Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.16 P
Précédent:
poussée
Suivant:
praxis, pratique
Index:
Index
pouvoir
*
Seul
un
sujet
peut
comprendre
un
sens.
[
Lac66a
, p. 102]
L'ordre
des
satisfactions
imaginaires
ne
peut
se
trouver
que dans
l'ordre
des
registres
sexuels.
*
C'est dans un
rapport
à
trois
et
non
pas dans une
relation
à
deux,
que
peut
se
formuler
pleinement, dans sa
complétude,
l'expérience
analytique.
C'est la
parole,
la
fonction
symbolique
qui
peut
définir
le
plus
ou
moins
grand
degré
de perfection, de
complétude,
d'approximation de
l'imaginaire.
C'est au
moment
où ce qui est près d'éclore, de
surgir
dans
l'imaginaire,
est en
même
temps
là dans
l'analyse,
dans la
relation
verbale
avec
l'analyste,
que
l'interprétation
étant
donnée,
sa
valeur
décisive, mutatiste
peut
s'exercer.
La
perversion
ne
peut
s'exercer,
se
soutenir
que dans un
statut
précaire qui, à chaque
instant,
est
contesté
pour le
sujet
lui-même.
À partir du
moment
où le
monde
symbolique
est
fondé,
le
moi
peut
servir
de
symbole.
*
Le
refoulement
ne
peut
être
distingué
du
retour
du
refoulé.
[
Lac66a
, p. 386]
L'inconscient
est ce qui ne
peut
être
atteint
comme tel.
Par
rapport
à la
loi,
l'homme
est
toujours
en posture de ne
jamais
complètement
la
comprendre,
car
aucun
homme
ne
peut
maîtriser
dans son
ensemble
la
loi
du
discours.
*
Ce qui
s'opère
dans
l'appareil
nerveux,
peut
et
doit
aller dans certains
cas
en
sens
contraire,
c'est une
régression
topique.
La
relation
symbolique,
le
pouvoir
de
nommer
les
objets,
est quelque
chose
qui
intervient
comme
absolument
essentiel
pour
structurer
la
perception
elle-même.
Dans la
position
de
l'obsessionnel,
tout
ce qui est de
l'ordre
du
don
est
absolument
pris
dans le
réseau
narcissique
dont il ne
peut
pas
sortir.
L'analyste
ne
peut
être
qu'à la
place
de
l'ego
qu'il
observe.
C'est au
niveau
irrationnel
du
discours
que
peuvent
intervenir
les
images
dans leur
valeur
symbolique.
La
rencontre
du
moi
avec son
reflet
le
dépossède
de
tout
ce qu'il
peut
atteindre
en tant qu'il est
moi.
Le
langage
peut
opérer
dans les
messages
d'une
façon
efficace
par la
totalité
d'une
signification.
Le
phénomène
psychotique
est une
signification
énorme
qui
peut
surgir
dans la
réalité
qui n'est
jamais
entrée
dans le
système
de la
symbolisation.
Dans la
psychose
le
sujet
ne
peut
rétablir
le
pacte
du
sujet
à
l'Autre,
ne
peut
faire
une
médiation
entre
ce qui est
nouveau,
ce qui
apparaît
et lui-même.
*
Il
peut
y
avoir
un
signifiant
inconscient.
La
psychose
ne
peut
se
résoudre
par un
mode
d'abord
sur le
plan
de
l'imaginaire.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
peut
se
reconstituer
que dans
l'aliénation
5
.
373
imaginaire.
Le
signifiant
est le
symbolique
en tant qu'il
donne
une
forme
dans laquelle
peut
s'insérer
le
sujet
au
niveau
de
l'être.
C'est dans la
mesure
où une
notion
peut
être mise en
doute
qu'elle est un
signifiant
véritable.
C'est
seulement
sur le
fondement
de la
métonymie
que la
métaphore
peut
intervenir.
Toute
entrée
dans les
psychoses,
c'est le
moment
où, du
champ
de
l'Autre,
vient
l'appel
d'un
signifiant
essentiel
qui ne
peut
pas
être
reçu.
Dans la
psychose,
il y a
rencontre
avec le
signifiant
qui ne
peut
pas être
assimilé.
*
La
théorie
analytique
et la
pratique
ne
peuvent
pas se
séparer,
se
dissocier
l'une de
l'autre.
*
Le
phallicisme
imaginaire
ne
peut
se
réduire
à quelque
donnée
réelle.
Ce qui est
signifiant
de quelque
chose
peut
devenir
signifiant
d'autre
chose.
*
Un
objet
peut
commencer
à
exercer
son
influence
dans les
relations
du
sujet
bien
avant
d'avoir
été
perçu
comme
objet.
Entre
un
sujet
et
l'objet
extérieur
qui est
l'analyste,
il ne
peut
en
principe
s'établir
que la
relation
pulsionnelle
primitive.
À
l'intérieur
de la
convention
analytique,
la
manifestation
motrice
de la
pulsion
ne
peut
pas se
produire.
