Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
Parent:
5.19 S
Précédent:
symétrie, dissymétrie
Suivant:
synchronie
Index:
Index
symptôme
Le
moi
représente
le
centre
de
toutes
les
résistances
à la
cure
des
symptômes.
[
Lac66a
, p. 118]
La
métaphore
n'est que le
synonyme
du
déplacement
symbolique,
mis en
jeu
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 260]
*
Le
symptôme
se
résout
tout
entier
dans une
analyse
de
langage,
parce qu'il est lui-même
structuré
comme un
langage.
[
Lac66a
, p. 269]
Le
symptôme
est
langage
dont la
parole
doit
être
délivrée. [
Lac66a
, p. 269]
Dans les
névroses,
le
symptôme
est le
signifiant
d'un
signifié
refoulé
de la
conscience
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 280]
Il s'agit d'un
langage
de
désir
dans les
symboles
du
symptôme.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
langage
du
symptôme
a le
caractère
universel
d'une
langue
qui serait
entendue
dans
toutes
les
autres
langues.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
langage
du
symptôme
est le
langage
qui
saisit
le
désir
au
point
où il
s'humanise.
[
Lac66a
, pp. 293–294]
Le
symptôme
exprime
quelque
chose
de
structuré,
d'organisé
comme un
langage.
Dans les
symptômes,
il s'agit
toujours
de
symboles
organisés
dans le
langage.
Le
symptôme
a une
valeur
symbolique.
*
Le
moi
est
structuré
exactement
comme un
symptôme.
Le
moi
est le
symptôme
humain
par excellence.
Rien
ne
différencie
le
moi
d'un
symptôme.
Dans le
symptôme
il y a
régression
sur le
plan
de la
signification.
L'analogie
entre
le
symptôme
névrotique
et le
sens
du
rêve
est
fondamentale.
Le
symptôme
et le
rêve
ne sont
communs
que parce qu'ils ont une
grammaire
commune.
Le
phénomène
du
rêve,
autant que le
symptôme,
a quelque
rapport
avec la
structure
du
langage
et à ce
rapport
de
l'homme
au
langage.
Le
surmoi
construit
dans le
sujet
des
symptômes
efficaces,
vécus,
poursuivis,
construits,
élaborés.
Les
symptômes
se chargent de
représenter
le
point
où la
loi
est
incomprise.
Le
symptôme
est en lui-même
signification,
c'est à dire
vérité.
Le
symptôme
est
vérité
mise en
forme
en tant que
vérité.
Le
symptôme
est
structuré
en
termes
de
signifié
et de
signifiant.
*
Le
symptôme
est
l'envers
du
discours.
Le
névrosé
dans le
refoulement,
fabrique
une
autre
langue
avec ses
symptômes.
*
Le
symptôme
névrotique,
dans sa
construction,
joue
le
rôle
de la
langue
qui
permet
d'exprimer
le
refoulement.
*
Le
moi
se
forme
des
mêmes
moments
qu'un
symptôme.
[
Lac66a
, p. 336]
*
La
personnalité
du
sujet
est
structurée
comme le
symptôme
qu'elle
ressent
comme
étranger.
[
Lac66a
, p. 341]
*
Le
symptôme
est le
retour
du
refoulé
dans le
compromis.
[
Lac66a
, p. 358]
Le
symptôme
a
structure
signifiante.
[
Lac66a
, p. 415]
C'est dans la désagrégation de
l'unité
imaginaire
que
constitue
le
moi,
que le
sujet
trouve
le
matériel
signifiant
de ses
symptômes.
[
Lac66a
, p. 427]
Dans la
névrose,
une
pulsion
trouve
à
s'exprimer
dans un
certain
nombre
de
symptômes.
Pour qu'il y
ait
symptôme,
il faut qu'il y
ait
au
moins
duplicité,
soit
deux
conflits
en
cause,
un
actuel
et un
ancien.
Le
matériel
lié
au
conflit
ancien
est
conservé
dans
l'inconscient
au titre de
signifiant
en
puissance,
virtuel,
pour être
pris
dans le
signifié
du
conflit
actuel
et lui
servir
de
langage,
c'est à dire de
symptôme.
Le
symptôme
constitue
le
champ
analytique
et le
phénomène
analytique.
Tout
phénomène
qui
participe
du
champ
analytique,
du
symptôme,
est
structuré
comme un
langage.
Dans les
symptômes
hystériques,
c'est
toujours
d'une
anatomie
imaginaire
qu'il s'agit.
Les
symptômes,
c'est
toujours
une
implication
de
l'organisme
humain
dans quelque
chose
qui est
structuré
comme un
langage.
La
symptomatologie
de la
névrose
est
constituée
par une
sorte
d'implication
signifiante.
Le
symptôme
est
l'équivalent
de
l'énigme.
Le
symptôme
n'est qu'une
métaphore.
Le
surmoi
et les
symptômes
sont des
signifiants
qui
marquent,
chez
l'homme,
sa
relation
au
signifiant.
5
.
