Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.19 S
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super-ego
Index:
Index
sujet
Le
procès
de
subversion
de la
fonction
de
l'image,
chez le
sujet,
est
constitutif.
[
Lac66a
, p. 86]
L'entreprise du
fou
est
insensée,
en ceci que le
sujet
ne
reconnaît
pas dans le
désordre
du
monde
la
manifestation
même
de son
être
actuel.
[
Lac66a
, pp. 171–172]
La
Verneinung
est un
phénomène
par quoi le
sujet
révèle
un de ses
mouvements
par la
dénégation
même
qu'il en
apporte,
et au
moment
même
où il
l'apporte.
[
Lac66a
, p. 179]
Le
premier
effet
qui
apparaît
de
l'
imago
chez
l'être
humain
est un
effet
d'aliénation
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 181]
C'est
d'abord
dans
l'autre
que le
sujet
s'identifie.
[
Lac66a
, p. 181]
L'hallucination
est une
erreur
où le
sujet
ne
reconnaît
pas ses
propres
productions comme étant siennes. [
Lac66a
, p. 165]
Le
moi
ne se
confond
pas avec
l'être
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 178]
L'action
psychanalytique
suppose
un
sujet
qui se
manifeste
comme tel à
l'intention
d'un
autre.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Seul
un
sujet
peut
comprendre
un
sens.
[
Lac66a
, p. 102]
*
Tout
phénomène
de
sens
implique
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 102]
Je
ne se
confond
pas avec le
sujet.
[
Lac66a
, p. 118]
L'identification
est la
transformation
produite,
chez le
sujet,
quand il
assume
un
imago
.
[
Lac66a
, p. 94]
Par le
langage,
le
je
a
fonction
de
sujet.
[
Lac66a
, p. 94]
L'identification
du
sujet
infans
à
l'image
spéculaire
est le
modèle
du
rapport
fondamentalement
aliénant
où
l'être
de
l'homme
se
constitue
dialectiquement.
[
Lac66a
, p. 141]
*
Le
transfert
n'est
rien
de
réel
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 225]
L'idéal-du-moi
est un
organisme
de
défense
perpétué
par le
moi
pour prolonger la
satisfaction
du
sujet.
L'
id
n'est pas
réductible
à un
pur
donné
objectif,
aux
pulsions
du
sujet.
Il
existe
une
frustration
inhérente au
discours
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 249]
L'ego
est
frustration,
non
d'un
désir
du
sujet,
mais d'un
objet.
[
Lac66a
, pp. 249–250]
L'ego
est
frustration
d'un
objet,
où le
désir
du
sujet
est
aliéné.
[
Lac66a
, p. 250]
Plus
l'ego
s'élabore,
plus
s'approfondit pour le
sujet
l'aliénation
de sa
jouissance.
[
Lac66a
, p. 250]
*
L'inconscient
est cette
partie
du
discours
concret
en tant que
transindividuel,
qui
fait
défaut
à la disposition du
sujet
pour
rétablir
la
continuité
de son
discours
conscient.
[
Lac66a
, p. 258]
L'inconscient
du
sujet,
c'est le
discours
de
l'autre
5
.
494
. [
Lac66a
, p. 265]
Dans la
folie,
on
rencontre
un
délire
qui
objective
le
sujet
dans un
langage
sans
dialectique.
[
Lac66a
, p. 280]
Dans la
folie,
l'absence
de
parole
se
manifeste
par les
stéréotypies
d'un
discours
où le
sujet
est
parlé
plutôt qu'il ne
parle.
[
Lac66a
, p. 280]
Dans les
névroses,
le
symptôme
est le
signifiant
d'un
signifié
refoulé
de la
conscience
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 280]
Le
sujet
introduit
la
division
dans
l'individu.
[
Lac66a
, p. 292]
Pour
libérer
sa
parole,
le
sujet
est
introduit,
par la
psychanalyse,
au
langage
de son
désir.
[
Lac66a
, p. 293]
*
Need
et
demand
pour le
sujet
ont un
sens
diamétralement
opposé.
[
Lac66a
, p. 296]
La
parole,
dans sa
fonction
symbolisante,
va
transformer
le
sujet
à qui elle
s'adresse,
par le
lien
qu'elle
établit
avec celui qui
l'émet.
[
Lac66a
, p. 296]
La
responsabilité
de
l'analyste
chaque
fois
qu'il
intervient
par la
parole,
est de
reconnaître
ou d'abolir le
sujet
comme tel. [
Lac66a
, p. 300]
L'analyse
a pour
but
la
réalisation,
par le
sujet,
de son
histoire
dans sa
relation
à un
futur.
[
Lac66a
, p. 302]
Le
support
du
transfert
est le
sujet
supposé
savoir.
[
Lac66a
, p. 308]
5
.
495
Le
désir
du
sujet
cessant
d'être
infans
est de
devenir
le
désir
d'un
autre
qui le
domine.
[
Lac66a
, p. 319]
Le
symbole
se
manifeste
d'abord
comme
meurtre
de la
Chose,
et cette
mort
constitue
dans le
sujet
l'éternisation de son
désir.
[
Lac66a
, p. 319]
Faute de
réaliser
l'ordre
du
symbole,
le
sujet
réalise
des
images
désordonnées
dont elles sont les
substituts.
La
parole
consiste,
pour le
sujet
à se
faire
reconnaître.
*
C'est la reconstitution
complète
de
l'histoire
du
sujet
qui est
l'élément
essentiel,
constitutif,
structural,
du
progrès
analytique.
L'analyse
est une
tentative
de
reconquête
de
l'inconscient
par le
sujet.
Le
sujet
ne
veut
rien
savoir.
La
parole
est
médiation
entre
le
sujet
et
l'autre.
La
résistance
part
de
l'impuissance
du
sujet
à
aboutir
dans le
domaine
de la
réalisation
de sa
vérité.
Le
fond
inconscient
du
sujet
se
révèle
dans la
parole
pleine.
La
parole
verworfen
est
parole
rejetée
par le
sujet.
L'hallucination
est intégrée comme
essentielle
à
l'intentionalité
du
sujet.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
compréhension
du
sujet.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
réalisation
symbolique
par le
sujet
de
soi-même
qui est le
ça
inconscient.
Quand
l'identification
moïque
sera
faite,
toute
nouvelle
ré-identification
du
sujet
fera
surgir
l'anxiété.
L'anxiété
est
tentation,
vertige,
re-perte
du
sujet
pour se
retrouver
à des
niveaux
extrêmement
primitifs.
C'est par
rapport
au
premier
moi
imaginaire
que va se
situer
le
premier
jeu
de
l'inclusion
ou de
l'exclusion
de
tout
ce dont il s'agit dans le
sujet
avant
la
naissance
du
moi.
L'œil
est très fréquemment le
symbole
du
sujet.
La
situation
du
sujet
est
essentiellement
caractérisée
par sa
place
dans le
monde
symbolique,
dans le
monde
de la
parole.
Le
sujet
est
intégré
au
système
symbolique
et s'y exerce et s'y
affirme
par
l'exercice
d'une
véritable
parole.
L'analyse
attend
du
sujet
une
parole
pleine.
Le
sujet
identifie
l'analyste
à son
idéal-du-moi
ou au
contraire
à son
surmoi.
Par une
parole
pleine,
un des
sujets
se
trouve
après,
autre
qu'il
n'était
avant.
Aux
niveaux
de la
parole,
dans sa
fonction
de
reconnaissance,
il y a
deux
plans,
le
plan
de la
reconnaissance
de la
parole
en tant qu'elle
lie
entre
les
sujets
ce
pacte
par où les
sujets
eux-mêmes sont
transformés,
sont établis comme
sujets
humains
et
communiquant,
et
l'ordre
du
communiqué.
Les
rapports
entre
l'analysé
et
l'analyste
se
situent
sur le
plan
du
moi
et du
non-moi,
c'est à dire sur le
plan
de
l'économie
narcissique
du
sujet.
L'amour
passion
est
vécu
par le
sujet
comme une
sorte
de
catastrophe
dans le
domaine
psychologique.
L'objet
aimé
se
confond,
par
toute
une
face
de ses qualités, de ses
attributs,
et aussi de son
action
dans
l'économie
psychique,
avec
l'idéal-du-moi
du
sujet.
*
Il se
passe
quelque
chose
dans la
schizophrénie
qui
perturbe
complètement
les
relations
du
sujet
au
réel.
Le
sens
plein
du
terme
image
se
définit
du
rapport
avec des
identifications
formatrices pour le
sujet.
Le
psychotique
est un
sujet
qui
perd
la
réalisation
du
réel.
Dans la
captation
du
sujet
par
l'objet
d'amour,
c'est quelque
chose
qui est
strictement
équivalent
à cet
idéal-du-moi.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
Le
moi
ne
sait
rien
des
désirs
du
sujet.
Le
sujet
est
attaché
à la
méconnaissance.
