Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
Recherche
Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.19 S
Précédent:
savant
Suivant:
scansion
Index:
Index
savoir
Tout
le
savoir
humain
est
médiatisé
par le
désir
de
l'autre.
[
Lac66a
, p. 98]
Le
support
du
transfert
est le
sujet
supposé
savoir.
[
Lac66a
, p. 308]
5
.
438
Le
sujet
ne
veut
rien
savoir.
Le
moi
ne
sait
rien
des
désirs
du
sujet.
Ce qui
fait
la
différence
entre
le
comportement
humain
et
animal,
c'est que
l'homme
se
sait
comme
corps.
*
Le
sujet
en
dit
toujours
plus
qu'il ne
veut
en
dire,
toujours
plus
qu'il ne
sait
en
dire.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit
parce qu'il ne
sait
pas ce qu'il est.
L'humain
ne
sait
pas
pourquoi
il
parle.
*
Un
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
*
Je
ne
veux
5
.
439
rien
savoir.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
Chose,
même
au
sens
du
refoulé.
*
Agir
avec le
refoulé
par le
mécanisme
du
refoulement,
c'est en
savoir
quelque
chose.
Le
savoir
renvoie
toujours
à la
signification.
*
Si la
psychanalyse
habite
le
langage,
elle ne
saurait
sans
s'altérer
le
méconnaître
en son
discours.
Dans la
Verwerfung
,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
castration
même
au
sens
du
refoulement.
5
.
440
Le
sujet
ne
sait
pas à qui il
parle
puisqu'il ne
sait
pas qui
parle
en lui.
Il y a des
signifiants
de
base
sans
lesquels
l'ordre
des
significations
humaines
ne
saurait
s'établir.
Le
principe
du
plaisir
s'identifie
avec une certaine
relation
d'objet,
à
savoir
le
sein
maternel.
L'humain
ne
sait
pas
pourquoi
il
parle.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
La
satisfaction
fantasmatique
ne
saurait
remplir
tous
les
besoins.
Ce n'est pas parce que quelque
chose
n'est pas
articulable,
à
savoir
le
désir,
qu'il ne soit pas
articulé.
L'hystérique
ne
sait
pas qu'il ne
peut
pas
être
satisfait
dans la
demande.
*
Ne
saurait
être
refoulé
que ce qui se
révèle
balisé à la
structure
de la
parole,
c'est-à-dire à une
articulation
signifiante.
La
satisfaction
ne
saurait
être
confondue
avec le
principe
du
plaisir.
Le
désir
pour la
mère
ne
saurait
être
satisfait.
Le
discours
des
mathématiques
ne
saurait
procéder,
à
moins
que
rien
ne soit
oublié
5
.
441
.
Le
savoir
inconscient
se
présente
actuellement
comme le
champ
d'un
non-savoir.
L'analyste
ne
peut
pas
savoir
ce qu'il
fait
en
psychanalyse.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
hors
de la
satisfaction
de
tous.
*
Il ne
saurait
y
avoir
de
satisfaction
d'aucun
sans
la
satisfaction
de
tous.
Le
désir
se
forme
comme ce qui
supporte
cette
métonymie,
à
savoir
ce que
veut
dire
la
demande
au-delà
de ce qu'elle
formule.
Ce que le
sujet
trouve
dans
l'analyse,
c'est ce dont il
manque,
à
savoir
son
désir.
La
sublimation
courtoise
est le
contresens
romantique, à
savoir
la surestimation
narcissique
du
sujet
supposé
dans
l'objet
aimé.
est ce qui
manque
au
sujet
pour se
penser
épuisé
par son
cogito
,
à
savoir
ce qu'il est
d'impensable.
[
Lac66a
, p. 819]
Il n'y a
d'accès
à la
réalité
que de ce que le
sujet
est
conséquence
du
savoir.
[
Lac84a
, p. 14]
*
Le
savoir
est un
fantasme
qui n'est
fait
que pour la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
Le
savoir
manque
nécessairement
la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
Dans le
complexe
d'Œdipe,
le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il commet.
*
L'objet
phallique
comme
objet
imaginaire
ne
saurait
en
aucun
cas
prêter à
révéler
d'une
façon
complète
le
fantasme
fondamental.
*
Le
savoir
est
intersubjectif.
Le
névrosé
veut
savoir
ce qu'il y a de
réel
dans ce dont il est la
passion,
dans
l'effet
de
signifiant.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Pour que la
demande
soit
demande,
à
savoir
qu'elle se
répète
comme
signifiant,
il faut qu'elle soit
déçue.
Rien
du
sujet
ne
saurait
s'identifier
au
signifiant
sans
s'en
exclure.
Ce qui nourrit
l'émergence
du
signifiant,
c'est que
l'Autre
réel
ne
sache
pas.
*
Le
sujet
apparaît
avec la
naissance
du
signifiant,
mais comme
barré
,
comme
non
su
comme tel.
