'imaginaire
en tant que tel.
La
psychose
ne
peut
se
résoudre
par un
mode
d'abord
sur le
plan
de
l'imaginaire.
*
Le
mécanisme
imaginaire
est ce qui
donne
sa
forme
à
l'aliénation
psychotique,
mais
non
sa
dynamique.
Derrière
le petit
autre
de
l'imaginaire,
existe
un
autre
Autre.
L'expérience
analytique
se
satisfait
de se
ranger
dans les
rapports
entre
les
ordres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
névrose,
le
réel
ou
l'imaginaire
entre
dans le
discours.
Le
passage
de
à
sont les
pôles
imaginaires
du
sujet.
5
.
222
Les
paroles
imaginaires
du
sujet,
et
,
recouvrent
la
relation
spéculaire,
celle du
stade
du
miroir.
Le
sujet
se
réfère
à cette
unité
imaginaire
qui est le
moi
en
L'analyste
se
doit
d'être
assez
mort
pour ne pas
être
pris
dans la
relation
imaginaire.
Il s'agit dans
l'analyse
d'amenuiser
progressivement
l'économie
de la
relation
imaginaire.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
peut
se
reconstituer
que dans
l'aliénation
5
.
223
imaginaire.
Dans
l'ordre
imaginaire
prévaut
la
relation
de
moi
à
moi.
Le
moi
dans sa
structuration
imaginaire
est pour le
sujet
comme un de ses
éléments.
La
différence
de
symbolisation
des
deux
sexes
tient
à ceci que
l'imaginaire
ne fournit qu'une
absence,
là où
ailleurs
il y a un
symbole
très
prévalent.
La
relation
imaginaire
est
liée
à
tout
le
domaine
de
l'éthnologie
5
.
224
, à la
psychologie
animale,
aux
fonctions
de la
relation
humaine,
de la
capture
par
l'image
de
l'autre.
5
.
225
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant qu'elle est
arrachée
au
domaine
de
l'imaginaire
pour être
située
dans le
domaine
du
symbolique.
Dans les
symptômes
hystériques,
c'est
toujours
d'une
anatomie
imaginaire
qu'il s'agit.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
est
prise
dans un
rapport
purement
duel
et dans un
rapport
démesuré.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
une
toute
autre
signification
que la
relation
d'exclusion
réciproque
que
comporte
l'affrontement
spéculaire.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
la
fonction
de la
capture
imaginaire,
biologiquement.
La
non-acquisition
ou la
perte
de
l'Autre
entraîne,
pour le
sujet,
la
rencontre
d'un
autre
purement
imaginaire
à sa
place.
De
l'aliénation
purement
imaginaire
du
psychotique,
résulte
l'apparition
du
discours
permanent.
*
Normalement,
c'est par la
voie
d'un
conflit
imaginaire
que se
fait
l'intégration
symbolique.
Dans la
forme
normale,
la
réalisation
symbolique
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
conflit
imaginaire.
Dans la
forme
névrotique,
la
réalisation
imaginaire
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
exercice
symbolique
de la
conduite.
Dans le
délire
surgit
une
fonction
imaginaire
qui est la
fonction
réelle
d'une
génération.
L'autre
est
imaginaire.
Le
signifiant,
lorsqu'il est pour
l'autre
exclu,
lorsqu'il est
appelé,
produit
à ce
moment
là la
réduction,
mais intensifiée, à la
pure
relation
imaginaire.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
La
relation
d'objet
imaginaire
est d'un
caractère
profondément
oral.
Tout
l'accomplissement
de la
relation
duelle
comme telle
fait,
à
mesure
qu'on
s'en
approche,
surgir
un
objet
imaginaire
au
premier
plan,
le
phallus.
La
triade
imaginaire,
phallus,
mère,
enfant
est présentée
figure
4.2.1
.
La
relation
imaginaire
est
modulée
sur le
rapport
fondamental
mère
enfant.
*
Le
phallicisme
imaginaire
ne
peut
se
réduire
à quelque
donnée
réelle.
Le
phallus
a une
fonction
imaginaire.
