Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.19 S
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sémiotique
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sensation
Index:
Index
sens, non-sens
*
La
folie
est
vécue
toute
dans le
registre
du
sens.
[
Lac66a
, p. 166]
L'entreprise du
fou
est
insensée,
en ceci que le
sujet
ne
reconnaît
pas dans le
désordre
du
monde
la
manifestation
même
de son
être
actuel.
[
Lac66a
, pp. 171–172]
L'action
psychanalytique
se
développe
dans une
saisie
dialectique
du
sens.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Seul
un
sujet
peut
comprendre
un
sens.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Tout
phénomène
de
sens
implique
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 102]
Le
super-ego
est aussi une
loi
dépourvue de
sens
mais en
rapport
avec les
problèmes
de
langage.
Le
désir
de
l'homme
trouve
son
sens
dans le
désir
de
l'autre
parce que son
premier
objet
est
d'être
reconnu
par
l'autre.
[
Lac66a
, p. 268]
*
Need
et
demand
pour le
sujet
ont un
sens
diamétralement
opposé.
[
Lac66a
, p. 296]
Le
signifié
c'est le
sens.
Le
sens
du
signifié
est
nulle
part.
Nulle
partie
du
discours
n'a le
privilège
d'une
fonction
de
sens.
*
L'histoire
c'est le
passé
dans le
sens
où il est
historisé
dans le
présent.
La
morale
du
névrosé
est une
morale
insensée,
destructive,
purement
opprimante.
*
Chaque
fois
qu'un
homme
parle
à un
autre
d'une
façon
authentique
et
pleine,
c'est un
transfert
de
sens
où il se
passe
quelque
chose
qui
change
littéralement
la
nature
des
deux
êtres
en
présence.
Le
sens
plein
du
terme
image
se
définit
du
rapport
avec des
identifications
formatrices pour le
sujet.
Faire
une
analyse
de
transfert,
c'est
trouver
dans un
acte
son
sens
de
parole.
Tout
sémantème
a
toujours
plusieurs
sens.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
Tous les
actes
manqués
et
toutes
les
paroles
qui achoppent, sont des
paroles
qui
avouent
et des
actes
qui
réussissent
dans le
sens
d'une
vérité
qui
essentiellement
ment.
*
L'amour
au
sens
du
désir
d'être
aimé
est
essentiellement
tentative
de
capture
de
l'autre
dans
soi-même
objet,
pris
en tant
qu'objet.
En tant que
machines,
les
hommes
manifestent
une
plus
grande
liberté,
au
sens
de
multiplicité
de
choix
possibles,
que
l'animal.
L'analogie
entre
le
symptôme
névrotique
et le
sens
du
rêve
est
fondamentale.
*
Ce qui
s'opère
dans
l'appareil
nerveux,
peut
et
doit
aller dans certains
cas
en
sens
contraire,
c'est une
régression
topique.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
Irrationnel
dans
l'analyse
est
proche
de son
sens
en
mathématique.
*
La
question
du
sens
vient
avec la
parole.
Le
sens
c'est que
l'être
humain
n'est pas le
maître
du
langage
primordial
et
primitif.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
Chose,
même
au
sens
du
refoulé.
La
personnalité
du
sujet
recèle
un
sens,
celui d'un
conflit
refoulé.
[
Lac66a
, p. 341]
La
parole
donne
au
sens
son
support
dans le
symbole
qu'elle
incarne
par son
acte.
[
Lac66a
, p. 351]
La
notion
de
défense
n'a pas
d'autre
sens
que celui de se
défendre
contre une
tentation.
Le
sens
est un
mouvement.
Le
sens
va
toujours
vers une
autre
signification,
vers la
clôture
de la
signification.
Le
sens
renvoie
toujours
à quelque
chose
qui est
avant
5
.
451
ou qui
revient
sur lui-même.
5
.
452
Dans la
Verwerfung
,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
castration
même
au
sens
du
refoulement.
5
.
453
*
Le
réel
a
plus
d'un
sens.
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
La
dimension
ternaire
et
non
duelle
est
fondamentale
pour
donner
son
sens
inter-subjectif
au
jeu.
