Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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propre
L'hallucination
est une
erreur
où le
sujet
ne
reconnaît
pas ses
propres
productions comme étant siennes. [
Lac66a
, p. 165]
Le
langage
humain
constitue
une
communication
où
l'émetteur
reçoit
du
récepteur
son
propre
message
sous
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 298]
Le
moi
de
l'analyse
se
présente
comme
maître
d'erreurs,
siège
des
illusions,
lieu
d'une
passion
qui lui est
propre
et va
essentiellement
à la
méconnaissance.
C'est son
propre
moi
qu'on
aime
dans
l'amour,
réalisé
à ce
moment
au
niveau
imaginaire.
Il y a une
différence
de
niveau
entre
la
libido
qui
fixe
l'objet
à sa
propre
image
et
l'émergence
de cette
libido
prématurée.
*
Le
désir
propre
du
sujet
n'est
jamais
que le
désir
de
l'autre.
*
Le
sujet,
dans
l'amour,
cherche
son
propre
bien.
L'être
humain
entend
le
son
de ses
propres
paroles.
L'analyste
fait
le
mort
en
annulant
sa
propre
résistance,
là où il est
l'autre.
[
Lac66a
, p. 430]
Le
ressort
original,
propre,
distinctif,
du
signifiant
est
d'exercer
sa
fonction
propre
qui n'est pas de
faire
émerger
une
signification.
*
Le
signifiant
a ses
lois
propres
indépendamment
du
signifié.
Le
signifiant
en lui-même n'a pas de
signification
propre.
Le
signifiant,
dans sa
fonction
proprement
signifiante
présente
une
inertie
propre.
Le
sujet
reçoit
de
l'Autre
son
propre
message
sous la
forme
d'une
parole
inconsciente.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
Le
signifiant
a ses
lois
propres.
Le
propre
des
relations
imaginaires
est d'être
toujours
parfaitement
réciproques.
C'est la
loi
propre
de la
chaîne
signifiante
qui régit la
forclusion,
Verwerfung
,
la
dénégation
Verneinung
,
le
refoulement,
Verdrängung
.
[
Lac66a
, p. 11]
La
lettre,
missive a un trajet qui lui est
propre.
[
Lac66a
, p. 29]
*
L'ordre
symbolique
n'est
abordable
que par son
propre
appareil.
[
Lac66a
, p. 470]
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
*
Il y a
insistance
propre
à la
chaîne
symbolique.
L'insistance
propre
à la
chaîne
symbolique
n'est pas par
définition
assumée
par le
sujet.
La
structure
de la
parole
implique
dans
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
Un
signifiant
typique
est un
signifiant
propre
à
tout
faire.
La
notion
de la
privation
est
nécessaire
à
assumer
par le
sujet
pour
pouvoir
assumer
pleinement son
propre
sexe.
Le
propre
de la
question
du
névrotique
est d' être
absolument
fermée.
Condensation
et
déplacement
sont des
mécanismes
propres
de
l'inconscient.
Le
désir
emporte avec lui une
condition
d'émergence
qui lui est
propre
en tant que
désir.
La
Verschiebung
est le
moyen
de
l'inconscient
le
plus
propre
à déjouer la
censure.
[
Lac66a
, p. 511]
Le
propre
du
signifiant
est
d'être
discontinu.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
C'est
uniquement
à partir du
moment
où il
peut
être
barré,
que quelque
signifiant
acquiert
son
statut
propre.
La
demande
a ses
caractéristiques
propres.
Le
support
à
l'action
symbolique
propre,
la
castration,
est une
image
choisie
dans le
système
imaginaire.
Le
complexe
de
castration
renvoie
à ceci que le
sujet
craint
d'être
privé
de son
propre
désir.
Dans
l'incroyance,
la
Chose
est
rejetée
au
sens
propre
de la
Verwerfung
.
Chaque fois qu'un
nom
propre
est
prononcé,
son
énoncé
s'égale
à sa
signification.
[
Lac66a
, p. 819]
La
conscience
est la
surface
par où ce qui est au
cœur
du
sujet
reçoit
du
dehors,
ses
propres
pensées,
son
propre
discours.
Le
fantasme
fait
le
plaisir
propre
au
désir.
[
Lac66a
, pp. 773–774]
Il n'y a
rien
dans la
métaphore
qui justifie
d'opposer
le
sens
propre
au
sens
figuré.