La
frustration
c'est un
dam
imaginaire,
un
dommage.
La
frustration
est un
dam
imaginaire.
La
castration
est
toujours
un
objet
imaginaire.
*
La
castration
est un
manque
imaginaire
de
l'objet.
*
L'objet
de la
castration
est un
objet
imaginaire.
La
mère,
l'enfant,
le
phallus
constituent
la
triade
imaginaire,
4.2.1
Toute
relation
objectale
est
fondamentalement
imaginaire.
Dans la
frustration
il y a un
dam
imaginaire
sur le
plan
imaginaire.
Ce qui est mis en
jeu
dans la
dette
symbolique
c'est un
objet
imaginaire,
c'est le
phallus
comme tel.
Le
phallus
est un
objet
défini
comme
imaginaire.
L'enfant
en tant que
réel
pour la
mère
prend
la
fonction
symbolique
de son
besoin
imaginaire.
Pour la
mère,
le
phallus
est le
tiers
terme
imaginaire.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, la
relation
symbolique
et
imaginaire
s'entrecroisent.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, c'est sur la
ligne
que
s'établit
la
relation
imaginaire.
L'Autre
est
au-delà
même
de
l'autre
appréhendé
imaginairement.
Mère,
enfant,
phallus
constituent
la
triade
imaginaire
dans le
schéma
de la
figure
4.2.1
.
Dans la
triade
imaginaire,
la
quarte
fonction
est celle du
père
dans le
schéma
de la
figure
4.5.1
.
La
triade
imaginaire
est
préœdipienne.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
Le
propre
des
relations
imaginaires
est d'être
toujours
parfaitement
réciproques.
Le
langage
des abeilles est une
fonction
imaginaire
plus
différenciée
que les autres. [
Lac66a
, p. 19]
La
fonction
imaginaire
se
subordonne
à la
détermination
symbolique.
[
Lac66a
, p. 464]
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
La
valeur
de
dimension
imaginaire
apparaît
prévalente
chaque
fois
qu'il s'agit d'une
perversion.
La
première
version du
schéma
la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.1
, met en
relation
la
mère
imaginaire,
l'enfant
réel,
le
pénis
imaginaire
et le
père
symbolique.
Ce qui
succède
à la
frustration
de
l'objet
de
jouissance
chez
l'enfant,
c'est quelque
chose
qui se
maintient
dans le
sujet
à
l'état
de
relation
imaginaire.
La
deuxième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.2
met en
relation
l'enfant,
la dame
réelle,
le
père
imaginaire
et le
pénis
symbolique.
La
troisième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.8.1
, met en
relation
l'enfant,
la dame, le
père
imaginaire,
le
pénis
imaginaire
et un
vecteur
qui
lie
le
père
imaginaire
à la dame.
*
Il y a dans le
transfert
un
élément
imaginaire
et un
élément
symbolique.
La
relation
narcissique
est la
matrice
de la
constitution
imaginaire
qui
s'appelle
le
moi.
Le
moi
est une
fonction
imaginaire.
Le
phallus
peut
faire
à l'occasion
l'objet
d'une
nostalgie
imaginaire
de la
part
de la
femme.
Pour la
mère
son
phallus
est
imaginaire.
Le
pénis
est aussi une
fonction
imaginaire
pour autant que c'est
imaginairement
qu'il est
incorporé.
*
L'existence
d'un
phallus
imaginaire
est le
pivot
de
toute
une
série
de
faits
qui exigent son
postulat.
Le
phallus
imaginaire
joue
un
rôle
signifiant
majeur
dans
l'ordre
symbolique.
C'est en tant
qu'imaginaire
symbolisé
que le
fait
d'avoir
ou de ne pas
avoir
de
phallus
prend
l'importance
économique
qu'il a au
niveau
de
l'œdipe.
Ce sont les
particularités
de
l'ordre
symbolique
qui
donnent
sa
prévalence
à cet
élément
de
l'imaginaire
qu'est le
phallus.
C'est par la
voie
d'un
crime
imaginaire
que
l'enfant
entre
dans
l'ordre
de la
loi.
