symptôme

$0006009_{1948}$
Le moi représente le centre de toutes les résistances à  la cure des symptômes. [Lac66a, p. 118]
$0012007_{1953}$
La métaphore n'est que le synonyme du déplacement symbolique, mis en jeu dans le symptôme. [Lac66a, p. 260]
$0012011_{1953}$
* Le symptôme se résout tout entier dans une analyse de langage, parce qu'il est lui-même structuré comme un langage. [Lac66a, p. 269]
$0012012_{1953}$
Le symptôme est langage dont la parole doit être délivrée. [Lac66a, p. 269]
$0012020_{1953}$
Dans les névroses, le symptôme est le signifiant d'un signifié refoulé de la conscience du sujet. [Lac66a, p. 280]
$0012023_{1953}$
Il s'agit d'un langage de désir dans les symboles du symptôme. [Lac66a, p. 293]
$0012024_{1953}$
Le langage du symptôme a le caractère universel d'une langue qui serait entendue dans toutes les autres langues. [Lac66a, p. 293]
$0012025_{1953}$
Le langage du symptôme est le langage qui saisit le désir au point où il s'humanise. [Lac66a, pp. 293–294]
$4100009_{1953}$
Le symptôme exprime quelque chose de structuré, d'organisé comme un langage.
$4100010_{1953}$
Dans les symptômes, il s'agit toujours de symboles organisés dans le langage.
$4100013_{1953}$
Le symptôme a une valeur symbolique.
$0104008_{1954}$
* Le moi est structuré exactement comme un symptôme.
$0104009_{1954}$
Le moi est le symptôme humain par excellence.
$0104011_{1954}$
Rien ne différencie le moi d'un symptôme.
$0209001_{1955}$
Dans le symptôme il y a régression sur le plan de la signification.
$0210004_{1955}$
L'analogie entre le symptôme névrotique et le sens du rêve est fondamentale.
$0210005_{1955}$
Le symptôme et le rêve ne sont communs que parce qu'ils ont une grammaire commune.
$0211001_{1955}$
Le phénomène du rêve, autant que le symptôme, a quelque rapport avec la structure du langage et à ce rapport de l'homme au langage.
$0211015_{1955}$
Le surmoi construit dans le sujet des symptômes efficaces, vécus, poursuivis, construits, élaborés.
$0211016_{1955}$
Les symptômes se chargent de représenter le point où la loi est incomprise.
$0225006_{1955}$
Le symptôme est en lui-même signification, c'est à  dire vérité.
$0225007_{1955}$
Le symptôme est vérité mise en forme en tant que vérité.
$0225008_{1955}$
Le symptôme est structuré en termes de signifié et de signifiant.
$0225009_{1955}$
* Le symptôme est l'envers du discours.
$0305002_{1955}$
Le névrosé dans le refoulement, fabrique une autre langue avec ses symptômes.
$0305003_{1955}$
* Le symptôme névrotique, dans sa construction, joue le rôle de la langue qui permet d'exprimer le refoulement.
$0013002_{1955}$
* Le moi se forme des mêmes moments qu'un symptôme. [Lac66a, p. 336]
$0013004_{1955}$
* La personnalité du sujet est structurée comme le symptôme qu'elle ressent comme étranger. [Lac66a, p. 341]
$0013020_{1955}$
* Le symptôme est le retour du refoulé dans le compromis. [Lac66a, p. 358]
$0017021_{1955}$
Le symptôme a structure signifiante. [Lac66a, p. 415]
$0017030_{1955}$
C'est dans la désagrégation de l'unité imaginaire que constitue le moi, que le sujet trouve le matériel signifiant de ses symptômes. [Lac66a, p. 427]
$0307029_{1956}$
Dans la névrose, une pulsion trouve à s'exprimer dans un certain nombre de symptômes.
$0310007_{1956}$
Pour qu'il y ait symptôme, il faut qu'il y ait au moins duplicité, soit deux conflits en cause, un actuel et un ancien.
$0310009_{1956}$
Le matériel lié au conflit ancien est conservé dans l'inconscient au titre de signifiant en puissance, virtuel, pour  être pris dans le signifié du conflit actuel et lui servir de langage, c'est à  dire de symptôme.
$0313024_{1956}$
Le symptôme constitue le champ analytique et le phénomène analytique.
