Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.13 M
Précédent:
manifestement
Suivant:
manque-à-être
Index:
Index
manque
*
Tout
acte
manqué
est un
discours
réussi.
[
Lac66a
, p. 268]
Tous les
actes
manqués
et
toutes
les
paroles
qui achoppent, sont des
paroles
qui
avouent
et des
actes
qui
réussissent
dans le
sens
d'une
vérité
qui
essentiellement
ment.
La
psychose
consiste
en un
manque
quelque part, un
trou
au
niveau
du
signifiant
comme tel.
Dans la
psychose,
lors du
manque
du
signifiant,
le
sujet
doit
être
nécessairement
amené à remettre en
cause
l'ensemble
du
signifiant.
Dans la
psychose,
quelque
chose
s'est
produit
qui est un
manque
dans la
fonction
formatrice
du
père.
La
notion
de
Verwerfung
nomme
quelque
chose
de
préalable
qui
manque
dans la
relation
au
signifiant
comme tel.
La
décomposition
du
signifiant
est quelque
chose
qui se
produit
au
niveau
d'un
point
d'appel
qui est
constitué
par un
manque,
une
disparition,
une
absence
d'un
certain
signifiant,
au
moment
où il est
appelé
comme tel.
Le
manque
de
l'objet
est du
ressort
même
de la
relation
du
sujet
au
monde.
La
privation
c'est un
manque
réel,
c'est un
trou.
La
frustration
est une des
catégories
du
manque.
Castration,
frustration,
privation
sont les
trois
termes
de
référence
du
manque
d'objet.
Castration,
frustration,
privation
sont des
catégories
de
manque
d'objet.
*
La
castration
est un
manque
imaginaire
de
l'objet.
Un
objet
qui
manque
à sa
place,
ça
devrait
être
là par la
loi.
*
Dans la
castration
il y a
fondamentalement
un
manque
qui se
situe
dans la
chaîne
symbolique.
Dans le
monde
humain,
la
structure,
le
départ
de
l'organisation
objectale,
c'est le
manque
de
l'objet.
Le
manque,
considéré
dans le
réel,
c'est la
privation.
La
femme
a le
phallus
dans ses
manques
d'objets
essentiels.
La
mère
est
désirante
car elle
manque
de
phallus.
La
mère
manque
de
phallus.
La
mère
est
privée,
manque
elle-même de
l'objet
phallus.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
La
relation
de
castration
introduit
le
manque
d'objet
dans une
dialectique
qui
institue,
investit,
confère la
dimension
du
pacte
d'une
loi,
d'une
interdiction
de
l'inceste.
La
solution
fétichiste
réalise
une des
conditions
les
plus
concevables du
manque.
Le
signifiant
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Le
symbolique
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
La
petite
fille,
au
moment
d'entrée
dans
l'œdipe,
se met à
désirer
un
enfant
du
père
comme
substitut
du
phallus
manquant.
*
C'est
l'institution
du
manque
dans la
relation
à
l'objet
comme
étant
l'ordre
même
dans lequel un
amour
idéal
peut
s'épanouir.
Ce qui est proprement
désiré
dans
l'amour,
c'est ce qui
manque
au
sujet.
Dans
l'amour,
ce qui
manque,
c'est
l'objet
primordial.
Ce qui est
cherché
dans la
femme,
c'est ce qui lui
manque.
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
*
Ce qui est
aimé
dans
l'objet,
c'est ce dont il
manque.
Dans
l'amour,
ce à quoi le
sujet
s'adresse,
c'est au
manque
qui est dans
l'objet.
Dans le
rapport
sujet
objet
il y a un
au-delà
et un
manque.
Le
voile
devient
figuration
du
manque.
C'est sur le
voile
que le
fétiche
vient
figurer
ce qui lui
manque
au-delà
de
l'objet.
Dans le
fétichisme,
le
sujet
s'identifie
à cet
objet
auquel il
manque
quelque
chose.
La
mère
phallique
voile
son
manque
de
phallus.
Cacher
l'objet,
c'est aussi
cacher
le
manque
d'objet.
Dans certains
cas
le
sujet
masculin
se
donne
à la
femme
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
manque.
Le
phallus
en tant qu'il
manque
à la
mère
est
au-delà
d'elle.
Le
phallus
est
l'objet
qui
manque.