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
La
castration
porte
sur un
objet
imaginaire.
*
C'est pour autant qu'elle
joue
dans le
sujet
sous la
forme
d'une
action
portant
sur un
objet
imaginaire,
que la
castration
entre
en
jeu.
Toute
la
dialectique
de
l'agressivité,
de
l'identification,
de
l'idéalisation,
se
passe
au
niveau
du
père
imaginaire.
L'enfant
atteste
à la
mère
qu'il
peut
la
combler
dans une
relation
imaginaire
leurrante.
*
Le
complexe
de
castration
reprend sur le
plan
imaginaire
tout
ce qui est en
jeu
avec le
phallus.
*
La
castration
c'est le
phallus
imaginaire.
Le
phallus
est un
objet
imaginaire.
Le
progrès
de
l'imaginaire
au
symbolique
est une
organisation
de
l'imaginaire
au
mythe.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
la
mère
symbolique
est
l'agente
du
manque
de la
frustration
par
dette
imaginaire
du
sein
réel.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont
profondément
distincts.
La
phobie
est une
conjonction
de
l'imaginaire
avec
l'angoisse.
*
Le
rapport
d'amour
avec la
mère,
c'est ce qui
introduit
l'enfant
à la
dynamique
imaginaire.
La
théorie
analytique
de
l'œdipe
pointe
que le
réel
ne
peut
être
réordonné
dans sa
nouvelle
configuration
symbolique
qu'au
prix
d'une
réactivation
régressive
de
tous
les
éléments
les
plus
imaginaires.
Ce que la
mère
désire,
ce n'est pas
l'enfant,
c'est le
phallus
imaginaire.
La
fonction
imaginaire
du
père
se
présente
chez
l'enfant
sous la
forme
d'une
sorte
d'antagonisme
imaginaire.
La
mère
est
liée
sur le
plan
imaginaire
au
phallus
en tant que
manque.
La
sublimation
réintroduit
toute
la
vie
des
échanges
imaginaires.
Dans
l'idolâtrie
il y a une
régression
topique,
une
substitution
de
l'imaginaire
au
symbolique.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
La
position
première
pour le
passage
du
mot
d'esprit,
est une
sorte
de solidification
imaginaire.
Chez les
névrosés,
la
castration
se
manifeste
sur le
plan
imaginaire.
La
castration
est une
intervention
réelle
du
père
concernant une
menace
de
castration
imaginaire.
5.9.1
L'objet
de la
castration
est un
objet
imaginaire.
5.9.1
La
frustration
est un
acte
imaginaire
concernant un
objet
bien
réel,
qui est la
mère,
en tant que
l'enfant
en a
besoin.
*
La
position
du
signifiant
du
père
est
fondatrice
de la
position
du
phallus
dans le
plan
imaginaire.
La
loi
du
père
est
imaginairement
par le
sujet
conçue
comme
privant
la
mère.
Une
frustration
est quelque
chose
d'imaginaire
portant
sur un
objet
réel.
La
castration
est ce qui
symboliquement
ampute
le
sujet
de quelque
chose
d'imaginaire.
L'origine
du
phallus
est
imaginaire.
Un
rêve
se
développe
sur
deux
étages; l'étage proprement
signifiant
qui est la
parole,
et l'étage
imaginaire
où
s'incarne
l'objet
métonymique.
*
L'hystérique
a
toutes
sortes de
difficultés
avec son
imaginaire.
Le
mécanisme
de
projection
est
imaginaire.
Le
fantasme
est
l'imaginaire
qui est
pris
dans un
certain
usage
de
signifiant.
Le
fantasme
est
essentiellement
un
imaginaire
pris
dans une certaine
fonction
signifiante.
Dans le
graphe
5.25.1
le
vecteur
est la
relation
imaginaire.
Le
petit
autre,
,
est le
semblable,
l'autre
imaginaire.
Le
meurtre
du
semblable
est
latent
dans la
relation
imaginaire.
Dans le
tableau
5.9.1
, la
castration
est une
action
symbolique
qui
porte
sur quelque
chose
d'imaginaire.
