Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.12 L
Précédent:
lettre
Suivant:
leurre
Index:
Index
LETTRES
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
,
c'est le
sujet
analytique.
Là où le
était,
c'est là où le
Ich
doit
être.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
l'instinct
de
mort
est en
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est le
moi.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est
l'autre.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est à la
fois
le
sujet,
le
symbole
et le
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
se
produit
dans la
réalisation
symbolique
du
sujet.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est
sous-jacente,
inconsciente.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est
essentielle
à
toute
situation
subjective
comme telle.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est la
symbolisation
du
réel.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, pour les
sujets
humains
le
rapport
entre
et
passe
toujours
par le
circuit
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
et le
,
le
moi
et
l'autre
sont les substrats
imaginaires.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
c'est à dire le
moi
est
séparé
du
sujet
par le
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, de
à
,
quelque
chose
du
discours
passe
et en
même
temps
ne
passe
pas.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
n'est pas le
.
Dans la
position
élective
qu'est
l'analyse,
le
est
effacé,
est
absent.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
transfert
se
passe
entre
et
pour autant que le
,
en tant qu'il est
représenté
par
l'analyste,
fait
défaut.
Le
est
imaginaire.
Au
niveau
du
il y a quelque
chose
qui est au
niveau
de
l'imaginaire,
c'est le
moi
et le
corps
morcelé.
Ça
est
das
, et
non
pas
.
[
Lac66a
, p. 417]
L'autre
dans la
situation
analytique
est
l'indice
d'un
initial.
[
Lac66a
, p. 429]
Dans la
situation
analytique,
chaque
est
pour
l'autre
participant.
[
Lac66a
, p. 429]
Le
passage
de
à
sont les
pôles
imaginaires
du
sujet.
5
.
269
Les
paroles
imaginaires
du
sujet,
et
,
recouvrent
la
relation
spéculaire,
celle du
stade
du
miroir.
Le
morcellement
naturel
du
sujet
est en
qui est
l'organisme.
Le
sujet
se
réfère
à cette
unité
imaginaire
qui est le
moi
en
Le
sujet
parle
de son
moi,
.
L'analyste
se
situe
quelque part en
.
Lorsque
l'analyste
entre
dans le
couplage
de la
résistance,
il
parle
alors en
,
il se
voit
alors dans le
sujet.
Dans
l'analyse
le
est la
Chose
à
révéler.
À la
fin
de
l'analyse
le
circuit
s'achèvera
directement
de
vers
.
*
Le
et le
sont
toujours
réciproques.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
Le
est ce qui, dans le
sujet,
est
capable
de
devenir
je.
Le
n'est pas une
réalité
brute.
Le
est déjà
organisé
comme est
organisé
le
signifiant.
Le
est déjà
articulé
comme est
articulé
le
signifiant.
Le
c'est le
signifiant
qui est déjà là dans le
réel
du
signifiant
incompris.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, c'est sur la
ligne
que
s'établit
la
relation
imaginaire.
Le
grand
Autre
c'est le
en tant qu'il est
parole,
histoire,
mémoire,
structure
articulée.
Dans la
formule
de la
métonymie
,
est dans un
rapport
métonymique
avec
de la
signification.
Dans la
formule
de la
métaphore
, où il y a
substitution
de
par
rapport
à
et
création
de
sens.
désigne
une
place
essentielle
à la
structure
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 454]
La
structure
métonymique
peut
être
symbolisée
par la
formule
:
le
signe
manifeste
la
barre
de
sur
.
[
Lac66a
, p. 515]
désigne
le
terme
productif
de
l'effet
signifiant,
ou
signifiance
[
Lac66a
, p. 515]
est
latent
dans la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 515]
est
patent
dans la
métaphore.
[
Lac66a
, p. 515]
Le
et le
ne sont pas dans le
même
plan.
[
Lac66a
, p. 518]
Dans le
schéma
5.8.1
qui est une version simplifiée du
schéma
L,
est le
lieu
du
signifiant.
Dans le
schéma
5.8.1
,
,
sont les
trois
termes
subjectifs du
complexe
d'Œdipe
en tant que
signifiant.
Le
se
représente
dans quelque
chose
qui
s'oppose,
dans le
ternaire
aux
signifiants
de
l'œdipe
dans quelque
chose
qui
doit
être
ternaire.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
La
lettre
est le
phallus.
Le
petit
phi,
c'est le
phallus.
Dans la
formule
5.17.1
et
5.17.2
le
petit
c'est le
désir,
dans la
formule
5.17.1
et
5.17.3
, le
c'est le
sujet,
c'est le
petit
autre,
c'est
l'autre
en tant qu'il est notre
semblable.
Le
premier
ordre
d'identifications
est
l'identification
narcissique
qui est le
petit
,
le
moi.
Dans la
formule
5.17.2
et la
formule
5.17.3
, le
grand
est la
demande.
Dans la
formule
5.17.2
le
c'est le
grand
Autre.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Le
petit
dans la
formule
5.17.2
est le
signifié.
Dans la
formule
5.17.2
le
grand
est
l'idéal-du-moi.
Le
grand
est le
signifiant.
Le
phallus
est le
signifiant
qui
introduit
quelque
chose
de
nouveau
dans
l'Autre.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Le
signifiant
est la
fonction
du
signifiant
phallus.
Dans la
figure
5.22.1
le
de
l'Autre
où se
trouve
le
code,
là où s'accueille la
demande.
Dans la
figure
5.22.1
c'est dans le
passage
du
au
point
où est le
message,
que se
produit
le
signifié
de
l'Autre.
Le
signifiant
est lui
structuré
par la
Spaltung.
est
l'équation
du
fantasme.
Le
petit
autre,
,
est le
semblable,
l'autre
imaginaire.
est la
formule
du
fantasme.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
l'enfant
rencontre
la
mère
en tant que
sujet
parlant.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
aboutit
le
message
de
l'enfant.
Dans le
graphe
5.25.3
le
symptôme
se
situe
en
,
au
niveau
de la
signification.
Dans le
graphe
5.25.3
,
est la
formule
du
signifié
de
l'Autre
venant
du
lieu
de la
parole.
Dans le
graphe
5.25.3
,
s'articule
dans le
complexe
de
castration.
L'inconscient
est le
sujet
barré
dont la
formule
est
.
La
formule
du
sujet
s'écrit
,
sujet
barré.
La
formule
est celle du
signifié
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.1.2
en
est ce qui est
signifié
de
l'Autre.
Dans le
graphe
6.1.2
le
signifiant
donné
par
l'Autre
est
produit
sur la
chaîne.
Dans le
graphe
6.1.2
en
le
désir
se
manifeste
dans la
béance,
dans
l'intervalle
qui
sépare
l'articulation
langagière
de la
parole.
Dans le
graphe
6.1.2
c'est un
élément
imaginaire
qui va du
moi
à
l'autre
.
La
formule
du
fantasme
est
.
est le
sujet
barré
en tant que
parlant.
Dans le
procès
de
parole
présenté dans le
graphe
6.2.1
, les
quatre
points
,
,
,
partent en
même
temps.
Dans le
graphe
6.2.1
en
est le
sujet
en tant que
parlant.
Dans le
graphe
6.2.1
figure
l'acte
de la
demande.
est le
lieu
du
code.
Le
lieu
est le
lieu
où
gît
le
trésor
de la
langue
dans sa
synchronie.
Le
lieu
est le
lieu
où
gît
la
somme
des
éléments
taxématiques
Dans le
graphe
6.2.2
la
continuité
du
vecteur
jusqu'au
point
représente
la
synchronie
de
l'organisation
systématique
de la
langue.
Dans le
graphe
6.2.2
est le
signifié
de
.
Dans le
graphe
6.2.3
en
face
de
signifie
le
fantasme.