Ce qui
caractérise
le
désir
sadique,
c'est qu'il ne
sait
pas qu'il
cherche
à se
faire
apparaître
comme
pur
objet.
Dès que quelque
chose
du
réel
vient
au
savoir,
un
morceau
de
corps
est
perdu.
Le
point
d'où
surgit
qu'il y a du
signifiant
qui ne
saurait
être
signifié,
est celui du
manque
de
signifiant.
Le
pervers
ne
sait
pas au
service
de quelle
jouissance
s'exerce son
activité.
La
fonction
angoissante
du
désir
de
l'Autre
est
liée
au
fait
que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour ce
désir.
L'angoisse
est
liée
à ceci que
je
ne
sais
pas quel
objet
je
suis
pour le
désir
de
l'Autre.
Dans
l'inconscient
il y a un
savoir,
un
savoir
de
non-savoir.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir.
Dès qu'il y a quelque part le
sujet
supposé
savoir,
il y a
transfert.
Le
transfert
prend
son
départ
dans le
sujet
supposé
savoir.
Le
sujet
supposé
savoir
est
supposé
savoir
la
signification.
*
Le
sujet
est
supposé
savoir
de
seulement
être
sujet
du
désir.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
symptôme
analytique
ne
saurait
être
résolu
par un
dialogue
raisonnable
et
logique.
Le
psychanalyste
est
appelé,
en la
situation
analytique,
comme
étant
le
sujet
supposé
savoir.
Il y a
toujours
dans le
symptôme
l'indication
qu'il est
question
de
savoir.
Le
symptôme
se
signale
comme un
savoir
déjà là.
Au
fondement
de
l'analyse,
l'analyste
doit
être
le
sujet
supposé
savoir.
Avec
l'inconscient,
le
sujet
refuse
un
certain
point
de
savoir.
*
Le
sujet
s'institue
d'un
signifiant
rejeté,
verworfen
,
d'un
signifiant
dont
on
ne
veut
rien
savoir.
*
Le
sujet
en
sait
plus
qu'il ne
croit,
en
dit
plus
qu'il ne
veut.
Le
sexe
dans son
essence
de
différence
radicale
se
refuse
au
savoir.
*
L'inconscient
est un
savoir
qui
reste
indéterminé
dans
l'inconscient.
Il y a un
rapport
divergent de la
vérité
au
savoir.
Savoir,
sujet
et
sexe
constituent
trois
bords.
*
C'est du
côté
du
savoir
que le
sujet
se
trouve
recevoir
cette
marque
de
division
qui
s'inscrit
dans le
symptôme.
*
Là où
je
pense,
je
ne
sais
pas ce que
je
sais.
*
Le
sujet
est ce qui
fait
défaut
au
savoir.
Dans la
dialectique
psychanalytique,
rien
n'y est
concevable
sans
la conjugaison du
sujet,
du
savoir
et du
sexe.
La
relation
du
sujet,
du
savoir
et du
sexe
est
marquée
de
division.
5
.
442
,
l'Autre
sait
qu'il ne
sait
rien.
Le
savoir
du
rapport
du
sujet
à son
symptôme,
c'est le
premier
pas de la
psychanalyse.
Le
sujet
est
divisé
entre
savoir
et
vérité.
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
Le
sujet
se
divise
entre
vérité
et
savoir.
La
science
est un
savoir
au
milieu
duquel s'étale le
trou
du
manque
de
l'objet
.
L'objet
est le
champ
de
l'intersection
de la
vérité
et du
savoir.
5
.
443
Le
transfert
en
début
d'analyse
fait
de
l'analyste
le
sujet
supposé
savoir.
La
division
du
sujet
est
entre
le
savoir
et la
vérité.
[
Lac66a
, p. 856]
*
Nul
langage
ne
saurait
dire
le
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 867]
Le
je
ne
sait
pas du
tout
qui il est.
La
jouissance
est
soustraite
au
champ
de
l'amour
courtois,
où est
permis
un
certain
équilibre
de la
vérité
et du
savoir.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir
tout
sauf ce qu'il en est de la
vérité
du
patient.
Un
objet
divise
entre
le
savoir
et la
vérité.
*
La
sexualité
entre
en
jeu
d'abord
par le
biais
du
désir
de
savoir.
*
il ne
saurait
y
avoir
d'
aphanisis
du
désir.
*
Il y a du
savoir,
donc il y a un
savant.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Aucun
signifiant
réduit
à sa
forme
minimale de
lettre,
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même, est un
énoncé
axiomatique.
*
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même,
reste
partie
de
l'univers
du
discours.
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même
peut
s'écrire
; le
symbole
figure
un ou
exclusif.
*
En
aucun
cas
le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Aucun
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même, sauf à ce que ça ne soit pas lui qu'il
signifie,
c'est-à-dire qu'il use de la
métaphore.