Chaque
fois
que le
sujet
est
captivé
par un de ses
semblables,
le
désir
revient,
dans le
sujet,
verbalisé.
C'est sur le
plan
symbolique
que les
désirs
vont être
ré-assumés
par le
sujet,
après leur
passage
dans
l'autre
spéculaire.
Dans
l'analyse
deux
sujets
se
lient
par un
pacte
qui
s'établit
à des
niveaux
très divers.
La
parole
a
fonction
de
reconnaissance;
c'est la
dimension
par où le
désir
du
sujet
est
authentiquement
intégré
sur le
plan
symbolique.
La
conjonction
de la
parole
du
sujet
est un
tiers
élément
au
moment
significatif
d'émergence
du
désir.
C'est dans la
conjonction
de la
parole
avec le
désir,
au
moment
où il est par le
sujet
ressenti,
que se
trouve
le
moment
fécond.
C'est au
moment
où, en
présence
d'une
situation
où
l'imaginaire
et le
réel
de la
situation
analytique
se
confondent
que le
désir
du
sujet
est là à la
fois
présent
et
inexprimable.
L'ego
est le
point
d'engluement du
sujet.
L'ego
ne se
confond
pas avec le
sujet.
Le
sujet
est ce qui, dans le
développement
de
l'objectivation,
est en
dehors
de
l'objet.
Pour la
science
il n'y a qu'un
seul
sujet,
le
savant.
Le
sujet
parlant
est un
sujet
en ceci qu'il est
capable
de
mentir,
c'est à dire qu'il est
différent
de ce qu'il
dit.
Le
savant
maintient
la
dimension
du
sujet.
Le
savant
est le
sujet,
car il est le
reflet,
le
miroir,
le
support
de
tout
ce qui est du
monde
objectal.
Dans le
sujet
humain,
il y a quelque
chose
qui
parle
et donc il y a quelque
chose
qui
ment.
La
dimension
du
sujet
ne se
confond
pas avec
l'ego.
Dans
l'analyse
il s'agit de
l'intégration
symbolique
par le
sujet
de son
histoire;
c'est la
fonction
du
surmoi.
Le
surmoi
est une
scission
du
système
symbolique
intégré
par le
sujet
comme
formation
de la
totalité
qui
définit
l'histoire
du
sujet.
*
L'inconscient
est une
scission,
limitation,
aliénation
par le
système
symbolique
pour le
sujet.
Le
surmoi
se
produit
dans le
monde
symbolique,
mais n'est pas
uniquement
limité
au
sujet.
Le
monde
symbolique
n'est pas
uniquement
limité
au
sujet
car le
monde
symbolique
se
réalise
dans une
langue
qui est la
langue
commune,
qui est le
système
symbolique
universel.
La
relation
sadique
ne se
soutient
que pour autant que
l'autre
est justement à la
limite
où
l'autre
reste
un
sujet.
La
perversion
ne
peut
s'exercer,
se
soutenir
que dans un
statut
précaire qui, à chaque
instant,
est
contesté
pour le
sujet
lui-même.
*
Le
désir
propre
du
sujet
n'est
jamais
que le
désir
de
l'autre.
Dans le
champ
psychanalytique,
le
discours
du
sujet
se
développe
normalement
dans
l'ordre
de
l'erreur,
de la
méconnaissance,
voire de la
dénégation.
*
Par son
corps
même,
le
sujet
émet
une
parole
qui, comme telle, est
parole
de
vérité.
*
Le
sujet
en
dit
toujours
plus
qu'il ne
veut
en
dire,
toujours
plus
qu'il ne
sait
en
dire.
*
La
parole
que le
sujet
émet,
sans
le
savoir,
va
au-delà
de ses
limites
de
sujet
discourant,
mais à
l'intérieur
de ses
limites
de
sujet
parlant.
Le
sujet
ne se
confond
pas avec
l'individu.
La
distinction
entre
sujet
et
individu
est
saisissable
sur le
plan
objectif.
*
Le
sujet
est
ailleurs.
*
Le
sujet,
dans
l'amour,
cherche
son
propre
bien.
L'inconscient
c'est ce
sujet
inconnu
du
moi,
méconnu
par le
moi.
Le
sujet
se
pose
comme
opérant,
comme
humain,
au
moment
où
apparaît
le
système
symbolique.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
sujet
de
l'inconscient
et
l'organisation
du
moi.
Le
sujet
vrai
est le
sujet
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 372]
Quand le
sujet
s'interrompt
dans son
discours,
une
pensée
l'occupe
qui se
rapporte
à
l'analyste.
[
Lac66a
, p. 373]
Le
moi
n'a
rien
à
faire
avec
l'unité
supposée
de la
réalité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 374]
Si
l'analyste
a affaire avec
l'ego
du
sujet,
c'est qu'il
sert
alors de
support
à
l'
alter-ego
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 374]
L'expulsion
primaire
définit
le
réel
comme
extérieur
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 389]
La
répétition
est à
concevoir
comme
liée
à un
processus
circulaire
de
l'échange
de la
parole,
à un
circuit
symbolique
extérieur
au
sujet.
*
Le
rêve
est une
partie
de
l'activité
du
sujet.
La
résistance
du
sujet
est quelque
chose
qui est
lié
à la
fixation
imaginaire.
Le
surmoi
construit
dans le
sujet
des
symptômes
efficaces,
vécus,
poursuivis,
construits,
élaborés.
La
censure
n'est ni au
niveau
du
sujet,
ni au
niveau
de
l'individu.
Le
sujet
est
décentré
par
rapport
à
l'ego.
*
La
parole
est
toujours
un
médiateur
entre
deux
sujets.
*
Le
moi
est
fait
de la
série
des
identifications
qui, au
cours
de la
vie
du
sujet
ont
représentées.
Dans le
rêve,
l'objet
est
toujours
plus
ou
moins
structuré
comme quelque
chose
qui est
l'image
du
corps
du
sujet,
le
reflet
du
sujet.
Dans la
nomination
deux
sujets
s'accordent
à
reconnaître
le
même
objet.
C'est parce qu'il y a un
inconscient,
un
au-delà
de
l'ego,
un
sujet
qui
parle
et pourtant
inconnu
du
sujet,
qu'il faut
supposer
un
autre
principe.
*
En lui-même le
jeu
du
symbole
organise
ce quelque
chose
qui
s'appelle
un
sujet.
Le
monde
du
symbole
est
aliénant
pour le
sujet.
*
Le
sujet
se
réalise
toujours
ailleurs.
Il n'y a pas de
résistance
de la
part
du
sujet.
La
résistance
c'est
l'état
actuel
d'une
interprétation
du
sujet.
La
résistance
c'est la
façon
dont le
sujet
interprète,
au
moment
même,
le
point
où il en est.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
,
c'est le
sujet
analytique.
Le
sujet
analytique
c'est le
sujet
dans son
ouverture.
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit
parce qu'il ne
sait
pas ce qu'il est.
Le
objets
sont
toujours
représentés
par la
façon
dont les
sujets
les abordent.
*
Le
sujet
n'a pas un
rapport
duel
avec un
objet
en
face
de lui.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
C'est en tant que le
sujet
se
raconte
qu'est le
ressort
dynamique
de
l'analyse.
Un
sujet
se
lie
à un
autre
sujet
dans un
pacte
symbolique.
*
Un
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
dit.
Le
sujet
est jusqu'à un
certain
point
déjà
déterminé.
Le
sujet
est dès
avant
sa
naissance,
déjà
inscrit,
situé
dans la
ligne
d'un
discours.
*
La
parole
s'introduit
à partir du
moment
où le
sujet
fait.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est à la
fois
le
sujet,
le
symbole
et le
.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
se
produit
dans la
réalisation
symbolique
du
sujet.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, pour les
sujets
humains
le
rapport
entre
et
passe
toujours
par le
circuit
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
c'est à dire le
moi
est
séparé
du
sujet
par le
.
*
Le
moi
n'est pas
identique
au
sujet.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
Chose,
même
au
sens
du
refoulé.
Le
sujet
psychotique
parle
avec son
moi.
Dans la
psychose,
le
sujet
est
identifié
à son
moi.
Le
paranoïaque
est un
sujet
pour lequel le
monde
a
commencé
à
prendre
une
signification.
Dans la
psychose
passionnelle,
le
noyau
compréhensible
se
situe
proche
du
je
du
sujet.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre,
sous une
forme
inversée.
Le
premier
abord
que le
sujet
humain
a avec les
objets,
c'est de
l'objet
en tant qu'il est
vu
comme
objet
du
désir
de
l'autre.
Le
sujet
parle
à
l'analyste
de quelque
chose
qui lui a
parlé.
Dans la
psychose,
le
sujet
parlant
ne
parle
pas à
l'autre,
ni de
l'autre,
mais
parle
avec
l'Autre.
Dans la
psychose,
la
part
de
sujet
qui
parle,
c'est
l'inconscient.
