Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.19 S
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sevrage
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sexualité
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sexe
Il n'y a pas de
symbolisation
du
sexe
de la
femme
comme tel.
La
symbolisation
du
sexe
de la
femme
n'est pas la
même
que la
symbolisation
du
sexe
de
l'homme.
La
différence
de
symbolisation
des
deux
sexes
tient
à ceci que
l'imaginaire
ne fournit qu'une
absence,
là où
ailleurs
il y a un
symbole
très
prévalent.
Le
sexe
féminin
a un
caractère
d'absence,
de
vide,
de
trou.
L'élément
différentiel
primordial
de
l'organisation
génitale
des
sexes
est la
possession
ou la
non-possession
du
phallus.
L'hystérique
aborde
l'objet
homosexuel
par
identification
avec quelqu'un de
l'autre
sexe.
C'est en tant que le
phallus
est là ou qu'il n'est pas là que
s'instaure
la
différenciation
symbolique
des
sexes.
La
notion
de la
privation
est
nécessaire
à
assumer
par le
sujet
pour
pouvoir
assumer
pleinement son
propre
sexe.
La
différence
des
sexes
s'exprime
comme
Penis-Neid
d'un
côté
et
complexe
de
castration
de
l'autre.
La
relation
d'objet
est
destinée
à
instituer
une certaine
relation
stable
entre
les
sexes.
Le
sujet
articule
la
question
Que suis-je là? concernant son
sexe
et sa
contingence
dans
l'être.
[
Lac66a
, p. 549]
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Le
sexe
mâle
est le
sexe
faible
au
regard
de la
perversion.
[
Lac66a
, p. 823]
Le
mode
le
plus
ordinaire de la
séduction
entre
sexes,
c'est de
faire
des
attributs
féminins
les
signes
de la
toute
puissance
de
l'homme.
Le
,
pour les
deux
sexes,
c'est ce que
je
désire
et que
je
ne puis
avoir
qu'en tant que
.
La
fonction
du
champ
de
l'union
sexuelle
pose
pour chacun des
deux
sexes
l'alternative,
l'autre
est ou
l'Autre,
ou le
phallus
au
sens
de
l'exclusion.
Le
phallus
fait
défaut
à ce qui
pourrait
être
atteint
de
réel
dans la
visée
du
sexe.
*
Le
lien
du
sexe
à la
mort
de
l'individu
est
fondamental,
essentiel.
La
libido
est ce qui est
soustrait
à
l'être
vivant
de ce qu'il est
soumis
au
cycle
de la
reproduction
sexuée.
La
pulsion
partielle
représente
en elle-même la
part
de la
mort
dans le
vivant
sexué.
La
lamelle
représente
cette
part
du
vivant
qui se
perd
à ce qu'il se
produise
par les
voies
du
sexe.
[
Lac66a
, p. 847]
L'activité
et la
passivité
représentent
la
bipolarité
du
sexe.
[
Lac66a
, p. 849]
Il n'y a
d'accès
à
l'Autre
du
sexe
opposé
que par la
voie
des
pulsions
partielles.
[
Lac66a
, p. 849]
Le
sexe
dans son
essence
de
différence
radicale
se
refuse
au
savoir.
Savoir,
sujet
et
sexe
constituent
trois
bords.
Dans la
dialectique
psychanalytique,
rien
n'y est
concevable
sans
la conjugaison du
sujet,
du
savoir
et du
sexe.
La
relation
du
sujet,
du
savoir
et du
sexe
est
marquée
de
division.
5
.
461
Il y a incapacité de
toute
Bedeutung
à
couvrir
ce qu'il en est du
sexe.
Il y a
radicale
inadéquation de la
pensée
à la
réalité
du
sexe.
*
L'inconscient
parle
sexe.
*
le
sujet
a à se
mesurer
avec la
difficulté
d'être
un
sujet
sexué.
L'inconscient
parle
du
sexe.
*
L'inconscient
parle
du
sexe.
Le
sexe
repose
sur la
fonction
d'un
signifiant
capable
d'opérer
dans
l'acte
sexuel.
Le
sexe
n'est pas
tout.
*
On
n'a
jamais
le
savoir
de
l'autre
sexe.
La
Chose
n'est pas
sexuée.
La
lettre
sert
quelque
chose
qui est de
l'ordre
du
sexe,
non
pas un
rapport
sexuel,
mais un
rapport
sexué.
*
Tout
ce qui est du
langage,
a affaire avec le
sexe,
est dans un
certain
rapport
avec le
sexe.
Chez
l'être
parlant,
le
sexe
n'y
définit
nul
rapport.
*
L'être
du
corps
est
sexué.
*
Le
sexe
de la
femme
ne
dit
rien
à
l'homme
si ce n'est par
l'intermédiaire
de la
jouissance
du
corps.
*
Le
phallus
c'est
l'objection
de
conscience
faite
par un des
deux
êtres
sexués
au
service
à
rendre
à
l'Autre.
La
femme
est pas
toute,
dans son
corps,
comme
être
sexué.
*
L'être
sexué
est
intéressé
dans la
jouissance.
La
jouissance
de
l'Autre
c'est proprement celle de
l'Autre
sexe.
Quand
on
aime,
il ne s'agit pas de
sexe.
Il y a
trois
dit-mansions
de
l'impossible,
qui se
déploient
dans le
sexe,
le
sens
et la
signification.
[
Lac73a
, p. 44]
Il y a solidarité
entre
le
non-rapport
des
sexes
et le
fait
qu'un
être
soit
parlant.
[
Lac75f
, p. 7]
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
*
Il n'y a pas de
deuxième
sexe
à partir du
moment
où
entre
en
fonction
le
langage.
Pour qu'il y
ait
fondement
du
sexe,
il faut qu'ils soient
deux.
Le
sexe
c'est du
réel.
La
structure
du
sexe,
c'est le
duel,
le
nombre
deux.
Il n'y a que
deux
sexes,
les
hommes
et les
femmes.
Ce dont il s'agit quand il s'agit de
sexe,
c'est de
l'autre
sexe.
L'Autre,
cela ne
peut
être
que
l'Autre
sexe.
Entre
les
sexes,
chez
l'être
parlant,
le
rapport
ne se
fait
pas.
L'Autre
a quelque
rapport
avec
l'autre
sexe.
Il y a
l'impossible
d'inscrire
la
relation
sexuelle
entre
deux
corps
de
sexes
différents.
*
Le
partenaire
de
l'autre
sexe
reste
l'Autre.
L'objet
est
a-sexué
.
*
L'Autre
ne se
présente,
pour le
sujet,
que sous une
forme
a-sexuée
.
*
Le
sexe
est très
spécifiquement
lié
à la
mort
du
corps.
*
Il n'y a que chez les
êtres
sexués
que le
corps
meurt.
La
jouissance,
le
corps,
la
mort
sont
noués
seulement
par cette
impasse
invérifiable
du
sexe.
Il y a un
lien
entre
le
sexe
et la
parole.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
La
jouissance
phallique
intéresse
l'autre
du
corps,
l'autre
sexe.
*
Un
acte
manqué
a
toujours
affaire avec le
sexe.
*
C'est du
sinthome
qu'est
supporté
l'autre
sexe.
*
Le
sinthome
c'est très précisément le
sexe
auquel
je
n'appartiens
pas.
Le
sexe,
c'est un
dire.
[
Lac78
]
*
Le
sexe
ne
définit
pas un
rapport.
[
Lac78
]
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sexualité
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5.19 S
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Jacques B. Siboni
2024-11-08