*
Le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
*
Nul
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
Un
nœud
vrai
ne
saurait
se mettre à
plat.
[
Lac66a
, p. 724]
La
répétition
ne
saurait
dynamiquement
se
déduire
du
principe
du
plaisir.
Le
sujet
vient
à
l'analyse
pour
savoir
ce qu'il
demande.
La doctrine
médicale
est
fausse,
sans
cela elle ne
saurait
prêter
appui
au
statut
médical.
Le
savoir
est
nécessaire
à
l'institution
de
l'acte
sexuel.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
*
Le
sujet
ne
sait
rien
de lui, sinon qu'il
doute.
*
Le
masochiste
sait
qu'il est dans la
jouissance.
Il ne
saurait
y
avoir
d'acte
si ce n'est dans la
référence
signifiante
qui,
seule
peut
la
constituer
comme
acte.
L'analyste
est
placé
en
position
de
sujet
supposé
savoir.
Le
transfert
est
source
de
résistance
entre
la
position
fausse
d'être
le
sujet
supposé
savoir,
ce que
l'analyste
sait
bien qu'il n'est pas, et celle
d'avoir
à rectifier les
effets
de cette
supposition
de la
part
du
sujet
au
nom
de la
vérité.
La
fonction
du
fantasme,
a deux
caractéristiques,
la
présence
d'un
objet
et
d'autre
part
ce qui
engendre
le
sujet
comme
,
à
savoir
une
phrase.
La
réalité
est
antérieure
à la
connaissance
mais pas le
savoir.
Dans la
psychanalyse
il y a quelque
part,
quelque
chose
qui
joue
fonction
de
sujet
supposé
savoir.
*
Le
transfert
s'installe
en
fonction
du
sujet
supposé
savoir.
Du
fait
de son
entrée
en
analyse,
l'analysant
fait
référence
à un
sujet
supposé
savoir
mieux que les
autres.
L'analysant
n'identifie
pas son
analyste
au
sujet
supposé
savoir.
L'analyse
du
transfert
ne
peut
être que
l'élimination
du
sujet
supposé
savoir.
Il n'y a pas pour
l'analyse
ni pour
l'analyste,
nulle
part,
de
sujet
supposé
savoir.
Le
savoir
est une
fonction
imaginaire,
une
idéalisation.
Le
sujet
supposé
savoir
est le
pivot
d'où
s'articule
tout
ce qu'il en est du
transfert.
[
Lac68e
, p. 19]
Le
sujet
supposé
savoir
est
supposé
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 19]
Le
supposé
par le
sujet
s'écrit avec la
formule:
est le
signifiant
du
transfert;
représente
le
sujet;
les
éléments
entre
parenthèses
représentent
le
savoir,
supposé
présent,
des
signifiants
dans
l'inconscient.
[
Lac68e
, p. 19]
*
Le
sujet
supposé
savoir
n'est pas
réel.
[
Lac68e
, p. 20]
L'inconscient,
c'est de ne pas se
rappeler
de
5
.
444
ce
qu'on
sait.
[
Lac68d
, p. 35]
La
position
du
psychanalyste
est
suspendue
à un
rapport
béant,
à la
méprise
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac68d
, p. 39]
Dans la
structure
de la
méprise
du
sujet
supposé
savoir,
le
psychanalyste
doit
trouver
la
certitude
de son
acte,
et la
béance
qui
fait
sa
loi.
[
Lac68d
, p. 40]
C'est de la
jouissance
que la
vérité
trouve
à
résister
au
savoir.
[
Lac68a
, p. 58]
L'action
est au
commencement
parce qu'il ne
saurait
y
avoir
de
commencement
sans
action.
Le
transfert
se
rapporte
au
sujet
supposé
savoir.
*
Le
terme
de
l'analyse
consiste
dans la
chute
du
sujet
supposé
savoir.
Dans
l'inconscient
il y a un
savoir
sans
sujet.
L'objet
est la
réalisation
de cette
sorte
de
désêtre
qui frappe le
sujet
supposé
savoir
au
terme
de
l'analyse.
L'analyste
sait
qu'il n'est pas le
sujet
supposé
savoir.
À la
fin
de
l'analyse,
l'analyste
est rejoint par le
désêtre
que
subit
le
sujet
supposé
savoir.
Il y a déjà
savoir
du
désêtre
du
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est la
position
nécessaire
de
départ
de la
passe
de
l'analysant
à
l'analyste.
Par le
désêtre
du
sujet
supposé
savoir,
le
sujet
devient
à
n'être
que le
support
de
l'objet
.
En
instaurant
l'acte
psychanalytique,
le
psychanalyste
donne
sa
garantie
au
transfert,
c'est-à-dire au
sujet
supposé
savoir.
Le
psychanalyste
doit
savoir
ce qu'il en est du
sujet
supposé
savoir.