517
*
Le
signifiant
symptomatique
est
essentiellement
constitué
de telle
sorte
qu'il est de
nature
à
recouvrir
au
cours
du
développement
et de
l'évolution,
les
signifiés
les
plus
multiples.
Le
symptôme
est
symbolique.
[
Lac66a
, p. 437]
Le
symptôme
psychanalysable
est
soutenu
par une
structure
qui est
identique
à celle du
langage.
[
Lac66a
, p. 444]
*
Si le
symptôme
peut
être
lu,
c'est parce qu'il est déjà lui-même
inscrit
dans un
procès
d'écriture.
[
Lac66a
, pp. 444–445]
Le
symptôme
n'est pas une
signification.
[
Lac66a
, p. 445]
Le
mécanisme
à
double
détente
de la
métaphore
est celui-là
même
où se
détermine
le
symptôme
au
sens
analytique.
[
Lac66a
, p. 518]
Le
symptôme
est la
métaphore
où la chair, ou bien la
fonction,
sont prises comme
élément
signifiant.
[
Lac66a
, p. 518]
*
Le
symptôme
est une
métaphore.
[
Lac66a
, p. 528]
*
La
phobie,
c'est un
symptôme
où
vient
au
premier
plan
et d'une
façon
isolée et promue comme telle, le
signifiant.
Dans le
symptôme
il y a une
sorte
de
satisfaction
à
l'envers.
Le
désir
se
présente
dans
l'expérience
analytique
dans le
symptôme.
Le
symptôme
c'est ce qui est
analysable.
Le
symptôme
se
présente
sous un
masque,
sous une
forme
paradoxale.
Le
symptôme,
en tant
qu'inconscient,
est quelque
chose
qui
parle.
Le
symptôme
est quelque
chose
qui va dans le
sens
de la
reconnaissance
du
désir.
Dans le
symptôme,
le
désir
est
identique
à la
manifestation
somatique.
La
perversion
se
présente
comme un
symptôme.
Il y a autant de
Verdrängung
dans une
perversion
que dans un
symptôme.
L'
acting-out
c'est un
symptôme,
c'est un
compromis,
c'est un
acte
de
répétition.
Dans le
graphe
5.25.3
le
symptôme
se
situe
en
,
au
niveau
de la
signification.
*
Un
symptôme
c'est une
signification.
*
Un
symptôme
c'est un
signifié.
*
Le
symptôme
n'est
jamais
simple.
*
Le
symptôme
est
toujours
surdéterminé.
*
Il n'y a pas de
symptôme
qui ne soit
apporté
d'une
expérience
antérieure.
L'angoisse
est le
point
clé de la
détermination
des
symptômes.
Le
jeu
des
symptômes
est
érotisé,
il est
pris
dans le
mécanisme
du
désir.
*
Les
symptômes
sont
surdéterminés.
[
Lac66a
, p. 636]
Les
symptômes
psychasthéniques
occupent le
désir
de
l'obsessionnel.
La
discordance
dans le
symbolique
joue
un
rôle
fonctionnel
identifiable
au
symptôme
réel.
Le
symptôme,
c'est le
retour
par
voie
de
substitution
signifiante
de ce qui est au bout de la
pulsion
comme
étant
son
but.
*
L'
acting-out
c'est un
symptôme.
Pour que le
symptôme
puisse
être
interprété,
il faut qu'il y
ait
transfert
c'est-à-dire,
introduction
de
l'Autre.
Le
symptôme,
dans son
essence
n'est pas
appel
à
l'Autre.
*
Le
symptôme,
dans sa
nature,
est
jouissance.
Dès les
données
premières
du
symptôme
de
l'obsessionnel,
la
fonction
du
se
dévoile
comme
fonctionnant
dans la
dimension
de la
cause.
Pour
l'obsessionnel,
le
symptôme
n'est
constitué
que quand le
sujet
s'en
aperçoit.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
Le
symptôme
est
fait
pour
apporter
certaines
satisfactions.
Un
symptôme
n'est pas un
signifiant.
Un
symptôme
est un
signe
pour
représenter
quelque
chose
pour quelqu'un.
Les
symptômes
relèvent de la
satisfaction.
Le
symptôme
est
constitué
d'un échafaudage de
signifiants.
Refoulé
et
symptôme
sont homogènes.
Le
symptôme
est
réductible
à des
fonctions
de
signifiant.
La
structure
du
symptôme,
comme celle du
refoulé,
est
inscriptible
en
termes
synchroniques.
L'expérience
analytique
a
deux
extrémités; d'un coté il y a
l'interprétation,
et de l'autre il y a le
symptôme
et le
refoulé.
Le
trauma
s'implique
dans le
symptôme
selon le
nachträglich
,
l'après-coup.
[
Lac66a
, p. 839]
Ce qui
opère
dans
l'interprétation,
c'est
l'articulation
des
signifiants
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 842]
Des
signifiants
se sont
trouvés
pris
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 842]
Le
symptôme
analytique
ne
saurait
être
résolu
par un
dialogue
raisonnable
et
logique.
Il y a
toujours
dans le
symptôme
l'indication
qu'il est
question
de
savoir.