Dans la
psychose,
l'inconscient
c'est quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui
parle
dans le
sujet,
au-delà
du
sujet.
Au
moment
où il
déclenche
sa
névrose,
le
sujet
élide,
scotomise
une
partie
de sa
réalité
psychique.
*
Ce qui est
pris
dans la
Verwerfung
,
est ce qui a été mis
hors
de la
symbolisation
générale
structurant
le
sujet.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre
sous une
forme
inversée.
*
Dans le
cas
du
sujet
et de la
parole
délirants,
l'Autre
est
exclu
véritablement.
Quand
l'Autre
est
exclu
véritablement,
ce qui
concerne
le
sujet
est
dit
par
l'autre
réellement.
Le
mécanisme
du
refoulement
relève de
l'impossibilité
d'accorder
un
certain
passé
de la
parole
du
sujet.
Le
sujet
s'exprime
dans sa
langue
pour
faire
passer
des
significations
dans le
réel.
L'Autre
5
.
496
est
capable,
comme le
sujet,
de
feindre
5
.
497
et de
mentir.
*
La
personnalité
du
sujet
est
structurée
comme le
symptôme
qu'elle
ressent
comme
étranger.
[
Lac66a
, p. 341]
La
personnalité
du
sujet
recèle
un
sens,
celui d'un
conflit
refoulé.
[
Lac66a
, p. 341]
Le
moi
n'est
toujours
que la
moitié
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 346]
La
parole
suppose
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 351]
Un
acte
suppose
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 351]
La
vraie
parole
constitue
la
reconnaissance
par les
sujets
de leurs
êtres
en ce qu'ils y sont
inter-essés
.
[
Lac66a
, p. 351]
Le
discours
vrai
est
constitué
par la
connaissance
du
réel,
en tant qu'il est
visé
par le
sujet
dans les
objets.
[
Lac66a
, p. 351]
Où
sujet
était,
dois
je
devenir.
[
Lac66a
, p. 417]
L'objectivation
est
soumise
dans son
principe
à une
loi
de
méconnaissance
qui régit le
sujet,
non
seulement
comme
observé,
mais comme
observateur.
[
Lac66a
, p. 419]
C'est dans la désagrégation de
l'unité
imaginaire
que
constitue
le
moi,
que le
sujet
trouve
le
matériel
signifiant
de ses
symptômes.
[
Lac66a
, p. 427]
Dans la
situation
analytique,
il n'y a pas
seulement
deux
sujets
présents.
[
Lac66a
, p. 429]
Dans la
situation
analytique
il y a
deux
sujets,
pourvus chacun de
deux
objets,
le
moi
et
l'autre.
[
Lac66a
, p. 429]
Le
lieu
du
sujet
s'étend dans le
sujet,
aussi loin qu'y règnent les
lois
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 431]
Le
sujet
est
responsable
de la
dette
symbolique,
en tant que
sujet
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 434]
Pour le
sujet
normal,
un
certain
nombre
de
réalités
existent,
mais il ne les
prend
pas
tout
à fait au
sérieux.
Dans la
psychose,
quelque
chose
de
tout
à fait
primordial
dans
l'être
du
sujet
n'entre
pas dans la
symbolisation,
est
rejeté.
*
Le
sujet
est à la
recherche
de
l'objet
de son
désir.
Quand quelque
chose
apparaît
qui n'a pas été
symbolisé
primitivement
le
sujet
se
trouve
absolument
démuni
quand à
faire
réussir
la
Verneinung
.
Dans la
psychose
le
sujet
ne
peut
rétablir
le
pacte
du
sujet
à
l'Autre,
ne
peut
faire
une
médiation
entre
ce qui est
nouveau,
ce qui
apparaît
et lui-même.
*
Le
moi
s'instaure
dans une
dualité
interne
au
sujet.
*
Le
moi
est cette
sorte
de
maître
que le
sujet
trouve
dans un
autre.
*
L'être
humain
est un
sujet
qui, sur le
plan
imaginaire
est
constitué
d'une
façon
telle que
l'autre
est
toujours
près de
reprendre
sa
place
de
maîtrise
par
rapport
à lui.
Dans le
sujet
il y a
toujours
un
moi
qui lui est en
partie
étranger.
Le
moi
est
toujours
en
partie
un
maître
implanté
dans le
sujet.
L'ordre
symbolique
subsiste
hors
de chaque
sujet.
L'ordre
symbolique
subsiste
comme tel,
hors
du
sujet,
distinct
de son
existence
et le
déterminant.
Le
sujet
normal
se met dans la
position
de ne pas
prendre
au
sérieux
la
plus
grande
part
de son
discours
intérieur.
Le
moi
de
tout
sujet
est
lié
à un
double
discursif,
discordant.
Pour qu'une
phrase
vive
il faut que le
sujet
soit à
l'écoute
de la
signification
qui se
dessine.
Le
signifiant
inconscient
dans la
psychose
est
extérieur
au
sujet.
*
Le
moi
n'est
jamais
au
moins
que la
moitié
du
sujet.
Dans la
Verwerfung
,
le
sujet
ne
veut
rien
savoir
de la
castration
même
au
sens
du
refoulement.
5
.
498
Dans la
névrose,
au
lieu
de se
servir
des
mots,
le
sujet
se
sert
de
tout
et
devient
le
signifiant.
Le
passage
de
à
sont les
pôles
imaginaires
du
sujet.
5
.
499
Les
paroles
imaginaires
du
sujet,
et
,
recouvrent
la
relation
spéculaire,
celle du
stade
du
miroir.
Le
sujet
commence
par
parler
de lui; quand il aura
parlé
de lui à son
analyste,
son
analyse
sera
terminée.
Le
morcellement
naturel
du
sujet
est en
qui est
l'organisme.
Le
sujet
se
réfère
à cette
unité
imaginaire
qui est le
moi
en
C'est dans le
moi
que le
sujet
se
connaît
et se
méconnaît.
Le
sujet
parle
de son
moi,
.
Le
sujet
ne
sait
pas à qui il
parle
puisqu'il ne
sait
pas qui
parle
en lui.
Lorsque
l'analyste
entre
dans le
couplage
de la
résistance,
il
parle
alors en
,
il se
voit
alors dans le
sujet.
Dans la
psychose,
le
sujet
ne
peut
se
reconstituer
que dans
l'aliénation
5
.
500
imaginaire.
Dans le
préverbal
le
sujet
est la poupée
infantile
qu'il a été et qu'il
reste.
Le
sujet
avoue,
se
reconnaît,
et se
fait
reconnaître
dans
l'Autre
en tant que
fondamental
de la
parole.
Toute
l'intégration
de la
sexualité
chez le
sujet
humain
est
liée
à la
reconnaissance
symbolique.
Le
sujet
trouve
sa
place
dans un
appareil
symbolique,
préformé
qui
donne
la
loi,
qui
instaure
la
loi
dans la
sexualité.
La
loi
dans la
sexualité
ne
permet
plus au
sujet
de
réaliser
sa
sexualité
que sur le
plan
symbolique.
La
fonction
du
moi
atteste
la
réalité
pour le
sujet.
Grâce à la
fonction
du
moi,
le
sujet
valorise,
donne
l'accent à la
réalité.
Le
moi
dans sa
structuration
imaginaire
est pour le
sujet
comme un de ses
éléments.
Le
sujet
pose
sa
question
névrotique
avec son
moi.
Le
signifiant
est le
symbolique
en tant qu'il
donne
une
forme
dans laquelle
peut
s'insérer
le
sujet
au
niveau
de
l'être.
Le
subjectif
suppose
qu'un
sujet
est
capable
de se
servir
du
signifiant
comme tel.
Le
sujet
se
sert
du
jeu
du
signifiant,
non
pas pour
signifier
quelque
chose,
mais pour
tromper
sur ce qu'il y a à
signifier.
Le petit
autre
est un
double
du
sujet.
Le
passage
du
sujet
par
l'expérience
symbolique
de
l'œdipe
est
essentiel
à son
accès
à la
réalité.
La
juste
situation
du
sujet
humain
dans la
réalité
dépend
d'une certaine
expérience
purement
symbolique.
Dans la
psychose,
lors du
manque
du
signifiant,
le
sujet
doit
être
nécessairement
amené à remettre en
cause
l'ensemble
du
signifiant.
L'hallucination
est un
mécanisme
destiné à
protéger
le
sujet.
La
non-acquisition
ou la
perte
de
l'Autre
entraîne,
pour le
sujet,
la
rencontre
d'un
autre
purement
imaginaire
à sa
place.
Le
sujet
prend
la
parole
en
partie
à son
insu.
Le
préalable
de la
psychose
est une
non-intégration
du
sujet
au
registre
du
signifiant.
Un des
motifs
d'entrée
dans la
psychose
est lorsque le
sujet
est amené à
prendre
la
parole.