Le
transfert
se
passe
essentiellement
quand quelque
chose
prend
son
sens
du
fait
que
l'analyste
devient
le
lieu
du
transfert.
La
frustration
n'a de
sens
qu'autant que son
objet
subsiste
après la
frustration.
C'est en tant que
métaphorique
que la
névrose
hystérique
prend
son
sens
et
peut
être
dénouée.
5
.
454
Il y a un
non-sens
à
tout
usage
du
sens.
Le
sens
est
paradoxal
par
rapport
à
toute
signification
possible.
Au
début
l'enfant
ne
perçoit
de la
parole
de
l'adulte
que sa
structure
avant
d'en
percevoir
le
sens.
La
fonction
symbolique
est
seule
capable
de
rendre
compte
de la
détermination
dans le
sens
qu'est la
réalité
fondamentale
de
l'expérience
freudienne.
Il n'y a de
sens
que
métaphorique.
Dans la
formule
de la
métaphore
, où il y a
substitution
de
par
rapport
à
et
création
de
sens.
Le
sens
ne
surgit
que de la
substitution
d'un
signifiant
à un
signifiant
de la
chaîne
symbolique.
Les
vecteurs
et
du
graphe
, sont de
sens
contraires.
La
voie
signifiante
c'est la
voie
du
non-sens
maximum.
Le
sens
est
l'effet
essentiel
inhérent à la
nature
de la
chaîne
signifiante.
Dans la
chaîne
métonymique
il y a un
glissement
du
sens.
Par
rapport
au
mécanisme
de la
création
du
sens,
les
lois
du
signifiant
sont
premières.
L'homologation du
peu
de
sens
de la
phrase
est
toujours
plus
ou
moins
manifeste
dans le
trait
d'esprit.
Dès lors que
l'homme
est
entré
dans le
monde
symbolique,
rien
de la
demande
ne
peut
être
atteint,
sinon par une
sorte
de
succession
infinie
de
pas-de-sens.
Les
algorithmes
mathématiques
sont
sans
aucun
sens.
[
Lac66a
, p. 498]
Le
signifiant,
de sa
nature,
anticipe
toujours
sur le
sens,
en déployant au devant de lui sa
dimension.
[
Lac66a
, p. 502]
C'est dans la
chaîne
du
signifiant
que le
sens
insiste.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
mécanisme
à
double
détente
de la
métaphore
est celui-là
même
où se
détermine
le
symptôme
au
sens
analytique.
[
Lac66a
, p. 518]
Le
symptôme
est quelque
chose
qui va dans le
sens
de la
reconnaissance
du
désir.
Dans la
métaphore
quelque
chose
de
nouveau
surgit
qui est un
sens,
un
signifié.
La
métaphore
est un
effet
de
sens
positif.
[
Lac66a
, p. 622]
La
métaphore
est un
certain
passage
du
sujet
au
sens
du
désir.
[
Lac66a
, p. 622]
Au
fondement
du
désir
s'avère
peu
de
sens.
[
Lac66a
, p. 622]
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
Le
signifié
de
l'Autre
modèle
le
sens
du
dire.
cf
6.9.1
*
L'histoire
du
désir
s'organise
en un
discours
qui se
développe
dans
l'insensé
L'insensé
c'est
l'inconscient.
Le
sens
de
l'inconscient
a
toutes
les
caractéristiques
de la
fonction
de la
chaîne
signifiantes
comme telle.
Dans
l'incroyance,
la
Chose
est
rejetée
au
sens
propre
de la
Verwerfung
.
La
Chose
est exaltée au
sens
de
l'amour
courtois.
*
La
transgression
dans le
sens
de la
jouissance
ne
s'accomplit
qu'à s'appuyer sur le
principe
contraire,
sur les
formes
de la
loi.
s'indique
comme la
réponse
dernière
demandée
à
l'Autre
du
sens
de la
loi
qu'il
articule
pour nous au
plus
profond
de
l'inconscient.
Catharsis
a le
sens
de
purification
du
désir.