Le
signifiant
peut
changer
de
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
signifiant
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
symbolique
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Une
écriture
peut
être
figurative,
elle est
toujours,
comme un
langage,
articulée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
La
frustration
c'est surtout
l'amour
de celui qui
peut
faire
un
don.
La
demande
a en elle-même quelque
chose
qui
fait
qu'elle ne
peut
jamais
comme telle, être
exaucée.
*
C'est
l'institution
du
manque
dans la
relation
à
l'objet
comme
étant
l'ordre
même
dans lequel un
amour
idéal
peut
s'épanouir.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
Il y a dans le
don
d'amour
quelque
chose
de
donné
pour
rien,
et qui ne
peut
être que
rien.
C'est en tant que
métaphorique
que la
névrose
hystérique
prend
son
sens
et
peut
être
dénouée.
5
.
374
Le
phallus
peut
faire
à l'occasion
l'objet
d'une
nostalgie
imaginaire
de la
part
de la
femme.
L'absence
de
phallus
symbolique
chez la
femme
a pour
conséquence
qu'elle
peut
l'avoir.
La
petite
fille
entre
dans le
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
elle
peut
l'avoir.
Le
petit
garçon
sort
du
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
il
peut
l'avoir.
Le
fétiche
peut
être
désigné
comme le
point
d'un
refoulement.
Versagung
peut
vouloir
dire
promesse
et
rupture
de
promesse.
À une
frustration
symbolique
peut
toujours
succéder
de la
régression.
*
C'est
seulement
en tant que quelque
chose
donne
à la
mère
le
phallus
qu'elle
peut
être
satisfaite.
L'objet
phallique
peut
être
à la
fois
là et pas là,
présent
et
absent,
insuffisamment
présent.
La
mère
objet
d'amour,
peut
être à chaque
instant
la
mère
réelle
pour autant qu'elle
frustre
cet
amour.
L'offrande
phallique
que
fait
l'enfant
à sa
mère
peut
être
identification
à la
mère,
identification
au
phallus,
identification
à la
mère
comme
porteuse
du
phallus,
porteur
lui-même du
phallus.
L'enfant
atteste
à la
mère
qu'il
peut
la
combler
dans une
relation
imaginaire
leurrante.
Nul
élément
signifiant
ne
peut
être
considéré
comme ayant une
portée
univoque,
comme
étant
d'aucune
façon
équivalent
comme tel à
aucun
de ces
objets.
Aucun
élément
signifiant
ne
peut
être
considéré
comme
indépendant
des
autres.
L'association
métaphorique
répond
à un
mot
par un
autre
qui
peut
lui être
substitué.
L'association
métonymique
donne
à un
mot
le
mot
suivant
qui
peut
venir
dans la
phrase.
La
théorie
analytique
de
l'œdipe
pointe
que le
réel
ne
peut
être
réordonné
dans sa
nouvelle
configuration
symbolique
qu'au
prix
d'une
réactivation
régressive
de
tous
les
éléments
les
plus
imaginaires.
La
mère
est
symbolique
en tant qu'elle
peut
être
absente
ou
présente.
Une
personne
c'est ce quelque
chose
qui
peut
dire
je.
La
notion
de la
privation
est
nécessaire
à
assumer
par le
sujet
pour
pouvoir
assumer
pleinement son
propre
sexe.
La
métaphore
exerce sa
fonction
de
création
de
signifié
à la
place
où la
substitution
peut
se
produire.
La
métonymie
est la
structure
fondamentale
dans laquelle
peut
se
produire
ce quelque
chose
de
nouveau
et de
créatif
qui est la
métaphore.
Dès lors que
l'homme
est
entré
dans le
monde
symbolique,
rien
de la
demande
ne
peut
être
atteint,
sinon par une
sorte
de
succession
infinie
de
pas-de-sens.
*
Si le
symptôme
peut
être
lu,
c'est parce qu'il est déjà lui-même
inscrit
dans un
procès
d'écriture.
[
Lac66a
, pp. 444–445]
La
structure
métonymique
peut
être
symbolisée
par la
formule
:
le
signe
manifeste
la
barre
de
sur
.
[
Lac66a
, p. 515]
Le
nom-du-père
peut
à l'occasion
manquer.
C'est pour autant que le
père
devient
un
objet
préférable à la
mère
que va
pouvoir
s'établir
l'identification
terminale.
Dès que
l'enfant
commence
à
pouvoir
opposer
deux
phonèmes,
ce sont déjà
deux
vocables.
Le
refoulement
ne
peut
se
concevoir
qu'en tant que
lié
à une
chaîne
signifiante
articulée.
C'est grâce à la
mutilation
fondamentale
que le
phallus
devient
le
signifiant
du
pouvoir.
Il ne
peut
y
avoir
de
dialectique
de
privation
que quand il s'agit de quelque
chose
que le
sujet
peut
symboliser.
Le
signifiant
peut
être
substitué
à lui-même.
*
Faute de la
satisfaction,
c'est au
sujet
qui
peut
accéder
à la
demande,
que le
sujet
s'identifie.