Pour le
psychotique,
il y a une
possibilité
d'abolition
du
sujet
dans une
relation
amoureuse.
La
resubjectivation
du
sujet
consiste
à l'extraire de son
implication
signifiante.
L'usage
de la
troisième
personne
est
absolument
essentiel
au
discours
en tant qu'il
désigne
ce qui est le
sujet
même
du
discours.
Dans les
névroses
il y a
relation
du
sujet
à un
lien
signifié
à
l'intérieur
des
structures
signifiantes
existantes.
L'entrée
dans la
psychose
est
marquée
par une
rencontre
du
sujet,
dans des
conditions
électives,
avec le
signifiant
comme tel.
Dans la
psychose,
il s'agit de
l'abord
par le
sujet
d'un
signifiant
comme tel.
Le
sujet
reçoit
de
l'Autre
son
propre
message
sous la
forme
d'une
parole
inconsciente.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
Le
grand
Autre
est un
autre
sujet
en tant qu'il est un
sujet
capable
de
tromper.
*
La
tendance
du
sujet
comme tel est de se
satisfaire
dans une
réalisation
irréelle,
dans une
réalisation
hallucinatoire.
*
En
aucun
cas
la
relation
sujet
objet
n'est
centrale.
La
relation
d'objet
est une
relation
en
miroir
où il y a
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet.
*
Ce n'est pas dans la
voie
de la
conscience
que le
sujet
se
reconnaît.
Le
sujet
s'efforce
de
maintenir
ses
relations
d'objet
à
tout
prix.
L'objet
est
instrument
à
masquer,
à
parer
le
fond
fondamental
d'angoisse
qui
caractérise
le
rapport
du
sujet
au
monde.
Le
manque
de
l'objet
est du
ressort
même
de la
relation
du
sujet
au
monde.
Le
est ce qui, dans le
sujet,
est
capable
de
devenir
je.
Ce qui se
passe
au
niveau
du
système
de
réalité
est
défini
par ce qui
force
le
sujet
dans la
réalité
extérieure,
à la
conduite
du
détour.
La
privation
n'est pas du
tout
quelque
chose
qui est dans le
sujet.
Pour que le
sujet
accède
à la
privation
il faut qu'il
symbolise
déjà le
réel.
La
privation
est
tout
à fait
hors
du
sujet.
Pour
appréhender
la
privation
il faut
d'abord
que le
sujet
symbolise
le
réel.
Ce n'est pas le
sujet
qui
introduit
l'ordre
symbolique.
*
Un
objet
peut
commencer
à
exercer
son
influence
dans les
relations
du
sujet
bien
avant
d'avoir
été
perçu
comme
objet.
Entre
un
sujet
et
l'objet
extérieur
qui est
l'analyste,
il ne
peut
en
principe
s'établir
que la
relation
pulsionnelle
primitive.
L'Autre
supposé
est le
sujet
dans lequel la
parole
se
constitue.
Le
sujet
phobique
se
présente
comme quelqu'un dont
l'activité
a été assez
réduite
pour arriver à une
sorte
d'inactivité
presque
complète.
Le
sujet
de
l'inconscient
est à
situer
comme
ex-sistant
;
c'est-à-dire
situé
à une
place
excentrique.
[
Lac66a
, p. 11]
*
C'est
l'ordre
symbolique
qui est, pour le
sujet,
constituant.
[
Lac66a
, p. 12]
*
Le
sujet
suit
la filière du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 30]
*
Le
déplacement
du
signifiant
détermine
les
sujets
dans leurs
actes.
[
Lac66a
, p. 30]
Le
signifiant
est prééminent sur le
sujet.
[
Lac66a
, p. 39]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
La
réalisation
par le
sujet
de la
frustration
est par
définition
exclue,
parce qu'elle est
extraordinairement
instable.
*
Il y a
frustration
si le
sujet
entre
dans la
revendication
que ce
terme
implique.
Rien
ne
s'instaure,
ne se
constitue
comme
conflit
proprement
analysable,
si ce n'est à partir du
moment
où le
sujet
entre
dans
l'ordre
symbolique.
Ce qui est proprement
désiré
dans
l'amour,
c'est ce qui
manque
au
sujet.
Les
artifices
du
transfert
rendent
passable,
formulable,
ce qui
doit
se
communiquer
de
l'Autre
au
sujet,
en tant que le
je
du
sujet
vient
à
être.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
Ce qui
succède
à la
frustration
de
l'objet
de
jouissance
chez
l'enfant,
c'est quelque
chose
qui se
maintient
dans le
sujet
à
l'état
de
relation
imaginaire.
Ce qui dans
l'amour
est
aimé,
c'est ce qui est
au-delà
du
sujet,
c'est ce qu'il n'a pas.
L'insistance
propre
à la
chaîne
symbolique
n'est pas par
définition
assumée
par le
sujet.
Pour que le
sujet
féminin
entre
dans la
dialectique
de
l'ordre
symbolique,
il faut qu'il y
entre
par quelque
chose
qui est le
don
du
phallus.
*
La
fonction
de la
perversion
du
sujet
est une
fonction
métonymique.
Dans le
transvestisme,
l'enveloppement
est une
protection,
non
pas un
voile
mais une
égide
dont
s'enveloppe
le
sujet
identifié
au
personnage
féminin.
Dans
l'amour,
ce à quoi le
sujet
s'adresse,
c'est au
manque
qui est dans
l'objet.
Dans le
rapport
sujet
objet
il y a un
au-delà
et un
manque.
Dans le
fétichisme,
le
sujet
s'identifie
à ce qui est
derrière
le
voile.
Dans le
fétichisme,
le
sujet
s'identifie
à cet
objet
auquel il
manque
quelque
chose.
Dans certains
cas
le
sujet
masculin
se
donne
à la
femme
comme
étant
ce quelque
chose
qui lui
manque.
Un
objet
support
de
l'identification
du
sujet
est
différent
d'un
objet
de
choix.
L'objet
choisi
est une
sorte
d'autre
moi
dans le
sujet.
Pas
avant
le sixième mois se
produit
une
relation
à
l'image
de
l'autre
en tant qu'elle
donne
au
sujet
son
incomplétude
vécue.
*
Le
sujet
en tant que
sujet
n'est pas
identifiable
à
l'individu.
Les
dons
prennent
tout
l'ensemble
inter-subjectif
du
point
de
vue
du
sujet.
La
structure
de la
parole
implique
dans
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
La
castration
est la
crise
essentielle
par où
tout
sujet
s'introduit
dans,
s'habilite
à
l'ordre
de la
loi.
*
C'est pour autant qu'elle
joue
dans le
sujet
sous la
forme
d'une
action
portant
sur un
objet
imaginaire,
que la
castration
entre
en
jeu.
La
complexité
des
relations
de
l'homme
à la
femme
vient
de la
résistance
des
sujets
masculins
à admettre que les
sujets
féminins
sont
dépourvus
de quelque
chose
et sont pourvus de quelque
chose
d'autre.
Rien
dans le
sujet
n'est
préétabli.
La
métaphore
et la
métonymie
sont dans le
texte
du
sujet.
*
L'angoisse,
c'est la
confrontation
du
sujet
à cette
absence
d'objet
où il est
happé.
La
notion
de la
privation
est
nécessaire
à
assumer
par le
sujet
pour
pouvoir
assumer
pleinement son
propre
sexe.
*
La
névrose
est une
question
posée
par le
sujet
au
niveau
de son
existence
même.
*
La
névrose
est une
sorte
de
question
formée
pour le
sujet
lui-même, mais
organisée,
structurée,
comme
question.
*
Il est
impossible
de
représenter
dans le
même
plan
le
signifiant,
le
signifié
et le
sujet.
L'Autre
est en quelque
sorte
le
corrélatif
du
sujet.
Le
sujet
a quelque
chose
de
réfractaire
à
l'objectivation.
Le
sujet
ne
parle
jamais
sans
une certaine
intention
de
signification.
Dans
l'humain
un
sujet
pense
selon les
lois
qui sont les
mêmes
que les
lois
de
l'organisation
de la
chaîne
signifiante.
Le
sujet
n'est pas au
départ
du
besoin.
Le
besoin
ce n'est pas
encore
le
sujet.
Le
langage
ne se
confond
pas avec les diverses
fonctions
somatiques
et
psychiques
qui le
desservent
chez le
sujet
parlant.
[
Lac66a
, p. 495]
*
Le
langage
avec sa
structure
préexiste à
l'entrée
qu'y
fait
chaque
sujet
à chaque
moment
de son
développement
mental.
[
Lac66a
, p. 495]
Le
sujet
est serf du
langage,
et
encore
plus,
serf d'un
discours.
[
Lac66a
, p. 495]
La
névrose
est une
question
que
l'être
pose
pour le
sujet
de là où il
était
avant
que le
sujet
vint au
monde.
[
Lac66a
, p. 520]
Dans la
psychose
le
sujet
doit
suppléer
au
manque
du
signifiant
du
nom-du-père.
