Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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tenir
L'Autre
parle
à
l'analyste,
dans le
discours
que
l'autre
tient
devant lui. [
Lac66a
, p. 430]
La
différence
de
symbolisation
des
deux
sexes
tient
à ceci que
l'imaginaire
ne fournit qu'une
absence,
là où
ailleurs
il y a un
symbole
très
prévalent.
Le
psychotique
aime,
tient
à son
délire.
La
frustration
est le
domaine
de quelque
chose
qui est
désiré
et qui n'est pas
tenu.
L'idée
de la
castration
chez la
femme
tient
à ce qu'elle n'a pas le
phallus
symboliquement.
*
Il s'agit pour
l'hystérique,
de
faire
tenir,
de
faire
subsister
l'objet
du
désir,
en tant que
distinct
et
indépendant
de
l'objet
de
tout
besoin.
Le
transfert
place
le
sujet
à
l'endroit
de sa
demande
dans une
position
qu'il ne
tient
que de son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
*
L'analyste
doit
payer
quelque
chose
pour
tenir
sa
fonction.
Le
sujet
tient
du
signifiant
une
marque
invisible.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
trait
unaire
vient
combler
la
marque
invisible
que le
sujet
tient
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
leurre
tient
à la
duplicité
radicale
de la
position
du
sujet.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
L'angoisse
tient
une
position
médiane
entre
jouissance
et
désir.
Ce qui
réveille,
c'est
l'autre
réalité
cachée
derrière
le
manque
de ce qui
tient
lieu
de
représentation.
L'analyste
tient
cette
place
pour autant qu'il est
l'objet
du
transfert.
Le
tient
lieu
de ce dont il retourne concernant la
division
du
sujet.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
Il n'est pas
tenable
de
considérer
qu'il y
ait
un
univers
du
discours.
*
La clef de la
position
névrotique
tient
à ce
rapport
étroit
à la
demande
de
l'Autre
en tant qu'il
essaie
de la
faire
surgir.
La
position
de
l'analyste
se
tient
dans le
vide,
le
trou,
la
place
du
désir.
Le
ratage
de
l'acte
ne
peut
être
tenu
pour
réussite.
[
Lac70b
, p. 13]
*
La
passe
est ce
point
où,
d'être
venu
à bout de sa
psychanalyse,
la
place
que le
psychanalyste
a
tenue
dans son
parcours,
quelqu'un
fait
ce pas de la
prendre.
[
Lac70b
, p. 25]
*
Le
plus-de-jouir
tient
à
l'énonciation.
*
Le
mot
d'esprit
ne
tient
pas comme tel d'un
interlocuteur
à
l'autre.
*
Dès
qu'on
tient
un
discours
ce qui
surgit,
ce sont les
lois
de la
logique.
Le
fantasme
tient,
pour le
sujet,
la
place
du
réel.
[
Lac84b
, p. 16]
*
Le
signifiant
ne
peut
en
aucun
cas
être
tenu
pour
pouvoir
se
désigner
lui-même.
Le
tient
la
place
dominante
du
discours
universitaire.
*
L'effet
de
vérité
tient
à ce qui
choit
du
savoir.
[
Lac70d
, p. 95]
L'
achose
est
absente
là où elle
tient
sa
place,
occupée
par
l'objet
.
La
formule
qu'il n'y a pas de
métalangage
nie
que la
division
entre
langage
méta et
langage-objet
soit
tenable.
Le
discours
analytique
se
tient
à la
frontière
entre
la
vérité
et le
savoir.
L'origine
de
toute
dialectique
tient
à ceci que le
sophiste
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
L'arithmétique
comporte
toujours
d'énonçable,
dans les
termes
propres
qu'elle
comporte,
qui ne sera pas à la
portée
de ce qu'elle
pose
à elle-même comme
mode
à
tenir
pour
reçu
de la
démonstration.
La
position
du
semblant
n'est
tenable
qu'au
niveau
du
discours
scientifique.
La
place
du
semblant
est
tenue
différemment dans le
discours
universitaire
et
psychanalytique.
*
L'Un
ne
tient
que de
l'essence
du
signifiant.
Il y a de la
béance
de
l'Un
à quelque
chose
qui
tient
à
l'être,
et
derrière
l'être
à la
jouissance.
*
Ce qui
fait
tenir
l'image
c'est un
reste.
L'impuissance
de
l'amour
tient
à
l'ignorance
d'être
le
désir
d'être
Un.
Dans le
discours
de
l'analyste,
à la
place
de la
vérité
se
tient
,
le
savoir.
L'Autre
comme
lieu
ne
tient
pas, car il y a en ce
lieu,
une
faille,
un
trou,
un
lieu
de
perte.
C'est par
l'impossible
de
dire
toute
la
vérité
qu'elle
tient
au
réel.
[
Lac74b
, p. 9]
Le
nœud
borroméen,
son
réel
est de ne
tenir
qu'à ce qu'il
fait
tresse.
ex:
21.4.2
Ce n'est que de
tenir
entre
eux que
consistent
les
trois
du
borroméen.
*
Le
mode
d'existence
du
père
tient
au
réel.
*
Tout
objet
tient
à une
relation.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
Le
trait
d'esprit
tient
à
lalangue
.
*
la
névrose
ça
tient
aux
relations
sociales.
*
Le
fantasme
de la
coupure
suffit
à
tenir
le
nœud
borroméen.
[
Lac78
]
*
L'homme
tient
beaucoup à
être
mortel.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08