*
Le
signifiant,
comme tel, c'est quelque
chose
qui
peut
être
effacé,
qui ne laisse plus que sa
place.
*
Une des
dimensions
fondamentales
du
signifiant,
c'est de
pouvoir
s'annuler
lui-même.
*
Toute
espèce
de
signifiant
est, de sa
nature,
quelque
chose
qui
peut
être
barré.
C'est
uniquement
à partir du
moment
où il
peut
être
barré,
que quelque
signifiant
acquiert
son
statut
propre.
L'hystérique
ne
sait
pas qu'il ne
peut
pas
être
satisfait
dans la
demande.
Il y a
toujours
quelque
chose
qui
reste
au-delà
de ce qui
peut
se
satisfaire
par
l'intermédiaire
de ce
signifiant,
par la
demande.
Pour ce qui est du
signifiant
phallus,
le
sujet
peut
l'avoir
ou
l'être.
Le
sujet
ne
peut
avoir
le
phallus
que sur le
fond
de ceci qu'il ne l'a pas.
Il n'y a que dans le
rêve
sur le
plan
de
l'être
que le
Wunsch
puisse
se
satisfaire.
Ne
peut
être
refoulé
que le
représentant
de la
représentation,
le
Vorstellungsrepräsentanz
.
Quelque
chose
qui se
pose
comme
pouvant
être
effacé
inaugure le
signifiant.
Le
signifiant
spécifique
est quelque
chose
qui se
présente
comme
pouvant
être
effacé,
et qui dans cette
opération
de
l'effacement
comme tel
subsiste.
est le
lieu
d'où
peut
se poser au
sujet
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
L'attribution
de la
procréation
au
père
ne
peut
être
l'effet
que d'un
pur
signifiant,
d'une
reconnaissance
du
nom-du-père.
[
Lac66a
, p. 556]
L'être
de
l'homme
ne
peut
être
compris
sans
la
folie
qui est la
limite
de sa
liberté.
[
Lac66a
, p. 575]
*
Un
dévoilement
de
l'Autre
intéressé
dans le
transfert
peut
modifier
une
défense
commandée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 732]
Le
phallus
on
ne
peut
pas
l'être
et
l'avoir.
*
L'homme,
son
pénis
lui est
restitué
par un
certain
acte
dont à la
limite
ou
pourrait
dire
qu'il l'en
prive.
*
L'enfant
s'identifie
à une certaine
position
de son
être
dans les
pouvoirs
de la
mère,
qu'il se
réalise.
Il n'y a dans
l'Autre
aucun
signifiant
qui
puisse
répondre
à la
question
de ce que
je
suis.
Le
sujet
peut
être en
position
d'éclipse.
La
castration
peut
être
assumée
sur le
plan
imaginaire.
*
C'est pour autant que
l'Autre
est un
sujet
comme tel, que le
sujet,
à ce
moment,
s'instaure
et
peut
s'instituer
lui-même comme
sujet.
Le
sujet
ne
peut
se
situer
dans le
désir
sans
se
châtrer.
*
Il ne
peut
y
avoir
d'autre
sujet
qu'un
sujet
pour un
sujet.
Le
sujet
premier
ne
peut
s'instituer
comme tel que comme
sujet
de la
parole.
*
La
demande
institue
l'Autre
à qui elle
s'adresse
comme celui qui
peut
être
présent
ou
absent.
*
L'objet
a cette
fonction
précisément de
signifier
ce
point
où le
sujet
ne
peut
se
nommer.
Le
sujet
peut
soutenir
son
désir
devant le
désir
de
l'Autre,
comme
désir
insatisfait
chez
l'hystérique.
La
métonymie
régressive
du
névrosé
a pour
conséquence
qu'il ne
peut
demander
que des
substituts
en croyant
demander
ce qu'il
désire.
*
Le
névrosé
ne
peut
être
le
phallus
qu'au
nom
de
l'Autre.
*
Ce qui est
connu
ne
peut
être
connu
qu'en
paroles.
Le
sujet
ne
peut
pas
supporter
l'extrême du
bien
que
peut
lui
apporter
das Ding
.
Du
rapport
de la
morale,
le
réel
peut
être
la
garantie
de la
Chose.
Chez
l'individu,
quelque
chose
ne
peut
pas
être
sublimé
faute
de quoi des
dommages,
des
perturbations
graves
s'ensuivent.
*
La
pulsion
peut
trouver
son
but
ailleurs
que dans ce qui est son
but.
La
Chose
ne
peut
être
représentée
que par un
vide.
La
Chose
ne
peut
qu'être
représentée
par autre
chose.
*
Ce qui
peut
être
atteint
dans la
Chose,
c'est justement la
Chose
et
non
pas un
objet.
La
pensée,
dans sa
manifestation,
sa
présentification
dans le
monde,
ne
peut
se
trouver
que dans les
intervalles
du
signifiant.
Ce qu'un
sujet
comme tel
représente,
c'est qu'il
peut
oublier.
L'analyste
ne
peut
pas
savoir
ce qu'il
fait
en
psychanalyse.