L'opération
psychanalytique
doit
réduire
le
sujet
supposé
savoir
à la
fonction
de
l'objet
.
La
tâche
psychanalysante
comporte
de la
foi
au
sujet
supposé
savoir.
L'existence
de
l'inconscient
consiste
à
rayer
la
fonction
du
sujet
supposé
savoir.
L'acte
psychanalytique
est un
acte
de
foi
dans le
sujet
supposé
savoir.
La
logique
a pour
fin
de
résorber
le
problème
du
sujet
supposé
savoir.
Le
professeur
ne remet
jamais
en
question
le
sujet
supposé
savoir,
puisqu'il est son
représentant.
*
Il ne
saurait
y
avoir
d'univers
du
discours.
*
Il y a
tout
un
niveau
où le
savoir
est de
langage.
Le
savoir
laisse
toujours
un
résidu.
*
Tout
savoir
n'est pas
conscient.
5
.
445
*
Pas-tout
savoir
n'est
conscient.
*
Il y a un
sujet
supposé
savoir.
*
On
n'a
jamais
le
savoir
de
l'autre
sexe.
*
Tout
savoir
nous
vient
de
l'Autre.
Le
sujet,
d'être
second
par
rapport
au
savoir,
ne
dit
pas
tout
ce qu'il
sait.
Le
sujet
ne
sait
pas
tout
ce qu'il
dit.
La
vérité
gît
au
point
où le
sujet
refuse
de
savoir.
*
Ce n'est qu'au
niveau
de
l'Autre
que, ce qui
détermine
le
sujet
s'articule
en
savoir.
*
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
demande.
Le structuralisme est la
prise
au
sérieux
du
savoir,
comme
cause
dans la
pensée.
*
Un
signifiant
ne
saurait
se
représenter
lui-même.
*
Le
savoir
ce n'est pas le
travail.
*
Le
savoir
ça n'a
rien
à
faire
avec le
travail.
Le
signifiant
représentant
un
sujet
pour un
autre
signifiant
est ce qui
représente
le
savoir.
Le
savoir
se
présente
comme ce
terme
où
vient
s'éteindre
le
sujet,
l'
Urverdrängung
.
Le
grand
a en lui cette
faille
du
savoir
qui ne
peut
contenir
que son
propre
signifiant.
*
L'Autre
n'enferme
nul
savoir
qui soit ni déjà là ni à
venir
dans un
statut
d'absolu.
Une
subversion
se
produit
dans le
sujet
du
savoir.
[
Lac84b
, p. 8]
Dans le
cogito
,
il s'agit du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac84b
, p. 14]
Il y a de
l'inconscient
veut
dire
qu'il y a du
savoir
sans
sujet.
[
Lac84b
, p. 19]
*
Le
sujet
du
savoir
est
posé
comme se
sachant
lui-même.
*
Il y a quelque part une
vérité
qui ne
sait
pas.
La
vérité
qui
s'articule
au
niveau
de
l'inconscient
ne
sait
pas.
Au
lieu
de
l'inconscient
nous
savons
qu'une
vérité
s'énonce
dont nous ne
pouvons
rien
savoir.
Il y a un
savoir
dont la
marque
à un
certain
niveau
s'articule
de
vérité.
*
la
psychanalyse
se
trouve
intéresser
la mise en
question
du
savoir.
Dans la
psychanalyse
on
y est
sans
le
savoir.
L'inconscient
porte
la
marque
du
au
niveau
où
manque
le
savoir.
*
Le
sujet
supposé
savoir
c'est
Dieu.
Il
existe
une
disjonction
du
savoir
au
pouvoir.
Il y a
disjonction
du
savoir
et du
pouvoir.
*
Par un
lien
à quelque
chose
qui n'est
rien
d'autre
que ce qui
permet
l'émergence
du
savoir,
la
jouissance
est
exclue.
L'Autre
est le
lieu
où
ça
se
sait.
*
Il y a quelque part où
ça
se
sait.
Par
rapport
au
champ
de la
vérité,
le
savoir
est
ailleurs.
L'objet
,
en tant que
cause
du
désir,
se
produit
dans le
savoir.
*
L'acte
psychanalytique
se
présente
comme incitation au
savoir.
Le
grand
Autre
est celui qui
sait.
L'Autre
est le
lieu
où le
savoir
s'institue.
L'interprétation
analytique
vise
un
effet
de
savoir
qu'elle rend
sensible
au titre de sa
vérité.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
L'objet
désigne
ce que
produit
le
savoir.
Le
psychanalyste
est celui qui se
trouve
prendre
à sa charge le
support
du
sujet
supposé
savoir.
Le
psychanalyste
invite le
sujet
névrosé
à la
rencontre
d'un
sujet
supposé
savoir.
Entre
savoir
et
vérité
doit
se
situer
la
question
du
transfert.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
Le
névrosé
a une
demande
de
savoir
la
vérité,
car le
savoir
le
gêne.
