Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.8 H
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homéostasie
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homologie
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Index
homme
Le
phénomène
de la
folie
n'est pas
séparable
du
langage
pour
l'homme.
[
Lac66a
, p. 166]
L'être
de
l'homme
porte
en lui la
folie
comme
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 176]
Le
langage
de
l'homme
est
l'instrument
de son
mensonge.
[
Lac66a
, p. 166]
*
Le
moi
de
l'homme
n'est pas
réductible
à son
identité
vécue.
[
Lac66a
, p. 114]
L'identification
du
sujet
infans
à
l'image
spéculaire
est le
modèle
du
rapport
fondamentalement
aliénant
où
l'être
de
l'homme
se
constitue
dialectiquement.
[
Lac66a
, p. 141]
Le
désir
de
l'homme
trouve
son
sens
dans le
désir
de
l'autre
parce que son
premier
objet
est
d'être
reconnu
par
l'autre.
[
Lac66a
, p. 268]
*
La
loi
de
l'homme
est la
loi
du
langage.
[
Lac66a
, p. 272]
L'homme
parle
parce que le
symbole
l'a
fait
homme.
[
Lac66a
, p. 276]
L'action
de la
parole
fonde
l'homme
dans son
authenticité.
*
Le
réel
à quoi
l'analyste
s'affronte est un
homme
qu'il faut laisser
parler.
Le
moi
c'est la
maladie
mentale
de
l'homme.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
*
Chez
l'homme
les
manifestations
de la
fonction
sexuelle
se
caractérisent
par un
désordre
éminent.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
L'exploitation
de
l'homme
par
l'homme
est
absolument
structurale.
Chez
l'homme
la
libido
est
originellement
contrainte
de
passer
par une
étape
imaginaire.
Le
milieu
vital
de
l'homme
est le
milieu
symbolique
du
rapport
du
moi
à
l'autre.
Ce qui
fait
la
différence
entre
le
comportement
humain
et
animal,
c'est que
l'homme
se
sait
comme
corps.
Contrairement à
l'animal,
l'homme
se
représente.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'autre,
qui est le
désir
de
l'homme,
entre
dans la
médiatisation
du
langage.
*
L'homme
n'a
jamais
peur
que d'une
peur
imaginaire.
La
fonction
symbolique
chez
l'homme
constitue
un
univers
à
l'intérieur
duquel,
tout
ce qui est
humain
doit
s'ordonner.
En tant que
machines,
les
hommes
manifestent
une
plus
grande
liberté,
au
sens
de
multiplicité
de
choix
possibles,
que
l'animal.
L'homme
a beaucoup
plus
d'informations
sur la
réalité
qu'il n'en
acquiert
par la
simple
pulsation
de son
expérience.
*
Les
hommes
ne
pensent
que très
rarement.
Le
phénomène
du
rêve,
autant que le
symptôme,
a quelque
rapport
avec la
structure
du
langage
et à ce
rapport
de
l'homme
au
langage.
La
parole
est le
rapport
de
l'homme
au
langage.
Par
rapport
à la
loi,
l'homme
est
toujours
en posture de ne
jamais
complètement
la
comprendre,
car
aucun
homme
ne
peut
maîtriser
dans son
ensemble
la
loi
du
discours.
*
Rien
de ce qui est
fécond
pour
l'homme
ne se
passe
sinon par
l'intermédiaire
d'une
perte
de
l'objet.
La
fonction
fondamentale
du
narcissisme
structure
toutes
les
relations
de
l'homme
avec le
monde
extérieur.
L'homme
est
tout
entier
quelque
chose
qui se
situe
dans la
succession
des
messages.
Chacun des
choix
de
l'homme
est une
parole.
Le
rapport
fondamental
de
l'homme
à
l'ordre
symbolique
est celui qui
fonde
l'ordre
symbolique
lui-même, c'est
l'ordre
du
non-être
à
l'être.
*
Le
désir
de
l'homme
s'aliène
dans le
désir
de
l'autre
5
.
207
. [
Lac66a
, p. 343]
*
L'homme,
dans la
subordination
de son
être
à la
loi
de la
reconnaissance,
est traversé par les avenues de la
parole.
[
Lac66a
, p. 352]
Le
phénomène
analytique
est la
variété
phénoménale
la
plus
importante
et la
plus
révélatrice
des
rapports
de
l'homme
au
domaine
du
langage.
