Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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triskell
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tromperie
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Index
trois, tripartition
Il
s'isole
dans le
sophisme
trois
moments
de
l'évidence,
l'instant
du
regard,
le
temps
pour
comprendre,
le
moment
de
conclure.
[
Lac66a
, p. 204]
La
théorie
analytique
décrit la
triade,
frustration,
agressivité,
régression.
[
Lac66a
, p. 249]
Il
existe
trois
registres
très
distincts
de la
réalité
humaine,
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Le
rapport
symbolique
de la
parole
prise
en tant que telle est un
tiers
élément.
*
C'est dans un
rapport
à
trois
et
non
pas dans une
relation
à
deux,
que
peut
se
formuler
pleinement, dans sa
complétude,
l'expérience
analytique.
La
relation
inter-analytique
est
triadique.
L'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel
sont
trois
systèmes
de
référence.
Le
symbole
introduit
un
tiers,
élément
de
médiation,
qui
fait
passer
sur un
autre
plan
les
deux
personnages
en
présence.
Les
trois
mots,
l'identification
imaginaire,
narcissique,
spéculaire
sont
équivalents.
La
conjonction
de la
parole
du
sujet
est un
tiers
élément
au
moment
significatif
d'émergence
du
désir.
La
scoptophilie,
le
sadisme
et
l'homosexualité
composent la
triade
de la
dialectique
du
narcissisme.
Les
catégories
élémentaires
sont la
tripartition
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
répartition
triple
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel
s'applique au
langage.
Il y a
trois
objets
dans la
parole,
signifiant,
signifié,
et
discours
réel
concret.
La
parole
intègre les
trois
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
parole
a
trois
étapes,
le
signifiant,
la
signification,
le
discours.
Après la
Bewusstsein
,
en
troisième
place
intervient
la
Vorbewusstsein
ou
préconscient.
*
Il n'y a pas de
troisième
personne.
5
.
541
L'usage
de la
troisième
personne
est
absolument
essentiel
au
discours
en tant qu'il
désigne
ce qui est le
sujet
même
du
discours.
La
triade
imaginaire,
phallus,
mère,
enfant
est présentée
figure
4.2.1
.
Castration,
frustration,
privation
sont les
trois
termes
de
référence
du
manque
d'objet.
La
mère,
l'enfant,
le
phallus
constituent
la
triade
imaginaire,
4.2.1
Pour la
mère,
le
phallus
est le
tiers
terme
imaginaire.
Mère,
enfant,
phallus
constituent
la
triade
imaginaire
dans le
schéma
de la
figure
4.2.1
.
Dans la
triade
imaginaire,
la
quarte
fonction
est celle du
père
dans le
schéma
de la
figure
4.5.1
.
La
triade
imaginaire
est
préœdipienne.
*
L'ordre
symbolique
exige
trois
termes
au
moins.
[
Lac66a
, p. 464]
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
La
dimension
ternaire
et
non
duelle
est
fondamentale
pour
donner
son
sens
inter-subjectif
au
jeu.
Il faut
trois
termes
pour que
s'articule
une
loi.
La
troisième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.8.1
, met en
relation
l'enfant,
la dame, le
père
imaginaire,
le
pénis
imaginaire
et un
vecteur
qui
lie
le
père
imaginaire
à la dame.
*
Le
trait
d'esprit
comporte
toujours
la
notion
d'une
troisième
personne.
Il y a
toujours
une
ternarité
nécessaire.
Toute
relation
à
l'objet
implique
une
tierce
dimension.
La
transmission
du
mot
d'esprit
nécessite
trois
personnes.
Le
mot
d'esprit
est un
jeu
à
trois.
Le
lieu
de la
convention
signifiante
est un
tiers
lieu.
[
Lac66a
, p. 525]
Dans le
schéma
5.8.1
,
,
sont les
trois
termes
subjectifs du
complexe
d'Œdipe
en tant que
signifiant.
Les
trois
pôles
du
triangle
œdipien
sont
l'idéal-du-moi,
le
surmoi,
et la
réalité.
Le
se
représente
dans quelque
chose
qui
s'oppose,
dans le
ternaire
aux
signifiants
de
l'œdipe
dans quelque
chose
qui
doit
être
ternaire.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
La
dialectique
primordiale
du
désir
est dans un
rapport
tiers
qui
fait
intervenir
au-delà
de la
mère
un
personnage
tiers
qui est le
père.
Le
troisième
objet
d'identification
est le
père.
Pour qu'il y
ait
exploit,
il faut que
l'on
soit au
moins
trois.
Pour
l'hystérique,
la
troisième
identification,
se
marque
dans son
problème
de
fixer
son
désir.