*
Pour le
névrosé,
le
savoir
est la
jouissance
du
sujet
supposé
savoir.
La
sublimation
est le
propre
de ceci qui
sait
faire
le
tour
de ce à quoi se
réduit
le
sujet
supposé
savoir.
L'Autre
sait,
seulement
il n'est pas un
sujet.
*
L'hystérique
fait
l'homme
qui
supposerait
la
femme
savoir.
*
Ce que
l'hystérique
suppose,
c'est que la
femme
sait
ce qu'elle
veut.
*
Le
savoir
sert
le
maître.
*
Le
savoir
sert
la
femme,
parce qu'il la
fait
cause
du
désir.
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
*
Le
savoir
est la
jouissance
de
l'Autre.
Le
champ
propre
de
l'esclave
s'est le
savoir,
L'esclave
se
caractérise
par
être
celui qui est le
support
du
savoir.
L'opération
du
maître
consiste
dans le vol, le rapt, la
soustraction
à
l'esclave
de son
savoir.
Le
savoir-faire
est parent du
savoir
animal.
Il s'agit, pour le
maître,
de ravir à
l'esclave
sa
fonction
au
niveau
du
savoir.
Le
désir
de
savoir
n'a
aucun
rapport
avec le
savoir.
Tout
savoir,
d'être
savoir
se
sait
comme tel.
Dans la
psychanalyse,
c'est de
savoir
et
non
de
connaissance
ni de
représentation
qu'il s'agit, de la
relation
d'un
signifiant
à un
signifiant
.
*
Il n'est pas sûr qu'un
savoir
se
sache.
Le
savoir
est mis au
centre
par
l'expérience
psychanalytique.
Dans le
discours
du
maître,
le
savoir
c'est la
part
de
l'esclave.
L'essence
du
discours
du
maître,
c'est qu'il ne
sait
pas ce qu'il
veut.
Par sa
fonction
d'esclave,
l'esclave
sait
ce que le
maître
veut.
Le
savoir
du
discours
du
maître
est un tout-savoir,
situé
en
dans
Il y a un
savoir
qui ne se
sait
pas, à
situer
au
niveau
de
.
*
Il semble que ce soit le
discours
philosophique
qui
ait
animé
le
maître
du
désir
de
savoir.
*
L'hystérique
veut
que
l'homme
sache.
Ce qui importe à
l'hystérique
c'est que
l'autre
sache
quel
objet
précieux elle
devient
dans ce contexte de
discours.
La
structure
d'une
interprétation
est celle d'un
savoir
en tant que
vérité.
C'est du
trait
unaire
que
prend
son
origine
tout
ce qui
intéresse
l'analyste
comme
savoir.
Dans la
répétition,
et sous la
forme
du
trait
unaire,
le
savoir
se
trouve
être
le
moyen
de la
jouissance.
C'est avec le
savoir
en tant que
moyen
de la
jouissance
que se
produit
ce
travail
qui a un
sens
de
vérité.
L'analyste,
c'est lui qui est
institué
comme
sujet
supposé
savoir.
Ce
qu'on
attend
d'un
psychanalyste,
c'est de
faire
fonctionner
son
savoir
en
terme
de
vérité.
L'inconscient,
c'est le
savoir
qui
parle
tout
seul.
Ce qui
déprime
chez un
con
c'est
qu'on
ne
sait
pas très
bien
en quoi il a affaire à la
jouissance.
*
Le
savoir
est
moyen
de la
jouissance.
*
Nul
travail
n'a
jamais
engendré
un
savoir.
*
La
mathématique
représente
le
savoir
du
maître
en tant que
constitué
sur
d'autres
lois
que le
savoir
mythique.
La
science
est ce
savoir
du
maître
entièrement
autonome
du
savoir
mythique.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
Le
savoir
dans le
discours
de
l'hystérique
vient
à la
place
de la
jouissance.
L'hystérique
fait
grève de ne pas livrer son
savoir.
Dans le
discours
de
l'analyste,
un
certain
savoir
est au site de la
vérité,
La
vérité
ne
saurait
s'énoncer
que d'un
mi-dire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
est à la
place
dite de la
vérité.
Dans le
discours
de
l'analyste,
ce qui
peut
savoir
est prié de
fonctionner
au
registre
de la
vérité.
Le
discours
de
l'analyste
interroge
le
savoir
en
fonction
de
vérité.
Le
nom-du-père
se
place
là où le
savoir
fait
fonction
de
vérité.
*
Pour quelque
chose
de
réel,
rien
ne
saurait
manquer.
Pour
l'enfant,
le
père
est celui qui ne
sait
rien
de la
vérité.
fait
le secret du
savoir
dans la
situation
universitaire.
L'homme
ne
sait
rien
de la
femme.
[
Lac70d
, p. 64]
La
femme
ne
sait
rien
de
l'homme.