L'analyste
ne
peut
pas
désirer
l'impossible.
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable
dans la
perspective
analytique,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
*
La
seule
chose
dont
on
puisse
être
coupable,
c'est
d'avoir
cédé
sur son
désir.
Le
signifiant
exige
le
lieu
de
l'Autre
pour que la
parole
qu'il
supporte
puisse
mentir,
c'est-à-dire se poser comme
vérité.
[
Lac66a
, p. 807]
*
La
castration
veut
dire
qu'il faut que la
jouissance
soit
refusée,
pour qu'elle
puisse
être
atteinte
sur l'échelle
renversée
de la
loi
du
désir.
[
Lac66a
, p. 827]
L'amour
ne
peut
être
articulé
qu'autour du
manque
du
fait
qu'il y a
désir.
La
vacillation
du
sujet
est comme
constituant
le
fantasme
fondamental
instaurant
le
lieu
où le
sujet
peut
se
fixer
comme
désir.
Quand
l'analyste
croit
pouvoir
répondre
à la
demande
apparaît
le
sentiment
de
comprendre.
Le
désir
naturel
a cette
dimension
de ne
pouvoir
se
dire
d'aucune
façon.
est le
seul
point
où
peut
se placer un
sujet.
La
formule
du
fantasme
peut
se
lire,
barré
désir
de
.
La
notation
du
fantasme
peut
se
lire,
désir
de
,
l'objet
du
désir.
*
Il n'y a
d'amour
que pour un
être
qui
peut
parler.
*
On
ne
peut
aimer
qu'à se
faire
comme n'ayant pas,
même
si
l'on
a.
*
C'est de
cesser
de
penser
que
je
peux
entrevoir
que
je
sois.
Le
signifiant
est
fécond
de ne
pouvoir
être
en
aucun
cas
identique
à lui-même.
*
Le
signifiant
ne
peut
se
définir,
sinon que comme
n'étant
pas ce que sont les
autres
signifiants.
L'inconscient,
par son
statut
de
position
et de
structure,
ne
peut
pénétrer
au
niveau
où il est
susceptible
d'une
verbalisation
5
.
375
inconsciente.
*
L'hystérique
se
pose
comme
signe
de quelque
chose
à quoi
l'Autre
pourrait
croire.
Le
seul
Autre
réel
est ce dont
on
pourrait
jouir
sans
la
loi.
est le
produit
de
mon
désir
par le
désir
de
l'Autre,
ça
ne
peut
donner
qu'un
manque
.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
Quand se
produit
l'angoisse,
il y a du
dire
et du
pouvant
être
dit.
*
La
fonction
du
signifiant
exclut
que le
signifiant
puisse
se
signifier
lui-même.
*
Le
phallus,
dans sa
fonction
radicale,
est ce
seul
signifiant
qui
peut
se
signifier
lui-même.
*
Ce qui se
répète
comme
signifiant
n'est
différent
que de
pouvoir
être
inscrit.
C'est parce que le
réel
présente
des
surfaces
naturelles
que le
signifiant
peut
y
entrer.
*
C'est à la lumière de la
castration
que
peut
se
comprendre
la
fécondité
du thème
privatif.
Seule la
castration
est un
objet
qui
peut
être
numérique.
Pour que le
symptôme
puisse
être
interprété,
il faut qu'il y
ait
transfert
c'est-à-dire,
introduction
de
l'Autre.
Une
privation
comme telle
peut
être
réduite.
Le
contre-transfert
est ce qui, dans la
relation
analytique,
peut
survenir du
côté
de
l'analyste.
Le
névrosé
met en
valeur
qu'il ne
peut
désirer
que selon la
loi.
L'angoisse
de
l'homme
est
liée
à la
possibilité
de ne pas
pouvoir.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
La
femme
ne
peut
jouir
de
que parce qu'il n'est pas à sa
place,
à la
place
de sa
jouissance.
*
La
voix
répond
à ce qui se
dit,
mais elle ne
peut
pas en
répondre.
L'inconscient
peut
être
cerné
dans une
structure
temporelle.
*
Le
réel
peut
se
représenter
par l'accident, le
petit
bruit, le
peu
de
réalité,
qui témoigne que nous ne
rêvons
pas.
Le
transfert
peut
conduire au
cœur
de la
répétition.
Le
phallus
fait
défaut
à ce qui
pourrait
être
atteint
de
réel
dans la
visée
du
sexe.
L'homme
se
repère
dans la
capture
imaginaire
car il
peut
isoler la
fonction
de
l'écran.
Au
contraire
de ce qu'il en est dans le
tableau,
dans la
perception,
le
pouvoir
séparatif
de
l'œil
s'exerce au maximum dans le
champ
central.
L'œil
porte
avec lui la
fonction
mortelle
d'être,
en lui-même, doué d'un
pouvoir
séparatif.
*
Ce qui ne
peut
être
remémoré
se
répète
dans la
conduite.
5
.
376
Aucun
objet
ne
peut
satisfaire
la
pulsion.
