Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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petit
Pour le
petit
enfant,
le
symbole
est déjà là, le
langage
existe
déjà.
La
petite
fille,
au
moment
d'entrée
dans
l'œdipe,
se met à
désirer
un
enfant
du
père
comme
substitut
du
phallus
manquant.
Pour que la
petite
fille
reprenne
la
position
féminine,
il faut
d'abord
qu'il y
ait
identification
au
père.
La
petite
fille
entre
dans le
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
elle
peut
l'avoir.
Le
petit
garçon
sort
du
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
il
peut
l'avoir.
Le
complexe
d'Œdipe
joue
chez la
petite
fille
à
l'inverse
de chez le
garçon.
Chez la
petite
fille,
le
complexe
d'Œdipe
lui
donne
accès
à ce
pénis
qui lui
manque.
Le
fait
que la
petite
fille
ne
reçoive
pas le
pénis
du
père
est une
frustration.
C'est au titre d'un
élément
signifiant
privilégié,
qu'intervient
la
relation
dans
l'œdipe
de la
petite
fille
au
phallus.
Le
petit
phi,
c'est le
phallus.
Dans la
formule
5.17.1
et
5.17.2
le
petit
c'est le
désir,
dans la
formule
5.17.1
et
5.17.3
, le
c'est le
sujet,
c'est le
petit
autre,
c'est
l'autre
en tant qu'il est notre
semblable.
Le
premier
ordre
d'identifications
est
l'identification
narcissique
qui est le
petit
,
le
moi.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Le
petit
dans la
formule
5.17.2
est le
signifié.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
L'analyste
est vis-à-vis de cet
autre
qui est le
petit
autre,
son
semblable.
Le
petit
autre,
,
est le
semblable,
l'autre
imaginaire.
Le
petit
est
indice
d'énonciation
.
Le
privateur
est le
petit
autre
comme tel, le
semblable.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
Le
losange
est aussi bien la
disjonction
que la
conjonction
et aussi bien le
plus
grand
que
que le
plus
petit
que
.
*
Ce qui est
cherché
dans la
quête
sadique
c'est, chez
l'objet,
ce
petit
morceau
qui
manque.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
Le très
petit
enfant,
le
nourrisson
s'adonne à des
monologues
primordiaux.
L'angoisse
du
sevrage
se
situe
lorsque le
petit
enfant
cède
le
sein
qu'il
considère
comme une
part
de lui-même.
*
Le
réel
peut
se
représenter
par l'accident, le
petit
bruit, le
peu
de
réalité,
qui témoigne que nous ne
rêvons
pas.
L'objet
petit
est un
représentant,
une
figure
de la
libido.
L'objet
petit
a des
formes
multiples.
La
position
anaclitique
marque
la
dépendance
physique,
animale
où le
petit
enfant
se
trouve
par
rapport
à sa
mère.
Le
petit
est à
l'intersection
du
sujet
et de
l'Autre.
L'autre
imaginaire
est
identique
au
petit
autre.
[
Lac68e
, p. 18]
est
l'image
du
petit
autre
spéculaire.
[
Lac68b
, p. 47]
Le
phallus
c'est la
conjonction
d'un
petit
bout de
queue
avec la
fonction
de la
parole.
Le
réel
ne
s'écrit
pas avec des
mots,
mais avec des
petites
lettres.
*
L'écriture
des
petites
lettres
c'est ça qui
supporte
le
réel.
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2024-11-08