[
Lac70d
, p. 64]
L'
,
épistémé
est le
transfert
du
savoir
de
l'esclave
au
maître.
[
Lac70d
, p. 73]
Il
existe
un
savoir
qui se
soustrait
à la
conscience.
[
Lac70d
, p. 77]
Il
existe
un
savoir
structuré
comme un
langage.
[
Lac70d
, p. 77]
L'inconscient
n'est que
terme
métaphorique
à
désigner
le
savoir
qui ne se
soutient
qu'à se
présenter
comme
impossible.
[
Lac70d
, p. 77]
L'autre
savoir
conditionne
l'inconscient
d'une
figure
représentable.
[
Lac70d
, p. 78]
Être
fait
sujet
d'un
discours
peut
rendre
l'être
humain
sujet
au
savoir.
[
Lac70d
, p. 85]
*
Il y a des
savoirs
dont les
suites
peuvent
rester en
souffrance,
ou bien
tomber
en désuétude. [
Lac70d
, p. 85]
L'hystérique,
c'est
l'inconscient
en
exercice,
qui met le
maître
au pied du mur de
produire
un
savoir.
[
Lac70d
, p. 89]
La
logique
mathématique
fait
revenir
la
structure
dans le
savoir.
[
Lac70d
, p. 90]
La
frontière
entre
vérité
et
savoir
est
partout.
[
Lac70d
, p. 94]
*
L'effet
de
vérité
tient
à ce qui
choit
du
savoir.
[
Lac70d
, p. 95]
Dans le
discours
de
l'analyste,
le
savoir
de la
structure
a
place
de
vérité.
[
Lac70d
, p. 98]
Dans le
schéma
18.2.1
sur les
quatre
discours,
les
termes
présents sont:
, le
signifiant
maître,
, le
savoir,
, le
plus-de-jouir,
, le sujet.[
Lac70d
, p. 99]
Le
discours
de
l'université
existe
quand le
savoir
occupe
la
place
de
l'agent.
cf:
18.2.1
constitue
un
certain
corps
de
savoir.
cf:
18.2.1
La
femme
sait
ce qui, de la
jouissance
et du
semblant,
est
disjonctif.
Je
ne
sais
pas ce que
je
dis.
5
.
446
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
Entre
la
jouissance
et le
savoir,
la
lettre
ferait
littoral.
Le
discours
universitaire,
c'est du
savoir
mis en
usage
à partir du
semblant.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a un
littoral.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
*
Le
savoir
dont il s'agit dans
l'inconscient
s'avère
savoir
de la
vérité.
*
La
femme
ne
sait
jouir
que dans une
absence.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a
littoral.
[
Lac71a
, p. 7]
*
L'ignorance
est
liée
au
savoir.
Chez les
mystiques,
le
non-savoir
ça a un
sens.
*
Si la
vérité,
c'est pas le
savoir,
c'est le
non-savoir.
Le
discours
analytique
se
tient
à la
frontière
entre
la
vérité
et le
savoir.
*
Il y a dans la
psychanalyse,
fondamental
et
premier
le
savoir.
Le
savoir
insu
dont il s'agit dans la
psychanalyse,
c'est un
savoir
qui
s'articule
et est
structuré
comme un
langage.
Le
savoir
est de
l'ordre
de la
jouissance.
Dans le
symptôme,
le
savoir
est à
l'analyste
présupposé.
L'analyste
est
sujet
supposé
savoir.
La
fonction
de
sujet
supposé
savoir
fonde
les
phénomènes
de
transfert.
*
Le
savoir
est
présupposé
à la
fonction
de
l'analyste.
*
Le
discours
universitaire
se
constitue
de
faire
du
savoir
un
semblant.
*
L'objet
n'est un
objet
qu'en ce
sens
qu'il est là pour
affirmer
que
rien
de
l'ordre
du
savoir
n'est
sans
le
produire.
*
Dans
tout
savoir,
il y a du
savoir-faire.
Le
discours
naïf
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Le
sophiste
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
L'origine
de
toute
dialectique
tient
à ceci que le
sophiste
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Dans le
discours
du
maître,
le
signifiant
maître
n'existe
que grâce au
savoir
de
l'esclave
.
est le
savoir.
cf:
18.2.1
*
L'analyse
se
fonde
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac73a
, p. 33]
Un
n'est que le
savoir
supérieur au
sujet.
[
Lac75f
, p. 8]
Un
n'est que le
savoir
inconscient
en tant qu'il se
manifeste
comme
ex-sistant
.
[
Lac75f
, p. 8]
*
Le
savoir
affecte
le
corps
de
l'être
qui ne se
fait
être
que de
paroles.
[
Lac75f
, p. 8]
La
monade,
c'est
l'Un
qui se
sait
tout
seul.
[
Lac75f
, p. 8]
Deux
symbolise
dans la
langue
le
sujet
supposé
du
savoir.