Toute
parole
part
de ce
point
de
croisement
le
point
.
6.4.1
Le
fantasme
dans
l'inconscient
s'écrit
.
La
formule
du
fantasme
note une
fonction
imaginaire.
L'image
de
est
image
de
l'autre.
L'image
de
l'autre
est
marquée
du
de
l'idéal-du-moi.
La
condition
névrotique
ou
psychotique
du
sujet
dépend
de ce qui se déroule en
l'Autre
.
[
Lac66a
, p. 549]
Ce qui se déroule en
l'Autre
est
articulé
comme un
discours.
[
Lac66a
, p. 549]
Le
schéma
simplifié,
figure
5.8.1
,
comprend
les
objets
:
,
,
,
.
[
Lac66a
, p. 548]
désigne
l'existence
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
désigne
les
objets
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
désigne
le
moi
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
est le
lieu
d'où
peut
se poser au
sujet
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
est la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 551]
Dans le
schéma
1.21.1
,
est
l'idéal-du-moi.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
comprend
les
objets
:
,
,
,
,
,
,
,
,
,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
représente
la
position
en
du
nom-du-père.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
et
représentent
les
deux
termes
imaginaires
de la
relation
narcissique.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
,
représente
le
moi.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
, soit en
,
se
situent
les
figures
de
l'autre
imaginaire
dans les
relations
d'agression
érotique
où elles se
réalisent.
[
Lac66a
, p. 553]
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
,
soit en
,
se
situent
les
figures
où le
moi
s'identifie.
[
Lac66a
, p. 553]
est
l'algorithme
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 554]
Le
correspond
aux
champs
et
. [
Lac66a
, p. 554]
Le
champ
est le
champ
de la
réalité.
[
Lac66a
, p. 554]
est le
barré
du
désir.
[
Lac66a
, p. 554]
Dans la
formule
de la
métaphore,
les
sont des
signifiants,
est la
signification
inconnue,
est le
signifié
induit
de la
métaphore,
se
substitue
à
,
est
élidé
pour la
réussite
de la
métaphore.
[
Lac66a
, p. 557]
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Dans le
schéma
,
figure
1.21.2
, la disposition du
champ
représente
les
conditions
sous lesquelles la
réalité
s'est restaurée pour le
sujet.
[
Lac66a
, p. 573]
Le
et le
moi,
son ombre, sont
deux
autres.
[
Lac66a
, p. 630]
Dans la
pulsion
,
le
est le
en
fading
dans la
coupure
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 634]
Dans le
fantasme
,
le
est le
en
fading
devant
l'objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 634]
désigne
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 675]
L'objet
reçoit
une
fonction
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 682]
est
l'objet
du
désir.
[
Lac66a
, p. 682]
Le
désir
mâle
se note
.
[
Lac66a
, p. 683]
Le
désir
de la
femme
se note
.
[
Lac66a
, p. 683]
Le
schéma
1.23.2
désigne
les
objets
,
,
,
,
,
,
, le
miroir.
[
Lac66a
, p. 674]
Le
schéma
1.23.3
désigne
les
objets
,
,
,
,
,
,
,
,
le
miroir.
[
Lac66a
, p. 680]
Dans le
schéma
1.23.3
,
désigne
une
image
réelle.
[
Lac66a
, p. 680]
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Dans le
graphe
6.7.2
, au
niveau
où le
sujet
cherche
à se
reconnaître
dans ce qu'il est
au-delà
de la
demande
est schématisé par
.
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
est la
formule
du
fantasme.
Dans le
graphe
6.9.2
, le
vecteur
en pointillés de
l'énonciation,
va du
message
au
code
.
est le
signifiant
de
l'Autre
qui est en
moi.
Un
fantasme,
est
entre
le
signifiant
de
l'Autre
et le
signifié
de
l'autre
.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Le
sujet
barré
en
face
de
l'objet
est le
sujet
du
désir.
Le
par
rapport
à
est la
formule
du
désir.
Le
sujet
dans
l'image
de
l'autre
trouve
à se
substituer
un
rapport
du
sujet
au
désir,
.
Le
graphe
6.15.1
indique
la
voie
de
retour
du
code
de
l'inconscient
vers le
message
de
l'inconscient
sur le
plan
imaginaire.
Le
graphe
6.15.1
indique
un
circuit
qui
commence
en 1, puis passe au
niveau
du
message
en
en 2, puis va au
niveau
du
code
de
l'inconscient
en 3,
revient
vers le
désir
en 4, puis vers le
fantasme
en 5.
Il y a un
rapport
narcissique
entre
le
moi
et
l'image
de
l'autre
.
Dans le
graphe
6.9.1
En
se
situe
le
point
entrecroisé de
l'intention
de la
demande,
et de la
chaîne
signifiante.
,
le
grand
Autre
est le
lieu
de la
vérité.
est le
signifiant
de
l'Autre.
cf
6.9.1
est le
signifié
de
L'Autre.
cf
6.9.1
La
réponse
c'est le
signifiant
de
l'Autre
.
*
,
le
grand
Autre,
est,
non
pas un
être,
mais le
lieu
de la
parole.
Dans le
lieu
de la
parole,
,
il
manque
quelque
chose.
c'est le
châtré.
c'est le
soumis
au
fading
du
sujet.
est la
formule
du
fantasme.
Le
signifié
de
l'Autre
est la
somme
de
toutes
les
significations.
cf:
6.17.2
Suivant que le
fantasme
passe
ou ne
passe
pas, pour arriver au
message
s'enclenche une
situation
normale
ou une
situation
atypique.
Au
point
est le
code
au
niveau
de
l'inconscient.
cf:
6.17.2
Le
est
l'objet
autour de quoi
tourne
la
dialectique
du
désir.
Le
est
l'objet
autour de quoi le
sujet
s'éprouve
dans une
altérité
imaginaire.
Le
est
image
et est
pathos.
le
rapport
en
présence
du
est le
support
fantasmatique
du
désir.
signifie
ce dont le
sujet
est
privé
qui est le
signifiant
de son
aliénation,
le
phallus.
Le
de
l'Autre
c'est là que
s'articule
la
demande.
La
castration,
est
l'essentiel
de la
marque
sur
l'homme
de son
rapport
au
logos
.
L'objet
soutient
le
rapport
du
sujet
à ce qu'il n'est pas, le
phallus.
est la
formule
du
fantasme
fondamental.
*
L'objet
se
définit
d'abord
comme le
support
que le
sujet
se
donne
pour autant qu'il
défaille.
Le
c'est
l'effet
de la
castration.
est
l'objet
qui
entre
en
jeu
dans le
fantasme.
est
l'objet
du
désir.
Le
consonne
comme
est-ce?
est
marqué
de quelque
chose
qui le
divise
primordialement
de lui-même en tant que
sujet
de la
parole,
.
C'est dans le
moment
de
fading
que
surgit
comme suppléant de
l'élément
imaginaire,
l'objet
.
La
voix
dans le
délire
répond
aux
exigences
formelles
de
.
Les
points
et
sont les
points
de
code.
cf:
6.22.1
Les
points
et
sont les
points
de
message.
cf:
6.22.1
et
sont les lieux où
vient
se
situer
la
rencontre
de
l'intention
du
sujet
avec le
fait
concret.
cf:
6.22.1
Le
fait
de
l'inconscient
est que ce qui
s'articule
au
niveau
de la
chaîne
signifiante,
n'est pas
articulable
au
niveau
de
.
est un
point
de
code.
cf:
6.22.1
.
La
réponse
au
est
symbolisée
par la
signifiance
de
l'Autre
en tant que
.
cf:
6.22.1
.
*
L'image
de
l'autre
spéculaire,
joue
par
rapport
au
moi.
Le
fantasme
est le
pont
entre
ce qui est
accessible
à la
conscience
et ce qui ne l'est pas. cf:
6.22.1
.