Entre
homme
et
femme
une
dissymétrie
essentielle
apparaît
au
niveau
du
signifiant,
au
niveau
du
symbolique.
La
symbolisation
du
sexe
de la
femme
n'est pas la
même
que la
symbolisation
du
sexe
de
l'homme.
C'est parce que
l'homme
a des
mots
qu'il
connaît
des
Choses.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant que la
fonction
de
l'homme
et de la
femme
est
symbolisée.
L'hystérique
homme
et
femme
se
pose
la
même
question,
celle qui
concerne
la
position
féminine.
L'homme
a quelque
chose
qui est
radicalement
inassimilable
au
signifiant.
L'homme
est
habité
par le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 35]
*
L'homme
est, dès
avant
sa
naissance
et au-delà de sa
mort,
pris
dans la
chaîne
symbolique.
[
Lac66a
, p. 468]
*
L'extériorité
du
symbolique
par
rapport
à
l'homme
est la
notion
même
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 469]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
Le
surmoi
et les
symptômes
sont des
signifiants
qui
marquent,
chez
l'homme,
sa
relation
au
signifiant.
5
.
208
La
nature,
telle qu'elle se
présente
à
l'homme,
est
toujours
profondément
dénaturée.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
L'homme
n'est pas simplement un
mâle
ou une
femelle,
mais il se
situe
par
rapport
à quelque
chose
de
symbolisé
qui
s'appelle
mâle
et
femelle.
*
C'est à travers
l'image
de
l'Autre
que
l'homme
trouve
l'unification
même
de ses
mouvements
les
plus
élémentaires.
Dès lors que
l'homme
est
entré
dans le
monde
symbolique,
rien
de la
demande
ne
peut
être
atteint,
sinon par une
sorte
de
succession
infinie
de
pas-de-sens.
Le
soi
de
l'homme
est
entièrement
engagé dans la
dialectique
du
langage.
Les
rapports
de
l'homme
au
langage
se font sous une
forme
aveugle
fermée.
La
lettre
produit
tous
ses
effets
de
vérité
dans
l'homme.
[
Lac66a
, p. 509]
C'est du
complexe
de
castration
que
dépend
que le
garçon
devienne
un
homme.
Dans la
mesure
où il n'accepte pas le
phallus,
cela
entraîne
homme
ou
femme
à
être
le
phallus.
*
En tant qu'il est
viril,
un
homme
est
toujours
plus
ou
moins
sa
métaphore.
Il s'agit pour la
fille
de
reconnaître
l'homme
en tant que celui qui
possède
le
pénis.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas un
rapport
pur
et
simple
de
désir.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas en
soi
un
rapport
à
l'objet.
L'homme
est un
animal
désirant.
Il n'y aurait pas
d'entrée
de
l'homme
dans la
culture
si ce
rapport
au
signifiant
n'y
était
à
l'origine.
Le
désir
est
articulé
pour autant qu'il est
lié
à la
présence
du
signifiant
dans
l'homme.
L'homme
n'est
jamais
viril
que par une
série
indéfinie
de
procurations.
L'autre
scène
est
nécessaire
à la
satisfaction
de
l'homme,
pour autant
qu'étant
un
être
parlant,
ses
satisfactions
doivent
passer
par
l'intermédiaire
de la
parole.
L'homme
se
constitue
en tant que
sujet
de la
parole.
L'homme
se
constitue
en tant que
je
de
l'acte
de la
parole.
Le
phallus
est le
signifiant
par excellence du
rapport
de
l'homme
au
signifié.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
de
l'homme
est pour lui à
rechercher
au
lieu
de
l'Autre.
Pour le
développement
de
l'homme,
le
complexe
de
castration
fait
qu'il a le
phallus
sur le
fond
qu'il ne l'a pas.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
L'être
de
l'homme
ne
peut
être
compris
sans
la
folie
qui est la
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 575]
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 628]
Il faut que
l'homme,
mâle
ou
femelle,
accepte
d'avoir
et de ne pas
avoir
le
phallus,
à partir de la
découverte
qu'il ne l'est pas. [
Lac66a
, p. 642]
*
Dans
l'homme
et par
l'homme,
ça
parle.