La
voix
c'est ce qui
supporte
la
parole
au
sujet.
Dès lors qu'il y a un
sujet
parlant
à un
autre,
il y a
toujours
un
troisième
le
grand
Autre,
qui est
constituant
de la
position
du
sujet
en tant qu'il
parle.
Le
sujet
a
pris
position
à un
certain
moment
de son
enfance
sur le
rôle
du
père,
que la
mère
n'a pas le
phallus.
Il n'y a pas de
sujet
s'il n'y a pas de
signifiant
qui le
fonde.
L'enfant
s'ébauche comme
assujet
car il se sent
d'abord
comme
assujetti
aux
caprices
dont il
dépend.
La
loi
du
père
est
imaginairement
par le
sujet
conçue
comme
privant
la
mère.
*
C'est
différent
de
désirer
quelque
chose
ou de
désirer
le
désir
du
sujet.
L'
Urbild
est une certaine
cristallisation
du
sujet.
Il y a
toujours
dans la
perversion
quelque
chose
que le
sujet
ne
veut
pas
reconnaître.
L'au-delà
du
principe
du
plaisir
est le
rapport
fondamental
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
Dans la
relation
de
l'amour,
le
sujet
donne
essentiellement
ce qu'il n'a pas.
Dans le
masochisme
le
sujet
appréhende
la
douleur
d'exister.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
Le
signifié
implique
dans le
sujet
l'action
structurante
de
signifiant
constitué
par
rapport
au
besoin.
Il y a la
dépendance
primordiale
du
sujet
par
rapport
au
désir
de
l'autre.
Le
désir
du
sujet
est en tant que tel modelé par les
conditions
de la
demande.
Le
désir
du
sujet
est
soumis
au
désir
de
l'autre.
L'extérieur,
pour le
sujet
est
donné
d'abord
comme le
lieu
où se
situe
le
désir
de
l'autre.
Le
phallus
est le
signifiant
fondamental
par quoi le
désir
du
sujet
a à se
faire
reconnaître
comme tel, pour
l'homme
et pour la
femme.
La
castration
est ce qui
symboliquement
ampute
le
sujet
de quelque
chose
d'imaginaire.
Le
phallus
est le
signifiant
de la
distance
de la
demande
du
sujet
à son
désir.
Le
phallus
est un
signifiant
carrefour
vers lequel converge ce qui se
passe
dans la
prise
du
sujet
humain
dans le
système
signifiant
Après le
refoulement
du
désir
de
l'œdipe,
le
sujet
sort
pourvu d'un
idéal-du-moi.
L'idéal-du-moi
intervient
dans des
fonctions
dépressives,
voire
agressives
à l'égard du
sujet.
Il ne
peut
y
avoir
de
dialectique
de
privation
que quand il s'agit de quelque
chose
que le
sujet
peut
symboliser.
Toute
identification
idéale
du
moi
est une mise en
rapport
du
sujet
à certains
signifiants
dans
l'Autre.
Le
totem
est le
signifiant
grâce auquel
tout
s'ordonne,
et
principalement
le
sujet.
Dans la
formule
5.17.1
et
5.17.2
le
petit
c'est le
désir,
dans la
formule
5.17.1
et
5.17.3
, le
c'est le
sujet,
c'est le
petit
autre,
c'est
l'autre
en tant qu'il est notre
semblable.
Le
grand
Autre
est le
lieu
auquel le
sujet
se
réfère
dans son
rapport
avec un
petit
autre
comme
étant
le
lieu
de la
parole.
Dans la
formule
5.17.3
le delta
est ce par quoi le
sujet
humain
est mis dans un
certain
rapport
au
signifiant.
Le
masochisme
c'est que le
sujet
se
saisit
comme
souffrant.
Le
désir
humain
est
lié
à une
position
que
prend
le
sujet
en
présence
de cet
objet.
Là où
ça
parle,
cela
fait
partie
du
discours
du
sujet.
*
Faute de la
satisfaction,
c'est au
sujet
qui
peut
accéder
à la
demande,
que le
sujet
s'identifie.
*
Le
désir
du
sujet
est
aliéné
dans la
demande.
Le
désir
du
sujet
est
profondément
transformé
par le
fait
de
devoir
passer
par la
demande.
*
Installé dans la
dialectique
première,
prégénitale
de la
demande,
le
sujet
a affaire à
l'autre
désir.
Le
désir
du
sujet
dépend
entièrement
de la
demande
de
l'autre.
La
présence
et la
dimension
de
l'autre
désir
se
situe
au-delà
de ce que le
sujet
demande,
au-delà
de ce que
l'autre
demande
au
sujet.
Le
désir
du
sujet
est
d'abord
repéré
dans
l'existence
comme telle du
désir
de
l'autre,
en tant que
distinct
de la
demande.
L'hystérique
est le
sujet
pour lequel la
constitution
de
l'autre
en tant que
grand
Autre
est ce avec quoi il est
difficile
d'établir
la
relation
qui lui
permet
à lui,
hystérique
de garder sa
place
de
sujet.
Le
sujet
hystérique
se
constitue
presque
tout
entier
à partir du
désir
de
l'autre.
C'est dans la
mesure
où
l'autre
est
marqué
par le
signifiant,
que le
sujet
doit
reconnaître
que lui aussi est
marqué
par les
signifiant.
Le
sujet
achevé,
c'est le
sujet
en tant que s'est
introduite
la
barre,
en tant que lui-même est quelque part
marqué
de la
relation
du
signifiant.
Pour ce qui est du
signifiant
phallus,
le
sujet
peut
l'avoir
ou
l'être.
*
La
façon
dont
doit
se
présenter
le
désir
chez le
sujet,
dépend
de ce qui est
déterminé
par la
dialectique
de la
demande.
En
fin
de
compte
le
besoin
du
sujet
se
transforme
dans les
défilés
de la
demande.
*
Un
sujet
humain
complet
n'est
jamais
un
pur
et
simple
sujet.
*
Il n'y a pas de
sujet
humain
qui soit
pur
sujet
de la
connaissance.
*
C'est en cette
place
où le
sujet
a
cherché
à
articuler
son
désir
qu'il
rencontrera
le
désir
de
l'autre
comme tel.
L'homme
se
constitue
en tant que
sujet
de la
parole.
La
Versagung
porte
en elle-même la
situation
du
sujet
par
rapport
à la
demande.
Dans
l'exploit,
le
sujet
domine.
Le
fantasme
et
l'exploit
sont
deux
des
quatre
défenses
du
sujets.
Befürfnis
est le
besoin
du
sujet.
Le
sujet
à qui
s'adresse
la
demande
inconditionnelle
d'amour,
est
symbolisé
par une
présence
sur
fond
d'absence.
Le
sujet
symbolisé
dans la
demande
est
présent
en tant
qu'absent.
Le
transfert
ouvre
la
possibilité
d'une
articulation
signifiante
autre
et
différente
de celle qui enferme le
sujet
dans la
demande.
Le
sujet
humain
s'il n'est plus
divisé,
il est
fou.
La
Spaltung
est la
refente
du
sujet.
La
refente
du
sujet
résulte
de
l'action
du
signifiant.
Le
sujet
non
encore
marqué
de la
refente
est un
sujet
indéterminé.
Le
sujet
ne
peut
avoir
le
phallus
que sur le
fond
de ceci qu'il ne l'a pas.
Dans le
graphe,
figure
5.26.1
en
est le
lieu
où
l'enfant
rencontre
la
mère
en tant que
sujet
parlant.
Le
manque
symbolisé
est
l'effet
du
signifiant
sur le
sujet,
le
signifié.
L'inconscient
est le
sujet
barré
dont la
formule
est
.
L'Autre
s'institue
et se
dessine
du
seul
fait
que le
sujet
parle.
La
parole
est
symbolisation
du
signifiant
sur le
sujet.
La
formule
du
sujet
s'écrit
,
sujet
barré.
Le
sujet
barré
est
marqué
de la
condition
qui le
subordonne
à
l'Autre.
*
Le
ça
parle
qui est dans
l'inconscient
pour le
sujet
névrotique,
est au
dehors
pour le
sujet
psychotique.
La
demande
de
mort
empêche
toute
articulation
de la
demande
du
sujet.
L'autonomie
du
sujet
à la
parole
du
commandement
est
fondamentale.
Avec le
fantasme
il y a
non
opposition
du
sujet
et de
l'objet.
est le
sujet
barré
en tant que
parlant.
Le
désir
est
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
désir
est la
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
phallus
est la
métonymie
du
sujet
dans
l'être.
Le
graphe
6.2.1
montre
les
rapports
du
sujet
parlant
avec le
signifiant.
Le
sujet,
en
parlant,
peut-il se
signifier
efficacement son
action
de
signification.
Dans le
graphe
6.2.1
en
se
présente
l'intention
du
sujet.
Dans le
graphe
6.2.1
en
est le
sujet
en tant que
parlant.
