Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.18 R
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rappel
Suivant:
rare
Index:
Index
rapport
C'est dans le
narcissisme
que
gît
le
rapport
de
l'image
à la
tendance
suicide.
[
Lac66a
, p. 186]
L'identification
du
sujet
infans
à
l'image
spéculaire
est le
modèle
du
rapport
fondamentalement
aliénant
où
l'être
de
l'homme
se
constitue
dialectiquement.
[
Lac66a
, p. 141]
Le
super-ego
est aussi une
loi
dépourvue de
sens
mais en
rapport
avec les
problèmes
de
langage.
La
psychanalyse
est un
rapport
inter-humain.
Le
rapport
symbolique
de la
parole
prise
en tant que telle est un
tiers
élément.
*
C'est dans un
rapport
à
trois
et
non
pas dans une
relation
à
deux,
que
peut
se
formuler
pleinement, dans sa
complétude,
l'expérience
analytique.
Le
moi
se
constitue
par
rapport
à
l'autre.
C'est par
rapport
au
premier
moi
imaginaire
que va se
situer
le
premier
jeu
de
l'inclusion
ou de
l'exclusion
de
tout
ce dont il s'agit dans le
sujet
avant
la
naissance
du
moi.
Le
surmoi
est une
introjection
secondaire
par
rapport
à la
fonction
de
l'ego
idéal.
Le
surmoi
a un
certain
rapport
avec la
loi.
La
nature
du
lien
imaginaire
établi dans le
transfert
a le
plus
étroit
rapport
avec la
notion
de
rapport
objectal.
Les
rapports
entre
l'analysé
et
l'analyste
se
situent
sur le
plan
du
moi
et du
non-moi,
c'est à dire sur le
plan
de
l'économie
narcissique
du
sujet.
Le
sens
plein
du
terme
image
se
définit
du
rapport
avec des
identifications
formatrices pour le
sujet.
Il y a une stricte
équivalence
de
l'objet
et de
l'idéal-du-moi
dans le
rapport
amoureux.
Le
milieu
vital
de
l'homme
est le
milieu
symbolique
du
rapport
du
moi
à
l'autre.
Il y a un
rapport
étroit
entre
la
formation
de
l'objet
et celle du
moi.
L'ignorance
se
constitue
d'une
façon
polaire
par
rapport
à la
position
virtuelle
d'une
vérité
à
atteindre.
La
perpétuelle
réversion du
désir
à la
forme,
et la
forme
du
désir,
est le
mécanisme
fondamental
autour de quoi
tourne
tout
ce qui se
rapporte
à
l'ego.
Le
surmoi
est cette
scission
en tant qu'elle se
produit
dans ses
rapports
avec la
loi.
La
perversion
ne se
définit
pas simplement comme atypie, aberrance,
anomalie
par
rapport
à des critères
sociaux.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
*
Tout
se
classe,
s'ordonne
par
rapport
aux
symboles
surgis, aux
symboles
une
fois
qu'ils sont
apparus.
Quand le
sujet
s'interrompt
dans son
discours,
une
pensée
l'occupe
qui se
rapporte
à
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 373]
Les
mécanismes
de
défense
sont
toujours
plus
ou
moins
liés
à la
relation
narcissique
du
moi,
car elle est
strictement
structurée
sur le
rapport
à
l'autre,
l'identification
possible
avec
l'autre.
Les
besoins
se
rapportent
à
l'organisme.
Le
phénomène
du
rêve,
autant que le
symptôme,
a quelque
rapport
avec la
structure
du
langage
et à ce
rapport
de
l'homme
au
langage.
La
parole
est le
rapport
de
l'homme
au
langage.
La
censure
a
toujours
un
rapport
avec quelque
chose
qui, dans le
discours,
se
rapporte
à la
loi
en tant qu'elle est
incomprise.
Par
rapport
à la
loi,
l'homme
est
toujours
en posture de ne
jamais
complètement
la
comprendre,
car
aucun
homme
ne
peut
maîtriser
dans son
ensemble
la
loi
du
discours.
Le
sujet
est
décentré
par
rapport
à
l'ego.
Le
moi
est un
autre
avec lequel il est en
rapport
spéculaire.
*
Le
sujet
n'a pas un
rapport
duel
avec un
objet
en
face
de lui.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
*
Les
rapports
de
maître
à
esclave
sont
essentiellement
réversibles.
*
La
nature
même
du
moi,
son
rapport
fondamental
au
monde,
est de
trouver
toujours
en
face
de lui son
reflet.
Par
rapport
à son
maître
l'obsédé
nie
sa
jouissance.
Le
discours
universel
a un
rapport
avec le
langage.
Le
rapport
fondamental
de
l'homme
à
l'ordre
symbolique
est celui qui
fonde
l'ordre
symbolique
lui-même, c'est
l'ordre
du
non-être
à
l'être.
L'être
humain
a un
rapport
de
béance,
de
tension
aliénante
avec
l'image
qui est la sienne.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, pour les
sujets
humains
le
rapport
entre
et
passe
toujours
par le
circuit
.
Le
réel
définit,
par
rapport
à
l'acte
de la
parole,
un
champ
différent
du
symbolique.
La
Verdrängung
,
c'est ce qui se
passe
quand il n'y pas
rapport
5
.
400
.
La
relation
du
narcissisme
est la
relation
imaginaire
centrale
pour le
rapport
inter-humain.
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Le
rapport
du
signifiant
et du
signifié
n'est pas
biunivoque.
L'expérience
analytique
se
satisfait
de se
ranger
dans les
rapports
entre
les
ordres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Le
rapport
entre
la
signification
et le
signifiant
est celui qui est fourni par la
structure
du
discours.
Le
phénomène
analytique
est la
variété
phénoménale
la
plus
importante
et la
plus
révélatrice
des
rapports
de
l'homme
au
domaine
du
langage.