Ce n'est que lors de
l'apparition
du
sujet
au
niveau
de
l'autre
que
peut
être
réalisé
ce qu'il en est de la
fonction
de la
pulsion.
Le
placenta
représente
cette
part
de lui-même que le
sujet
perd
à la
naissance
qui
peut
symboliser
un
objet
perdu.
La
pulsion
invocante
a pour
propriété
de ne pas
pouvoir
se
fermer,
c'est là que
s'insère
la
lamelle.
La
chaîne
du
signifiant
commande
tout
ce qui va
pouvoir
se
présentifier
du
sujet.
*
Dans le
psychisme,
rien
n'est
suffisant
par quoi le
sujet
puisse
se
situer
comme
être
de
mâle
ou
être
de
femelle.
Sans le
processus
de
béance,
les
relations
entre
les
êtres
pourraient
s'engendrer
en termes de
relations
diversement
réciproques.
Le
sujet
peut
occuper
diverses
places
selon que
l'analyste
le met sous l'un ou
l'autre
des
signifiants
de
l'interprétation.
*
Ce n'est qu'au
niveau
du
désir
de
l'Autre,
que
l'homme
peut
reconnaître
son
désir.
Le
propre
du
signifiant
est de ne pas
pouvoir
se
signifier
lui-même.
La
fonction
du
transfert
peut
se
topologiser
sous la
forme
d'un
huit
intérieur.
cf:
11.20.1
L'hypnose
peut
se
définir
par la
confusion,
en un
point,
du
signifiant
idéal
où se
repère
le
sujet
avec
l'objet
.
Le
sujet
ne
peut
être
rien
d'autre
que ce qui
pense:
Donc
je
suis.
*
Nul
sujet
ne
peut
être
cause
de
soi.
[
Lac66a
, p. 841]
*
L'enseignement
de la
psychanalyse
ne
peut
se
transmettre
d'un
sujet
à un
autre
que par les
voies
d'un
transfert
de
travail.
[
Lac82a
, p. 76]
Le
nom
propre,
en tant qu'irremplaçable
peut
manquer.
Tout
système
du
signifiant
doit
suffire
pour
l'usage
de
tout
ce qui
peut
être
du
dire.
Le
signifiant
ne
peut
s'identifier
à lui-même.
L'analyste
ne
peut
être
conçu
comme un
lieu
vide.
Le
sujet,
pouvant
être
inconscient,
est le
représentant
de la
Vorstellung
.
*
Le
contingent
c'est, du
réel,
ce qui
peut
ne pas
être.
*
Le
nécessaire
c'est ce qui ne
peut
pas ne pas
être.
La
bande
de
Mœbius
peut
être
le
support
structural
de la
constitution
du
sujet
comme
divisible.
La
dimension
du
mensonge,
contrairement
à celle de la
feinte,
est
d'avoir
le
pouvoir
de
s'affirmer
comme
vérité.
La
vérité,
avant
d'être
vraie
ou
fausse,
peut
se
poursuivre
valablement de sa
dialectique.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
*
Toute
demande
ne
peut
qu’être
déçue.
Dans le
regard,
l'objet
peut
être
totalement
élidé.
La
jouissance
ne
peut
être
qu'identique
à
toute
présence
de
corps.
Peu
de
réalité,
c'est là
toute
la
réalité
à laquelle nous
pouvons
accéder.
*
Dans la
jouissance
féminine
peut
entrer
comme
objet
le
désir
de
l'homme,
comme tel.
*
Il est de la
nature
de
tout
et
d'aucun
signifiant
de ne
pouvoir
en
aucun
cas
se
signifier
lui-même.
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même
peut
s'écrire
; le
symbole
figure
un ou
exclusif.
La
répétition
ne
peut
être
que
double.
Le
rapport
du
signifiant
à la
vérité
peut
court-circuiter
toute
pensée
qui le
supporte.
*
L'objet
partiel
doit
pouvoir
être
tranché.
*
Le
narcissisme
primaire
peut
intervenir
dans la
séance
analytique.
La
formule
de la
métaphore
peut
s'écrire
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
L'Autre
peut
annuler
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 53]
Un
nœud
vrai
ne
peut
pas se mettre à
plat.
[
Lac66a
, p. 724]
L'Autre
n'ayant
aucune
espèce
d'existence,
ne
peut
se
dire
mais
peut
s'écrire.
C'est dans la
mesure
où quelque
objet
peut
venir
prendre
la
place
que
prend
le
dans
l'acte
sexuel
comme tel que la
sublimation
peut
subsister.
C'est en tant qu'elle n'a pas le
phallus
que la
femme
peut
en
prendre
la
valeur.
Le
nom
propre
peut
donner
l'illusion
que le
sujet
est une entité
autonome.
*
Le
signe
de la
possession,
c'est de
pouvoir
s'en démettre.
*
Rien
ne
peut
retirer à
l'esclave
la
fonction,
ni de son
regard,
ni de sa
voix.