À l'étage inférieur du
graphe
6.2.1
le
sujet
reçoit,
subit
la
structure
prévalente
du
signifiant.
Le
sujet
du
besoin
s'exprime
dans la
demande.
Le
sujet
en tant que
parlant
est un
shifter
.
Toute
la
vie
du
sujet
est
prise
dans des
actes
de
parler.
Ce qui
caractérise
la
demande
c'est que le
rapport
du
sujet
à un
autre
sujet
se
fait
par
l'intermédiaire
du
système
des
signifiants.
*
Lorsque le
refoulement
s'introduit,
il est
absolument
nécessaire
que le
sujet
s'efface
et
disparaisse
au
niveau
du
procès
de
l'énonciation.
*
Le
sujet
est le
sujet
qui
parle.
Les
rapports
du
sujet
à
l'objet
sont des
rapports
de
désir.
Le
rapport
du
sujet
à
l'objet
n'est pas un
rapport
de
besoin.
L'objet
supporte
le
sujet
au
moment
où il a à
faire
face
à son
existence.
Le
complexe
de
castration
renvoie
à ceci que le
sujet
craint
d'être
privé
de son
propre
désir.
Il n'y a pas
d'autre
signe
du
sujet,
que le
signe
de son
abolition
de
sujet,
notée
.
*
Il n'y a pas
d'autre
signe
du
sujet,
que le
signe
de son
abolition
de
sujet.
L'idéal-du-moi
est l'héritier d'un
rapport
premier
du
sujet,
non
pas avec son
désir
mais avec le
désir
de sa
mère.
Dans
l'idéal-du-moi
l'idéal
prend
la
place
de ce qui, chez le
sujet,
a été éprouvé comme
l'effet
d'un
enfant
désiré.
La
formule
de
l'image
de
l'autre,
dans ses
rapports
avec
l'autre
du
sujet
en tant
qu'idéal,
s'écrit
.
La
condition
névrotique
ou
psychotique
du
sujet
dépend
de ce qui se déroule en
l'Autre
.
[
Lac66a
, p. 549]
Le
sujet
est tiré aux
quatre
coins du
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
désigne
l'existence
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
désigne
les
objets
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
désigne
le
moi
du
sujet
dans le
schéma
5.8.1
. [
Lac66a
, p. 549]
Le
moi
est ce qui se
reflète
de la
forme
du
sujet
dans ses
objets.
[
Lac66a
, p. 549]
est le
lieu
d'où
peut
se poser au
sujet
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
*
Il se
pose,
pour le
sujet,
la
question
de son
existence.
[
Lac66a
, p. 549]
Le
sujet
articule
la
question
Que suis-je là? concernant son
sexe
et sa
contingence
dans
l'être.
[
Lac66a
, p. 549]
La
chaîne
des
signifiants
subsiste
dans une
altérité
radicale
par
rapport
au
sujet.
[
Lac66a
, pp. 549–550]
La
signification
du
phallus
doit
être
évoquée
dans
l'imaginaire
du
sujet
par la
métaphore
paternelle.
[
Lac66a
, p. 557]
La
présence
du
signifiant
dans
l'Autre
est une
présence
fermée
au
sujet,
à
l'état
de
refoulé,
verdrängt
. [
Lac66a
, p. 557]
Dans la
psychose,
le
sujet
s'est
reconstruit
autour du
trou
où le
support
de la
chaîne
signifiante
manque
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 564]
Dans la
psychose,
toute
l'épaisseur de la
créature
réelle
s'interpose
pour le
sujet
entre
la
jouissance
narcissique
de son
image
et
l'aliénation
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 572]
Dans le
schéma
,
figure
1.21.2
, la disposition du
champ
représente
les
conditions
sous lesquelles la
réalité
s'est restaurée pour le
sujet.
[
Lac66a
, p. 573]
Pour le
psychanalyste
il convient
d'écouter
celui qui
parle,
quand il s'agit d'un
message
qui
provient
d'une
parole
au-delà du
sujet.
[
Lac66a
, p. 574]
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
La
direction
de la
cure
consiste
à
faire
appliquer,
par le
sujet,
la
règle
analytique.
[
Lac66a
, p. 586]
L'analyste
est celui qui
supporte
la
demande
pour que
reparaissent
les
signifiants
où la
frustration
du
sujet
est retenue. [
Lac66a
, p. 618]
L'analyste
ne
doit
répondre
à la
demande
du
sujet
que de la
position
du
transfert.
[
Lac66a
, p. 619]
La
métaphore
est un
certain
passage
du
sujet
au
sens
du
désir.
[
Lac66a
, p. 622]
*
Le
désir
ne
fait
qu'assujettir
ce que
l'analyse
subjective.
[
Lac66a
, p. 623]
Le
sujet
articule
la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 627]
Le
désir
résulte
pour le
sujet
de la
nécessité
de
faire
passer
son
besoin
par les
défilés
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 628]
*
Le
désir
du
rêve
n'est pas
assumé
par le
sujet
qui
dit
je
dans sa
parole.
[
Lac66a
, p. 629]
*
C'est
d'abord
pour le
sujet
que sa
parole
est un
message,
parce qu'elle se
produit
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 634]
Le
sujet
subit
une
refente,
Spaltung
de
n'être
sujet
qu'en tant qu'il
parle.
[
Lac66a
, p. 634]
Le
transfert
place
le
sujet
à
l'endroit
de sa
demande
dans une
position
qu'il ne
tient
que de son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
*
La
résistance
du
sujet
quand elle
s'oppose
à la
suggestion,
n'est que
désir
de
maintenir
son
désir.
[
Lac66a
, p. 636]
Le
fantasme
est ce par quoi le
sujet
se
soutient
au
niveau
de son
désir
évanouissant.
[
Lac66a
, p. 637]
Le
fantasme
vient
marquer
de sa
présence
la
réponse
du
sujet
à la
demande.
[
Lac66a
, p. 638]
Le
fantasme
vient
marquer
la
signification
du
besoin
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 638]
Le
sujet
avant
sa
naissance
est un
pôle
de
signifiants
plus
ou
moins
liés
en un
discours.
[
Lac66a
, p. 652]
Le
fading
du
sujet
se
produit
dans la
suspension
du
désir.
[
Lac66a
, p. 656]
*
Le
sujet
s'éclipse
dans le
signifiant
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 656]
Le
fading
du
sujet
se
produit
dans la
fixation
du
fantasme.
[
Lac66a
, p. 656]
*
C'est
seulement
l'action
qui dans le
sujet
engendre
la
certitude.
[
Lac66a
, p. 659]
désigne
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 675]
Le
sujet
a
peu
d'accès
à la
réalité
de son
corps.
[
Lac66a
, p. 676]
L'Autre
est
l'analyste,
pour ce que le
sujet
en
fait
le
lieu
de sa
parole.
[
Lac66a
, p. 680]
Le
sujet
sacrifie
son
phallus
à la
fonction
. [
Lac66a
, p. 683]
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
trouve
sa
place
signifiante,
par une
antériorité
logique
à
tout
éveil du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
Le
sujet
s'est
constitué
au
prix
d'une
division,
la
Spaltung
.
[
Lac66a
, p. 689]
Les
besoins
de
l'homme
sont
assujettis
à la
demande;
ils lui
reviennent
aliénés.
[
Lac66a
, p. 690]
Le
sujet
comme
l'Autre,
pour chacun des
partenaires
de la
relation
sexuelle,
doivent
tenir
lieu
de
cause
du
désir.
[
Lac66a
, p. 691]
*
Le
sujet
ne
désigne
son
être
qu'à
barrer
tout
ce qu'il
signifie.
[
Lac66a
, p. 693]
Le
sujet
a
accès
au
phallus,
à la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 693]
L'autre
est
sujet
divisé
de la
Spaltung
[
Lac66a
, p. 693]
*
Ce qui
ressurgit
dans
l'inconscient
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre,
soit le
phallus
désiré
par la
mère.
[
Lac66a
, p. 733]
*
La
duplicité
du
sujet
est
masquée
chez la
femme.
[
Lac66a
, p. 734]
La plupart des
perversions
mâles
ont pour
motif
imaginaire
le
désir
de
préserver
un
phallus,
qui est celui qui a
intéressé
le
sujet
dans la
mère.
[
Lac66a
, p. 734]
Le
sujet
se
constitue
comme
signifié
d'une
relation
du
moi
à
l'autre,
puis à
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 751]
L'idéal-du-moi
se
forme
avec le
refoulement
d'un
désir
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 752]
Le
phallus
est à
considérer
comme le
signifiant
du
sujet.
Dans le
graphe
6.7.2
, au
niveau
où le
sujet
cherche
à se
reconnaître
dans ce qu'il est
au-delà
de la
demande
est schématisé par
.
Dans le
graphe
6.4.1
les divers modes
d'assomption
du
vécu
du
rêve
par le
sujet
se
situent
dans la
ligne
qui est celle du
je
de
l'énonciation.