La
notion
de
structure
se
pose
toujours
par
rapport
à une
référence
de ce qui est
cohérent
à quelque
chose
d'autre
qui lui est
complémentaire.
Le
signifiant
est un
système
corrélatif
d'éléments
qui
prennent
leur
place
synchroniquement
et
diachroniquement
les uns par
rapport
aux
autres.
La
défense
a un
rapport
essentiel
au
signifiant.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
est
prise
dans un
rapport
purement
duel
et dans un
rapport
démesuré.
Le
signifiant
et le
signifié
sont
toujours
dans un
rapport
dialectique.
La
position
hystérique
est une
question
qui se
rapporte
aux
deux
pôles
signifiants
du
mâle
et de la
femelle.
Le
psychotique
a un
rapport
d'extériorité
avec
l'ensemble
de
l'appareil
du
langage.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
Le
principe
de
plaisir
et le
principe
de
réalité
s'impliquent
et
s'incluent
l'un à
l'autre
dans un
rapport
dialectique.
L'objet
est
instrument
à
masquer,
à
parer
le
fond
fondamental
d'angoisse
qui
caractérise
le
rapport
du
sujet
au
monde.
L'objet
de la
phobie
joue
une certaine
fonction
de
protection
par
rapport
à
l'angoisse.
La
relation
imaginaire
est
modulée
sur le
rapport
fondamental
mère
enfant.
Il y a une
discordance
de
l'objet
retrouvé
par
rapport
à
l'objet
recherché.
Dans le
fétichisme,
l'enfant
vient
plus
ou
moins
occuper
la
position
de la
mère
par
rapport
au
phallus.
L'auto-érotisme
est le
stade
du
rapport
primitif
entre
l'enfant
et
l'objet
maternel
primordial.
Le
signifiant
est
préséant
par
rapport
au
signifié.
[
Lac66a
, p. 29]
*
L'extériorité
du
symbolique
par
rapport
à
l'homme
est la
notion
même
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 469]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
La
dialectique
du
narcissisme
est
essentiellement
le
rapport
moi
petit
autre.
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
Dans le
rapport
sujet
objet
il y a un
au-delà
et un
manque.
La
pulsion
doit
être
conçue
par
rapport
au
registre
de sa
fonction
économique.
Le
sens
est
paradoxal
par
rapport
à
toute
signification
possible.
*
Le
comique
se contente d'un
rapport
duel.
*
Le
rapport
d'amour
avec la
mère,
c'est ce qui
introduit
l'enfant
à la
dynamique
imaginaire.
L'homme
n'est pas simplement un
mâle
ou une
femelle,
mais il se
situe
par
rapport
à quelque
chose
de
symbolisé
qui
s'appelle
mâle
et
femelle.
La
sublimation
déplace
le
dernier
et
radical
rapport
à une
altérité
essentielle
pour la
faire
habiter
par une
relation
de
mirage.
Dans la
formule
de la
métonymie
,
est dans un
rapport
métonymique
avec
de la
signification.
Dans la
formule
de la
métaphore
, où il y a
substitution
de
par
rapport
à
et
création
de
sens.
Le
rapport
est un
rapport
de
signifiant
à
signifiant.
Le
rapport
va
engendrer
le
rapport
,
rapport
d'un
signifiant
à un
signifié.
Par
rapport
au
mécanisme
de la
création
du
sens,
les
lois
du
signifiant
sont
premières.
Le
désir
est ce quelque
chose
qui est
défini
par un
décalage
essentiel
par
rapport
à
tout
ce qui est de
l'ordre
de la
direction
imaginaire
du
besoin.
Les
rapports
de
l'homme
au
langage
se font sous une
forme
aveugle
fermée.
Le
signe
de la
métonymie
marque
l'irréductibilité
où se
constitue,
dans les
rapports
du
signifiant
au
signifié,
la
résistance
de la
signification.
[
Lac66a
, p. 515]
Le
rapport
du
moi
à
l'image
spéculative
5
.
401
est la
fonction
unifiante
de
l'image
totale
du
corps.
La
réalité
implique
les
rapports
de
l'œdipe
avec les
affections
qui
comportent
un
bouleversement
du
rapport
à la
réalité,
perversion
et
psychose.
Ce qui est
essentiel,
c'est le
rapport
dans lequel la
mère
fonde
le
père
comme
médiateur
de quelque
chose
qui est
au-delà
de sa
loi
à elle et de son
caprice,
et qui est
purement
et simplement la
loi
comme telle.
C'est au
père
que se
rapporte
la
formation
idéale
du
moi.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
Le
phallus
est un
signifiant
dernier
dans le
rapport
du
signifiant
au
signifié.
L'au-delà
du
principe
du
plaisir
est le
rapport
fondamental
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
Le
désir
est
installé
essentiellement
dans un
rapport
à la
chaîne
signifiante.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
Le
signifié
implique
dans le
sujet
l'action
structurante
de
signifiant
constitué
par
rapport
au
besoin.
Il y a la
dépendance
primordiale
du
sujet
par
rapport
au
désir
de
l'autre.
La
dialectique
primordiale
du
désir
est dans un
rapport
tiers
qui
fait
intervenir
au-delà
de la
mère
un
personnage
tiers
qui est le
père.
C'est en
position
masculine
d'abord
que la
fille
se
présente
par
rapport
à la
mère.
L'idéal-du-moi
a
toujours
un
certain
rapport
avec ce
facteur
commun
métonymique
qu'est le
phallus.
L'idéal-du-moi
se
constitue
dans un
rapport
avec le
père,
il
implique
toujours
le
phallus.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
*
Il y a un
rapport
étroit,
intime
entre
le
désir
et la
marque.
L'être
vivant
marqué
a un
désir
qui n'est pas
sans
un
certain
rapport
intime
avec cette
marque.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Dans la
formule
5.17.3
le delta
est ce par quoi le
sujet
humain
est mis dans un
certain
rapport
au
signifiant.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas un
rapport
pur
et
simple
de
désir.