*
La
mère
manque
de
phallus.
La
mère
désire
le
phallus
parce qu'elle en
manque.
C'est le
désir
du
phallus
chez la
mère
qui
induit
le
manque
dans
l'objet
maternel.
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
la
mère
symbolique
est
l'agente
du
manque
de la
frustration
par
dette
imaginaire
du
sein
réel.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
La
mère
est
liée
sur le
plan
imaginaire
au
phallus
en tant que
manque.
Le
désir
est
désir
de ce qui
manque
à
l'objet
perdu
primordialement.
L'amour
fait
son
objet
de ce qui
manque
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 439]
La
structure
métonymique,
c'est la
connexion
du
signifiant
au
signifiant,
qui
permet
l'élision
par quoi le
signifiant
installe
le
manque
de
l'être,
dans la
relation
d'objet.
[
Lac66a
, p. 515]
La
structure
métonymique
se
sert
de la
valeur
de
renvoi
de la
signification,
pour
l'investir
du
désir
visant
le
manque
qu'il
supporte.
[
Lac66a
, p. 515]
Dans la
Verwerfung
un
signifiant
ou une
lettre
manque.
Il y a quelque
chose
qui
manque
dans la
chaîne
des
signifiants.
Dans la
psychose
le
sujet
doit
suppléer
au
manque
du
signifiant
du
nom-du-père.
Le
nom-du-père
peut
à l'occasion
manquer.
Chez la
petite
fille,
le
complexe
d'Œdipe
lui
donne
accès
à ce
pénis
qui lui
manque.
Le
phallus
est le
signifiant
du
manque.
Le
désir
de la
femme
est précisément
signifié
par ce qui lui
manque,
et par le
phallus.
Le
manque
symbolisé
est
l'effet
du
signifiant
sur le
sujet,
le
signifié.
L'effet
métaphorique
ne se
produit
pas là où le
nom-du-père
manque.
Le
phallus
et le
signifiant
manquant.
Dans la
psychose,
le
sujet
s'est
reconstruit
autour du
trou
où le
support
de la
chaîne
signifiante
manque
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 564]
La
demande
évoque
le
manque
à
être
sous
trois
figures,
le
rien,
la
haine
et
l'indicible.
[
Lac66a
, p. 629]
À la marionnette il
manque
le
phallus.
Dans le
lieu
de la
parole,
,
il
manque
quelque
chose.
Le
manque
associé
à la
castration
est une
dette
symbolique.
cf:
5.9.1
Le
manque
associé
à la
frustration
est un
dam
imaginaire.
cf:
5.9.1
Le
manque
associé
à la
privation
est un
trou
réel.
cf:
5.9.1
Tout
manque
dans le
réel
est un
manque
à sa
place.
Le
manque
à sa
place
dans le
réel
est un
manque
symbolique.
Le
manque
se
produit
au
niveau
de
l'Autre,
en tant que
lieu
de la
parole.
*
S'il n'y a plus de
manque,
l'Autre
défaille,
le
signifiant
est celui de la
mort
de
l'Autre.
Le
sujet
s'engage
dans le
plaisir
poussé
par un
manque
qui est de
l'ordre
du
besoin.
L'aimant
est le
sujet
du
manque.
Ce que le
sujet
trouve
dans
l'analyse,
c'est ce dont il
manque,
à
savoir
son
désir.
Dans le
graphe
1.30.3
,
est le
signifiant
d'un
manque
dans
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
Le
manque
dans
l'Autre
provient
de ce qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 818]
est ce qui
manque
au
sujet
pour se
penser
épuisé
par son
cogito
,
à
savoir
ce qu'il est
d'impensable.
[
Lac66a
, p. 819]
Le
manque
de la
jouissance
fait
l'Autre
inconsistant.
[
Lac66a
, pp. 819–820]
L'organe
érectile
vient
à
symboliser
la
place
de la
jouissance
en tant que
partie
manquante
à
l'image
désirée.
[
Lac66a
, p. 822]
Le
névrosé
est celui qui
identifie
le
manque
de
l'Autre
à sa
demande,
à
. [
Lac66a
, p. 823]
Le
savoir
manque
nécessairement
la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 14]
La
fonction
du
manque
est
essentielle,
constitutive
de la
relation
d'amour.