[
Lac75f
, p. 8]
est le
savoir.
L'essentiel
du
savoir
de
l'analyste
est que la
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
La
femme
ne
saurait
être
châtrée.
Tout
savoir
naïf
est
associé
à un
voilement
de la
jouissance
qui s'y
réalise.
Tout
savoir
naïf
pose
la
question
de ce qui s'y trahit des
limites
de la
puissance
du tracé
imposé
à la
jouissance.
Le
mathème
est ce qui
produit
un
savoir
qui, de
n'être
que
produit,
est
lié
aux normes du
plus-de-jouir,
c'est-à-dire du
mesurable.
Le
discours
universitaire
se
définit
de ce que le
savoir
est mis en
position
de
semblant.
Le
psychanalyste
a un
rapport
complexe
à ce qu'il
sait.
L'ensemble
n'est
rien
d'autre
que le
sujet
et donc ne
saurait
se manier
sans
l'addition
de
l'ensemble
vide.
Le
transfert
fait
le
sujet
supposé
savoir.
symbolise
le
savoir.
*
Dans
l'Autre,
ça
sait
parce que
ça
se
supporte
des
signifiants
dont se
constitue
le
sujet.
La
femme
ne
peut
aimer
en
l'homme
que la
façon
dont il
fait
face
au
savoir
dont il
âme.
Dans le
discours
analytique,
le
se
soutient
de ce
,
savoir
en
place
de la
vérité.
cf:
C'est du
savoir
en
place
de
vérité
que l'interpelle le
qui
doit
aboutir
à la
production
du
,
du
signifiant.
cf:
*
Le
réel
ne
saurait
s'inscrire
que d'une
impasse
de la
formalisation.
Il y a du
savoir
qui se
sait
pas, et qui
supporte
du
signifiant
comme tel.
La
dit-mansion
est la
résidence
du
dit
dont le
savoir
pose
l'Autre
comme
lieu.
*
Le
savoir
vaut
juste
autant qu'il
coûte.
La
fondation
d'un
savoir
est que la
jouissance
de son
exercice
est la
même
que celle de son
acquisition.
Le
savoir
est dans
l'Autre.
Le
lieu
de
l'Autre
ne
sait
rien.
*
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
*
L'homme
sait
déjà
tout
ce qu'il y a
savoir.
*
Je
parle
sans
le
savoir.
*
Je
dis
toujours
plus
que
je
n'en
sais.
Le
savoir
inconscient
est
inter-dit
au
parlant.
le
sujet
a affaire à la
discordance
entre
savoir
et
être.
La
fin
de la
jouissance
est à coté de ce à quoi elle
aboutit,
c'est à
savoir
la
reproduction.
Par
passion
de
l'ignorance,
de
l'être
de
l'autre,
le
parlant
ne
veut
rien
savoir.
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir.
Le
savoir,
c'est une
énigme
présentifiée
par
l'inconscient.
*
Pour
l'être
parlant,
le
savoir,
c'est ce qui
s'articule.
L'inconscient
est le
témoignage
d'un
savoir.
L'inconscient
est le
témoignage
d'un
savoir
qui échappe, pour une grande
part
à
l'être.
L'inconscient
est un
savoir,
un
savoir-faire
avec
lalangue
.
Les
effets
de
lalangue
,
déjà là comme
savoir,
vont bien au delà de
tout
ce que
l'être
qui
parle
est
susceptible
d'énoncer.
Le
savoir
de
l'Un
ne
vient
pas du
corps.
*
Le
savoir
de
l'Un
vient
du
signifiant
Un,
.
Le
est le
signifiant
maître,
et
le
savoir
dans la
formule
:
Le
est ce qui assure
l'unité
de la
copulation
du
sujet
avec le
savoir.
*
Le
transfert,
c'est le
sujet
supposé
savoir
qui le
motive.
Savoir
ce que le
partenaire
va
faire,
n'est pas une preuve de
l'amour.
*
L'inconscient
c'est un
savoir
dont le
sujet
peut
se
déchiffrer.
Le
travail
c'est ce qui
fait
des
rapports
au
savoir,
la
jouissance.
La
structure
c'est le
rapport
à un
certain
savoir.
Ce que vous
faites
sait
vous.
La
parole
n'a
rien
à
faire
avec le
savoir
qui
existe
dans le
langage.
Le
dire
de
l'amour
s'adresse
au
savoir
en tant qu'il est là dans
l'inconscient.
*
L'amour
est le
rapport
du
réel
au
savoir.
L'instinct,
c'est le
savoir
qu'implique
la
survie.
[
Lac74b
, p. 15]
Le
transfert
fonctionne
avec le
sujet
supposé
savoir.
[
Lac74b
, p. 49]
Le
vrai
n'est que
supposé
au
savoir.
C'est le
discours
analytique
qui
fait
coller
à un
savoir.