Le
rapport
de
l'homme
au
désir
n'est pas en
soi
un
rapport
à
l'objet.
Toute
identification
qui est
identification
aux insignes de
l'autre
dépend
de la
demande
et des
rapports
de
l'autre
au
désir.
Le
phallus
est ce
signifiant
par lequel est
introduit
dans
l'Autre
en tant que
lieu
de la
parole,
le
rapport
au
petit
autre
.
Il n'y aurait pas
d'entrée
de
l'homme
dans la
culture
si ce
rapport
au
signifiant
n'y
était
à
l'origine.
Le
désir
humain
n'est pas
impliqué
d'une
façon
directe
dans un
rapport
pur
et
simple
avec
l'objet
qu'il
satisfait.
Il y a
excentricité
du
désir
par
rapport
à
toute
satisfaction.
L'aire du
désir
connote
son
excentricité
par
rapport
à la
satisfaction.
La
perception
des
rapports
du
père
et de la
mère
s'appelle
la
métaphore
paternelle.
Le
désir
de
l'obsessionnel
est
évanescent
en
raison
d'une
difficulté
fondamentale
de son
rapport
avec
l'Autre.
Le
phallus
est le
signifiant
par excellence du
rapport
de
l'homme
au
signifié.
L'obsessionnel
se met dans la
plus
grande
dépendance
par
rapport
à
l'Autre
en tant qu'il
parle.
La
Versagung
porte
en elle-même la
situation
du
sujet
par
rapport
à la
demande.
*
L'obsessionnel
ne se
maintient
dans un
rapport
possible
avec son
désir
qu'à
distance.
Le
signifiant
prend
sa
valeur
du
rapport
à un
autre
signifiant,
dans une certaine
synchronie.
Le
graphe
6.2.1
montre
les
rapports
du
sujet
parlant
avec le
signifiant.
Ce qui
caractérise
la
demande
c'est que le
rapport
du
sujet
à un
autre
sujet
se
fait
par
l'intermédiaire
du
système
des
signifiants.
Les
rapports
du
sujet
à
l'objet
sont des
rapports
de
désir.
Le
rapport
du
sujet
à
l'objet
n'est pas un
rapport
de
besoin.
Les
rapports
de
l'homme
et de la
femme
à leur
désir
sont foncièrement
différents
en
raison
de leur
asymétrie
par
rapport
au
signifiant
phallus.
L'idéal-du-moi
est l'héritier d'un
rapport
premier
du
sujet,
non
pas avec son
désir
mais avec le
désir
de sa
mère.
La
formule
de
l'image
de
l'autre,
dans ses
rapports
avec
l'autre
du
sujet
en tant
qu'idéal,
s'écrit
.
La
chaîne
des
signifiants
subsiste
dans une
altérité
radicale
par
rapport
au
sujet.
[
Lac66a
, pp. 549–550]
Une
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à quelque
chose
de
réel.
Le
rapport
du
désir
au
fantasme,
dans le
graphe
6.6.1
,
s'exprime
dans le
champ
intermédiaire
entre
les
deux
lignes
structurales
de
toute
énonciation
signifiante.
Ce
qu'exprime
la
formule
du
fantasme
,
c'est que le
désir
comme tel, et par
rapport
à
tout
objet
possible
pour
l'homme,
pose
pour lui la
question
de son
élision
subjective.
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Amour,
haine,
ignorance
sont les
affects
positionnels
par
rapport
à
l'être.
L'affect
concerne
le
rapport
du
sujet
à
l'être
et le
révélant.
*
Le
moi
se
constitue
dans un
certain
rapport
imaginaire
à
l'autre.
Le
fantasme
est le
rapport
du
sujet
en tant
qu'évanouissant,
en tant qu'il
s'évanouit
en un
certain
rapport
à un
objet
électif.
*
Il y a un
rapport
entre
le
phallus
et le
grand
Autre.
Le
phallus
a un
rapport
avec
l'être
du
sujet.
Le
sujet
par
rapport
au
signifiant
phallus,
c'est soit
être
le
phallus,
soit
l'avoir.
L'être
et
l'avoir
ne surviennent pas au
même
temps
du
rapport
d'identification.
Le
rapport
du
sujet
féminin
au
phallus
c'est
d'être
sans
l'avoir.
Le
par
rapport
à
est la
formule
du
désir.
Le
sujet
dans
l'image
de
l'autre
trouve
à se
substituer
un
rapport
du
sujet
au
désir,
.
Il y a un
rapport
narcissique
entre
le
moi
et
l'image
de
l'autre
.
le
rapport
en
présence
du
est le
support
fantasmatique
du
désir.
La
castration
se
rapporte
à
l'objet
phallique
imaginaire.
cf:
5.9.1
La
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à un
terme
réel.
cf:
5.9.1
La
privation
réelle
se
rapporte
à un
terme
symbolique.
cf:
5.9.1
L'agent
se
rapporte
au
sujet.
cf:
5.9.1
La
castration,
est
l'essentiel
de la
marque
sur
l'homme
de son
rapport
au
logos
.
L'objet
soutient
le
rapport
du
sujet
à ce qu'il n'est pas, le
phallus.
C'est dans un
rapport
tiers
avec le
fantasme
que le
sujet
se
constitue
comme
désir.
Le
rapport
de
l'Autre
à la
demande
est le
rapport
le
plus
primordial
du
sujet
en tant que
lieu
de la
parole.
Le
sujet
se
constitue
comme
sujet
qui
parle
par
rapport
à
l'Autre
comme
sujet
de la
parole.
*
L'image
de
l'autre
spéculaire,
joue
par
rapport
au
moi.
Le
rapport
de la
coupure
du
réel
et de la
coupure
du
langage
est un
recouvrement
d'un
système
de
coupure
par un
autre
système
de
coupure.
Le
fantasme
est le
rapport
du
sujet,
barré
,
avec
l'objet
.
Le
désir
de
l'Autre
est
articulé,
et
structuré
dans le
rapport
du
sujet
à la
parole.