Il ne
saurait
y
avoir
d'acte
si ce n'est dans la
référence
signifiante
qui,
seule
peut
la
constituer
comme
acte.
Le
masochiste
se
situe
et ne
peut
se
situer
que par
rapport
à une
représentation
de
l'acte
sexuel.
La
fonction
de la
négation
en tant qu'elle
exclut
le
tiers,
veut
dire
que quelque
chose
ne
peut
être
affirmé
et
nié
en
même
temps
sous le
même
point
de
vue.
En tant que
discours
non
soumis
au
principe
de
contradiction,
il y a
vérité
d'un
discours
qui
peut
dire
oui
et
non
en
même
temps
de la
même
chose.
Le
désir
ne
peut
être
satisfait,
contrairement
à la
demande.
L'analyse
du
transfert
ne
peut
être que
l'élimination
du
sujet
supposé
savoir.
*
Le
psychanalyste
ne
peut
pas
répondre
à la
demande.
[
Lac68b
, p. 44]
Le
ratage
de
l'acte
ne
peut
être
tenu
pour
réussite.
[
Lac70b
, p. 13]
*
C'est au
terme
d'une
psychanalyse
supposée
achevée
que le
psychanalysant
peut
devenir
psychanalyste.
Le
sujet
peut
fonctionner
comme
n'étant
pas.
Le
sujet
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
Un
sujet
se
définit
comme
effet
de
discours
en ceci qu'il
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
Sur le
ne
peut
aucunement
porter
la
négation.
Le
signifiant
ne
peut
être
tout
ce qui
représente
le
sujet.
Le
discours
peut
parfois
être
acte
du
sujet.
L'homme
et la
femme
peuvent
aller
ensemble
sans
avoir
rien
à
voir
ensemble.
*
Un
sujet
c'est ce qui
peut
être
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
*
Nulle
part
dans
l'Autre
ne
peut
être
assurée,
d'aucune
façon
la
consistance
de ce qui
s'appelle
vérité.
*
Nul
discours
ne
peut
dire
la
vérité.
Le
grand
a en lui cette
faille
du
savoir
qui ne
peut
contenir
que son
propre
signifiant.
*
La
souffrance
peut
être
symptôme,
ce qui
veut
dire
vérité.
*
Le
désir
ne
peut
se
dire.
C'est à partir de la
structure
de
l'Autre
que
peut
se
définir
la
possibilité
du
tu.
L'acte
ne
peut
fonctionner
comme
prédicat.
[
Lac84b
, p. 21]
Au
lieu
de
l'inconscient
nous
savons
qu'une
vérité
s'énonce
dont nous ne
pouvons
rien
savoir.
*
L'objet
a ce quelque
chose
qui
peut
fonctionner
comme
équivalent
de la
jouissance.
Ce qui
représente
le
sujet
ne
peut
se poser que comme
d'avant
l'Autre.
Les
objets
peuvent
conduire à
quatre
structures,
la
sphère,
le
tore,
le
plan
projectif,
et la bouteille de
K
LEIN
.
*
Ce n'est que dans le
champ
de
l'utopie
que
peut
s'exercer
la
liberté
de
pensée.
Il
existe
une
disjonction
du
savoir
au
pouvoir.
Il y a
disjonction
du
savoir
et du
pouvoir.
*
Le
signifiant
ne
peut
en
aucun
cas
être
tenu
pour
pouvoir
se
désigner
lui-même.
c'est le
sujet
lui-même en tant qu'il ne
peut
être
représenté
que par un
représentant.
Le
sujet
est
insaisissable
de ne
pouvoir
qu'être
représenté
par un
représentant.
Un
signifiant
ne
peut
renvoyer
à lui-même qu'en tant
qu'autre.
*
Le
propre
de la
castration,
c'est que
rien
ne
peut
à proprement
parler
l'énoncer
parce que sa
cause
est
absente.
La
vérité
ne
peut
jamais
se
dire
qu'à
moitié.
La
vérité
ne
peut
se
dire
toute
entière.
Un
signifiant
peut
tout
signifier
sauf lui-même.
*
La
mathématique
n'est
constructible
qu'à partir de ceci, que le
signifiant
peut
se
signifier
lui-même.
Dans le
discours
de
l'analyste,
ce qui
peut
savoir
est prié de
fonctionner
au
registre
de la
vérité.
Le
signifiant
maître,
,
idéalement
peut
s'identifier
à la
mort.
La
vérité
ne
peut
pas se
lire
en
face.
Les
quatre
places
du
discours
peuvent
s'écrire:
*
C'est du
discours
de
l'analyste
que
peut
surgir
un
autre
style de
signifiant
maître.
C'est de
l'entrée
en
jeu
du
signifiant
que
peut
se
marquer
la
jouissance.
Le
corps
est ce qui
peut
porter
la
marque
propre
à le
ranger
dans une
suite
de
signifiants.
[
Lac70d
, p. 61]
Être
fait
sujet
d'un
discours
peut
rendre
l'être
humain
sujet
au
savoir.