Le
savoir
inconscient
est
topologique.
*
Le
savoir
inconscient,
c'est un
ensemble
ouvert.
Le
savoir
masculin
est une
erre.
Le
savoir
masculin
est
coupure.
*
Le
c'est un
savoir.
Le
c'est le
savoir
en tant
qu'inconscient.
Ce que sera
l'inconscient
c'est un
savoir
indélébile, pas
subjectivé.
La
logique
c'est le
savoir
du
réel.
La
logique
c'est un
savoir.
*
Le
masochisme
c'est du chiqué, c'est un
savoir.
Un
dire
logique,
inscriptible,
c'est un
savoir.
*
Pour
tout
savoir,
il faut qu'il y
ait
invention.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir.
*
Le
savoir
s'invente.
L'écrit
c'est le
savoir
supposé
sujet.
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
*
L'analyse
a découvert la
vérité,
c'est
l'amour
du
savoir.
Le
transfert
révèle
la
vérité
de
l'amour
du
sujet
supposé
savoir.
Il n'y a pas de
désir
de
savoir.
Il y a de
l'horreur
de
savoir.
*
Le
savoir
c'est pas pareil que la
jouissance.
L'inconscient
c'est un
savoir.
*
Le
sens
se
sait.
Le
savoir
de l'artisan est à
exclure
du
réel.
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
*
L'inconscient
n'est pas une
connaissance
c'est un
savoir
dysharmonique.
*
L'inconscient
comme
savoir
dysharmonique
est
plus
étranger
à une
femme
qu'à
l'homme.
*
Le
savoir
ça n'a pas de
sujet.
*
Le
sujet
est
su.
*
Le
savoir
c'est ce qui est
su.
L'inconscient
c'est un
savoir.
Le
savoir
de
Dieu,
c'est le
savoir
supposé
par le
réel.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
*
Pas-tout
être
à
parler
ne
saurait
s'autoriser
à
faire
un
analyste.
[
Lac82d
]
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
[
Lac82d
]
*
L'inconscient,
c'est un
savoir
en tant que
parlé
comme
constituant
de
LOM
. [
Lac75e
, p. 13]
Il est
impossible
de
savoir
si
l'inconscient
existe
hors
de la
psychanalyse.
*
On
n'est
responsable
que dans la
mesure
de son
savoir-faire.
Le
c'est le
savoir.
La
remémoration
c'est
faire
entrer
la
chaîne
dans ce qui est déjà là et qui se
nomme
le
savoir.
L'inconscient
suppose
toujours
un
savoir
parlé.
L'inconscient
est
entièrement
réductible
à un
savoir,
noté
.
*
On
sait
des
choses
qui relèvent du
signifiant.
L'insu
que
sait
c'est
l'
Unbewusst
.
Connaître
veut
dire
savoir
faire
avec le
symptôme.
Savoir
y
faire
avec son
symptôme
, c'est là la
fin
de
l'analyse.
Il n'y a que du
savoir
au
sens
de
bévue.
L'une-bévue
substitue
à ce qui
fonde
comme
savoir
qu'on
sait,
le
principe
qu'on
sait
sans
le
savoir.
Ce qui
fonde
la
psychanalyse,
c'est de
dire
le
vrai
sur le
savoir.
*
Le
savoir
et la
vérité
n'ont
aucune
relation
entre
eux.
Le
savoir
absolu
c'est qu'il y a du
savoir
quelque
part
dans le
réel.
Savoir
y
faire
n'est pas la
même
chose
que le
savoir
absolu.
La
passe
c'est se
reconnaître
entre
savoir.
Le
transfert
positif
se
définit
sous le
nom
de
sujet
supposé
savoir.
L'analyste
est
supposé
savoir.
*
Celui qui
sait,
dans
l'analyse,
c'est
l'analysant.
On
ne
sait
pas ce
qu'on
désire.
[
Lac78
]
*
On
ne
sait
pas ce
qu'on
dit
quand
on
parle.
[
Lac78
]
*
Il n'est pas de
savoir
sans
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
Un
savoir
en
position
de
vérité
ne se
conçoit
que d'une
structure
de
discours.
[
Lac77b
, p. 6]
L'inconscient,
c'est là où
ça
pense
sans
savoir.
[
Lac77a
, p. 14]
L'analyse
consiste
à ce
qu'on
sache
pourquoi
on
est empêtré dans ses
sinthomes.
[
Lac78
]
*
L'analyse
est
liée
au
savoir.
[
Lac78
]
Le
savoir
consiste
en ce qui est
lisible.
[
Lac78
]
Il n'y a pas de
sujet,
il n'y a que le
supposé
savoir.
[
Lac78
]
Le
supposé
savoir
c'est le
supposé
savoir
lire
autrement,
.
[
Lac78
]
Suivant:
scansion
Remonter:
5.19 S
Précédent:
savant
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08