L'objet
phallique
est
latent
à
tout
rapport
de
demande
comme
signifiant
du
désir.
L'expérience
freudienne
prend
sa
place
par
rapport
à
l'opposition
du
fictif
et du
réel.
Du
rapport
de la
morale,
le
réel
peut
être
la
garantie
de la
Chose.
L'éthique
psychanalytique
suspend
l'analyste
dans un
rapport
dialectique
du
désir
à la
loi.
*
Le
rapport
du
réel
au
pensé
n'est pas celui du
signifié
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 705]
C'est en
éléments
signifiants,
que
cristallise
le
premier
rapport
qui, chez le
sujet,
se
constitue
dans le
système
psychique,
comme tel,
soumis
à
l'
homéostase
5
.
402
, à la
loi
du
principe
du
plaisir.
La
Chose
est ce qui du
réel
pâtit
de ce
rapport
fondamental,
initial
qui
engage
l'homme
dans les
voies
du
signifiant.
La
fonction
du
miroir
est
structurante,
comme exemplaire de la
structure
imaginaire
dans le
rapport
narcissique.
C'est par
rapport
à la
Spaltung
que
doit
être
articulé,
situé,
vu
dans sa
fonction
le
désir
comme tel.
La
pulsion
comporte
une
dimension
historique
en tant qu'elle se
rapporte
à quelque
chose
de
mémorable
parce que
mémorisé.
Le
beau
ne
leurre
pas,
contrairement
à la
fonction
du
bien
dans sa
fonction
singulière
par
rapport
au
désir.
Le
désir
est ce
rapport
métonymique
d'un
signifiant
à
l'autre.
*
Tout
mythe
se
rapporte
à
l'inexplicable
du
réel.
Le
désir
se
présente
comme
autonome
par
rapport
à la
médiation
de la
loi.
[
Lac66a
, p. 814]
Le
dédoublement
du
sujet
est
nécessité
par le
rapport
logique,
initial,
inaugural
du
sujet
au
signifiant.
Le
désir
se
présente
par
rapport
à la
chaîne
signifiante
inconsciente
comme
constitutive
du
sujet
qui
parle.
Le
transfert
se
manifeste
dans le
rapport
à quelqu'un à qui
l'on
parle.
Toute
action
a un
certain
rapport
à
l'action
la
plus
originelle,
au
refoulé
le
plus
originel,
l'
Urverdrängt
.
Moi-idéal,
idéal-du-moi
ont le
plus
grand
rapport
avec certaines
exigences
de préservation du
narcissisme.
Que la
satisfaction
narcissique
se
développe
dans le
rapport
au
moi-idéal
dépend
de la
possibilité
de
référence
à ce
terme
symbolique
primordial
qu'est
l'
einziger Zug
.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
Le
rapport
originaire
du
sujet
à
l'image
spéculaire,
s'instaure
dans la
réaction
de
l'agressivité.
*
Le
stade
du
miroir
n'est pas
sans
rapport
avec
l'angoisse.
*
Il n'y a de
signal
d'angoisse
qu'en tant qu'il se
rapporte
à un
objet
de
désir
en tant qu'il
perturbe
le
moi-idéal
.
*
L'angoisse
est le
mode
radical
sous lequel est
maintenu
le
rapport
au
désir.
Dans la
détresse,
l'angoisse
est le
dernier
mode,
le
mode
radical,
sous lequel
continue
de se
soutenir,
même
si c'est d'une
façon
insoutenable, le
rapport
au
désir.
La
phobie
est
faite
pour
soutenir
le
rapport
du
sujet
au
désir
sous la
forme
de
l'angoisse.
L'angoisse
est ce
rapport
de soutien au
désir,
là où
l'objet
manque.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
Dans
l'identification,
il s'agit du
rapport
du
sujet
au
signifiant.
La
parole
est
possible
sans
avoir
le
rapport
humain
au
langage.
La
propriété
de
l'anneau
symbolise
la
fonction
du
sujet
dans ses
rapports
à
l'autre.
*
La
jouissance
se
définit
par
rapport
à la
Chose
par la
dimension
de
l'Autre
comme tel, en tant que cette
dimension
de
l'Autre
se
définit
par
l'introduction
du
signifiant.
Par
rapport
à
l'Autre,
dépendant
de cet
Autre,
le
sujet
s'inscrit
comme quotient.
Le
sujet
se
constitue
de sa
marque
dans le
rapport
au
signifiant.
c'est
l'angoisse
de
castration
dans son
rapport
à
l'Autre.
L'existence
de
l'angoisse
est
liée
à ceci que
toute
demande
a
toujours
quelque
chose
de
leurrant
par
rapport
à ce qui
préserve
la
place
du
désir.
Le
rapport
du
sujet
au
phallus
est qu'il n'est pas
sans
l'avoir.
Le
désir
sadique
s'entend
à
faire
vibrer
l'angoisse
de
l'autre
par
rapport
à son
existence
essentielle
comme
sujet.
*
Le
rapport
de la
loi
au
désir
est si
étroit
que
seule
la
fonction
de la
loi
trace
le
chemin
du
désir.
Il y a un
rapport
profond,
nécessaire
entre
l'
acting-out
et le
.
L'angoisse
est le
rapport
avec
l'objet
cause
du
désir.
Le
fantasme
c'est
dans un
certain
rapport
d'opposition
à
.
*
Les manœuvres se
situent
à un
niveau
qui n'est pas
sans
rapport
avec
l'Autre.
L'angoisse
vient
se
constituer,
prendre
sa
place
dans un
rapport
au-delà
de ce
vide
d'un
temps
premier
de la
castration.
La
circoncision
a le
rapport
le
plus
évident avec la
normativation
de
l'objet
du
désir.
Pour la
femme,
la
revendication
du
pénis,
reste
essentiellement
liée
au
rapport
à la
mère
par la
demande.