[
Lac70d
, p. 85]
*
Il y a des
savoirs
dont les
suites
peuvent
rester en
souffrance,
ou bien
tomber
en désuétude. [
Lac70d
, p. 85]
La
linguistique
ne
peut
être
qu'une
métaphore.
La
fonction
du
phallus
volatilise ce qu'il en est de ce qui
peut
s'écrire
du
rapport
sexuel.
À la
vérité,
on
peut
dire
tu.
Il n'y a
actuellement
aucun
mode
de
relation
qui
puisse
s'écrire.
Il est
impensable
de
dire
la
femme
parce
qu'on
ne
peut
pas
dire
toutes
les
femmes.
*
La
jouissance
sexuelle
se
trouve
ne pas
pouvoir
être
écrite.
Le
discours
est
impliqué
dans la
béance
et ne
peut
en
sortir.
Le
schéma
18.6.1
peut
s'écrire
:
*
L'écriture
peut
être
dite
dans le
réel,
le
ravinement
du
signifié.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
être
écrit.
On
ne
peut
pas dire que les
animaux
domestiques
n'ont pas
l'usage
de la
parole.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
La
femme
ne
peut
être
femme
qu'au titre d'une
femme.
*
Rien
ne
peut
être
fondé
du
statut
de
l'homme.
Ce n'est qu'à partir
d'être
une
femme
que la
femme
peut
s'instituer
dans ce qui est
inscriptible
de ne pas
l'être,
restant
béant
de ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
La
vérité
ne
peut
dire
que le
semblant
sur la
jouissance.
Ce n'est pas de
tout
que
peut
être
posé
la
fonction
.
L'œdipe
a l'avantage de
montrer
en quoi
l'homme
peut
répondre
à
l'exigence
du pas
plus
d'Un
qui est dans
l'être
d'une
femme.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Le
nécessaire
c'est ce qui ne
peut
pas ne pas.
Le
rapport
sexuel
n'est pas, en ce
sens
qu'on
ne
peut
l'écrire.
On
peut
parler
de
rapport
quand un
discours
l'établit,
et quand ce
rapport,
on
l'énonce.
Il n'y a pas de
maître,
il y a le
signifiant
maître
que le
maître
suit
comme il
peut.
*
Une
logique
peut
parfaitement
se
passer
du
principe
de
contradiction.
Je
te
demande
de
refuser
ce que
je
t'offre
peut
s'écrire:
.
La
demande
ne
peut
situer
ce qu'il en est de
l'objet
du
désir.
L'Un
est un
réel
qui
peut
n'avoir
rien
à
faire
avec la
réalité.
Un
texte,
ça ne
peut
se tisser qu'à
faire
des
nœuds.
La
vérité
ne
peut
plus que se
mi-dire.
*
Il ne
peut
y
avoir
aucune
histoire
de la
pensée.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Le
propre
de la
jouissance,
c'est que quand il y a
deux
corps,
on
ne
peut
pas
dire
lequel
jouit.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
L'amour,
on
ne
peut
pas en
parler.
Le
signifiant
ne
peut
se
limiter
d'aucune
façon
à son
support
phonématique.
*
Le
mot
n'a
d'autre
point
où se
faire
collection que le
dictionnaire
où il
peut
être
rangé.
*
On
ne
peut
pas
tout
dire.
Des
dits,
on
ne
peut
pas se
dédire.
*
On
ne
peut
jouir
que d'une
partie
du
corps
de
l'autre.
La
conjonction
des
termes
homme
et
femme
ne
peut
produire
rapport
sexuel.
[
Lac73b
, p. 3]
Le
discours
psychanalytique
est celui qui
peut
fonder
un
lien
social
nettoyé
d'aucune
nécessité
de groupe. [
Lac73a
, p. 31]
La
répétition
ne
peut
commencer
qu'à la
deuxième
fois.
On
ne
peut
pas
parler
d'amour,
mais
on
peut
en
écrire.
Le
signifié
d'un
signifiant
c'est là où
s'accroche
quelque
chose
qui
peut
ressembler
à un
sens.
L'essentiel
du
savoir
de
l'analyste
est que la
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Le
seul
domaine
où
peut
se
formuler
une
impossibilité
symbolique
est le
réel
seul,
au-delà
du
langage.
Ce n'est qu'avec le
discours
analytique
qu'un
universel
peut
trouver
dans
l'existence
de
l'exception,
son
fondement
véritable.
*
L'universel
masculin
peut
prendre
son assiette dans
l'assurance
qu'il
n'existe
pas de
femme
qui
ait
été
châtrée.
La
vérité
ça ne
peut
que se
mi-dire.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
s'écrire.
L'Autre,
cela ne
peut
être
que
l'Autre
sexe.
Tous les
besoins
de
l'être
parlant
sont contaminés par le
fait
d'être
impliqués
dans une
autre
satisfaction,
à quoi ils
peuvent
faire
défaut.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
ne
peut
s'inscrire
qu'en
vérité.
La
femme
ne
peut
s'écrire
que
femme.
*
est le
signifiant
dont le
propre
est qu'il est le
seul
qui ne
peut
rien
signifier.