Le
support
à
l'action
symbolique
propre,
la
castration,
est une
image
choisie
dans le
système
imaginaire.
Dans le
graphe
6.1.2
c'est un
élément
imaginaire
qui va du
moi
à
l'autre
.
Concilier
l'imaginaire
avec le
symbolique
est une
forme
de dévoiement, de
perversion,
de
déviation,
voire de
délire.
La
formule
du
fantasme
note une
fonction
imaginaire.
*
Aucune
formation
imaginaire
n'est
spécifique,
aucune
n'est
déterminante
ni dans la
structure,
ni dans la
dynamique
d'un
processus.
[
Lac66a
, p. 546]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
et
représentent
les
deux
termes
imaginaires
de la
relation
narcissique.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
, soit en
,
se
situent
les
figures
de
l'autre
imaginaire
dans les
relations
d'agression
érotique
où elles se
réalisent.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
phallus
est le
symbole
d'un
objet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 554]
Dans la
perversion
l'enfant
s'identifie
à
l'objet
imaginaire
du
désir
que la
mère
le
désire,
en tant que la
mère
elle-même le
symbolise
dans le
phallus.
[
Lac66a
, p. 554]
La
signification
du
phallus
doit
être
évoquée
dans
l'imaginaire
du
sujet
par la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 557]
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
Le
phallus
a une
fonction
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 555]
Le
fantasme
est
irréductible
à
l'imagination.
[
Lac66a
, p. 637]
Le
phallus
n'est pas un
effet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 690]
Un
fantasme
est un
effet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 690]
La plupart des
perversions
mâles
ont pour
motif
imaginaire
le
désir
de
préserver
un
phallus,
qui est celui qui a
intéressé
le
sujet
dans la
mère.
[
Lac66a
, p. 734]
Une
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à quelque
chose
de
réel.
Le
désir
se
situe
au
point
où se nouent
ensemble
réel,
imaginaire
et
symbolique.
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
*
Le
moi
se
constitue
dans un
certain
rapport
imaginaire
à
l'autre.
Il y a une
division
entre
l'Autre
en tant que
parlant
et
l'autre
en tant
qu'imaginaire.
Le
graphe
6.15.1
indique
la
voie
de
retour
du
code
de
l'inconscient
vers le
message
de
l'inconscient
sur le
plan
imaginaire.
Le
désir
a un
support
imaginaire.
Le
fantasme
est le
substrat
imaginaire
du
désir.
Le
est
l'objet
autour de quoi le
sujet
s'éprouve
dans une
altérité
imaginaire.
Le
manque
associé
à la
frustration
est un
dam
imaginaire.
cf:
5.9.1
L'agent
de la
privation
est le
père
imaginaire.
cf:
5.9.1
L'objet
de la
castration
est le
phallus
imaginaire.
cf:
5.9.1
La
frustration
a un
terme
imaginaire.
5.9.1
La
castration
se
rapporte
à
l'objet
phallique
imaginaire.
cf:
5.9.1
La
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à un
terme
réel.
cf:
5.9.1
La
castration
peut
être
assumée
sur le
plan
imaginaire.
C'est dans le
moment
de
fading
que
surgit
comme suppléant de
l'élément
imaginaire,
l'objet
.
Le
réel
s'oppose
au
symbolique
et à
l'imaginaire.
Il y a
substitution
imaginaire
quand il y a
substitution
du
moi
au
sujet
barré
concernant le
désir.
est la
formule
de la
seconde
identification
imaginaire
du
sujet
à sa
forme
spéculaire.
*
Le
pervers
est
identifié
à la
forme
imaginaire
du
phallus.
Symbolique,
imaginaire
et
réel
sont des
catégories
fondamentales.
Les
éléments
sont les
éléments
imaginaires
du
fantasme.
L'objet
est un
point
de
fixation
imaginaire
donnant
satisfaction
à la
pulsion.
La
fonction
du
miroir
est
structurante,
comme exemplaire de la
structure
imaginaire
dans le
rapport
narcissique.
Dans la
privation,
celui qui est le
privateur
est une
fonction
imaginaire.