*
Le
rapport
du
sujet
au
signifiant
nécessite
la
structuration
du
désir
dans le
fantasme.
*
Il y a, au
stade
oral,
un
certain
rapport
de la
demande
au
désir
voilé
de la
mère.
Le
désir
se met dans un
certain
rapport
avec la
fonction
du
reste.
Le
lieu
du
manque,
dans son
rapport
au
désir,
est
structuré
par le
fantasme,
par la
vacillation
du
sujet
dans son
rapport
à
l'objet
partiel.
*
L'espace
c'est quelque
chose
qui a un
certain
rapport,
non
pas avec
l'esprit,
mais avec
l'œil.
Il y a
rapport
réciproque
du
désir
à
l'angoisse
sous une
forme
radicalement
masquée.
La
structure
de la
pulsion
est
supportée
par la
formule
rapport
de
désir
à la
demande,
.
L'angoisse
de
castration,
c'est une
angoisse
qui se
rapporte
au
champ
où la
mort
se
noue
étroitement
au
renouvellement
de la
vie.
L'œil
institue
le
rapport
fondamental
désirable
en ceci qu'il tend
toujours
à
faire
méconnaître,
dans le
rapport
à
l'autre,
que sous ce
désirable
il y a un
désirant.
L'angoisse
gît
dans le
rapport
fondamental
où le
sujet
est dans le
désir
de
l'Autre.
Dans
toute
avancée,
comme tel,
l'angoisse
apparaît
en
fonction
de son
rapport
au
désir
de
l'Autre.
La
fonction
du
est une
fonction
unique
par
rapport
à
toutes
les
autres
fonctions
de
en tant qu'elle est
définie
par un
manque,
par le
manque
d'un
objet.
Par
rapport
au
désir,
l'objet
se
présente
toujours
là où
s'élabore,
dans le
sujet,
la
fonction
de la
cause
même.
Dans les
rapports
du
désir
et de
l'angoisse,
l'émoi
c'est le
.
Le
désir
se
soutient
dans le
rapport
à sa
limite,
et
franchit
le
seuil
imposé
par le
principe
du
plaisir.
La
répétition
a un
rapport
avec la
remémoration.
Ce qui se
répète
est
toujours
quelque
chose
en
rapport
à la
tuché
et qui se
produit
comme au
hasard.
Dans le
rapport
aux
choses,
le
regard
est quelque
chose
qui
glisse
pour y
être
toujours
à quelque
degré,
élidé.
*
Ce qui échappe au
sujet,
c'est que sa
syntaxe
se
constitue
en
rapport
avec certaines réserves
5
.
403
inconscientes.
La
schize
du
sujet
est
déterminée
comme
dépendance
de la
schize
du
sujet
par
rapport
à un
objet
privilégié
surgi
d'une
séparation
primitive,
de quelque
automutilation.
Dans le
rapport
scopique,
le
regard
est
l'objet
d'où
dépend
le
fantasme
auquel le
sujet
est appendu dans une
vacillation
essentielle.
Dans le
rapport
scopique,
le
sujet
est appendu à un
fantasme.
Le
rapport
du
sujet
avec
l'organe
est au
cœur
de
l'expérience
analytique.
Dans le
rapport
de
désir,
la
réalité
n'apparaît
que
marginale.
cf.
11.9.1
Le
sujet
est
symbolisé
par
,
en tant que
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Le
sujet
est
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Un
et 1
marquent
la
première
schize
qui
fait
que le
sujet,
comme tel, se
distingue
du
signe
par
rapport
auquel,
d'abord,
il a pu se
constituer
comme
sujet.
Le
sujet
se
constitue,
comme tel, par
rapport
à un
signe.
Dans la
pratique
analytique,
il n'y a pas à
repérer
le
sujet
par
rapport
à la
réalité.
La
répétition
est
répétition
par
rapport
à quelque
chose
de
toujours
manqué.
Le
losange
est au
cœur
de
tout
rapport
de
l'inconscient,
entre
la
réalité
et le
sujet.
La
lamelle
représente
le
rapport
du
sujet
vivant
à ce qu'il
perd
de
devoir
passer
pour sa
reproduction,
par le
cycle
sexuel.
Le
rapport
de la
pulsion
avec
l'activité
passivité
est
purement
grammatical.
Projeter
se
rapporte
au
champ
du
symbolique.
Introjecter
se
rapporte
au
champ
de
l'imaginaire.
Il y a du
signifiant
au
signifié
un
rapport
qui est celui
d'effet
de
sens.
L'interprétation
renverse
le
rapport
qui
fait
que le
signifiant
a pour
effet
dans le
langage,
le
signifié.
Les
significations
dialectisées
dans le
rapport
du
désir
de
l'Autre
donnent
au
rapport
du
sujet
à
l'inconscient
une
valeur
déterminée.
*
Le
rapport
du
signifiant
au
sujet,
en tant qu'il
intéresse
la
fonction
de la
signification,
passe
par un
référent.
Le
signifié
surgit
du
rapport
du
signifiant
au
référent.
Eu égard au
signifiant,
le
signifié
se
présente
dans le
rapport
de
l'envers
à
l'endroit.
Le
désir
ne se
soutient
que du
rapport
qu'il
méconnaît,
de la
division
du
sujet
à un
objet
qui le
cause.
[
Lac66a
, p. 853]
Le
stade
du
miroir
a le
caractère
noyau,
par
rapport
à
l'instance
du
moi,
de
l'image
spéculaire.
La
libido
a
rapport
à
l'existence
de la
reproduction
sexuelle
mais n'y est point
identique.
La
position
anaclitique
marque
la
dépendance
physique,
animale
où le
petit
enfant
se
trouve
par
rapport
à sa
mère.
Il y a un
rapport
divergent de la
vérité
au
savoir.
Dans la
névrose,
c'est par
rapport
à la
demande
de
l'Autre
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
Le
savoir
du
rapport
du
sujet
à son
symptôme,
c'est le
premier
pas de la
psychanalyse.