*
L'énonciation
est
assomption
du
rêve
par le
sujet.
Le
désir
est quelque
chose
par quoi le
sujet
se
situe,
du
fait
de
l'existence
du
discours,
par
rapport
à la
demande.
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
L'affect
est
essentiellement
connotation
caractéristique
d'une
position
du
sujet.
L'affect
concerne
le
rapport
du
sujet
à
l'être
et le
révélant.
Le
fantasme
est le
rapport
du
sujet
en tant
qu'évanouissant,
en tant qu'il
s'évanouit
en un
certain
rapport
à un
objet
électif.
L'identification
du
sujet
est
partout.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Le
phallus
a un
rapport
avec
l'être
du
sujet.
Le
sujet
par
rapport
au
signifiant
phallus,
c'est soit
être
le
phallus,
soit
l'avoir.
Pour que le
sujet
vienne à
avoir
le
phallus,
il faut qu'il y
ait
renoncement
à
l'être.
Le
sujet
barré
en
face
de
l'objet
est le
sujet
du
désir.
La
loi
rappelle au
sujet
qu'il a ou qu'il n'a pas le
phallus.
La
castration
exprime
ceci, que le
sujet
est et n'est pas le
phallus,
mais il n'est pas
sans
l'avoir.
Le
rapport
du
sujet
féminin
au
phallus
c'est
d'être
sans
l'avoir.
Le
sujet
dans
l'image
de
l'autre
trouve
à se
substituer
un
rapport
du
sujet
au
désir,
.
Le
sujet
veut
maintenir
le
phallus
de la
mère.
*
Le
sujet
refuse
la
castration
de
l'Autre.
Dans la
mesure
où c'est à
l'Autre
que le
sujet
s'adresse,
interviennent la
pudeur
et la
décence.
Que
veux-tu?
est la
question
qui se
pose
au
sujet.
c'est le
soumis
au
fading
du
sujet.
La
mère
est le
sujet
principal
de la
demande.
Le
sujet
peut
être en
position
d'éclipse.
Le
fading
du
sujet
survient devant la
demande
et devant
l'objet.
Le
est
l'objet
autour de quoi le
sujet
s'éprouve
dans une
altérité
imaginaire.
Dans le
fantasme,
la
fonction
de
l'objet
est de
prendre
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement,
le
phallus.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
signifie
ce dont le
sujet
est
privé
qui est le
signifiant
de son
aliénation,
le
phallus.
L'agent
se
rapporte
au
sujet.
cf:
5.9.1
Au
niveau
de la
castration
un
sujet,
en tant que
réel,
est
marqué
du
signe
de la
parole.
L'objet
soutient
le
rapport
du
sujet
à ce qu'il n'est pas, le
phallus.
Le
sujet
apparaît
dans les
trois
formes
castration,
frustration,
privation,
trois
formes
aliénées.
*
Au
niveau
de la
castration,
le
sujet
apparaît
dans une
syncope
du
signifiant.
Le
sujet
apparaît
au
niveau
de
l'Autre
comme
soumis
à la
loi
de
tous.
C'est dans un
rapport
tiers
avec le
fantasme
que le
sujet
se
constitue
comme
désir.
*
L'objet
se
définit
d'abord
comme le
support
que le
sujet
se
donne
pour autant qu'il
défaille.
Dans le
discours
de
l'Autre,
quelque
chose
fait
défaut
au
sujet.
Le
rapport
de
l'Autre
à la
demande
est le
rapport
le
plus
primordial
du
sujet
en tant que
lieu
de la
parole.
Il n'y a de
sujet
que pour un
sujet.
*
C'est pour autant que
l'Autre
est un
sujet
comme tel, que le
sujet,
à ce
moment,
s'instaure
et
peut
s'instituer
lui-même comme
sujet.
Le
sujet
ne
peut
se
situer
dans le
désir
sans
se
châtrer.
*
Il ne
peut
y
avoir
d'autre
sujet
qu'un
sujet
pour un
sujet.
Le
sujet
premier
ne
peut
s'instituer
comme tel que comme
sujet
de la
parole.
Le
sujet
se
constitue
comme
sujet
qui
parle
par
rapport
à
l'Autre
comme
sujet
de la
parole.
est
marqué
de quelque
chose
qui le
divise
primordialement
de lui-même en tant que
sujet
de la
parole,
.
marque
le
moment
de
fading
du
sujet
où le
sujet
ne
trouve
rien
dans
l'Autre
qui le
garantisse.
Le
sujet
est au
bord
de cette
nomination
défaillante
qui est ce qui est
visé
au
moment
du
désir.
*
Le
réel
du
sujet
n'est pas à
concevoir
comme le
corrélatif
d'une
connaissance.
Le
sujet
se
reconnaît
à ceci qu'il est
sujet
d'une
chaîne
articulée.
et
sont les lieux où
vient
se
situer
la
rencontre
de
l'intention
du
sujet
avec le
fait
concret.
cf:
6.22.1
La
chaîne
, le
sujet
ne
l'articule
pas en tant que
discours.
cf:
6.22.2
Ce
qu'articule
le
sujet
au
niveau
de la
chaîne
signifiante
se
situe
au
niveau
de la
boucle
intentionnelle,
. cf:
6.22.1
Le
sujet
, en tant que
sujet
de
l'inconscient,
rencontre
la
demande.
L'être
pur
du
sujet
se
désigne
dans le trajet
. cf:
6.22.1
*
Tout
sujet
est
Un.
*
L'objet
a cette
fonction
précisément de
signifier
ce
point
où le
sujet
ne
peut
se
nommer.
Le
sujet
n'est pas au
point
où il
désire.
Le
sujet
est quelque part dans le
fantasme.
Le
fantasme
est dans le
sujet
le soutien de son
désir.
L'
aphanisis
du
sujet
indique
le
moment
où il
disparaît
en tant que
sujet.
Le
désir
du
sujet
a à se
situer
devant le
désir
de
l'Autre.
L'objet
phobique
est là pour
occuper
la
place
entre
le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre.
La
peur
de
l'objet
phobique
est
faite
pour
protéger
le
sujet
de son
désir.
Le
sujet
peut
soutenir
son
désir
devant le
désir
de
l'Autre,
comme
désir
insatisfait
chez
l'hystérique.
Dans le
désir
s'exprime
l'être
du
sujet.
Le
mauvais
objet,
si le
sujet
l'a ,
il ne
l'est
pas.
Le
mauvais
objet,
si le
sujet
l'est ,
il ne
l'a
pas.
La
métaphore
paternelle
instaure
chez le
sujet,
sous la
forme
du
phallus,
une
dissociation,
ou bien le
sujet
ne
l'est
pas, ou bien il ne
l'a
pas.
Il y a
substitution
imaginaire
quand il y a
substitution
du
moi
au
sujet
barré
concernant le
désir.
La
substitution
du
moi
au
sujet
introduit
la
demande
dans la
question
du
désir.
Le
fantasme
est le
rapport
du
sujet,
barré
,
avec
l'objet
.
Le
fantasme
soutient
le
sujet
comme
désirant.
*
Dans le
fantasme,
le
sujet
est
présent
comme
sujet
du
discours
inconscient.
Le
sujet
est
présent
en tant qu'il est
représenté
dans le
fantasme
par la
fonction
de
coupure
qui est la sienne.
Dans la
psychose,
le
sujet,
en tant qu'il
s'identifie
à la
coupure
est
verworfen
.
est la
formule
de la
seconde
identification
imaginaire
du
sujet
à sa
forme
spéculaire.
Le
sujet
n'accepte le
phallus
que comme
signifiant.
Le
désir
de
l'Autre
est
articulé,
et
structuré
dans le
rapport
du
sujet
à la
parole.
Le
désir
du
sujet
en tant que
désir
du
désir
ouvre
sur la
coupure,
sur
l'être
pur.
Il y a
prévalence
d'un
signifiant
dans la
chaîne
inconsciente
chez le
sujet.
*
C'est autour d'une
relation
du
sujet
au
signifiant
que
s'organise
la
position
fondamentale
de la
Verdrängung
.
Le
principe
de
réalité
fonctionne
comme isolant le
sujet
de la
réalité.
Ce qui est
nié,
c'est la
façon
sous laquelle
s'avoue
ce qui, pour le
sujet,
se
trouve
à la
fois
présentifié
et
renié.
Le
bien
c'est le confort du
sujet
pour autant qu'il se
réfère
à
das Ding
à son
horizon
de
principe
du
plaisir.
Le
sujet
ne
peut
pas
supporter
l'extrême du
bien
que
peut
lui
apporter
das Ding
.
*
Le
sujet,
au
niveau
de
l'inconscient
ment.
Le
mensonge
du
sujet
au
niveau
de
l'inconscient
est sa
façon
de
dire
la
vérité.
Le
sujet
qui
parle
ne se
soutient
que du
discours.