$0313033_{1956}$
Tout phénomène qui participe du champ analytique, du symptôme, est structuré comme un langage.
$0314029_{1956}$
Dans les symptômes hystériques, c'est toujours d'une anatomie imaginaire qu'il s'agit.
$0315032_{1956}$
Les symptômes, c'est toujours une implication de l'organisme humain dans quelque chose qui est structuré comme un langage.
$0324007_{1956}$
La symptomatologie de la névrose est constituée par une sorte d'implication signifiante.
$0406028_{1957}$
Le symptôme est l'équivalent de l'énigme.
$0408034_{1957}$
Le symptôme n'est qu'une métaphore.
$0412017_{1957}$
Le surmoi et les symptômes sont des signifiants qui marquent, chez l'homme, sa relation au signifiant.5.517
$0417002_{1957}$
* Le signifiant symptomatique est essentiellement constitué de telle sorte qu'il est de nature à recouvrir au cours du développement et de l'évolution, les signifiés les plus multiples.
$0018002_{1957}$
Le symptôme est symbolique. [Lac66a, p. 437]
$0018005_{1957}$
Le symptôme psychanalysable est soutenu par une structure qui est identique à  celle du langage. [Lac66a, p. 444]
$0018008_{1957}$
* Si le symptôme peut être lu, c'est parce qu'il est déjà  lui-même inscrit dans un procès d'écriture. [Lac66a, pp. 444–445]
$0018009_{1957}$
Le symptôme n'est pas une signification. [Lac66a, p. 445]
$0020054_{1957}$
Le mécanisme à  double détente de la métaphore est celui-là  même où se détermine le symptôme au sens analytique. [Lac66a, p. 518]
$0020055_{1957}$
Le symptôme est la métaphore où la chair, ou bien  la fonction, sont prises comme élément signifiant. [Lac66a, p. 518]
$0020060_{1957}$
* Le symptôme est une métaphore. [Lac66a, p. 528]
$0517008_{1958}$
* La phobie, c'est un symptômevient au premier plan et d'une façon isolée et promue comme telle, le signifiant.
$0518003_{1958}$
Dans le symptôme il y a une sorte de satisfaction à l'envers.
$0518007_{1958}$
Le désir se présente dans l'expérience analytique dans le symptôme.
$0518008_{1958}$
Le symptôme c'est ce qui est analysable.
$0518009_{1958}$
Le symptôme se présente sous un masque, sous une forme paradoxale.
$0518012_{1958}$
Le symptôme, en tant qu'inconscient, est quelque chose qui parle.
$0518013_{1958}$
Le symptôme est quelque chose qui va dans le sens de la reconnaissance du désir.
$0519002_{1958}$
Dans le symptôme, le désir est identique à la manifestation somatique.
$0519004_{1958}$
La perversion se présente comme un symptôme.
$0519005_{1958}$
Il y a autant de Verdrängung dans une perversion que dans un symptôme.
$0523040_{1958}$
L'acting-out c'est un symptôme, c'est un compromis, c'est un acte de répétition.
$0526017_{1958}$
Dans le graphe 5.25.3 le symptôme se situe en $s (\ensuremath{A}\xspace )$, au niveau de la signification.
$0526018_{1958}$
* Un  symptôme c'est une signification.
$0526019_{1958}$
* Un  symptôme c'est un signifié.
$0526021_{1958}$
* Le symptôme n'est jamais simple.
$0526022_{1958}$
* Le symptôme est toujours surdéterminé.
$0526023_{1958}$
* Il n'y a pas de symptôme qui ne soit apporté d'une expérience antérieure.
$0601001_{1958}$
L'angoisse est le point clé de la détermination des symptômes.
$0601003_{1958}$
Le jeu des symptômes est érotisé, il est pris dans le mécanisme du désir.
$0022072_{1958}$
* Les symptômes sont surdéterminés. [Lac66a, p. 636]
$0615009_{1959}$
Les symptômes psychasthéniques occupent le désir de l'obsessionnel.
$0622027_{1959}$
La discordance dans le symbolique joue un rôle fonctionnel identifiable au symptôme réel.
$0708002_{1960}$
Le symptôme, c'est le retour par voie de substitution signifiante de ce qui est au bout de la pulsion comme étant son  but.