La
fonction
du
manque
est très
patente
dans la
fonction
désirante
de
l'amour.
L'amour
ne
peut
être
articulé
qu'autour du
manque
du
fait
qu'il y a
désir.
vient
à
symboliser
ce qui
manque
à
l'
pour
être
l'
de
plein
exercice.
Le
phallus
rencontré
au
champ
de
l'imaginaire,
est la
racine
du
manque
d'un
signifiant.
La
place
du
signifiant
dans
l'Autre
est celle d'un
signifiant
manquant.
est le
signifiant
du
point
où le
signifiant
manque.
est un
symbole
qui
répond
à la
place
où sa
produit
le
manque
de
signifiant.
vient
à la
place
du
signifiant
manquant.
Le
du
phallus
est le
manque
de
signifiant.
*
Le
désir
est
manque.
La
castration
est
identique
à ce
phénomène
qui
fait
que
l'objet
de son
manque
est
identique
à
l'instrument
même
du
désir,
le
phallus.
*
Le
désir
vient
à
émerger
pour
combler
le
manque
de
certitude,
le
manque
de
garantie
auxquels le
sujet
se
trouve
confronté.
L'angoisse
est ce
rapport
de soutien au
désir,
là où
l'objet
manque.
est le
produit
de
mon
désir
par le
désir
de
l'Autre,
ça
ne
peut
donner
qu'un
manque
.
*
c'est
l'être
en tant qu'il est
essentiellement
manquant.
Le
névrosé
ne recule pas devant la
castration,
mais de
faire
de sa
castration
ce qui
manque
à
l'Autre.
L'angoisse
n'est pas
signal
d'un
manque,
mais
d'être
le
défaut
de cet
appui
du
manque.
Ce qu'il y a de
plus
angoissant
pour
l'enfant,
c'est quand il n'y a pas de
possibilité
de
manque.
*
L'angoisse
n'apparaît
pas dans
l'hystérie
dans la
mesure
où ses
manques
sont
méconnus.
L'autoérotisme
c'est
qu'on
manque
de
soi.
*
Le
manque
n'est
saisissable
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
Le
manque
est
radical
à la
constitution
même
de la
subjectivité.
*
Rien
ne
manque
qui ne soit de
l'ordre
symbolique.
Le
manque
est
symbolique,
.
Le
est le
support
imaginaire
du
manque
originel.
L'objet
est la
cause
du
manque
du
sujet
qui
parle
à
l'analyste.
La
fonction
du
manque
est
radicale
dans
l'angoisse.
Le
point
d'où
surgit
qu'il y a du
signifiant
qui ne
saurait
être
signifié,
est celui du
manque
de
signifiant.
La
défense
n'est pas contre
l'angoisse,
mais contre ce dont
l'angoisse
est le
signal,
un
certain
manque.
La
femme
ne
manque
de
rien.
Il ne
manque
rien
au
réel.
Le
manque
de
l'objet
cause
du
désir
est
relié
chez
l'homme
au
.
*
Ce qui est
cherché
dans la
quête
sadique
c'est, chez
l'objet,
ce
petit
morceau
qui
manque.
Le
lieu
du
manque,
dans son
rapport
au
désir,
est
structuré
par le
fantasme,
par la
vacillation
du
sujet
dans son
rapport
à
l'objet
partiel.
L'angoisse
se
crée
dans la
non-coïncidence
du
manque
avec la
fonction
du
désir
en
acte.
L'angoisse
vise
la
vérité
du
manque.
Le
manque
associé
au
est
non
spéculaire,
n'est pas
saisissable
dans
l'image.
*
Le
phallus,
là où il est
attendu
comme
sexuel,
n'apparaît
jamais
que comme
manque.
Il est de la
structure
de
l'Autre
de
constituer
le
vide
de son
manque
de
garantie.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
La
jouissance
dans
l'Autre,
axe
de la
sexualité,
est
marquée
de
l'instrument
manquant
que
désigne
.
Au
niveau
du
stade
phallique,
la
fonction
de
est
représentée
essentiellement
par un
manque,
par le
défaut
de
phallus.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
Ce qui est
commun
au
rêve,
à
l'acte
manqué,
dans le
mot
d'esprit,
c'est l'achoppement, la
défaillance,
la
fêlure.