Le
champ
de la
réalité
est à
situer
entre
et
.
cf:
6.22.1
*
Le
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désigne
le pas
Un
dans la
structure
fondamentale
du
désir.
Chez
l'
infans
,
pour ses
premières
identifications,
il est le
de
l'autre
,
idéalement
son
semblable.
Il y a
substitution
imaginaire
quand il y a
substitution
du
moi
au
sujet
barré
concernant le
désir.
La
formule
,
pour le
névrosé,
se
transforme
en
identification
de son
être
inconscient,
barré
en
phallus
barré
,
.
Le
fantasme
est le
rapport
du
sujet,
barré
,
avec
l'objet
.
est la
formule
de la
seconde
identification
imaginaire
du
sujet
à sa
forme
spéculaire.
*
Le
,
l'objet
du
désir,
dans sa
nature
est un
résidu,
est un
reste.
est la
symbolisation
du
fantasme
qui est la
forme
sous laquelle
s'appuie
le
désir
du
sujet.
Les
éléments
sont les
éléments
imaginaires
du
fantasme.
s'indique
comme la
réponse
dernière
demandée
à
l'Autre
du
sens
de la
loi
qu'il
articule
pour nous au
plus
profond
de
l'inconscient.
Le
moi-idéal,
il est
l'autre
imaginaire.
Dans le
graphe
1.30.1
, le
lieu
est le
lieu
du
trésor
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
, le
lieu
n'est pas le
lieu
du
code.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
,
l'autre
est la
ponctuation
où la
signification
se
constitue
comme
produit
fini. [
Lac66a
, p. 806]
Dans le
schéma
1.30.1
,
est un
moment,
scansion
plutôt que
durée.
[
Lac66a
, p. 806]
et
participent
de cette
offre
au
signifiant
que
constitue
le
trou
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 806]
Dans le
graphe
1.30.1
, la
soumission
du
sujet
au
signifiant
est ce qui se
produit
dans le
circuit
vers
puis
vers
.
[
Lac66a
, p. 806]
Le
graphe
de
l'identification
première,
schéma
1.30.1
,
comprend:
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 808]
Dans le
graphe
1.30.1
,
représente
l'image
spéculaire
du
moi-idéal.
[
Lac66a
, p. 809]
Dans le
graphe
1.30.1
,
représente
le
moi.
[
Lac66a
, p. 809]
L'autre,
c'est le
semblable,
noté
.
[
Lac66a
, p. 810]
Le
graphe
#_#>
1.30.2
,
comprend:
,
,
,
,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 815]
Le
graphe
complet,
1.30.3
, décrit:
jouissance,
,
,
castration,
,
,
signifiant,
,
,
voix,
,
,
,
. [
Lac66a
, p. 817]
Dans le
graphe
1.30.3
,
est le
signifiant
d'un
manque
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
est le
signifiant
pour quoi
tous
les
autres
signifiants
représentent
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 819]
Faute du
signifiant
,
tous
les
autres
ne
représenteraient
rien.
[
Lac66a
, p. 819]
*
Chez le
névrosé,
le
se
glisse
sous le
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 826]
Dans le
fantasme
fondamental,
,
le
sujet
lui-même se
reconnaît
comme
arrêté.
se
définit
comme
lieu
de la
parole.
Grand
n'est pas un
autre
absolu.
est un
Autre
perpétuellement
évanouissant.
Le
signe
repose
dans
l'Autre
.
L'objet
phallus,
objet
disjoint
du
désir,
n'est pas la
simple
spécification, l'homologue du
imaginaire.
*
Le
c'est le
grand
moins
phi,
.
vient
à
symboliser
ce qui
manque
à
l'
pour
être
l'
de
plein
exercice.
est le
signifiant
du
point
où le
signifiant
manque.
est le
seul
point
où
peut
se placer un
sujet.
Le
symbole
est un
symbole
innommable.
est le
phallus
symbolique.
est le
phallus
imaginaire.
est
intéressé
concrètement
dans
l'économie
psychique.
est un
symbole
qui
répond
à la
place
où sa
produit
le
manque
de
signifiant.
vient
à la
place
du
signifiant
manquant.
Le
du
phallus
est le
manque
de
signifiant.
c'est la
présence
réelle
du
désir.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
La
formule
du
fantasme
peut
se
lire,
barré
désir
de
.
La
notation
du
fantasme
peut
se
lire,
désir
de
,
l'objet
du
désir.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
c'est le
moi
en tant
qu'image
de
l'autre,
en tant que foncièrement
fonction
de
méconnaissance.
L'angoisse
se
produit
topiquement
à la
place
définie
par
,
à la
place
du
moi.
*
Il n'y a de
signal
d'angoisse
qu'en tant qu'il se
rapporte
à un
objet
de
désir
en tant qu'il
perturbe
le
moi-idéal
.
est le
phallus
symbolique.
*
La
fonction
est la
fonction
centrale
de
l'investissement
narcissique.
Grand
est
l'Autre
du
sujet
parlant.
Le
c'est
l'objet
du
désir.
Le
symbole
est
symbole
de la
demande
qui est
désir
métonymique.
est
l'objet
du
désir.
est le
symbole
du
phallus.
La
fonction
est
l'image
spéculaire.
ne
désigne
pas
l'autre
imaginaire.
L'autre
imaginaire,
dans la
méconnaissance
moïque
c'est
.
est la
formule
du
fantasme.
Dans la
formule
du
fantasme
,
le
se
lit
poinçon,
désir
de.
Le
sujet
en tant que
marqué
par le
signifiant
est proprement, dans le
fantasme,
coupure
de
.
Au
cœur
de
l'objet
il y a un
point
central
par où
l'objet
sort
d'un
au-delà
du
nœud
imaginaire.
est
l'objet
du
désir.
La
fonction
est
fonction
spéculaire.
Le
fantasme,
,
c'est
en tant qu'il est
coupure
de
.
La
troisième
identification
est
coupure
de
.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
L'objet
est
objet
de la
castration.
L'objet
est
l'objet
d'une
castration
constitutive.
L'objet
surgit
au
point
de
défaillance
de
l'Autre.
L'objet
surgit
au
point
de
perte
du
signifiant.
*
c'est
l'être
en tant qu'il est
essentiellement
manquant.
est ce que
l'Autre
désire
dans le
sujet
défaillant, dans le
fantasme
le
.
c'est le
désir.
n'est pas
entré
dans
l'imaginaire.
est la
formule
du
fantasme.
Le
est le
support
du
désir
dans le
fantasme.
c'est
l'angoisse
de
castration
dans son
rapport
à
l'Autre.
désir
de
est la
formule
du
fantasme.
*
Le
sujet
apparaît
avec la
naissance
du
signifiant,
mais comme
barré
,
comme
non
su
comme tel.
La
pulsion
s'écrit
coupure
de la
demande,
.
Dans la
formule
du
fantasme
, le
poinçon
se
lit
désir
de, à
lire
de même de droite à gauche. [
Lac66a
, p. 774]
Dans le
fantasme
sadien,
un
instrument,
l'objet
a été
substitué
au
plaisir.
[
Lac66a
, p. 774]
Dans le
schéma
du
fantasme
sadien,
est le
sujet
brut du
plaisir.
cf:
1.29.1
[
Lac66a
, p. 775]
Dans
l'expérience
sadienne,
l'objet
du
fantasme
se
situe
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 775]
L'expérience
sadienne
substitue
un
instrument
à
de
l'expression
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 775]
Le
schéma
1.29.1
désigne
les
objets,
,
,
,
,
,
.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
schéma
1.29.2
désigne
les
objets,
,
,
,
,
.