La
sublimation
courtoise
est le
contresens
romantique, à
savoir
la surestimation
narcissique
du
sujet
supposé
dans
l'objet
aimé.
Il n'y a
rien
dans la
métaphore
qui justifie
d'opposer
le
sens
propre
au
sens
figuré.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
L'analyste
est en posture de
formuler,
“
tu
dis
la
vérité
”, et son
interprétation
n'a de
sens
que dans cette
dimension.
L'aliénation
consiste
dans ce
vel,
qui condamne le
sujet
à
n'apparaître
que dans une
division
où il
apparaît,
d'un coté comme
sens
produit
par le
signifiant,
de
l'autre
comme
aphanisis
.
L'interprétation
ne
vise
pas le
sens.
L'interprétation
vise
à
réduire
les
signifiants
dans leur
non-sens.
La
division
du
sujet
se
manifeste
de ce que le
sujet
apparaît
quelque part comme
sens,
et
ailleurs,
se
manifeste
comme
disparition
ou
fading
.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
*
Il n'y a de
surgissement
du
sujet
au
niveau
du
sens,
que de
l'
aphanisis
du
sujet
en
l'autre
lieu
qui est celui de
l'inconscient.
Il y a du
signifiant
au
signifié
un
rapport
qui est celui
d'effet
de
sens.
La
barre,
séparant
signifiant
et
signifié,
est à
prendre
au
sens
mathématique
du
trait
de
fraction.
L'interprétation
n'est pas
ouverte
à
tout
sens.
L'interprétation
est un
non-sens,
un
signifié,
une
signification
particulière.
Le
signifiant
est un
non-sens
irréductible,
traumatique.
*
Le
signifiant
primordial
est
pur
non-sens.
Le
signifiant
primordial
abolit
tous
les
sens.
Le
signifiant
primordial
fonde
le
sens
et le
non-sens
radical
du
sujet.
Le
signifiant
primordial
constitue
le
sujet
dans sa
liberté
à l'égard de
tous
les
sens.
Le
signifiant,
dans
l'inconscient
n'est pas
ouvert
à
tous
les
sens.
Par la
fonction
de
l'objet
,
le
sujet
se
sépare,
cesse
d'être
lié
à la
vacillation
de
l'être,
au
sens
qui
fait
l'essentiel
de
l'aliénation.
L'interprétation
n'est pas
ouverte
à
tous
les
sens.
La
liquidation
du
transfert,
signifie
la
permanente
liquidation
de la
tromperie,
par où le
transfert
tend à
s'exercer
dans le
sens
de la
fermeture
de
l'inconscient.
*
Le
transfert
est ce qui s'exerce dans le
sens
de ramener la
demande
à
l'identification.
cf:
11.20.3
Le
désir
de
l'analyste
tend dans le
sens
exactement
contraire
à
l'identification.
C'est au
niveau
de la
barre
de la
formule
que se
produit
l'effet
de
sens.
L'effet
de
sens
dans la
phrase
exige
pour se
boucler
son
dernier
mot.
[
Lac66a
, p. 838]
*
Ce n'est pas
l'effet
de
sens
qui
opère
dans
l'interprétation.
[
Lac66a
, p. 842]
Le
signifiant
comme tel, a, en
barrant
le
sujet
par
première
intention,
fait
entrer
en lui le
sens
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
La
fonction
de
l'aliénation,
c'est un
choix
qui n'en est pas un, en ce
sens
qu'on
y
perd
toujours
quelque
chose.
Le
sujet
barré
c'est ce qui
représente,
pour un
signifiant,
un
sens.
*
Le
signifiant
n'a de
sens
que de sa
relation
à un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 234]
*
Tout
ce qui a simplement
forme
grammaticale,
fait
sens.
Le
sens
logique
originel
de la
castration
c'est qu'au
niveau
des
Bedeutungen
,
des
significations,
le
langage
mathématiquement
fait
défaut.
L'Autre
c'est aussi le
symptôme
sans
son
sens
privé
de sa
vérité,
mais chargé
toujours
plus
de ce qu'il
contient
de
savoir.
*
Un
renversement
c'est un
sens.