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
La
demande
évoque
le
manque
à
être
sous
trois
figures,
le
rien,
la
haine
et
l'indicible.
[
Lac66a
, p. 629]
Dans la
parole
s'instaure
toujours
l'élément
tiers
qu'est le
lieu
de
l'Autre
où la
parole
s'inscrit
comme
vérité.
Le
sujet
apparaît
dans les
trois
formes
castration,
frustration,
privation,
trois
formes
aliénées.
C'est dans un
rapport
tiers
avec le
fantasme
que le
sujet
se
constitue
comme
désir.
La
troisième
espèce
d'objet
est
l'objet
délire.
Le
troisième
mode
d'identification
est là où le
sujet
se
constitue
comme
désir.
La
troisième
identification
est
coupure
de
.
La
troisième
identification
est
identification
directe
du
désir
au
désir
par
communication
directe
du
désir
de
l'Autre.
L'hystérique
est le
modèle
de la
troisième
identification.
Privation,
frustration,
castration
sont les
trois
espèces
de la
dialectique
du
manque.
Savoir,
sujet
et
sexe
constituent
trois
bords.
*
L'hystérique
charge un
tiers
de
répondre
à la
demande
de
l'Autre.
Faire
une
psychanalyse,
être
un
psychanalyste,
faire
un
psychanalyste
sont
trois
temps
différents.
*
L'acte
sexuel
implique
un
élément
tiers
à
tous
les
niveaux.
La
fonction
de la
négation
en tant qu'elle
exclut
le
tiers,
veut
dire
que quelque
chose
ne
peut
être
affirmé
et
nié
en
même
temps
sous le
même
point
de
vue.
*
Jamais
deux
sans
trois.
5
.
542
*
Il n'y a de
mot
d'esprit
qu'au
regard
de la
présence
d'un
tiers.
L'amour,
la
haine
et
l'ignorance
sont les
trois
passions
fondamentales.
Le
rapport
sexuel
ne va pas
sans
un
tiers
terme,
qui est le
phallus.
Le
langage
a une
structure
ternaire.
Il y a
trois
dit-mansions
de
l'impossible,
qui se
déploient
dans le
sexe,
le
sens
et la
signification.
[
Lac73a
, p. 44]
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
Les
trois
catégories
de notre
espace
habité
en tant
qu'êtres
parlants,
sont
strictement
équivalentes.
le
réel
est
trois.
Le
réel
fait
trois
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
*
Triple
est le
réel.
Pour
l'enfant
le
réel
ça sera n'importe quel
tiers.
*
Le
trois
est
toujours
voilé
par quelque
côté.
*
Le
trois
se
dérobe.
*
Le
trois
c'est le
support.
Le
réel
est
trois.
Le
réel
c'est ce qui avec
l'imaginaire
et le
symbolique
fait
trois.
Il y a
trois
sortes
d'identifications,
au
trait
unaire
einziger Zug
,
à
l'amour
pour le
père,
et
l'identification
hystérique
au
désir
du
désir.
C'est du
trois
que
s'introduit
le
réel.
Le
temps
pour
comprendre
ne va pas s'il n'y a pas
trois.
Les
trois
temps
logiques
sont,
l'instant
de
voir,
la
Chose
à
comprendre,
et le
moment
de
conclure.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
sont
trois.
*
Quelque
chose
commence
à
trois
qui
inclut
tous
les
nombres
aussi loin qu'ils soient
dénombrables.
Le
nœud
borroméen
a pour
limite
inférieure
le
nombre
trois.
Le
nœud
borroméen,
en tant qu'il se
supporte
du
nombre
trois,
est du
registre
de
l'imaginaire.
L'objet
conjoint
trois
surfaces
qui se
coincent.
Les
trois
du
borroméen
fonctionnent
comme
pure
consistance.
Ce n'est que de
tenir
entre
eux que
consistent
les
trois
du
borroméen.
Les
trois
du
borroméen
tiennent
entre
eux
réellement.
Le
monde
comme
représentation
dépend
de la
jonction
des
trois
consistances,
le
réel,
le
symbolique
est
l'imaginaire.
Les
trois
consistances
du
réel,
du
symbolique
et de
l'imaginaire
sont
strictement
équivalentes.
Le
sujet
se
conditionne
de ce qui, dans le
nœud
détermine
des
points
triples
du
fait
du
serrage
du
nœud.
*
Le
réel
ne
commence
qu'au
chiffre
trois.
Les
trois
cercles
du
nœud
borroméen
sont
tous
trois
équivalents.
Les
trois
éléments
du
nœud
borroméen
sont
enchaînés
et font
métaphore.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08