[
Lac66a
, p. 688]
Les
besoins
de
l'homme
sont
déviés,
du
fait
qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 690]
Les
besoins
de
l'homme
sont
assujettis
à la
demande;
ils lui
reviennent
aliénés.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
message
de
l'homme
est
émis
du
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 690]
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Pour autant que la
femme
symbolise
le
phallus,
l'homme
y
retrouve
le
complément
de son
être.
L'homme
dans
l'amour
est
aliéné
au
phallus
objet
de son
désir.
*
L'homme,
son
pénis
lui est
restitué
par un
certain
acte
dont à la
limite
ou
pourrait
dire
qu'il l'en
prive.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
La
castration,
est
l'essentiel
de la
marque
sur
l'homme
de son
rapport
au
logos
.
Le pas
Un
se
transforme
dans la
menace
de
castration
chez
l'homme.
La
réalité
se
pose
pour
l'homme
comme ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Toutes
les
formes
de la
Chose
représentées
par
l'homme
sont du
registre
de la
sublimation.
La
Chose
est ce qui du
réel
pâtit
de ce
rapport
fondamental,
initial
qui
engage
l'homme
dans les
voies
du
signifiant.
Ce que
demande
l'homme,
c'est
d'être
privé
de quelque
chose
de
réel.
*
Les
besoins
d'homme
se
logent
dans la
partie
symbolique.
L'inconscient
c'est la
mémoire
de ce que
l'homme
oublie.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
trouve
forme
comme
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
Dans le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre,
il s'agit de
détermination
subjective.
[
Lac66a
, p. 814]
Le
monde
n'est que ce que
l'homme
s'en
représente.
[
Lac84a
, p. 15]
L'entrée
de
l'homme
dans le
monde
est
marqué
par
l'entrée
dans le
jeu
implacable d'une
dette.
L'homme
est
coupable
de la charge de la
dette
qui le
précède.
Un
animal
parlant,
contrairement
à ce qui se passe chez
l'homme,
ne
prend
jamais
l'humain
pour un
autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
n'est
concevable
pour
l'homme
qu'à partir de la
fonction
du
grand
Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
se
situe
au
lieu
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Plus
l'homme
s'approche
de ce qu'il
croit
être
l'objet
de son
désir,
plus
il en est
détourné.
La
fonction
phallique
pour
l'homme
est
marquée
du
signe
moins.
Le
manque
de
l'objet
cause
du
désir
est
relié
chez
l'homme
au
.
L'angoisse
de
l'homme
est
liée
à la
possibilité
de ne pas
pouvoir.
*
Laisser
voir
son
désir
pour
l'homme,
c'est
essentiellement
laisser
voir
ce qu'il n'y a pas.
Pour
l'homme
au
départ,
c'est ce qu'il n'est pas qui
constitue
l'objet
de son
désir.
La
femme
n'a
aucun
risque à
rechercher
ce qu'il en est du
désir
de
l'homme.
*
La
jouissance
de la
femme
et de
l'homme
ne se
conjoignent
pas
organiquement.
Le
mode
le
plus
ordinaire de la
séduction
entre
sexes,
c'est de
faire
des
attributs
féminins
les
signes
de la
toute
puissance
de
l'homme.
L'homme
n'est dans la
femme
que par délégation de sa
présence,
sous la
forme
d'un
organe
caduc.
Une
praxis
désigne
une
action
concertée par
l'homme
qui le met en
mesure
de
traiter
le
réel
par le
symbolique.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
5
.
209
*
Il n'y a
d'acte
que
d'homme.
*
L'homme
pense
avec son
âme
5
.
210
.
le
sujet
du
désir
est
l'essence
de
l'homme.
L'homme,
au
contraire
de
l'animal,
n'est pas
entièrement
pris
dans la
capture
imaginaire.
L'homme
se
repère
dans la
capture
imaginaire
car il
peut
isoler la
fonction
de
l'écran.
L'homme
isole
la
fonction
d'écran
que
joue
la
capture
imaginaire.
*
Le
désir
de
l'homme
est
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
s'imagine
homme
seulement
de ce qu'il
s'imagine.
C'est par la
réalité
sexuelle
que le
signifiant
est
entré
au
monde
de
l'homme.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
Ce qu'il faut
faire
comme
homme
ou comme
femme,
l'être
humain
a
toujours
à
l'apprendre
de
toutes
pièces
de
l'Autre.
*
Le
désir
de
l'homme,
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Ce n'est qu'au
niveau
du
désir
de
l'Autre,
que
l'homme
peut
reconnaître
son
désir.
