Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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glissement
Les
glissements
perpétuels
du
signifié
sous le
signifiant
sont
possibles.
Les
glissements
perpétuels
du
signifiant
sur le
signifié
sont
possibles.
Dans la
chaîne
métonymique
il y a un
glissement
du
sens.
La
notion
d'un
glissement
incessant
du
signifié
sous le
signifiant
s'impose.
[
Lac66a
, p. 502]
Le
point
de
capiton
est ce par quoi le
signifiant
arrête
le
glissement
autrement
indéfini
de la
signification.
[
Lac66a
, p. 805]
*
Chez le
névrosé,
le
se
glisse
sous le
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 826]
La
métonymie
n'est
autre
que la
possibilité
du
glissement
indéfini
des
signifiants
sous la
continuité
de la
chaîne
signifiante.
Dans le
rapport
aux
choses,
le
regard
est quelque
chose
qui
glisse
pour y
être
toujours
à quelque
degré,
élidé.
C'est dans le
gîte
de la
métonymie,
que
glisse
le
désir.
*
La
libido
est cette
lamelle
que
glisse
l'être
de
l'organisme
à sa
véritable
limite,
qui va plus loin que celle du
corps.
[
Lac66a
, p. 848]
Il est de la
nature
du
discours,
non
seulement
d'être
équivoque,
mais
d'être
essentiellement
fait
du
glissement
radical
de la
signification.
L'épinglage du
signifiant,
dans la
fonction
fondamentale
du
déplacement,
consiste
en
glissements
et
non
en
fixation.
Le
plus-de-jouir
est
essentiellement
un
objet
glissant.
Il est
impossible
d'arrêter
le
glissement
du
plus-de-jouir,
en
aucun
point
de la
phrase.
Le
sujet,
ce n'est
rien
d'autre
que ce qui
glisse
dans une
chaîne
de
signifiants.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08