Le
moi-idéal,
il est
l'autre
imaginaire.
La
privation
c'est le
père
imaginaire.
Le
père
imaginaire
est ce qui est le
fondement
de la
fonction
du
surmoi.
*
La
première
imagination,
invention
de la
vérité,
c'est
l'amour.
Dans le
graphe
5.1.1
, le
vecteur
désigne
la
réalité
qui
s'imagine
dans le
schéma
éthologique
du
retour
du
besoin.
5
.
226
[
Lac66a
, p. 805]
La
feinte
se
déploie
dans la
capture
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 807]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
vecteur
signifie
le
procès
imaginaire
qui va de
l'image
spéculaire
à la
constitution
du
moi,
sur le
chemin
de la
subjectivation
par le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 809]
La
fonction
imaginaire
préside à
l'investissement
de
l'objet
comme
narcissique.
[
Lac66a
, p. 822]
Le
passage
du
de
l'image
phallique,
d'un
côté
à
l'autre
de
l'équation
de
l'imaginaire
au
symbolique,
le
positive,
et il
devient
le
. [
Lac66a
, p. 823]
*
Le
pervers
s'imagine
être
l'Autre
pour
assurer
sa
jouissance.
[
Lac66a
, pp. 824–825]
Le
névrosé
s'imagine
être
un
pervers
pour
s'assurer
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 825]
Le
fantasme
contient
le
,
fonction
imaginaire
de la
castration.
[
Lac66a
, p. 825]
Le
névrosé
a
subi
au
départ
la
castration
imaginaire
qui
soutient
son
moi
fort. [
Lac66a
, p. 826]
Le
névrosé
imagine
que
l'Autre
demande
sa
castration.
[
Lac66a
, p. 826]
*
L'objet
phallique
comme
objet
imaginaire
ne
saurait
en
aucun
cas
prêter à
révéler
d'une
façon
complète
le
fantasme
fondamental.
L'objet
phallus,
objet
disjoint
du
désir,
n'est pas la
simple
spécification, l'homologue du
imaginaire.
Le
phallus
rencontré
au
champ
de
l'imaginaire,
est la
racine
du
manque
d'un
signifiant.
est le
phallus
imaginaire.
Le
signifiant
phallus
a une
polarité
symbolique
et une
polarité
imaginaire.
*
Le
moi-idéal
est la
source
d'une
projection
imaginaire.
Dire
l'objet
de son
désir
c'est un
acte
d'imagination.
La
frustration
est
imaginaire.
ne
désigne
pas
l'autre
imaginaire.
L'autre
imaginaire,
dans la
méconnaissance
moïque
c'est
.
Au
cœur
de
l'objet
il y a un
point
central
par où
l'objet
sort
d'un
au-delà
du
nœud
imaginaire.
L'investissement
de
l'image
spéculaire
est un
temps
fondamental
de la
relation
imaginaire.
n'est pas
entré
dans
l'imaginaire.
C'est la
relation
imaginaire
qui
constitue
le
fantasme.
Le
est le
support
imaginaire
du
manque
originel.
Le
regard
que
rencontre
le
sujet
et qui le
surprend,
est un
regard
imaginé
au
champ
de
l'Autre.
L'homme,
au
contraire
de
l'animal,
n'est pas
entièrement
pris
dans la
capture
imaginaire.
L'homme
se
repère
dans la
capture
imaginaire
car il
peut
isoler la
fonction
de
l'écran.
L'homme
isole
la
fonction
d'écran
que
joue
la
capture
imaginaire.
Le
sujet
s'imagine
homme
seulement
de ce qu'il
s'imagine.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
dans sa
réalité
imaginaire,
ou
moi-idéal.
La
mascarade
ne
joue
pas au
niveau
imaginaire.
Irréel
n'est pas
imaginaire.
Introjecter
se
rapporte
au
champ
de
l'imaginaire.
L'irréel
n'est pas
l'imaginaire.
[
Lac66a
, p. 847]
L'objet
a un
trait
imaginaire.
L'objet
est d'un
statut
autre
qu'imaginaire.