La
science
soutient
le
mode
d'existence
du
savant,
de
l'homme
de
science.
L'être
humain
doit
toujours
se fournir d'un
homoncule
dans sa
tête
pour
faire
d'un
réel
une
réalité.
[
Lac66a
, p. 846]
*
C'est grâce au
nom-du-père,
que
l'homme
ne
reste
pas
attaché
au
service
sexuel
de la
mère.
[
Lac66a
, p. 852]
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
[
Lac66a
, p. 859]
*
L'homme
persévère dans
l'être
comme
désir.
*
Dans la
jouissance
féminine
peut
entrer
comme
objet
le
désir
de
l'homme,
comme tel.
L'ordre
du
symbole
n'est pas
constitué
par
l'homme,
mais le
constitue.
[
Lac66a
, p. 46]
L'homme
pense
l'ordre
symbolique,
car il y est
d'abord
pris
dans son
être.
[
Lac66a
, p. 53]
L'homme
a pu
entrer
dans
l'ordre
symbolique,
comme
sujet,
par la
voie
d'une
béance
spécifique
de sa
relation
imaginaire
à son
semblable.
[
Lac66a
, p. 53]
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
*
L'objet
de la
psychanalyse
n'est pas
l'homme.
[
Lac66c
, p. 12]
L'être
de
l'homme
en tant que
verworfen
,
reparaît
dans le
réel,
cela
s'appelle
le
d'(être)itus
.
Pour
l'homme
le
manque
phallique
s'appelle
la
castration.
*
C'est pour autant que
l'homme
a
l'organe
phallique
qu'il ne l'est pas.
Le
phallus
doit
manquer
à celui qui l'a, c'est-à-dire à
l'homme.
*
L'homme
est
effectivement
le
premier
à
supporter
la
réalité
de ce
trou
introduit
dans la
jouissance.
*
Le
désir
de
l'homme
est
excentrique.
[
Lac68b
, p. 43]
*
Le
fou
c'est
l'homme
libre.
*
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
L'homme
et la
femme
finalement
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
L'homme
et la
femme
peuvent
aller
ensemble
sans
avoir
rien
à
voir
ensemble.
L'homme
et la
femme
n'ont
ensemble
rien
à
voir.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
*
L'homme
naît
dans un
bain
de
signifiants.
*
Toute
la
normativité
s'organise
pour
l'homme
comme pour la
femme
autour de la
passation
d'un
manque.
*
L'hystérique
fait
l'homme
qui
supposerait
la
femme
savoir.
Hommes
et
femmes,
quand ils se font
analyser
sont
forcés
d'en
passer
par la
loi
du
discours
de
l'hystérique.
*
L'hystérique
veut
que
l'homme
sache.
Les
femmes
sont
moins
enfermées dans le
cycle
des
discours
que
l'homme,
mâle,
viril.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
Ce n'est qu'à ce que
se
substitue
à la
femme
que
l'homme
la
désire.
L'homme
ne
sait
rien
de la
femme.
[
Lac70d
, p. 64]
La
femme
ne
sait
rien
de
l'homme.
[
Lac70d
, p. 64]
Dans
l'envie
du
pénis,
le
signifiant
homme
est
ressenti
comme
frustration.
[
Lac70d
, p. 90]
La
femme
est le
support
de cette
vérité,
de ce qu'il y a de
semblant
dans le
rapport
de
l'homme
à la
femme.
Le
désir
de
l'homme
est
lié
à sa
cause,
le
plus-de-jouir.
Le
rapport
de
l'homme
et de la
femme
est
radicalement
faussé,
de par la
loi
sexuelle.
Le
désir
de
l'homme
s'écrit
.
L'homme
est une
espèce
d'animal
qui
habite
le
langage.
Dans le
schéma
18.8.1
s'indique
:
un-en-peluce
,
,
hommoinzun
,
Homme,
Femme.
*
L'homme
est
fonction
phallique
en tant qu'il est
tout
homme.
*
Rien
ne
peut
être
fondé
du
statut
de
l'homme.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
L'homme,
la
femme
sont des
faits
de
discours.
L'homme
masculin
est
exposé
à la
castration.
L'œdipe
a l'avantage de
montrer
en quoi
l'homme
peut
répondre
à
l'exigence
du pas
plus
d'Un
qui est dans
l'être
d'une
femme.