$1009018_{1963}$
* L'acting-out c'est un symptôme.
$1009019_{1963}$
Pour que le symptôme puisse être interprété, il faut qu'il y ait transfert c'est-à-dire, introduction de l'Autre.
$1009021_{1963}$
Le symptôme, dans son  essence n'est pas appel à l'Autre.
$1009022_{1963}$
* Le symptôme, dans sa nature, est jouissance.
$1022005_{1963}$
Dès les données premières du symptôme de l'obsessionnel, la fonction du $a$ se dévoile comme fonctionnant dans la dimension de la cause.
$1022007_{1963}$
Pour l'obsessionnel, le symptôme n'est constitué que quand le sujet s'en aperçoit.
$1022013_{1963}$
Le symptôme est tout entier implicable dans le processus de la constitution du sujet en tant qu'il a à se faire au lieu de l'Autre.
$1111033_{1964}$
Le symptôme est fait pour apporter certaines satisfactions.
$1112020_{1964}$
Un  symptôme n'est pas un signifiant.
$1112021_{1964}$
Un  symptôme est un signe pour représenter quelque chose pour quelqu'un.
$1113008_{1964}$
Les symptômes relèvent de la satisfaction.
$1114008_{1964}$
Le symptôme est constitué d'un échafaudage de signifiants.
$1114009_{1964}$
Refoulé et symptôme sont homogènes.
$1114011_{1964}$
Le symptôme est réductible à des fonctions de signifiant.
$1114012_{1964}$
La structure du symptôme, comme celle du refoulé, est inscriptible en termes synchroniques.
$1114013_{1964}$
L'expérience analytique a deux extrémités; d'un coté il y a l'interprétation, et de l'autre  il y a le symptôme et le refoulé.
$0031017_{1964}$
Le trauma s'implique dans le symptôme selon le nachträglich, l'après-coup. [Lac66a, p. 839]
$0031034_{1964}$
Ce qui opère dans l'interprétation, c'est l'articulation des signifiants dans le symptôme. [Lac66a, p. 842]
$0031035_{1964}$
Des signifiants se sont trouvés pris dans le symptôme. [Lac66a, p. 842]
$1204006_{1965}$
Le symptôme analytique ne saurait être résolu par un dialogue raisonnable et logique.
$1217010_{1965}$
Il y a toujours dans le symptôme l'indication qu'il est question de savoir.
$1217011_{1965}$
Le symptôme se signale comme un savoir déjà là.
$1221004_{1965}$
* C'est du côté du savoir que le sujet se trouve recevoir cette marque de division qui s'inscrit dans le symptôme.
$1223019_{1965}$
Le savoir du rapport du sujet à son  symptôme, c'est le premier pas de la psychanalyse.
$1306002_{1966}$
La praxis analytique est le complément du symptôme.
$1315015_{1966}$
Le symptôme est être de vérité.
$1315016_{1966}$
Le symptôme est un être de vérité.
$1316010_{1966}$
* En lui-même le symptôme est jouissance.
$1316011_{1966}$
Il y a équivalence de la fonction de l'orgasme avec celle du symptôme.
$1405013_{1966}$
Le $S$ de la métaphore se trouve représenter le sujet de l'inconscient dont il s'agit de déterminer l'effet comme effet de signification, le symptôme.
$0011001_{1966}$
* Le symptôme ne s'interprète que dans l'ordre du signifiant. [Lac66a, p. 234]
$0011003_{1966}$
Le symptôme est vérité. [Lac66a, p. 235]
$1412013_{1967}$
L'acting-out s'apparente au symptôme en tant que manifestation de la vérité.
$1417008_{1967}$
La vérité dit dans le symptôme.
$1419009_{1967}$
Pour les analystes la vérité n'a d'autre forme que le symptôme.
$1419010_{1967}$
Le symptôme c'est la signifiance des discordances entre le réel et ce par quoi il se donne.
$1419029_{1967}$
L'Autre c'est aussi le symptôme sans son  sens privé de sa vérité, mais chargé toujours plus de ce qu'il contient de savoir.
$1502003_{1967}$
L'acte symptomatique réalisera sa plénitude d'acte après-coup.
$1504002_{1967}$
L'acte manqué est un acte symptomatique qui révèle la vérité.