Le
symptôme
se
signale
comme un
savoir
déjà là.
*
C'est du
côté
du
savoir
que le
sujet
se
trouve
recevoir
cette
marque
de
division
qui
s'inscrit
dans le
symptôme.
Le
savoir
du
rapport
du
sujet
à son
symptôme,
c'est le
premier
pas de la
psychanalyse.
La
praxis
analytique
est le
complément
du
symptôme.
Le
symptôme
est
être
de
vérité.
Le
symptôme
est un
être
de
vérité.
*
En lui-même le
symptôme
est
jouissance.
Il y a
équivalence
de la
fonction
de
l'orgasme
avec celle du
symptôme.
Le
de la
métaphore
se
trouve
représenter
le
sujet
de
l'inconscient
dont il s'agit de
déterminer
l'effet
comme
effet
de
signification,
le
symptôme.
*
Le
symptôme
ne
s'interprète
que dans
l'ordre
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
Le
symptôme
est
vérité.
[
Lac66a
, p. 235]
L'
acting-out
s'apparente au
symptôme
en tant que
manifestation
de la
vérité.
La
vérité
dit
dans le
symptôme.
Pour les
analystes
la
vérité
n'a
d'autre
forme
que le
symptôme.
Le
symptôme
c'est la
signifiance
des
discordances
entre
le
réel
et ce par quoi il se
donne.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
L'acte
symptomatique
réalisera
sa
plénitude
d'acte
après-coup.
L'acte
manqué
est un
acte
symptomatique
qui
révèle
la
vérité.
*
Le
symptôme,
c'est ce
nœud
réel
où est la
vérité
du
sujet.
*
La
souffrance
peut
être
symptôme,
ce qui
veut
dire
vérité.
*
C'est au
niveau
de
l'énoncé
que le
texte
du
symptôme
névrotique
s'articule.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
Dans le
discours
de
l'hystérique,
la
dominante
apparaît
sous la
forme
du
symptôme.
C'est autour du
symptôme
que
s'ordonne
le
discours
de
l'hystérique.
La
loi
est mise en
question
comme
symptôme.
Dans le
symptôme,
le
savoir
est à
l'analyste
présupposé.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
*
La
valeur
de
vérité
n'est pas
symptôme.
*
Le
symptôme
est
valeur
de
vérité.
Il y a
deux
sens
du
symptôme.
Dans la
psychanalyse,
le
symptôme
a affaire à quelque
chose
qui est la
traduction
en
paroles
de sa
valeur
de
vérité.
Les
symptômes,
c'est
structuré
comme un
langage.
C'est le
réel
qui
permet
de
dénouer
ce dont le
symptôme
consiste.
[
Lac74b
, p. 22]
Le
symptôme
consiste
en un
nœud
de
signifiants.
[
Lac74b
, p. 22]
Le
symptôme,
c'est du
réel.
*
Le
symptôme
est de
l'effet
du
symbolique
dans le
réel.
*
L'inconscient
est pour
tout
dire
ce qui
répond
du
symptôme.
*
L'inconscient
peut
être
responsable
de la
réduction
du
symptôme.
Le
père
est un
symptôme
ou un
saint-homme.
L'ex-sistence
du
symptôme,
c'est ce qui est
impliqué
par la
position
qui
suppose
le
lien
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
Le
complexe
d'Œdipe
est un
symptôme.
est ce qui se
représente
de la
duplicité
du
symbole
et du
symptôme.
C'est en tant que le
discours
du
maître
règne, que le
se
divise
du
symbole
et du
symptôme.
La
division
du
symbole
et du
symptôme
est
reflétée
dans le
sujet.
Dans
l'articulation
du
symptôme
au
symbole
il n'y a qu'un
faux
trou.
*
C'est en tant qu'il est
accroché
au
langage
que le
symptôme
subsiste.
Le
symptôme
est un
événement
de
corps.
[
Lac75e
, p. 16]
Le
symptôme
hystérique,
c'est le
symptôme
pour
LOM
d'intéresser
au
symptôme
de
l'autre
comme tel. [
Lac75e
, p. 16]
Le
symptôme
dit
quelque
chose.
*
Le
symptôme,
ça
résiste.
est la
notation
du
symptôme.
Une
femme
est un
symptôme
pour
l'homme.
Un
sens
est
l'objet
de la
réponse
de
l'analyste
à
l'exposé
par
l'analysant
tout
au long de son
symptôme.
Le
symptôme
est ce
qu'on
connaît
le mieux.
Connaître
veut
dire
savoir
faire
avec le
symptôme.
Savoir
y
faire
avec son
symptôme
, c'est là la
fin
de
l'analyse.
*
C'est pour autant qu'une
interprétation
juste
éteint le
symptôme
que la
vérité
se
spécifie
d'être
poétique.
*
Traiter
le
symptôme
comme un
palimpseste,
c'est dans la
psychanalyse
une
condition
d'efficacité.
[
Lac77a
, p. 15]
Suivant:
synchronie
Remonter:
5.19 S
Précédent:
symétrie, dissymétrie
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08