[
Lac66a
, p. 778]
L'objet
est un
objet
externe
à
toute
définition
possible
de
l'objectivité.
incarne
la
fonction
la
plus
aliénante
du
sujet
dans
l'échange.
L'angoisse
est la
seule
traduction
subjective
de
l'objet
.
désir
de
est la
formule
du
fantasme
en tant que
support
du
désir.
L'objet
est la
cause
du
désir.
Là où se
dit
je,
au
niveau
de
l'inconscient
se
situe
.
La
loi
du
père
c'est un
phallus
absolu
.
L'objet
c'est cette
réserve
dernière
irréductible
de la
libido.
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
ou
moi-idéal
est une
image
réelle.
est ce
qu'on
n'a pas.
Il y a un
rapport
profond,
nécessaire
entre
l'
acting-out
et le
.
Le
manque
est
symbolique,
.
Le
est le
support
imaginaire
du
manque
originel.
Le
est
cause
du
désir.
L'angoisse
est
reprise
par le
moi
pour
répondre
aux
menaces
de
l'
id
,
du
ça,
de
l'
.
Le
est le
reste
irréductible
dans
l'opération
totale
de
l'avènement
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre.
Le
est ce qui
représente
le
dans son
réel
irréductible.
Le
sur
est ce qui
boucle
l'opération
de la
division.
Le
c'est
équivalent
au
sur
,
.
Le
est le
sujet
du
désir.
L'irréductible
du
est du
domaine
de
l'image.
*
La
jouissance
ne
connaîtra
pas
l'Autre
sinon par ce
reste
.
Le
fantasme
c'est
dans un
certain
rapport
d'opposition
à
.
Le
losange
est aussi bien la
disjonction
que la
conjonction
et aussi bien le
plus
grand
que
que le
plus
petit
que
.
*
symbolise
ce qui, dans la
sphère
du
signifiant,
est
toujours
ce qui se
présente
toujours
comme
perdu.
Le
du
fantasme
est
support
du
désir.
Désirer
l'Autre
,
ce n'est
jamais
que
désirer
.
Le
manque
de
l'objet
cause
du
désir
est
relié
chez
l'homme
au
.
*
C'est dans la
dépendance
de la
demande
que se
constitue
cet
objet
pour la
femme.
Le
n'est
supporté,
constitué
que par
l'intermédiaire
du
désir
de
l'Autre.
est
l'objet
des
objets,
l'objectalité
en tant qu'elle
s'oppose
à
l'objectivité.
Le
fonctionnement
du
fantasme
implique
une
syncope
temporellement
définissable
de la
fonction
du
qui
s'efface
et
disparaît.
L'
aphanisis
du
est la
disparition
de
l'objet
en tant qu'il
structure
un
certain
niveau
du
fantasme.
*
Il y a, au
stade
de la
castration
phallique,
le
moins
phallus
,
l'entrée
de la
négativité
quant à
l'instrument
du
désir,
au
moment
du
surgissement
du
désir
sexuel
comme tel au
champ
de
l'Autre.
Dans le
complexe
de
castration,
le
fonctionne
comme
.
*
Le
est un
objet
séparé
de
l'organisme
de
l'enfant.
Le
fantasme
est la
vacillation
qui
unit
étroitement
le
sujet
au
.
L'objet
fonctionne
comme
reste
de la
dialectique
du
sujet
à
l'Autre.
La
phonémisation
de
l'objet
se
supporte
d'un
système
d'oppositions,
de
possibilités
de
substitutions
et de
déplacements,
de
métaphores
et de
métonymies.
L'objet
est
non
seulement
séparé
mais
éludé,
toujours
ailleurs
que là où le
désir
le
supporte.
L'objet
est en
relation
profonde
avec le
désir.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
L'image
spéculaire
est
l'objet
caractéristique
du
stade
du
miroir.
Le
manque
associé
au
est
non
spéculaire,
n'est pas
saisissable
dans
l'image.
Les cinq
états
de
l'objet
sont,
l'oral,
l'anal,
le
phallique,
l'œil,
l'oreille.
La
voix
est un
objet
.
Le
symbolise
l'angoisse
de
castration.
L'angoisse
de
castration
notée
dénote
une
carence.
La
structure
de la
pulsion
est
supportée
par la
formule
rapport
de
désir
à la
demande,
.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
La
femme
ne
peut
jouir
de
que parce qu'il n'est pas à sa
place,
à la
place
de sa
jouissance.
Le
,
pour les
deux
sexes,
c'est ce que
je
désire
et que
je
ne puis
avoir
qu'en tant que
.
Le
moins
du
se
trouve,
sur le
champ
de la
conjonction
sexuelle,
être
le
medium
universel.
Principiellement,
c'est de
l'Autre
que
grand
reçoit
son
propre
message.
Dans
toute
avancée,
comme tel,
l'angoisse
apparaît
en
fonction
de son
rapport
au
désir
de
l'Autre.
n'est pas
l'objet
du
désir,
il en est la
cause.
est
cause
du
désir.
Dès les
données
premières
du
symptôme
de
l'obsessionnel,
la
fonction
du
se
dévoile
comme
fonctionnant
dans la
dimension
de la
cause.
La
voie
analytique
passe
par
,
seul
objet
à proposer à
l'analyse
du
transfert.
est la
cause
du
désir.
est le
reste
de la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
en tant qu'il a à se
constituer
en
sujet
barré,
.
Le
désir
est
l'effet
primordial
de la
cause
.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
La
jouissance
dans
l'Autre,
axe
de la
sexualité,
est
marquée
de
l'instrument
manquant
que
désigne
.
*
est
lié
à la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
et le
représente.
Au
niveau
du
stade
phallique,
la
fonction
de
est
représentée
essentiellement
par un
manque,
par le
défaut
de
phallus.
Le
excrémentiel
symbolise
la
castration.
Par
rapport
au
désir,
l'objet
se
présente
toujours
là où
s'élabore,
dans le
sujet,
la
fonction
de la
cause
même.
Dans les
rapports
du
désir
et de
l'angoisse,
l'émoi
c'est le
.
Son
caractère
d'objet
cessible
est un des
caractères
importants du
.
Au
niveau
du
désir
génital,
le
symbolise
le
résidu
subjectif
au
niveau
de la
copulation.
L'angoisse
est
signal
de
danger
lié
au
caractère
de session du
moment
constitutif
de
l'objet
.
Le
moment
de
fonction
de
l'angoisse
est
antérieur
à la
cession
de
l'objet
.
La
fonction
angoissante
du
désir
de
l'Autre
est
liée
au
fait
que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour ce
désir.
L'angoisse
est
liée
à ceci que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour le
désir
de
l'Autre.
L'objet
se
trouve
à
être
le
premier
support
à
l'Autre
de la
subjectivation.
Le
,
marqué
comme
cause
du
désir,
se
définit
comme un
reste
irréductible
à la
symbolisation
au
lieu
de
l'Autre.
Le
problème
du
deuil
est celui du
maintien
des
liens
par où le
désir
est
suspendu,
dimension
idéalisée
de
l'amour,
.
Dans la
manie,
c'est la non-fiction du
et
non
simplement sa
méconnaissance,
qui est en
cause.
Dans la
manie,
le
sujet
n'est lesté par
aucun
,
ce qui le livre
sans
aucune
possibilité
de
liberté,
à la
métonymie
infinie
et ludique et
pure
de la
chaîne
signifiante.
L'objet
est à
situer
comme tel dans le
champ
de
l'Autre,
c'est ce qui rend
possible
le
transfert.
*
L'objet
est ce qui a
chu
du
sujet
dans
l'angoisse.
*
Le
,
l'objet
choit.
L'objet
a quelque
chose
dont le
sujet,
pour se
constituer,
s'est
séparé
comme
organe.
L'objet
symbolise
le
manque
central
du
désir,
.
*
L'objet
dans le
champ
du visible, c'est le
regard.