C'est
barré
dans son
rapport
à la
demande,
,
que
s'accroche
la
division
du
sujet.
L'ambivalence
exprime
la
duplicité
du
désir
par
rapport
à la
demande.
L'objet
est l'enjeu
fondateur,
pour le
sujet,
dans son
rapport
à
l'Autre.
La
dimension
du
désir
surgit
avec
l'avènement
d'un
objet
qui n'est pas
l'objet
de la
satisfaction
d'un
besoin
mais d'un
rapport
de la
demande
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
c'est le
phallus
en tant
qu'objet
en
jeu
dans le
rapport
à la
jouissance.
est un
objet
dont le
statut
est dans un
rapport
logique.
Que le
rapport
du
signifiant
à
soi-même
n'engendre
aucune
signification
peut se
noter
.
Le
rapport
du
signifiant
à la
vérité
peut
court-circuiter
toute
pensée
qui le
supporte.
La
position
métaphorique
d'un
signifiant
est de
substitution
par
rapport
à un
autre
signifiant.
*
La
subjectivité
à
l'origine
n'est
d'aucun
rapport
au
réel,
mais d'une
syntaxe
qu'y
engendre
la
marque
signifiante.
[
Lac66a
, p. 50]
L'acte
sexuel
a
rapport
avec la
fonction
de la
répétition.
L'acte
sexuel
est un
acte
en tant qu'il a un
rapport
avec
l'existence
du
sujet.
désigne
le
rapport
significatif
de la
fonction
phallique
en tant que
manque
essentiel
de la
jonction
du
rapport
sexuel
avec sa
réalisation
subjective.
L'
acting-out
a
rapport
avec
l'intervention
de
l'analyste.
*
La clef de la
position
névrotique
tient
à ce
rapport
étroit
à la
demande
de
l'Autre
en tant qu'il
essaie
de la
faire
surgir.
*
Le
sujet
ne
vient
au jour que par le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
La
perception
c'est le
modèle
de
l'idéologie,
puisque c'est un crible par
rapport
à la
réalité.
Il n'y a qu'un
seul
domaine
qui
n'ait
pas de
rapport
avec
l'acte
sexuel,
en tant qu'il
intéresse
la
vérité,
c'est la
mathématique,
au
point
où elle conflue avec la
logique
5
.
404
.
La
jouissance
est ce quelque
chose
qui a un
certain
rapport
au
sujet.
Le
sujet
met le
corps
et la
jouissance
dans un
rapport
de
fonction
d'aliénation.
Le
masochiste
se
situe
et ne
peut
se
situer
que par
rapport
à une
représentation
de
l'acte
sexuel.
L'être
parlant,
dans son
rapport
au
langage,
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
La
position
du
psychanalyste
est
suspendue
à un
rapport
béant,
à la
méprise
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac68d
, p. 39]
*
Un
langage
n'a pas de
rapport
direct
aux
choses.
c'est le
sujet
en tant que
divisé,
dans un
certain
rapport
à
l'objet
.
Le
transfert
se
rapporte
au
sujet
supposé
savoir.
Le
sujet,
d'être
second
par
rapport
au
savoir,
ne
dit
pas
tout
ce qu'il
sait.
Le
sujet
est
causé
par le
rapport
inter-signifiant.
Le
plus-de-jouir
est en
fonction
d'homologie
par
rapport
à la
plus-value
marxiste.
La
fonction
de
l'objet
est dans le
rapport
entre
plus-de-jouir
et
plus-value.
Le
signifiant
est le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant
qui
représente
le
sujet
.
Grand
est le
signifiant
de
l'ensemble
constitué
par le
rapport
de
à
,
rapport
de
paire
ordonnée.
La
jouissance
est
rapport
au
corps,
essentiellement.
La
jouissance
est un
rapport
qui se
fonde
sur
l'exclusion
et
l'inclusion.
*
Le
est ce qui
anime
tout
ce qui est en
jeu
dans le
rapport
de
l'homme
à la
parole.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
La
sublimation
conserve la
femme
dans le
rapport
de
l'amour
au
prix
de la
constituer
au
niveau
de la
Chose.
L'objet
est
purement
dans le
rapport
instauré de
l'institution
du
sujet
comme
effet
de
signifiant.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
Le
rapport
premier
du
signifiant
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant
se note
*
L'écriture
s'affirme
rapport
de
l'écriture
au
regard
comme
objet
.
Le
sein
est
l'analogue
du
placenta
dans les
rapports
de
l'enfant
et de la
mère.
Par
rapport
au
champ
de la
vérité,
le
savoir
est
ailleurs.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
*
Il n'y a pas
d'acte
sexuel
au
sens
où cet
acte
serait celui d'un
juste
rapport.
*
Il n'y a que
l'acte
sexuel
au
sens
où il n'y a que
l'acte,
pour
faire
rapport.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
*
S'il y a bien
acte,
il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
désir
de
savoir
n'a
aucun
rapport
avec le
savoir.
Dans
l'espèce
humaine,
le
rapport
sexuel
constitue
un
malentendu.
Le
signifiant
n'est pas
fait
pour le
rapport
sexuel.
L'humain
n'est pas
sans
un
rapport
avec la
vérité.
Le
discours
du
maître
et le
discours
analytique
présentent une
symétrie
par
rapport
à un
point,
ce sont des
pôles
opposés.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
discours
universitaire
c'est un quart de
tour
par
rapport
au
discours
du
maître.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
formulable
dans la
structure.
[
Lac70d
, p. 65]
La
femme
est le
support
de cette
vérité,
de ce qu'il y a de
semblant
dans le
rapport
de
l'homme
à la
femme.
L'écrit
est
second
par
rapport
à
toute
fonction
du
langage.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'être
parlant.
Le
rapport
sexuel,
comme
tout
autre
rapport,
ne
subsiste
que de
l'écrit.