La
femme
ne
peut
s'écrire.
est ce
lieu
de
l'Autre,
là où
s'inscrit
tout
ce qui
peut
s'articuler
du
signifiant.
ne
peut
se
dire.
Rien
ne
peut
se
dire
de
femme.
cf:
20.8.1
Le
rapport
sexuel
ne
peut
se
dire
d'aucune
façon.
La
femme
ne
peut
aimer
en
l'homme
que la
façon
dont il
fait
face
au
savoir
dont il
âme.
*
Toute
la
vérité,
c'est ce qui ne
peut
pas se
dire.
On
ne
peut
traiter
de
l'inconscient
qu'à partir du
dit
de
l'analysant.
La
femme,
c'est la
vérité
en tant qu'elle ne
peut
que se
mi-dire.
La
vérité
ne
peut
la
dire
qu'à
moitié.
Il y a un
rapport
qui ne
peut
pas
s'écrire.
Le
corps
parlant
ne
peut
réussir
à se
reproduire
que grâce à un
malentendu
sur sa
jouissance.
C'est parce qu'il y a
l'inconscient,
à savoir
lalangue
,
que le
signifiant
peut
être
appelé
à
faire
signe.
*
L'inconscient
c'est un
savoir
dont le
sujet
peut
se
déchiffrer.
Le
sens
sexuel
ne se
définit
que ne pas
pouvoir
s'écrire.
La
jouissance
fait
obstacle
à ce que le
rapport
sexuel
ne
puisse
d'aucune
façon
s'inscrire.
*
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
Tout
signifiant,
du
phonème
à la
phrase,
peut
servir
de
message
chiffré.
[
Lac74b
, p. 22]
*
Le
suicide
est le
seul
acte
qui
puisse
réussir
sans
ratage.
[
Lac74b
, pp. 66–67]
*
Un
message
déchiffré
peut
rester une
énigme.
[
Lac75d
, p. 11]
La
vérité
on
ne
peut
que la
mi-dire.
*
La
logique
ne
peut
se
définir
que
d'être
la
science
du
réel.
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
Le
vrai
ne
peut
que se
mi-dire.
La
division
marque
la
vérité
et ne
peut
pas-toute
être
dite.
Faire
ensemble
ça
veut
dire,
pouvoir
faire
série.
*
L'inconscient
peut
être
responsable
de la
réduction
du
symptôme.
*
Le
réel
peut
se
supporter
d'une
écriture.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
qui
puisse
se mettre en
écriture.
[
Lac82d
]
*
Il n'y a pas de
vérité
qu'on
puisse
dire
toute.
[
Lac82d
]
L'Un
du
signifiant
n'opère
qu'à
pouvoir
être
employé
à
désigner
n'importe quel
signifié.
La
vérité
ça ne
peut
que se
mi-dire.
C'est en tant que le
triskell
ex-siste
qu'il
peut
y
avoir
identification.
L'orifice
le
plus
important
du
corps
c'est
l'oreille
parce qu'il ne
peut
pas se
fermer.
Le
symbole
ne
peut
être
qu'une
pièce
cassée.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
L'objet
ne
peut
être
saisi par
aucun
organe.
La
cassure
peut
toujours
être
le
réel
comme
impossible.
La
libido
ne
peut
être
que
participant
du
trou.
La
définition
du
possible
est qu'il
peut
ne pas
avoir
lieu.
[
Lac75e
, p. 14]
Le
ratage
peut
être
défini
comme ce qui est
sexuel
dans
tout
acte
humain.
La
vérité
ne
peut
que se
mi-dire.
*
L'esclave
se
définit
de ce que quelqu'un a
pouvoir
sur son
corps.
Les
vérités
ne
peuvent
se
dire
toutes,
car beaucoup ont une
existence
mythique.
Le
réel
peut
être
mythique.
*
Quand
on
écrit
on
peut
bien toucher au
réel,
mais pas au
vrai.
*
La
pulsion
de
mort,
c'est le
réel
en tant qu'il ne
peut
être
pensé
que comme
impossible.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
*
Le
psychanalyste
ne
peut
pas se
concevoir
autrement que comme un
sinthome.
*
Il n'y a pas de
progrès,
parcequ'il ne
peut
pas y en
avoir.
Un
tore
peut
être
découpé
selon une
bande
de
Mœbius.
Dans
l'analyse
on
peut
dire
que le
vrai
ment.
À
cause
de
l'existence
du
signifiant,
chez
l'homme
l'ensemble
de ce qui
pourrait
être
un
rapport
sexuel
est un
ensemble
vide.
[
Lac78
]
La
métaphore
peut
s'écrire:
[
Lac77b
, p. 12]
Le
sujet
ne
peut
être
pensé,
si ce n'est comme
structuré
par le
langage.
[
Lac77a
, pp. 13–14]
*
La
pensée
mathématique,
c'est le
fait
qu'on
peut
se
représenter
un
écrit.
[
Lac78
]
*
La
vérité,
on
ne
peut
pas la
dire.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08