Ce qui
réveille,
c'est
l'autre
réalité
cachée
derrière
le
manque
de ce qui
tient
lieu
de
représentation.
Le
manque
est
constitutif
de
l'angoisse
de
castration.
L'objet
symbolise
le
manque
central
du
désir,
.
La
répétition
est
répétition
par
rapport
à quelque
chose
de
toujours
manqué.
La
fermeture
de
l'inconscient
est le
manque,
toujours
à
point
nommé,
de la bonne
rencontre.
La
sexualité
se
représente
par une
relation
du
sujet
qui
s'instaure
dans le
champ
du
sujet,
par une
voie
qui est la
voie
du
manque.
Deux
manques
se
recouvrent,
le
sujet
dépend
du
signifiant
situé
d'abord
au
champ
de
l'Autre
et le
manque
réel,
que
constitue
la
perte
d'une
part
du
vivant
à la
naissance.
Dans le
schéma
11.16.2
,
l'intersection
surgit
du
recouvrement
de
deux
manques.
Un
manque
est, par le
sujet,
rencontré
dans
l'Autre,
dans
l'intimation
même
que lui
fait
l'Autre
par son
discours.
Le
désir
de
l'Autre
est
appréhendé
par le
sujet,
dans ce qui ne
colle
pas, dans les
manques
du
discours
de
l'Autre.
*
C'est un
manque
engendré
du
temps
précédent,
qui
sert
à
répondre
au
manque
suscité par le
temps
suivant.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
Le
sujet
revient
au
point
initial
de son
manque
comme tel, de son
aphanisis
,
de sa
disparition.
L'analyse
s'engage
dans le
manque
central,
où le
sujet
s'expérimente
comme
désir.
C'est
l'assomption
de la
castration
qui
crée
le
manque
dont
s'institue
le
désir.
[
Lac66a
, p. 852]
Le
nom
propre,
en tant qu'irremplaçable
peut
manquer.
On
habite
le
langage,
mais
on
n'habite
pas le
manque.
Le
manque
habite
à
l'intérieur
de
l'objet
.
Privation,
frustration,
castration
sont les
trois
espèces
de la
dialectique
du
manque.
Le
sujet
se
situe,
se
caractérise
essentiellement
comme
étant
de
l'ordre
du
manque.
La
nature
du
phallus
se
révèle
au
sujet
par le
manque
du
pénis
de la
mère.
5
.
290
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
que ce
point
de
manque
qu'il
indique
dans le
sujet.
Un
désigne
toujours
l'objet
comme
manquant.
La
science
est un
savoir
au
milieu
duquel s'étale le
trou
du
manque
de
l'objet
.
*
Le
symbole
est
identique
à ce qu'il
cause,
c'est-à-dire le
manque
du
sujet.
Il
manque
l'Un
pour
désigner
le
sujet.
L'
Urverdrängung
se
situe
à la
place
du
manque
du
vrai
sur le
vrai.
[
Lac66a
, p. 868]
L'être
du
sujet
est la
suture
du
manque
qui, se
dérobant
dans le
nombre,
le
soutient
de sa récurrence.
Le
trait
unaire
est ce qui
manque
au
signifiant
pour
être
l'Un
du
sujet.
Le
sujet
se
refend
d'être
à la
fois
effet
de la
marque
d'une
identification
primaire
et
support
de son
manque.
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
C'est
essentiellement
dans la
représentation
d'un
manque
que
s'institue
la
structure
fondamentale
de
l'étoffe
du
désir.
Le
fait
qu'il n'y
ait
pas
d'univers
du
discours
connote
ce qui
manque
dans la
chaîne
signifiante.
Le
signifiant
manquant
dans la
chaîne
signifiante
c'est
l'
un-en-trop
.
est le
signifiant
comme
manquant
à
l'univers
du
discours.
*
Un
symbole
vient
à la
place
du
manque
constitué
par le
manque
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 722]
Le
manque
à sa
place
est
nécessaire
au
départ
de la
dimension
de
déplacement
d'où
procède
tout
le
jeu
du
symbole.
[
Lac66a
, p. 722]
L'objet
de la
psychanalyse
est le
manque
d'un
objet.
[
Lac66c
, p. 12]
L'essence
de la
castration
se
manifeste
en ceci que la
différence
sexuelle
ne se
supporte
que de la
Bedeutung
de quelque
chose
qui
manque
sous l'aspect du
phallus.