La
fonction
du
phallus
volatilise ce qu'il en est de ce qui
peut
s'écrire
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
Le
phallus
vise
son
rapport
à la
jouissance.
Le
langage
a son
champ
réservé dans la
béance
du
rapport
sexuel.
Le
phallus
laisse
ouverte
la
béance
du
rapport
sexuel.
La
loi
sexuelle
se
substitue
au
rapport
sexuel.
La
liberté
est
identique
à la
non-existence
du
rapport
sexuel.
Le
rapport
de
l'homme
et de la
femme
est
radicalement
faussé,
de par la
loi
sexuelle.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel,
c'est la
parole
elle-même.
La
lettre
sert
quelque
chose
qui est de
l'ordre
du
sexe,
non
pas un
rapport
sexuel,
mais un
rapport
sexué.
*
Tout
ce qui est du
langage,
a affaire avec le
sexe,
est dans un
certain
rapport
avec le
sexe.
Le
langage
ne rend pas
compte
du
rapport
sexuel.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
être
écrit.
Le
rapport
sexuel
ne va pas
sans
un
tiers
terme,
qui est le
phallus.
*
La
femme
ne
peut
remplir
sa
place
dans le
rapport
sexuel.
Ce n'est qu'à partir
d'être
une
femme
que la
femme
peut
s'instituer
dans ce qui est
inscriptible
de ne pas
l'être,
restant
béant
de ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
Les
hystériques
sont celles qui, sur ce qu'il en est du
rapport
sexuel,
disent
la
vérité.
Le
coinçage
du
rapport
sexuel
se note :
*
C'est par
rapport
à
toute
femme
qu'une
femme
se
situe.
Le
langage
ne
connote
que
l'impossibilité
de
symboliser
le
rapport
sexuel
chez les
êtres
qui
habitent
le
langage.
*
Le
rapport
sexuel
fait
défaut
au
champ
de la
vérité
en ce que le
discours
qui
l'instaure
ne
procède
que du
semblant.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
castration
c'est ce qui
permet
le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Chez
l'être
parlant,
le
sexe
n'y
définit
nul
rapport.
*
Pour
tout
ce qu'il en est de
l'être
parlant,
le
rapport
sexuel
fait
question.
*
Il n'est pas
possible
d'écrire
le
rapport
sexuel.
Le
rapport
sexuel
n'est pas, en ce
sens
qu'on
ne
peut
l'écrire.
Le
rapport
sexuel
détermine
tout
ce qui
s'élabore
d'un
discours
dont la
nature
est
d'être
un
discours
rompu.
*
Le
rapport
sexuel,
il n'y en a pas.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
sexuelle
fait
barrage
au
rapport.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
On
peut
parler
de
rapport
quand un
discours
l'établit,
et quand ce
rapport,
on
l'énonce.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
pour les
êtres
qui
parlent.
Puisqu'il n'y a pas de
rapport
sexuel,
il n'y a pas
non
plus de
connaissance.
La
fonction
phallique
est ce qui
obture
le
rapport
sexuel.
Il y a
béance
d'une
indétermination
du
rapport
commun
à la
jouissance
de
l'homme
et de la
femme.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
Le
rapport
sexuel
ne
s'écrit
pas.
Il y a
impossibilité
d'écrire
ce qu'il en est du
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
fantasme
est ce
rapport
entre
l'objet
et la
fente
qui se
condense,
le
sujet.
L'essence
du
sommeil
c'est la
suspension
du
rapport
du
corps
à la
jouissance.
La
jouissance
sexuelle
est
dominée
par
l'impossibilité
d'établir
dans
l'énonçable,
l'Un
de la
relation,
le
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il est
impossible
de poser le
rapport
sexuel.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
conjonction
des
termes
homme
et
femme
ne
peut
produire
rapport
sexuel.
[
Lac73b
, p. 3]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 11]
Être
ou
avoir
le
phallus
est la
fonction
qui
supplée
au
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 14]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 30]
*
Le
rapport
d'organe
du
langage
à
l'être
parlant
est
métaphore.
[
Lac73a
, p. 33]
Le
rapport
sexuel
est
absent
de
toute
mathématisation.
[
Lac73a
, p. 35]
L'impossibilité
de
dire
vrai
du
réel
se
motive
d'un
mathème
dont se
situe
le
rapport
du
dire
au
dit.
[
Lac73a
, p. 37]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 47]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac75f
, p. 7]
Il y a solidarité
entre
le
non-rapport
des
sexes
et le
fait
qu'un
être
soit
parlant.
[
Lac75f
, p. 7]
La
monade,
c'est le
point-de-réel
du
rapport
vide.
[
Lac75f
, p. 8]
*
La
nade
,
c'est le
rapport
vide
insistant.
[
Lac75f
, p. 8]
Dans le
rapport
entre
l'homme
et la
femme,
la
castration
elle est
partout.
Le
pôle
du
semblant
est
corrélatif
du
pôle
de la
jouissance
en tant
qu'obstacle
au
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
affirme
qu'il est
vrai
que ce qui se
rapporte
au
registre
de
l'acte
sexuel
relève de la
fonction
phallique.
*
C'est en tant que la
fonction
phallique
ne
fonctionne
pas qu'il y a une chance de
rapport
sexuel.
L'Autre
est
absent
à partir du
moment
où il s'agit du
rapport
sexuel.
Le
rapport
fondé
sur la
disparition,
l'évanouissement
de
l'existence
de l'un des
partenaires
qui laisse la
place
vide
à
l'inscription
de la
parole,
n'est pas le
privilège
d'aucun
côté.
*
Il n'a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
c'est que des
deux,
chacun
reste
Un.
Le
psychanalyste
a un
rapport
complexe
à ce qu'il
sait.
Le
mode
de la
pensée,
pour autant qu'il est
subverti
par le
manque
du
rapport
sexuel,
pense
et ne
pense
qu'au
moyen
de
l'Un.