Principiellement,
c'est de
l'Autre
que
grand
reçoit
son
propre
message.
Le
sujet
se
voit
dans une
image
réelle
et
inversée
de son
propre
corps.
La démarche
analytique
va dans son
origine
et dans sa
fin
vers sa
propre
certitude.
Le
propre
du
signifiant
est de ne pas
pouvoir
se
signifier
lui-même.
*
Le
nom
propre
c'est un
nom
qui est
donné.
Le
nom
propre,
en tant qu'irremplaçable
peut
manquer.
*
Le
nom
propre
est une
fonction
volante.
Le
nom
propre
est
fait
pour
combler
les
trous,
pour
donner
une
obturation,
une
fermeture.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
qui est
propre
au
sujet.
Le
nom
propre
a la
propriété
d'être
un
collage.
Le
statut
du
nom
propre
n'est
possible
à
articuler
que dans
l'ordre
du
singulier.
*
Aucun
signifiant
n'appartient
en
propre
à
aucune
signification.
La
vérité
est
dimension
propre
du
langage.
Le
nom
propre
peut
donner
l'illusion
que le
sujet
est une entité
autonome.
Il n'y a de
jouissance
repérable
que du
corps
propre.
La
jouissance
du
corps
propre
ne
s'évoque
pas
ailleurs
que dans
l'acte.
*
Il y a quelque
chose
de
déplacé
qui rend
l'objet
de la
demande
impropre
à
satisfaire
le
désir.
L'acte
psychanalytique
désigne
une
structure
qui
suspend
tout
ce qui s'est
formulé
comme
statut
de
l'acte,
à sa
propre
loi.
Le
grand
a en lui cette
faille
du
savoir
qui ne
peut
contenir
que son
propre
signifiant.
*
La
pudeur
est une
dimension
seulement
propre
au
sujet
comme tel.
*
Le
propre
de la
castration,
c'est que
rien
ne
peut
à proprement
parler
l'énoncer
parce que sa
cause
est
absente.
La
sublimation
est le
propre
de ceci qui
sait
faire
le
tour
de ce à quoi se
réduit
le
sujet
supposé
savoir.
Le
champ
propre
de
l'esclave
s'est le
savoir,
Le
discours
du
maître
commence
avec la
prédominance
du
sujet
en tant qu'il tend à
être
identique
à son
propre
signifiant.
Le
corps
est ce qui
peut
porter
la
marque
propre
à le
ranger
dans une
suite
de
signifiants.
[
Lac70d
, p. 61]
Le
discours
du
maître
est là où se
démontre
la
torsion
propre
du
discours
de la
psychanalyse.
*
Le
propre
de la
métaphore,
c'est de ne pas
être
toute
seule.
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
L'hystérique
conjugue la
vérité
de sa
jouissance
au
savoir
implacable qu'elle a que
l'Autre
propre
à la
causer,
c'est le
phallus,
soit un
semblant.
L'arithmétique
comporte
toujours
d'énonçable,
dans les
termes
propres
qu'elle
comporte,
qui ne sera pas à la
portée
de ce qu'elle
pose
à elle-même comme
mode
à
tenir
pour
reçu
de la
démonstration.
Le
propre
de la
jouissance,
c'est que quand il y a
deux
corps,
on
ne
peut
pas
dire
lequel
jouit.
*
Encore,
c'est le
nom
propre
de cette
faille
d'où, dans
l'Autre,
part
la
demande
d'amour.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
*
est le
signifiant
dont le
propre
est qu'il est le
seul
qui ne
peut
rien
signifier.
*
Le
propre
du
dit,
c'est
l'être.
Le
propre
du
dire,
c'est
d'
ex-sister
par
rapport
à quelque
dit
que ce soit.
Le
naming
en tant que
nom
propre,
précède
la
nécessité
par quoi il ne va plus
cesser
de
s'écrire.
Le
propre
du
corps
est
d'habiter
le
langage.
[
Lac74b
, p. 41]
*
Le
propre
du
sens
c'est
qu'on
y
nomme
quelque
chose.
La
psychologie
n'est pas autre
chose
que cette
image
qu'on
a de notre
propre
corps.
*
L'Un
dialogue
tout
seul,
puisqu'il
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
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Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08