L'objet
est ce qui
cause
radicalement
la
fermeture
que
comporte
le
transfert.
Le
sujet
est
symbolisé
par
,
en tant que
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
La
fonction
du
n'est pas
l'image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
comme
image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
redoublé
dû à la
confusion
de la
fonction
de
avec
image
de
l'objet
.
Le
sein
est un
objet
cause
du
désir.
La
fonction
pulsionnelle
fait
le
tour
de
l'objet
.
cf:
11.13.1
L'objet
est un
objet
perdu.
L'objet
n'est pas
l'origine
de la
pulsion
orale.
Les
béances
instaurées dans le
sujet
se
figurent
en un
losange,
le
poinçon
noté
.
L'objet
petit
est un
représentant,
une
figure
de la
libido.
L'objet
petit
a des
formes
multiples.
La
formule
du
fantasme
est
.
Le
cri
est le
nœud
radical
où se
conjoignent
la
demande
et la
pulsion
.
Le
losange
,
c'est un
bord.
cf:
11.16.1
Le
,
le
signifiant
binaire,
le
Vorstellungsrepräsentanz,
est comme tel
chu
dans le dessous.
La
Vorstellungsrepräsentanz
est le
du
couple
des
signifiants.
L'interprétation
est une
signification
qui
vient
à la
place
du
,
le
signifié.
Le
moment
de
perte
du
sujet
est
représentée
par la
fonction
du
,
refoulé
primordial.
La
pulsion
fait
le
tour
de
l'objet
.
Par la
fonction
de
l'objet
,
le
sujet
se
sépare,
cesse
d'être
lié
à la
vacillation
de
l'être,
au
sens
qui
fait
l'essentiel
de
l'aliénation.
La
présence
de
l'objet
est
nécessaire.
Le
corps
de la
science
est dans la
relation
subjective,
l'équivalent
de
l'objet
.
La
division
inaugurale
du
sujet
est
bouchée
par
l'objet
.
L'objet
ne
franchit
jamais
la
béance
inaugurale
du
sujet.
L'objet
défini
comme
narcissique
est noté
.
L'objet
peut être
identique
au
regard.
L'hypnose
peut
se
définir
par la
confusion,
en un
point,
du
signifiant
idéal
où se
repère
le
sujet
avec
l'objet
.
Le
ressort
fondamental
de
l'opération
analytique,
c'est le
maintien
de la
distance
entre
le
et le
.
L'analyste
est
appelé,
par le
sujet,
à incarner le
.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
qui est
propre
au
sujet.
L'objet
est
cause
du
désir.
Le
manque
habite
à
l'intérieur
de
l'objet
.
Le
désir
de
l'Autre
est au
cœur
de
l'objet
.
*
L'image
du
corps,
le
s'origine
dans le
sujet,
dans
l'expérience
spéculaire.
*
Le
n'a pas
d'image
spéculaire,
il n'est pas
spécularisable.
L'objet
est ce
résidu
essentiel
par quoi
s'incarne
le
caractère
radicalement
divisé
du
du
sujet
au-delà
de la
demande
et
au-delà
du
transfert.
Le
,
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'inscrit
la
succession
des
signifiants.
est
l'image
inversée
de ce qui
sert
de
support
à
conceptualiser
la
fonction
du
sujet.
Toute
interjection
se
situe
exactement
quelque
part
dans la
coupure
entre
le
et le
.
est le
lieu
de
l'Autre,
lieu
où
l'Autre
est
présent.
représente,
auprès du
,
qui est le
sujet
en tant que
barré.
Chaque
fois
que le
sujet
trouve
sa
vérité,
ce qu'il
trouve,
il le
change
en
objet
.
*
C'est en tant que
je
suis
que
mon
désir
est le
désir
de
l'Autre.
Le
fantasme
n'est que la
conjonction
de la
division
du
sujet
avec le
.
,
l'Autre
sait
qu'il ne
sait
rien.
L'objet
vient
s'insérer
dans la
division
du
sujet.
La
science
est un
savoir
au
milieu
duquel s'étale le
trou
du
manque
de
l'objet
.
L'objet
est le
champ
de
l'intersection
de la
vérité
et du
savoir.
5
.
270
L'objet
est
objet
de
déchet,
de
rebut.
La
valeur
de
l'objet
est
valeur
de
vérité.
L'objet
est
présent
partout
dans la
pratique
de
l'analyse.
*
est de
l'ordre
du
réel.
*
Le
n'est pas
spéculaire.
Dans
l'amour
courtois,
se
repère
de
l'idéal-du-moi,
objet
,
image
du
le
fondement
du
moi,
et
sujet
barré.
Le
est
cause
du
désir
et
valeur
qui le
détermine.
C'est
barré
dans son
rapport
à la
demande,
,
que
s'accroche
la
division
du
sujet.
L'objet
n'est pas
spéculaire.
Le
disque
de
l'objet
,
une
fois
suturé
le long du
bord
de la
bande
de
Mœbius,
donne
un
plan
projectif.
Le
fantasme
est
symbolisé
par la
formule
barré,
coupure
de
,
.
*
Le
n'a pas
d'image
spéculaire.
Dans le
fantasme,
l'objet
,
c'est comme le
bâti.
L'objet
a une
structure
de
disque.
Dans le
regard,
l'objet
peut
être
totalement
élidé.
La
demande
de
l'Autre,
c'est
l'objet
fèces.
La
demande
à
l'Autre,
c'est
l'objet
sein.
Les
objets
regard
et
voix
sont
insaisissables.
Le
sujet
divisé
est
soutenu
par
l'objet
.
La
poussée
de la
pulsion
contourne
l'objet
.
Le
sein
est
objet
.
Le
regard
est
objet
.
*
Le
n'est pas
spéculaire.
L'objet
est l'enjeu
fondateur,
pour le
sujet,
dans son
rapport
à
l'Autre.
Pour ce qui est de la
voix,
l'objet
est
directement
impliqué
et immédiatement au
niveau
du
désir.
c'est le
phallus
en tant
qu'objet
en
jeu
dans le
rapport
à la
jouissance.
Le
c'est
l'organe.
est le
lieu
de
l'Autre.
La
femme
ça
existe
au
niveau
de
l'objet
.
Sous le
narcissisme
primaire
il y a à
dévoiler
la
fonction
de
l'objet
.
Le
fantasme
s'écrit
et se
dit
barré
poinçon
.
Le
tient
lieu
de ce dont il retourne concernant la
division
du
sujet.
est un
objet
dont le
statut
est dans un
rapport
logique.
L'objet
a un
trait
imaginaire.
L'objet
est d'un
statut
autre
qu'imaginaire.
Le
signe
figure
un
poinçon.
Le
barré
d'une
barre
verticale c'est le
sujet
barré
de si et
seulement
si avec
l'objet
.
5
.
271
Dans
l'objet
il s'agit des
pièces
détachables
et pourtant foncièrement reliées au
corps.
Une
coupure
du
plan
projectif
fait
surgir
l'objet
.
Le
petit
est à
l'intersection
du
sujet
et de
l'Autre.
Le
est le
résultat
des
opérations
logiques
de
réunion
et
d'intersection
opérées
sur le
sujet
et
l'Autre.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
L'objet
c'est la
première
Bedeutung
,
le
premier
référent,
la
première
réalité.
identifie
le
lieu
de
l'Autre
qui est le
lieu
où se
produit
l'énoncé,
le
trésor
du
signifiant.
L'ensemble
des
énoncés
fait
partie
de
l'univers
du
discours
qui est
situé
dans le
.
Dans la
métaphore
deux
signifiants
sont en
cause
qui font
surgir
un
signifié
.