Le
discours
analytique
est ce
mode
de
rapport
qui est
fondé
seulement
de ce qui
fonctionne
comme
parole.
Ce qui est
entendu
n'a
aucun
rapport
avec ce que
ça
signifie.
*
Le
rapport
sexuel
ne
peut
pas
s'écrire.
Il est à
jamais
impossible
d'écrire
comme tel le
rapport
sexuel.
L'amour
supplée
au
rapport
sexuel.
Le
fondement
de
l'amour,
ça a
rapport
avec
l'Un.
Le
langage
est ce qui
fonctionne
pour
suppléer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
*
La
lettre
d'amour
ce n'est pas le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
jouissance
ne convient pas au
rapport
sexuel.
Du
fait
que la
jouissance
parle,
le
rapport
sexuel
n'est pas.
Entre
les
sexes,
chez
l'être
parlant,
le
rapport
ne se
fait
pas.
Y-a-d-l-Un
est le
premier
pas dans la démarche qui
consiste
à
suppléer
à
l'impossible
du
rapport
sexuel.
L'amour
courtois
c'est cette
façon
raffinée de
suppléer
à
l'absence
de
rapport
sexuel,
en feignant que c'est nous qui y mettions
obstacle.
L'Autre
a quelque
rapport
avec
l'autre
sexe.
Pour
l'homme
il n'y a pas le
rapport
sexuel.
La
femme
a, par
rapport
à ce que
désigne
de
jouissance
la
fonction
phallique,
une
jouissance
supplémentaire.
Le
rapport
sexuel
n'est
d'aucune
façon
inscriptible.
La
femme
a
rapport
au
signifiant
de
l'Autre.
femme
a
rapport
à
.
cf:
20.8.1
Le
rapport
sexuel
ne
peut
se
dire
d'aucune
façon.
C'est en tant que sa
jouissance
est
radicalement
Autre
que
femme
a
plus
rapport
à
Dieu.
*
Le
rapport
sexuel
s'abîme
dans le
non-sens.
Le
rapport
sexuel
ne
cesse
pas de ne pas
s'écrire.
Le
propre
du
dire,
c'est
d'
ex-sister
par
rapport
à quelque
dit
que ce soit.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
d'être
déposée,
fonde
la
vérité
avec le
pacte
qui
supplée
à
l'inexistence
du
rapport
sexuel.
Il y a un
rapport
qui ne
peut
pas
s'écrire.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
Il n'y a pas, dans le
dire,
d'existence
du
rapport
sexuel.
Le
travail
c'est ce qui
fait
des
rapports
au
savoir,
la
jouissance.
La
structure
c'est le
rapport
à un
certain
savoir.
La
jouissance
fait
obstacle
à ce que le
rapport
sexuel
ne
puisse
d'aucune
façon
s'inscrire.
L'occulte
c'est
l'absence
de
rapport.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
L'amour
est le
rapport
du
réel
au
savoir.
Ce qui
fait
obstacle
au
rapport
sexuel
établi, c'est que dans le
chiffrage
est la
jouissance.
[
Lac75d
, p. 14]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
fonction
de
l'homme
par
rapport
à la
femme
s'écrit
.
*
L'imaginaire
c'est le
faux,
deuxième
par
rapport
au
réel.
Le
dire
vrai
c'est la rainure par où
passe
ce qui
supplée
à
l'absence,
à
l'impossibilité
d'écrire
le
rapport
sexuel.
Il y a
impossibilité
d'écrire
le
rapport
sexuel.
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
Le
trou
dans le
réel
c'est là où il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
jouissance
phallique
fait
obstacle
au
rapport
sexuel.
se
définit
de ne pas
avoir
le moindre
rapport.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
Le
langage
est ce dans quoi
s'inscrit
le
non-rapport.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
qui
puisse
se mettre en
écriture.
[
Lac82d
]
Un
rapport
qui est
impossible
à
écrire
n'est ni
affirmable
ni
réfutable.
[
Lac82d
]
Il y a un
rapport
du
sens
à la
jouissance
phallique.
[
Lac74a
, p. 9]
Entre
l'Un
et le
il n'y a
strictement
aucun
rapport
rationnellement
déterminable.
*
L'amour
n'a
rien
à
faire
avec le
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Pour ce qui est du
rapport
sexuel,
il est
strictement
impossible
d'écrire
.
*
Il n'y a pas
d'élaboration
logicisable
et du
même
coup
mathématisable
du
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Rapport
cela
veut
dire
proportion.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Le
départ
de
tout
nœud
social
se
constitue
du
non-rapport
sexuel
comme
trou.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Rapport
c'est
l'idée
de
proportion.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
l'humain.
Il y a un
rapport
entre
le
discours
scientifique
et le
discours
hystérique.
Le
sexuel
ne
fonde
en
rien
quelque
rapport
que ce soit.
L'amour
éternel se
rapporte
à la
fonction
du
père
en tant que
porteur
de la
castration.
*
Le
lapsus
calami
n'est pas
premier
par
rapport
au
lapsus
linguae
.
Le
langage
supplée
à
l'absence
de
rapport
sexuel.
L'humain
est une
espèce
pour laquelle il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Pour
l'espèce
humaine,
la
sexualité
est
anormale,
car il n'y a pas de
rapport
sexuel.
La
névrose
est
liée
au
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
*
Le
sexe
ne
définit
pas un
rapport.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
À
cause
de
l'existence
du
signifiant,
chez
l'homme
l'ensemble
de ce qui
pourrait
être
un
rapport
sexuel
est un
ensemble
vide.
[
Lac78
]
L'ensemble
vide
est ce qui convient au
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
chez
les trumains.
[
Lac78
]
Le
fondement
de la
psychanalyse
c'est qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
L'analyse
ne se
supporte
que du
fait
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac78
]
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
parce qu'il y a un
imaginaire,
un
symbolique
et un
réel.
*
Il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac82b
, p. 83]
Suivant:
rare
Remonter:
5.18 R
Précédent:
rappel
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08