$1518012_{1968}$
* Le symptôme, c'est ce nœud réel où est la vérité du sujet.
$1604008_{1968}$
* La souffrance peut être symptôme, ce qui veut dire vérité.
$1618006_{1969}$
* C'est au niveau de l'énoncé que le texte du symptôme névrotique s'articule.
$1618007_{1969}$
Le symptôme névrotique s'articule entre le champ du moi tel qu'il s'ordonne spéculairement et celui du désir en tant qu'il s'articule par rapport au champ dominé par l'objet $a$.
$1703006_{1970}$
Dans le discours de l'hystérique, la dominante apparaît sous la forme du symptôme.
$1703007_{1970}$
C'est autour du symptôme que s'ordonne le discours de l'hystérique.
$1703008_{1970}$
La loi est mise en question comme symptôme.
$2702004_{1971}$
Dans le symptôme, le savoir est à l'analyste présupposé.
$2702008_{1971}$
* Le symptôme est valeur de vérité.
$2702009_{1971}$
* La valeur de vérité n'est pas symptôme.
$2702010_{1971}$
* Le symptôme est valeur de vérité.
$2702011_{1971}$
Il y a deux sens du symptôme.
$2702012_{1971}$
Dans la psychanalyse, le symptôme a affaire à quelque chose qui est la traduction en paroles de sa valeur de vérité.
$4400019_{1971}$
Les symptômes, c'est structuré comme un langage.
$0059017_{1973}$
C'est le réel qui permet de dénouer ce dont le symptôme consiste. [Lac74b, p. 22]
$0059018_{1973}$
Le symptôme consiste en un nœud de signifiants. [Lac74b, p. 22]
$2201001_{1974}$
Le symptôme, c'est du réel.
$2202024_{1974}$
* Le symptôme est de l'effet du symbolique dans le réel.
$2202025_{1974}$
* L'inconscient est pour tout dire ce qui répond du symptôme.
$2202027_{1974}$
* L'inconscient peut être responsable de la réduction du symptôme.
$2301016_{1975}$
Le père est un symptôme ou un saint-homme.
$2301017_{1975}$
L'ex-sistence du symptôme, c'est ce qui est impliqué par la position qui suppose le lien de l'imaginaire, du symbolique et du réel.
$2301018_{1975}$
Le complexe d'Œdipe est un symptôme.
$2301022_{1975}$
$\ensuremath{S}\xspace _{2}$ est ce qui se représente de la duplicité du symbole et du symptôme.
$2301023_{1975}$
C'est en tant que le discours du maître règne, que le $\ensuremath{S}\xspace _{2}$ se divise du symbole et du symptôme.
$2301024_{1975}$
La division du symbole et du symptôme est reflétée dans le sujet.
$2301026_{1975}$
Dans l'articulation du symptôme au symbole il n'y a qu'un faux trou.
$2302017_{1975}$
* C'est en tant qu'il est accroché au langage que le symptôme subsiste.
$0064007_{1975}$
Le symptôme est un événement de corps. [Lac75e, p. 16]
$0064008_{1975}$
Le symptôme hystérique, c'est le symptôme pour LOM d'intéresser au symptôme de l'autre comme tel. [Lac75e, p. 16]
$3603008_{1975}$
Le symptôme dit quelque chose.
$3603009_{1975}$
* Le symptôme, ça  résiste.
$3604006_{1975}$
$\Sigma$ est la notation du symptôme.
$3604009_{1975}$
Une femme est un symptôme pour l'homme.
$2304027_{1976}$
Un  sens est l'objet de la réponse de l'analyste à l'exposé par l'analysant tout au long de son  symptôme.
$2401011_{1976}$
Le symptôme est ce qu'on connaît le mieux.
$2401013_{1976}$
Connaître veut dire savoir faire avec le symptôme.
$2401014_{1976}$
Savoir y faire avec son  symptôme , c'est là la fin de l'analyse.
$2410014_{1977}$
* C'est pour autant qu'une interprétation juste éteint le symptôme que la vérité se spécifie d'être poétique.
$0054021_{1977}$
* Traiter le symptôme comme un palimpseste, c'est dans la psychanalyse une condition d'efficacité. [Lac77a, p. 15]

Jacques B. Siboni 2024-11-08