Le
de la
métaphore
se
trouve
représenter
le
sujet
de
l'inconscient
dont il s'agit de
déterminer
l'effet
comme
effet
de
signification,
le
symptôme.
désigne
le
signifiant
de
l'
un-en-trop
.
est le
signifiant
comme
manquant
à
l'univers
du
discours.
Dans le
schéma
1.2.2
,
symbolise
le
sujet
supposé
complété
du
freudien.
[
Lac66a
, p. 55]
Le
se
distingue
de
l'inconscient,
en ceci qu'il est
logistiquement
5
.
272
disjoint
et
subjectivement
silencieux. [
Lac66a
, p. 55]
C'est du
champ
de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, pp. 55–56]
Le
sujet
de la
séance
psychanalytique
est le
supposé
complété
du
.
[
Lac66a
, p. 55]
Dans le
schéma
1.2.2
,
est le
champ
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 55]
L'objet
est
l'objet
de la
psychanalyse.
[
Lac66c
, p. 9]
Le
,
de
barré
est le
signifiant
constituant
un des
points
nodaux
du
réseau
autour duquel
s'articule
toute
la
dialectique
du
désir.
creuse
l'intervalle
entre
l'énoncé
et
l'énonciation.
joue
pour la
pensée
un
rôle
essentiel.
est
l'objet
cause
du
désir.
est le
terme
logiquement
équivalent
du
choix
inaugural
de
l'aliénation.
veut
dire
que
l'Autre
est
marqué.
Le
dans
l'analyse
c'est
l'analyste.
L'aliénation
c'est le
signifiant
de
l'Autre,
en tant qu'il
fait
de
l'Autre
un
champ
marqué
de la
même
finitude
que le
sujet
lui-même
.
La
répétition
est le
lieu
temporel
d'un
quadrangle
5
.
273
où viennent
agir
le
choix
aliénant,
le
du
ça,
l'inconscient
et la
castration.
est la
division
de
l'Autre.
La
formule
du
fantasme
est
.
La
formule
de la
pulsion
se note
.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
où
s'articule
la
chaîne
signifiante
et ce qu'elle
supporte
de
vérité.
Le
est
l'enfant
métaphorique
de
l'Un
et
l'Autre
qui est
né
comme
déchet
de la
répétition
inaugurale.
L'Un
c'est
l'entrée
en
jeu
de
l'opération
de la
mesure,
de la
valeur
à
donner
à
.
L'Un
du
trait
unaire
fait
l'unitif
entre
le
et le
grand
Autre.
L'Autre
n'est
Autre
que de
.
*
est cette
sorte
de
fragment
de
l'appartenance
du
grand
.
C'est du
lieu
de
que le
pervers
interroge
ce qu'il en est de la
fonction
de la
jouissance.
est le
formule
de la
disjonction
de la
jouissance
et du
corps.
L'objet
est le
reste
où se réfugie la
jouissance
qui ne
tombe
pas sous le coup du
principe
du
plaisir.
La
fonction
du
fantasme,
a deux
caractéristiques,
la
présence
d'un
objet
et
d'autre
part
ce qui
engendre
le
sujet
comme
,
à
savoir
une
phrase.
L'objet
commande
le
sujet.
Le
supposé
par le
sujet
s'écrit avec la
formule:
est le
signifiant
du
transfert;
représente
le
sujet;
les
éléments
entre
parenthèses
représentent
le
savoir,
supposé
présent,
des
signifiants
dans
l'inconscient.
[
Lac68e
, p. 19]
est
l'image
du
petit
autre
spéculaire.
[
Lac68b
, p. 47]
L'objet
est le
résidu
corporel
qui
incarne
le
Dasein
.
[
Lac68a
, p. 58]
*
La
division
du
sujet
se
symbolise
du
.
[
Lac70b
, p. 26]
L'objet
c'est la
formule
générale
de ce qui
manifeste
la
division
du
sujet.
c'est le
sujet
en tant que
divisé,
dans un
certain
rapport
à
l'objet
.
L'objet
a pour
propriété
d'être
ce qui
fait
le
désir.
Le
sujet
dépend
de la
cause
qui le
fait
divisé,
l'objet
.
Le
sujet
est
conséquence
de la
perte
de
l'objet
.
Le
terme
de
l'analyse
consiste
en sa
réduction
à
l'avènement
de
l'objet
comme
cause
de la
division
du
sujet
qui
vient
à sa
place.
Au
terme
de
l'analyse,
l'analyste
a à
supporter
de
n'être
plus
rien
que le
reste
de la
chose
qu'est
l'objet
.
Tous les
objets
sont des
êtres
sans
essence.
L'objet
est la
réalisation
de cette
sorte
de
désêtre
qui frappe le
sujet
supposé
savoir
au
terme
de
l'analyse.
Avec la
castration,
le
sujet
ne se
réalise
exactement
qu'en tant que
manque,
cette
expérience
subjective
est
symbolisée
par
.
Par le
désêtre
du
sujet
supposé
savoir,
le
sujet
devient
à
n'être
que le
support
de
l'objet
.
L'opération
psychanalytique
doit
réduire
le
sujet
supposé
savoir
à la
fonction
de
l'objet
.
Tout
acte
a pour
fin
l'objet
.
L'effet
du
discours
du
psychanalysant
produit
de
l'objet
.
Les
objets
qu'incarnent
les
psychanalystes,
sein,
déchet,
regard,
voix,
ne sont pas des
métaphores.
Le
psychanalyste
opère
en tant
qu'objet
tout
en
n'étant
pas
tout
objet
.
À se mettre à la
place
de
l'analyste,
celui-ci en
viendra
en
fin
à
être,
sous la
forme
du
,
cet
objet
rejeté.
*
C'est
l'objet
qui est au
principe
du
mirage
du
tout.
permet
de
destituer
de sa
fonction,
la
relation
au
tout.
Sur le
ne
peut
aucunement
porter
la
négation.
Dans la
géométrie
projective,
l'objet
est le
regard.
L'acte
psychanalytique
se
définit
par l'acception
d'être
rejeté
à la
façon
de
l'objet
.
L'objet
a la
fonction
clé dans la
détermination
du
désir.
*
C'est dans le
discours
sur la
fonction
de la
renonciation
à la
jouissance
que
s'introduit
le
terme
de
l'objet
.
*
Le
plus-de-jouir
est ce qui
permet
l'isolement
de la
fonction
de
l'objet
.
La
fonction
de
l'objet
est dans le
rapport
entre
plus-de-jouir
et
plus-value.
*
L'objet
est
effet
du
discours
analytique.
Il y a
identité
de la
fonction
de la
plus-value
et de
l'objet
.
L'Autre
au
lieu
du
code
est le
trésor
du
langage.
Grand
est le
moi,
l'image
de
.
La
formule
du
fantasme
se note
.
Le
signifiant
est le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant
qui
représente
le
sujet
.
Le
signifiant
est le
lieu,
le
trésor
des
signifiants.
indique
l'altérité
de
l'Autre.
Grand
est le
signifiant
de
l'ensemble
constitué
par le
rapport
de
à
,
rapport
de
paire
ordonnée.
Grand
est le
lieu
de
l'
Urverdrängung
.
Le
grand
a en lui cette
faille
du
savoir
qui ne
peut
contenir
que son
propre
signifiant.
L'objet
est le
trou
qui se
désigne
au
niveau
de
l'Autre.
*
Le
grand
ne
contient
que des
,
,
, qui
tous
sont
distincts
de ce que
grand
représente
comme
signifiant.
L'objet
est la
cause
du
désir
du
psychanalysant.
[
Lac84b
, p. 18]
Le
psychanalyste
se
fait
de
l'objet
.
[
Lac84b
, p. 21]
Le
sein
est le
premier
des
objets
.
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
L'objet
est au
cœur
de la
pulsion.
L'inconscient
porte
la
marque
du
au
niveau
où
manque
le
savoir.