*
C'est de
l'imaginaire
de la
mère
que va
dépendre
la
structure
subjective
de
l'enfant.
*
Toute
la
réalité
humaine
n'est
rien
d'autre que
montage
du
symbolique
et de
l'imaginaire.
Le
moi
du
sujet
s'aliène
de
façon
imaginaire.
L'homme
a pu
entrer
dans
l'ordre
symbolique,
comme
sujet,
par la
voie
d'une
béance
spécifique
de sa
relation
imaginaire
à son
semblable.
[
Lac66a
, p. 53]
Dans le
schéma
1.2.2
,
et
représentent
le
couple
de
réciproque
objectivation
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 53]
Le
symbolique
et
l'imaginaire
se
distinguent
dans leurs
relations
au
réel.
[
Lac66a
, p. 720]
Le
moi
est une
série
enveloppante
d'identifications
imaginaires.
[
Lac66c
, p. 8]
Le
savoir
est une
fonction
imaginaire,
une
idéalisation.
L'autre
imaginaire
est
identique
au
petit
autre.
[
Lac68e
, p. 18]
La
catégorie
de
l'imaginaire
implique
en elle-même que
l'
Umwelt
est
capable
de
défaillance.
L'objet
est
essentiellement
fondé
des
effets
de ce qui se
passe
au
champ
de
l'Autre,
du
symbolique,
du
rangement,
de
l'ordre,
du
rêve
de
l'unité,
de
l'imaginaire.
La
structure
perverse
est le moulage
imaginaire
de la
structure
signifiante.
La
frustration
est de
l'imaginaire.
Le
phallus
est le
contenu
manifestement
imaginaire
de
l'énigme
de la
castration.
Le
phallus
est le
pénis
imaginé
comme
organe
de la
tumescence.
[
Lac70d
, p. 90]
Le
trait
unaire
est le
support
du
stade
du
miroir,
c'est-à-dire
d'identification
imaginaire.
*
L'identification
imaginaire
s'opère
par une
marque
symbolique.
L'imaginaire
est ce que nous
reconstituons
dans le
modèle
animal.
Le
est de
l'imaginaire.
L'imaginaire
c'est ce qui se
supporte
du
reflet
du
semblable
au
semblable,
c'est ce qui est
certain.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont des
catégories.
*
L'imaginaire
c'est une
dit-mansion.
*
L'imaginaire
c'est ce qui
arrête
le
déchiffrage,
c'est le
sens.
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
Ce qui
réalise
le
symbolique
de
l'imaginaire,
c'est la
religion.
L'analyste
imagine
le
réel
du
symbolique,
c'est la
mathématique.
L'imaginaire
pris
comme
moyen
signe
l'amour
courtois
dans ce qu'il
imagine
de la
jouissance
et de la
mort.
L'imaginaire
pris
comme
moyen,
c'est le
fondement
de la
vraie
place
de
l'amour.
*
L'amour
est
l'imaginaire
spécifique
de chacun.
Le
nœud
borroméen
noue
l'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel.
Il n'y a que
l'écriture
qui
distingue
réel,
symbolique
et
imaginaire.
L'imaginaire
est de
l'ordre
du
voile.
Le
réel
fait
trois
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
La
vérité
est de
l'imaginaire.
*
L'imaginaire
c'est le
faux,
deuxième
par
rapport
au
réel.
Le
réel
c'est ce qui avec
l'imaginaire
et le
symbolique
fait
trois.
L'amour
est
abordé
par
l'imaginaire.
*
L'imaginaire
est la
prévalence
donnée
à un
besoin
du
corps,
qui est de
dormir.
Les
rêves
sont le
tissu
de
l'imaginaire.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
R, S, I sont le
réel,
le
symbolique
et
l'imaginaire.
*
Réel,
symbolique
et
imaginaire
ont un
sens.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
sont
trois.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
véhiculent un
sens.
Le
sens
répond
de
l'imaginaire.
Le
nœud
borroméen,
en tant qu'il se
supporte
du
nombre
trois,
est du
registre
de
l'imaginaire.
*
L'imaginaire
toujours
tend à se
réduire
d'une mise à
plat.