*
L'être
de la
pensée
est la
cause
d'une
pensée
en tant que
hors
de
sens.
*
Tout
passage
à
l'acte
ne
s'opère
qu'à
contresens.
[
Lac84b
, p. 15]
L'interprétation
analytique
vise
un
effet
de
savoir
qu'elle rend
sensible
au titre de sa
vérité.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
au
sens
où cet
acte
serait celui d'un
juste
rapport.
*
Il n'y a que
l'acte
sexuel
au
sens
où il n'y a que
l'acte,
pour
faire
rapport.
Le
maître
au
sens
moderne, c'est le
capitaliste.
C'est avec le
savoir
en tant que
moyen
de la
jouissance
que se
produit
ce
travail
qui a un
sens
de
vérité.
*
Le
signifiant
ne
concerne
pas
l'objet
mais le
sens.
Le
sens
a
seulement
charge
d'être.
Le
seul
sens
à
donner
à la neutralité
analytique
est de ne pas
participer
aux
passions
fondamentales.
La
métaphore
obtient un
effet
de
sens
d'un
signifiant.
[
Lac70d
, p. 68]
Le
mot
d'esprit
ça
repose
sur le
nonsense
.
Le
principe
du
plaisir
a pour
sens,
pas trop de
jouissance,
car
l'étoffe
de
toutes
les
jouissances
confine à la
souffrance.
Le
rapport
sexuel
n'est pas, en ce
sens
qu'on
ne
peut
l'écrire.
Chez les
mystiques,
le
non-savoir
ça a un
sens.
Il y a
deux
sens
du
symptôme.
La
métaphore
sert
à
faire
surgir
un
sens
qui
dépasse
de beaucoup les
moyens.
L'objet
c'est un
objet,
seulement
en ce
sens
qu'il se
substitue
définitivement à
toute
notion
de
l'objet
comme
supporté
par un
sujet.
*
L'objet
n'est un
objet
qu'en ce
sens
qu'il est là pour
affirmer
que
rien
de
l'ordre
du
savoir
n'est
sans
le
produire.
Le
langage
fait
sens
car il n'est
jamais
le décalque des
choses.
Le
sens
du
discours
reste
voilé.
Ce qui
constitue
le
discours
c'est
l'absence
de
sens.
C'est d'un
nœud
de
sens
que
surgit
l'objet
.
*
Le
sens
d'un
discours
ne se
produit
jamais
que d'un
autre.
[
Lac81a
, p. 3]
C'est de la
place
du
semblant,
qu'un
dire
prend
son
sens.
[
Lac73a
, p. 7]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
*
L'être
n'a par lui-même
aucune
espèce
de
sens.
[
Lac73a
, p. 29]
Le
sens
se
produit
de la
traduction
d'un
discours
dans un
autre.
[
Lac73a
, p. 36]
*
L'interprétation
est du
sens,
et va contre la
signification.
[
Lac73a
, p. 37]
Il y a
trois
dit-mansions
de
l'impossible,
qui se
déploient
dans le
sexe,
le
sens
et la
signification.
[
Lac73a
, p. 44]
*
Il y a du
sens,
mais il n'y en a pas de
commun.
L'objet
est
étranger
à la
question
du
sens.
Il est
strictement
impossible
de
donner
à quoi que ce soit qui
s'articule
en
termes
algébriques
ou
topologiques,
un
sens.
Le
signifié
d'un
signifiant
c'est là où
s'accroche
quelque
chose
qui
peut
ressembler
à un
sens.
Le
sens
est
énigme
justement parce qu'il est
sens.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
La
situation
qui
résulte
du
discours
analytique
vise
au
sens.
Le
discours
analytique
fait
surgir
que le
sens
est de
semblant.
est le
signifiant
qui
symbolise
l'échec
du
sens.
*
Le
rapport
sexuel
s'abîme
dans le
non-sens.
*
L'énigme
c'est le
comble
du
sens.
*
L'imaginaire
c'est ce qui
arrête
le
déchiffrage,
c'est le
sens.
Le
sens
sexuel
ne se
définit
que ne pas
pouvoir
s'écrire.
