personne

$0112008_{1954}$
La névrose de transfert noue dans ses fils  la personne imaginaire de l'analyste.
$0013004_{1955}$
* La personnalité du sujet est structurée comme le symptôme qu'elle ressent comme étranger. [Lac66a, p. 341]
$0013005_{1955}$
La personnalité du sujet recèle un sens, celui d'un conflit refoulé. [Lac66a, p. 341]
$0315020_{1956}$
Est naturel le champ de la science où il n'y a personne qui se sert du signifiant pour signifier.
$0322005_{1956}$
Les personnes5.354 viennent d'abord d'une façon signifiante, c'est-à-dire formelle.
$0322019_{1956}$
* Il n'y a pas de troisième personne.5.355
$0324009_{1956}$
L'usage de la troisième personne est absolument essentiel au discours en tant qu'il désigne ce qui est le sujet même du discours.
$0417011_{1957}$
* Le trait d'esprit comporte toujours la notion d'une troisième personne.
$0422005_{1957}$
Une personne c'est ce quelque chose qui peut dire je.
$0506015_{1957}$
La transmission du mot d'esprit nécessite trois personnes.
$0022003_{1958}$
L'interprétation, que donne le psychanalyste, est reçue comme venant de la personne que le transfert lui impute d'être. [Lac66a, p. 591]
$0725003_{1960}$
L'analyste paye de sa personne en ceci, que par le transfert, il est littéralement dépossédé de l'analyse.
$1620017_{1969}$
Il y a une distinction structurelle complète entre un sujet et une personne.
$2007012_{1973}$
La personne c'est toujours le discours du maître.
$2303009_{1975}$
La psychose paranoïaque et la personnalité c'est la même chose.
$3601002_{1975}$
* Personne ne pense.

Jacques B. Siboni 2024-11-08