*
Des
hommes
et des
femmes
c'est du
réel.
Qu'il y
ait
l'homme
et la
femme,
c'est
d'abord
affaire de
langage.
Il y a
béance
d'une
indétermination
du
rapport
commun
à la
jouissance
de
l'homme
et de la
femme.
définit
la
nécessité
qui rend
possible
l'existence
de
l'homme
comme
valeur
sexuelle.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
*
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
La
jouissance
phallique
est
l'obstacle
par quoi
l'homme
n'arrive
pas à
jouir
du
corps
de la
femme.
La
conjonction
des
termes
homme
et
femme
ne
peut
produire
rapport
sexuel.
[
Lac73b
, p. 3]
L'homme
et la
femme
habitent
le
langage.
[
Lac73a
, p. 11]
Dans le
rapport
entre
l'homme
et la
femme,
la
castration
elle est
partout.
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
L'homme
comme la
femme
font
semblant
chacun dans son
rôle.
*
Chez
l'homme,
la
castration,
c'est le
moyen
d'adaptation à la
survie.
Il n'y a que
deux
sexes,
les
hommes
et les
femmes.
*
L'universalité
des
hommes
est
sujette
à la
castration.
*
Tous les
hommes
sont en
puissance
de
castration.
L'homme
n'est
rien
qu'un
signifiant.
Entre
l'homme
et la
femme
se
situe
un
certain
Autre.
Pour
l'homme
il n'y a pas le
rapport
sexuel.
Pour
l'homme,
tout
est
fonction
de
.
Pour
tout
tel que
de
est la
fonction
phallique
de
l'homme
qui se note
Le
phallus
se
supporte
chez
l'homme
de la
jouissance
phallique.
cf:
20.8.1
L'homme
a affaire à
l'objet
. cf:
20.8.1
La
femme
ne
peut
aimer
en
l'homme
que la
façon
dont il
fait
face
au
savoir
dont il
âme.
*
L'homme
sait
déjà
tout
ce qu'il y a
savoir.
*
L'homme
pense
avec son
âme.
Un
homme
aime
une
femme
par
hasard.
L'homme
pense
de ce qu'une
structure
découpe
son
corps.
[
Lac74b
, p. 16]
*
Une
femme
ne
rencontre
L
'homme
que dans la
psychose.
[
Lac74b
, p. 63]
La
fonction
de
l'homme
par
rapport
à la
femme
s'écrit
.
L'homme
n'est pas la
femme.
La
classe
homme
n'est pas un
homme.
L'homme
est un
ensemble
ouvert.
*
L'hystérique
fait
l'homme.
Le
désir
de
l'homme
est le
désir
de
l'Autre.
Le
désir
de
l'homme
c'est le
désir
de
l'Autre.
*
L'inconscient
comme
savoir
dysharmonique
est
plus
étranger
à une
femme
qu'à
l'homme.
Ni
l'homme,
ni une
femme
n'est un
objet
.
La
fin
de la
vérité
est
qu'entre
homme
et
femme,
ça
ne marche pas.
L'homme
pense
en tant qu'il
parle.
Une
femme
est un
symptôme
pour
l'homme.
L'homme
dit
que le
corps,
il l'a.
L'homme
parl-être
veut
dire
qu'il
parle
signifiant
avec quoi la
notion
d'être
se
confond.
*
La
structure
de
l'homme
est
torique.
*
les
femmes
sont
plus
homme
5
.
211
que
l'homme.
L'homme
a une
structure.
*
L'homme
penche vers son
plaisir.
À
cause
de
l'existence
du
signifiant,
chez
l'homme
l'ensemble
de ce qui
pourrait
être
un
rapport
sexuel
est un
ensemble
vide.
[
Lac78
]
La
névrose
est, chez
l'homme,
naturelle
pour autant qu'il y a un
symbolique.
[
Lac78
]
C'est au
moment
où un
homme
est
femme
qu'il
aime.
[
Lac78
]
C'est au titre
d'homme
qu'un
homme
désire,
c'est-à-dire se
supporter
de
bander.
[
Lac78
]
*
L'homme
tient
beaucoup à
être
mortel.
[
Lac78
]
La
femme
n'a pas
moins
que
l'homme
la
jouissance
phallique.
[
Lac82b
, p. 83]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08