*
L'objet
a ce quelque
chose
qui
peut
fonctionner
comme
équivalent
de la
jouissance.
L'objet
est une
structure
topologique.
Le
signifiant
est
représentant
du
sujet
pour un
signifiant
qui est
autre.
est le
lieu
des
signifiants
autres.
L'objet
est
extime.
L'objet
est
purement
dans le
rapport
instauré de
l'institution
du
sujet
comme
effet
de
signifiant.
Les
objets
peuvent
conduire à
quatre
structures,
la
sphère,
le
tore,
le
plan
projectif,
et la bouteille de
K
LEIN
.
est ce qui
marque
comme
fondamentale
la
distance
entre
demande
et
besoin.
Grand
est le
trésor
des
signifiants.
poinçon
est la
formule
du
fantasme
qui est à mettre en
avant
au
niveau
de la
sublimation.
c'est la
structure.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
L'objet
est
essentiellement
fondé
des
effets
de ce qui se
passe
au
champ
de
l'Autre,
du
symbolique,
du
rangement,
de
l'ordre,
du
rêve
de
l'unité,
de
l'imaginaire.
n'est pas
complet,
n'est pas
identifiable
à
Un.
c'est le
sujet
lui-même en tant qu'il ne
peut
être
représenté
que par un
représentant.
*
L'écriture
s'affirme
rapport
de
l'écriture
au
regard
comme
objet
.
L'objet
,
en tant que
cause
du
désir,
se
produit
dans le
savoir.
L'objet
désigne
ce que
produit
le
savoir.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant
,
Dans la
formule
,
désigne
le
signifiant
et
désigne
l'Autre
au titre de
l'ensemble
vide.
*
L'intervention
du
premier
Un
du
comme
représentation
du
sujet,
n'implique
l'apparition
du
sujet
comme tel qu'au
niveau
de
du
second
Un.
L'Un-en-plus,
l'ensemble
vide,
c'est
c'est-à-dire le
signifiant
de
l'Autre
inaugural.
C'est parce que le
trait
unaire
vise
à la
répétition
d'une
jouissance
qu'un
autre
trait
unaire
surgit
après-coup.
Le
névrosé,
noté
veut
dire
que le
sujet
est
toujours
Autre,
mais qu'en
plus
cet
Autre
n'est pas le
bon.
Le
pervers
est le
signifiant
du
intact,
.
désigne
le
sujet
comme
divisé.
Le
champ
propre
de
l'esclave
s'est le
savoir,
Dans la
psychanalyse,
c'est de
savoir
et
non
de
connaissance
ni de
représentation
qu'il s'agit, de la
relation
d'un
signifiant
à un
signifiant
.
Le
savoir
du
discours
du
maître
est un tout-savoir,
situé
en
dans
Il y a un
savoir
qui ne se
sait
pas, à
situer
au
niveau
de
.
dans le
discours
du
maître
est à la
place
de
l'esclave.
L'objet
désigne
ce que sont des
effets
de
discours.
Dans le
discours
du
maître,
occupe
la
place
de la
dominante,
de la
loi.
Dans le
discours
de
l'analyste,
la
place
dominante
est
occupée
par
l'objet
.
Dans le
discours
du
maître
le
a
fonction
de
plus-value.
Là où il y a
perte
de
jouissance,
quelque
chose
qu'introduit
la
répétition
surgit,
la
fonction
de
l'objet
perdu,
le
.
Dans le
discours
du
maître,
l'objet
est le
plus-de-jouir.
La
faille
qui
s'appelle
le
sujet,
c'est
l'ouverture
à
situer
entre
et
.
Dans le
discours
de
l'analyste,
un
certain
savoir
est au site de la
vérité,
Le
tient
la
place
dominante
du
discours
universitaire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
c'est
l'objet
qui
vient
à la
place
du
commandement.
Dans la
partie
du
discours
du
maître,
le
fantasme
fait
barrière
à la
jouissance
du
maître.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
est à la
place
dite de la
vérité.
Dans le
discours
de
l'analyste,
pour le
psychanalyste,
le
contenu
latent
est en
Ce n'est qu'à ce que
se
substitue
à la
femme
que
l'homme
la
désire.
Le
signifiant
maître,
,
idéalement
peut
s'identifier
à la
mort.
L'objet
au
niveau
du
discours
universitaire
vient
à la
place
de
l'exploitation.
fait
le secret du
savoir
dans la
situation
universitaire.
L'objet
est l'enjeu de
l'acte
psychanalytique.
[
Lac70d
, p. 62]
constitue
un
certain
corps
de
savoir.
cf:
18.2.1
L'objet
est
directement
conséquence
du
discours
du
maître.
cf:
18.2.1
dans le
discours
du
maître
occupe
la
place
de la
vérité.
cf:
18.2.1
L'objet
est le
plus-de-jouir.
cf:
18.2.1
Le
du
sujet
est le
point
qui, dans le
discours
du
maître,
est
rompu.
L'objet
vient
remplir
la
place
définie
comme celle du
plus-de-jouir.
L'
achose
est
absente
là où elle
tient
sa
place,
occupée
par
l'objet
.
Le
désir
de
l'homme
s'écrit
.
c'est le
signifiant
phallus.
Le
désir
de la
femme
s'écrit
.
Dans le
schéma
18.2.1
, le
discours
du
maître
comprend
:
,
,
,
,
et la
formule:
Dans le
schéma
18.8.1
s'indique
:
un-en-peluce
,
,
hommoinzun
,
Homme,
Femme.
Ce n'est pas de
tout
que
peut
être
posé
la
fonction
.
Il
n'existe
pas de
tel qu'il
satisfasse
la
fonction
.
Ce que
produit
la
relation
du
signifiant
à la
jouissance
c'est
,
où
ne
désigne
qu'un
signifiant.
*
ça
veut
dire
la
fonction
qui
s'appelle
la
castration.
L'objet
c'est un
objet,
seulement
en ce
sens
qu'il se
substitue
définitivement à
toute
notion
de
l'objet
comme
supporté
par un
sujet.
*
L'objet
n'est un
objet
qu'en ce
sens
qu'il est là pour
affirmer
que
rien
de
l'ordre
du
savoir
n'est
sans
le
produire.
est le
signifiant
de la
non-existence
du
grand
Autre.
La
fonction
prend
une
valeur
vraie
pour
tout
du
domaine.
C'est d'un
nœud
de
sens
que
surgit
l'objet
.
est la
formule
qu'on
jouit
mentalement
de
l'Autre.
Dans le
discours
du
maître,
le
signifiant
maître
n'existe
que grâce au
savoir
de
l'esclave
.
Le
signifiant
se
trouve
au
niveau
de la
production
dans le
discours
analytique.
Il
existe
au
moins
Un
pour qui
n'est pas
recevable
comme
assertion.
Le
sujet
s'écrit
car il n'est
jamais
que
supposé.
L'analyste
occupe
la
position
du
semblant
en tant que
.
Le
discours
analytique
se
caractérise
de
situer
l'objet
à la
place
du
semblant.
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
noté
objet
.
Le
fantasme
est ce
rapport
entre
l'objet
et la
fente
qui se
condense,
le
sujet.
L'analyste
se
fait
le
representamen
de
l'objet
à la
place
du
semblant.
*
Le
est la
cause
de la
Spaltung
du
sujet.
L'analysant
analyse
avec la
figure
de son
analyste,
l'objet
.
L'objet
est un
reste.
L'objet
est un
reste.
est le
signifiant
maître.
cf:
18.2.1
est le
savoir.
cf:
18.2.1
est le
sujet.
cf:
18.2.1
est le
plus-de-jouir.
cf:
18.2.1
La
cause
du
désir,
c'est
l'objet
.