Le
seul
sens
de
l'interprétation
c'est la
jouissance.
*
Il n'y a de
vérité
que de ce qui n'a
aucun
sens.
*
La batterie
signifiante
de
lalangue
ne fournit que le
chiffre
du
sens.
[
Lac74b
, p. 21]
Les
chaînes
signifiantes
ne sont pas de
sens,
mais de
jouis-sens.
[
Lac74b
, p. 22]
Le
comble
du
sens,
c'est
l'énigme.
[
Lac75d
, p. 11]
*
Le
sens
se
sait.
*
Tout
ce qui
fait
sens
dans
lalangue
s'avère
lié
à
l'ex-sistence
de cette
langue.
Le
sens
supplée
au
sexuel.
*
Réel,
symbolique
et
imaginaire
ont un
sens.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
véhiculent un
sens.
*
L'équivoque,
ça n'est pas le
sens.
*
Le
sens
c'est ce par quoi
répond
quelque
chose
qui est
autre
que le
symbolique.
Le
sens
répond
de
l'imaginaire.
Dans
l'imaginaire
et dans le
symbolique
s'inscrivent
la
fonction
du
sens.
La
jouissance
participe
de
l'imaginaire
du
sens.
Il n'y a pas d'autre
idée
sensible
du
réel
que de se
supporter
d'une
écriture.
*
Au
regard
du
réel,
c'est d'autre
chose
que de
sens
qu'il s'agit dans la
jouissance.
Le
signifiant
est
dépourvu
de
sens.
L'existence
ne se
définit
qu'à
l'effacement
de
tout
sens.
Il y a un
rapport
du
sens
à la
jouissance
phallique.
[
Lac74a
, p. 9]
*
Le
sens
du
sens
est qu'il se
lie
à la
jouissance
du
garçon
comme
interdite.
[
Lac74a
, p. 10]
Le
sens
répond
du
réel.
*
Le
propre
du
sens
c'est
qu'on
y
nomme
quelque
chose.
*
Le
réel
c'est ce qui
ex-siste
au
sens.
Le
réel
c'est
l'expulsé
du
sens,
c'est
l'impossible.
*
Le
réel
se
démontre
de
n'avoir
pas de
sens.
La
parole
se
définit
d'être
le
seul
lieu
où
l'être
ait
un
sens.
[
Lac75e
, p. 13]
Le
sens
de
l'être
est de présider à
l'avoir.
[
Lac75e
, p. 13]
La
grammaire
fait
scie du
sens.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
sens
est
autre
au
langage.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
réel
est
complètement
dénué de
sens.
*
La
psychose
est
pleine
de
sens.
Le
réel
se
fonde
par le
sens
qui en est
exclu.
La
forme
la
plus
dépourvue de
sens
de ce qui
s'imagine,
c'est la
consistance.
*
Le
sens
résulte
d'un
champ
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Un
sens
est
l'objet
de la
réponse
de
l'analyste
à
l'exposé
par
l'analysant
tout
au long de son
symptôme.
Jouis-sens
c'est
rendre
la
jouissance
possible,
c'est
ouïr
un
sens.
*
N'est
vrai
que ce qui a un
sens.
Le
réel
n'a
aucun
sens.
*
Le
réel
a et n'a pas un
sens
en ce que son
champ
en est
distinct.
Le
réel
est
dépourvu
de
sens.
Il n'y a que du
savoir
au
sens
de
bévue.
Le
signifiant
a des
effets
de
sens.
*
La
duplicité
de
sens
est
commune
à
tout
signifiant.
Le
réel
exclut
le
sens.
*
La
parole
pleine
c'est la
parole
pleine
de
sens.
*
La
volonté
de
sens
consiste
à
éliminer
le
double
sens.
*
Le
désir
a un
sens.
*
Le
sens
c'est ce qui
résonne
5
.
455
à l'aide du
signifiant.
*
La
notion
de
réel
exclue
5
.
456
le
sens.
*
La stabilité de la
religion
vient
de ce que le
sens
est
toujours
religieux.
[
Lac82e
, p. 81]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08