Dans
l'imaginaire
et dans le
symbolique
s'inscrivent
la
fonction
du
sens.
La
jouissance
participe
de
l'imaginaire
du
sens.
Le
nœud
borroméen
est bien
réel,
quoique
seulement
reflété
dans
l'imaginaire.
*
Il n'y a pas
d'imaginaire
qui ne
suppose
une
substance.
Le
monde
comme
représentation
dépend
de la
jonction
des
trois
consistances,
le
réel,
le
symbolique
est
l'imaginaire.
Les
trois
consistances
du
réel,
du
symbolique
et de
l'imaginaire
sont
strictement
équivalentes.
La
consistance
est de
l'ordre
imaginaire.
La
consistance
est de
l'ordre
imaginaire.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont les
noms-du-père.
*
Le
phallus
c'est ce qui
donne
corps
à
l'imaginaire.
*
On
est dans
l'imaginaire.
L'imaginaire
c'est le pas de
jouissance.
Tout
couple
se
réduit
à
l'imaginaire.
*
L'imaginaire
c'est la
place
où
toute
vérité
s'énonce.
*
Une
vérité
niée
à autant de poids
imaginaire
qu'une
vérité
avouée.
*
La
paranoïa
c'est un engluement
imaginaire.
Ce qui
fait
nœud
n'est pas
imaginaire,
ce n'est pas une
représentation.
*
Ce qui
fait
consistance
est de
l'ordre
imaginaire.
L'imaginaire
est homogène au
réel.
*
Ce n'est pas que soient rompus le
symbolique,
l'imaginaire,
et le
réel
qui
définit
la
perversion.
L'ex-sistence
du
symptôme,
c'est ce qui est
impliqué
par la
position
qui
suppose
le
lien
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
*
Le
sentimental
est débile parce que
toujours,
par quelque
biais,
réductible
à
l'imaginaire.
*
L'imagination
de
consistance
va
tout
droit
à
l'impossible
de la
cassure.
*
L'inquiétante
étrangeté
relève de
l'imaginaire.
C'est dans
l'imaginaire
que se met le
support
de la
consistance.
L'
ex-sistence
du
réel
est de
sister
hors
de
l'imaginaire
et du
symbolique,
en
limitation.
Le
réel
n'a
d'
ex-sistence
qu'à
rencontrer
du
symbolique
et de
l'imaginaire
à
l'arrêt.
C'est en tant qu'il
ex-siste
au
réel
que
l'imaginaire
rencontre
le heurt.
Dans la
psychose
paranoïaque
l'imaginaire,
le
symbolique
est le
réel
sont une
seule
et
même
consistance.
L'imaginaire
et le
réel
sont
deux
lieux de la
vie.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
langage
fait
nœud
de
l'imaginaire
et du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
*
Nous
imaginons
que nous
pensons.
*
Nous
imaginons
que nous
croyons
ce que nous
disons.
Il y a des
vérités
réelles,
symboliques
et
imaginaires.
L'analyse
n'appréhende
du
corps
que ce qu'il y a de
plus
imaginaire.
La
forme
la
plus
dépourvue de
sens
de ce qui
s'imagine,
c'est la
consistance.
D'avoir
un
corps
à adorer, c'est la
racine
de
l'imaginaire.
*
Le
sens
résulte
d'un
champ
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
ne se
confondent
pas.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
On
recourt
à
l'imaginaire
pour se
faire
une
idée
du
réel.
*
Il y a un
corps
de
l'imaginaire.
L'imaginaire
a
toujours
tort.
C'est de
l'imaginaire
que relève la
conscience.
*
La
poésie
est
imaginairement
symbolique.
*
L'imaginairement
symbolique
s'appelle
la
vérité.
C'est la
béance
entre
l'imaginaire
et le
réel
qui
fait
l'inhibition.
[
Lac78
]
La
topologie
est
imaginaire.
L'imaginaire
est
distinct
du
symbolique.
L'imaginaire
imagine
le
réel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
parce qu'il y a un
imaginaire,
un
symbolique
et un
réel.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08