[
Lac73a
, p. 30]
C'est la
topologie
sphérique
de
l'objet
qui se
projette
sur
l'autre
du composé
hétérogène
que
constitue
le
cross-cap
.
[
Lac73a
, p. 30]
L'objet
est
d'aversion
au
regard
du
semblant.
[
Lac73a
, p. 31]
L'analysant
ne
termine
qu'à
faire
de
l'objet
le
représentant
de la
représentation
de son
analyste.
[
Lac73a
, p. 44]
L'objet
est
étranger
à la
question
du
sens.
Dans la
psychanalyse,
la
position
de
l'objet
est
portée
par son
analysant.
Bander
pour une
femme,
ça
veut
dire
lui
donner
la
fonction
, ça
veut
dire
la
prendre
comme
phallus.
Le
discours
de
l'analyste
c'est le
discours
sur
l'analyste
en tant
qu'objet
.
L'objet
c'est ce par quoi
l'être
parlant,
quand il est
pris
dans des
discours,
se
détermine.
L'objet
est
déterminé
comme
sujet,
car
divisé
comme
sujet,
il est la proie du
désir.
est le
signifiant
maître.
est le
savoir.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
C'est de la
fonction
unique
toujours
de
que
s'engendre
la
difficulté
et la complication.
affirme
qu'il est
vrai
que ce qui se
rapporte
au
registre
de
l'acte
sexuel
relève de la
fonction
phallique.
c'est le
plus-de-jouir.
est le
sujet
pour autant qu'il n'est
rien
d'autre
que
l'effet
du
signifiant.
La
femme
n'est pas
l'Autre
dans la
fonction
que le
est le
lieu
de la
vérité.
est le
lieu
de
l'Autre.
est le
signifiant
en tant que
barré.
L'objet
vient
fonctionner
au
regard
de la
perte
dans
l'Autre.
Pour
l'homme,
tout
est
fonction
de
.
L'objet
,
c'est la
cause
du
désir.
La
femme
ne
peut
s'écrire
que
femme.
c'est un
signifiant.
symbolise
le
signifiant.
*
est le
signifiant
dont le
propre
est qu'il est le
seul
qui ne
peut
rien
signifier.
femme
n'est pas
toute,
ce qui ne
permet
pas de
parler
de la
femme.
La
jouissance
de
femme
est en
plus.
Le
schéma
20.8.1
contient
,
,
du coté
mâle,
,
,
du coté
femelle.
symbolise
le
savoir.
,
c'est le
signifiant
pur.
Pour
tout
tel que
de
est la
fonction
phallique
de
l'homme
qui se note
Il
existe
tel que
non
de
est la
fonction
du
père
qui se note
supporte
le
comme
signifiant.
est ce
signifiant
dont il n'y a pas de
signifié.
cf:
20.8.1
est le
signifiant
qui
symbolise
l'échec
du
sens.
,
le
sujet
barré
n'a
jamais
affaire, en tant que
partenaire
sexuel,
qui est
l'Autre,
qu'à
l'objet
.
cf:
20.8.1
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
ne
peut
se
dire.
Rien
ne
peut
se
dire
de
femme.
cf:
20.8.1
femme
a
rapport
à
.
cf:
20.8.1
femme
se
dédouble.
cf:
20.8.1
femme
n'est pas
toute
le
phallus.
cf:
20.8.1
,
le
phallus
est le
signifiant
qui n'a pas de
signifié.
cf:
20.8.1
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
Le
est de
l'imaginaire.
Le
est du
symbolique.
Le
Lustprinzip
ne se
fonde
que de coalescence du
avec le
.
ne
désigne
rien
d'autre
que la
jouissance
de
femme.
femme
a affaire à
l'Autre.
cf:
20.8.1
Dans le
discours
analytique,
le
se
soutient
de ce
,
savoir
en
place
de la
vérité.
cf:
C'est du
savoir
en
place
de
vérité
que l'interpelle le
qui
doit
aboutir
à la
production
du
,
du
signifiant.
cf:
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
est
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai.
cf:
20.9.1
*Le
est un
semblant
d'être.
*
L'objet
n'est
aucun
être.
*
L'objet
est ce que
suppose
de
vide
une
demande.
La
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet
est
totale.
L'objet
est
a-sexué
.
L'objet
est la
cause
par quoi le
sujet
s'identifie
à son
désir.
*
Le
savoir
de
l'Un
vient
du
signifiant
Un,
.
Le
est le
signifiant
maître,
et
le
savoir
dans la
formule
:
Le
qui est le
signifiant
comme
maître
est ce qui assure
l'unité
de l'essaim.
Le
est ce qui assure
l'unité
de la
copulation
du
sujet
avec le
savoir.
Dans la
jouissance
perverse,
l'Autre
se
réduit
à
l'objet
.
Le
discours
du
maître
repose
sur le
,
le
commandement,
l'impératif.
*
Le
c'est un
savoir.
Le
c'est le
savoir
en tant
qu'inconscient.
Le
c'est un
réel.
*
Le
sujet
c'est ce dont
est la
cause.
Ça
se
noue
en
l'objet
.
*
L'objet
n'a pas
d'être.
L'objet
est
lié
à la
dimension
du
temps.
L'objet
est
complètement
distinct
du
dire.
se
définit
de ne pas
avoir
le moindre
rapport.
L'objet
conjoint
trois
surfaces
qui se
coincent.
*
Le
facteur
commun
du
,
c'est
d'être
lié
aux
orifices
du
corps.
L'objet
raye
l'Autre.
L'Autre
est la
matrice
à
double
entrée
dont le
constitue
l'une de ses
entrées.
Entre
l'Un
et le
il n'y a
strictement
aucun
rapport
rationnellement
déterminable.
*
Le
est ce qui
cause
le
désir.
Le
n'est pas
l'objet
du
désir.
le
n'est pas le
complément
direct
ni
indirect
de
l'objet
du
désir.
*
femme
ça
n'existe
pas.
c'est le
phallus.
Ni
l'homme,
ni une
femme
n'est un
objet
.
femme
n'existe
pas.
*
Il
n'existe
pas
femme.
est ce qui se
représente
de la
duplicité
du
symbole
et du
symptôme.
C'est en tant que le
discours
du
maître
règne, que le
se
divise
du
symbole
et du
symptôme.
et
n'ont pas la
même
fonction.
s'appelle
sujet.
,
,
,
sont des
fonctions.
est ce par quoi se
représente
le
sujet:
une
parole,
le
parlêtre.
*
L'analyste
est
incarné
par un
semblant
de
.
La
vérité
est
caractérisée
par le
fait
de ce
que
l'analyste
ne
dit
que des
paroles.
C'est en tant que
l'analyste
est un
semblant
de
déchet
,
qu'il
intervient
au
niveau
du
sujet
;
c'est à
dire
qu'il est
conditionné
par ce qu'il
énonce
et par ce qu'il ne
dit
pas.
le
est la
cause
du
désir.
Le
est le
maître.
Le
c'est le
savoir.
L'inconscient
est
entièrement
réductible
à un
savoir,
noté
.
représente
un
sujet,
vraiment.
Le
signifiant
est le
signifiant
que
L'Autre
n'existe
pas.
La
place
du
semblant,
de
l'objet
n'est pas celle de la
vérité.
Le
fait
qu'il y
ait
un
symbolique
implique
qu'un
signifiant
nouveau
émerge,
.
[
Lac78
]
Le
sujet
se
supporte
en tant que
divisé
entre
et
.
[
Lac78
]
L'objet
est le
pivot
dont se déroule chaque
tour
de
phrase,
en sa
métonymie.
[
Lac77b
, p. 16]
Le
supposé
savoir
c'est le
supposé
savoir
lire
autrement,
.
[
Lac78
]
Suivant:
leurre
Remonter:
5.12 L
Précédent:
lettre
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08