*
Au
niveau
de la
sexualité,
le
désir
se
représente
par la
marque
d'un
manque.
Le
phallus
représente
la
possibilité
d'un
manque
d'objet.
désigne
le
rapport
significatif
de la
fonction
phallique
en tant que
manque
essentiel
de la
jonction
du
rapport
sexuel
avec sa
réalisation
subjective.
La
fonction
de la
castration
signifiante
signe
un
manque
fondamental.
Pour
l'homme
le
manque
phallique
s'appelle
la
castration.
Pour la
femme
le
manque
phallique
s'appelle
Penis-neid
.
*
Dans
l'acte
sexuel
on
ne
s'aperçoit
pas de ce qui
manque.
*
La
valeur
de
jouissance
prend
origine
dans le
manque,
marqué
par le
complexe
de
castration.
Le
phallus
doit
manquer
à celui qui l'a, c'est-à-dire à
l'homme.
Le
désir
est
manque.
Le
désir
féminin
et le
désir
masculin
sont dans une certaine
relation
à un
manque
symbolisé
qui est le
manque
phallique.
L'acte
manqué
est un
acte
symptomatique
qui
révèle
la
vérité.
L'inconscient
représente
la
représentation
qu'a le
sujet,
là où elle
manque,
là où
manque
le
sujet.
[
Lac68d
, p. 36]
L'organe
de la
copulation
est
représenté
comme
manquant.
Un
acte
manqué
est un
acte
uniquement
de ceci qu'il est
signifiant.
Avec la
castration,
le
sujet
ne se
réalise
exactement
qu'en tant que
manque,
cette
expérience
subjective
est
symbolisée
par
.
Toute
énonciation
se
fait
demande
de ce qui
manque
à
l'Autre.
L'être
du
sujet
est la
suture
d'un
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
sujet
se
refend
d'être
à la
fois
effet
de la
marque
et
support
de son
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
L'inconscient
porte
la
marque
du
au
niveau
où
manque
le
savoir.
Le
manque
du
Un
ne
garantit
pas que ce soit la
vérité.
*
Toute
la
normativité
s'organise
pour
l'homme
comme pour la
femme
autour de la
passation
d'un
manque.
La
tache
est
essentielle
et
structurante
au titre de
place
de
manque
dans
toute
vision.
Le
principe
de la
structure
perverse
est de
parer
à la
béance
radicale
dans
l'ordre
du
signifiant
en pourvoyant de quelque
chose
qui
comble,
qui remplace le
manque
phallique.
Le
réel
ne
manque
de
rien.
*
Pour que quelque
chose
manque
il faut qu'il y
ait
du
compté.
Le
phallus
se
définit
d'abord
comme ce qui
manque.
*
Le
phallus
est le
signifiant
manquant.
Le
phallus
est le
signifiant
manquant,
hors
système.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
La
cause
de
l'amour
de la
vérité
est dans le
manque-à-être
de la
vérité,
le
manque
d'oubli.
Le
manque
d'oubli
c'est la
même
chose
que le
manque-à-être,
car
être
ce n'est
rien
d'autre
que
d'oublier.
L'acte
manqué
c'est
toujours
un
acte
réussi.
*
Pour quelque
chose
de
réel,
rien
ne
saurait
manquer.
Dans la
privation
quelque
chose
de
symbolique
manque.
Le
manque
de
sérieux
est ce qu'il y a de
plus
solide pour
définir
la
perversion.
La
sexualité
est au
centre
en ceci qu'elle est un
manque.
*
L'Un
commence
au
niveau
où il y en a
Un
qui
manque.
Le
fondement
de
l'Un,
s'avère
être
profondément
constitué
de la
place
d'Un
manque.
Le
mode
de la
pensée,
pour autant qu'il est
subverti
par le
manque
du
rapport
sexuel,
pense
et ne
pense
qu'au
moyen
de
l'Un.
*
Un
acte
manqué
a
toujours
affaire avec le
sexe.
*
L'acte
manqué
par excellence est précisément
l'acte
sexuel.
L'acte
manqué
est une
bévue.
*
L'Autre
manque.
[
Lac82b
, p. 83]
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5.13 M
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Jacques B. Siboni
2024-11-08