[
Lac66a
, p. 709]
Dans le
sujet,
sa
relation
au
signifiant
détermine
le
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 710]
l'
Urverdrängung
désigne
la
réduplication
du
sujet
que le
discours
provoque.
[
Lac66a
, p. 710]
C'est dans le
redoublement
du
sujet
de la
parole
que
l'inconscient,
comme tel
trouve
à
s'articuler.
[
Lac66a
, p. 711]
Le
phallus
est le
signifiant
de la
perte
que le
sujet
subit,
par le
morcellement
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 715]
est la
symbolisation
du
fantasme
qui est la
forme
sous laquelle
s'appuie
le
désir
du
sujet.
L'idéalisation
fait
intervenir
l'identification
du
sujet
à un
objet.
C'est en
éléments
signifiants,
que
cristallise
le
premier
rapport
qui, chez le
sujet,
se
constitue
dans le
système
psychique,
comme tel,
soumis
à
l'
homéostase
5
.
501
, à la
loi
du
principe
du
plaisir.
*
La
fonction
du
principe
du
plaisir
est de
porter
le
sujet
de
signifiant
en
signifiant,
en mettant autant de
signifiants
qu'il est
nécessaire
à
maintenir
au
plus
bas le
niveau
de
tension
qui
règle
tout
le
fonctionnement
de
l'appareil
psychique.
Le
sujet
a à
pâtir
du
signifiant.
Le
sujet
a une
passion
du
signifiant.
La
structure
subjective
est
définie
par le
fait
que le
sujet
a à se
situer
dans le
signifiant.
Le
sujet
s'engage
dans le
plaisir
poussé
par un
manque
qui est de
l'ordre
du
besoin.
Le
sujet
est à son
origine
et comme tel,
l'élision
d'un
signifiant
qui est sauté dans la
chaîne.
Ce qu'un
sujet
comme tel
représente,
c'est qu'il
peut
oublier.
La
mémorisation
première
du
discours
mémorial
de
l'inconscient,
dont le
centre
est
absent,
est proprement le
signe
de cette
omission
fondamentale
où le
sujet
vient
à se
situer.
Quand le
sujet
fait
de la
culpabilité,
c'est
toujours
, à
l'origine,
à la
racine,
pour autant qu'il a
cédé
sur son
désir.
Céder
sur son
désir
s'accompagne
toujours
dans la
destinée
du
sujet
de quelque trahison.
L'amant
est
sujet
du
désir.
L'aimant
est le
sujet
du
manque.
L'être
de
l'autre,
dans le
désir,
n'est
point
un
sujet.
Ce que le
sujet
trouve
dans
l'analyse,
c'est ce dont il
manque,
à
savoir
son
désir.
La
sublimation
courtoise
est le
contresens
romantique, à
savoir
la surestimation
narcissique
du
sujet
supposé
dans
l'objet
aimé.
Le
je
comme
signifiant
n'est
rien
que le
shifter
ou
indicatif
qui, dans le
sujet
de
l'énoncé,
désigne
le
sujet
en tant qu'il
parle
actuellement.
[
Lac66a
, p. 800]
Le
je
désigne
le
sujet
de
l'énonciation.
[
Lac66a
, p. 800]
Le
je
ne
signifie
pas le
sujet
de
l'énonciation.
[
Lac66a
, p. 800]
Le
sujet
de
l'énonciation
se
reconnaît
dans le ne
explétif.
[
Lac66a
, p. 800]
La
coupure
de la
chaîne
signifiante
est la
seule
à
vérifier
la
structure
du
sujet
comme
discontinuité
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 801]
Dans le
graphe
1.30.1
, la
soumission
du
sujet
au
signifiant
est ce qui se
produit
dans le
circuit
vers
puis
vers
.
[
Lac66a
, p. 806]
L'Autre
est le site
préalable
du
pur
sujet
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 807]
C'est de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
le
message
qu'il
émet.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
sujet
tient
du
signifiant
une
marque
invisible.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
trait
unaire
vient
combler
la
marque
invisible
que le
sujet
tient
du
signifiant.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
trait
unaire
aliène
le
sujet
dans
l'identification
première
qui
forme
l'idéal-du-moi.
[
Lac66a
, p. 808]
La
dépendance,
que
vit
le
sujet
infans
,
est
maintenue
par un
univers
de
langage.
[
Lac66a
, p. 812]
Le
fading
désigne
l'éclipse
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 816]
Le
sujet
subit
une
Spaltung
ou
refente
de sa
subordination
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 816]
La
pulsion
est ce qui
advient
de la
demande
quand le
sujet
s'y
évanouit.
[
Lac66a
, p. 817]
Les
objets
partiels
sont la
doublure
du
sujet
de la
conscience.
[
Lac66a
, p. 818]
*
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 819]
est le
signifiant
pour quoi
tous
les
autres
signifiants
représentent
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 819]
est ce qui
manque
au
sujet
pour se
penser
épuisé
par son
cogito
,
à
savoir
ce qu'il est
d'impensable.
[
Lac66a
, p. 819]
Ce n'est pas la
loi
qui
barre
l'accès
du
sujet
à la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 821]
La
loi
fait
d'une
barrière
un
sujet
barré.
[
Lac66a
, p. 821]
L'obsessionnel
nie
le
désir
de
l'Autre
en
formant
son
fantasme
à accentuer
l'impossible
de
l'évanouissement
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 824]
Il n'y a
d'accès
à la
réalité
que de ce que le
sujet
est
conséquence
du
savoir.
[
Lac84a
, p. 14]
Le
sujet
n'est
rien
que le
trou
par quoi
tout
Autre
est
séparé
de la
jouissance.
[
Lac84a
, p. 15]
Le
sujet
conserve une
chaîne
articulée,
hors
de la
conscience,
sous
forme
de
demande.
Dans le
complexe
d'Œdipe,
le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il commet.
*
Dans le
sujet,
il y a une
part
où
ça
parle
tout
seul.
Le
sujet
se
constitue
par le
splitting
,
par le
dédoublement
foncier de
deux
chaînes
signifiantes.
Le
dédoublement
du
sujet
est
nécessité
par le
rapport
logique,
initial,
inaugural
du
sujet
au
signifiant.
Le
sujet
est le
support
du
signifiant;
en découle
l'existence
d'une
chaîne
signifiante
inconsciente.
Le
désir
se
présente
par
rapport
à la
chaîne
signifiante
inconsciente
comme
constitutive
du
sujet
qui
parle.
La
métonymie
est ce
phénomène
qui se
produit
dans le
support
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
*
Le
sujet
subit
la
marque
de la
chaîne
signifiante.
Dans le
fantasme
fondamental,
,
le
sujet
lui-même se
reconnaît
comme
arrêté.
C'est dans la
mesure
où le
sujet
s'identifie
au
fantasme
fondamental,
que le
désir
comme tel
prend
consistance.
*
Ce dont il s'agit dans le
désir
c'est d'un
objet
et
non
d'un
sujet.
Les
répétitions
liées
à la
constance
de la
chaîne
signifiante
inconsciente
dans le
sujet
sont
strictement
à
distinguer
du
transfert.
La
chaîne
signifiante
impose
sa
marque
à
toutes
les
manifestations
de la
vie
du
sujet
qui
parle.
La
vacillation
du
sujet
est comme
constituant
le
fantasme
fondamental
instaurant
le
lieu
où le
sujet
peut
se
fixer
comme
désir.
La
demande
est
cachée
pour le
sujet,
elle est
devant
être
interprétée.
Les
besoins
du
sujet
qui
parle
doivent
passer
par les
défilés
de la
demande.
La
tendance
naturelle
du
sujet
qui
parle
a à se
situer
dans un
au-delà
et dans un
en-deça
de la
demande.
Quand le
sujet
qui
parle
se
situe
dans un
au-delà
il est dans la
demande
d'amour.
Quand le
sujet
qui
parle
se
situe
dans un
en-deça
il est dans le
désir.
*
Le
stade
anal
se
caractérise
en ceci que le
sujet
satisfait
un
besoin
uniquement
pour la
satisfaction
d'un
autre.
Dans la
phase
orale,
ce n'est qu'à
l'intérieur
de la
demande
que
l'Autre
se
constitue
comme
reflet
de la
faim
du
sujet.
est le
seul
point
où
peut
se placer un
sujet.
*
Le
sujet
n'affirme
la
dimension
de la
vérité
comme
originale
qu'au
moment
où il se
sert
du
signifiant
pour
mentir.
*
C'est en
proportion
d'un
certain
renoncement
au
phallus
que le
sujet
entre
en
possession
de la pluralité des
objets
qui
caractérise
le
monde
humain.
*
Être
sujet
c'est
avoir
sa
place
dans
grand
,
au
lieu
de la
parole.
*
L'analyste
est
intéressé
dans le
transfert
comme
sujet.
Dans le
fantasme
,
a
rapport
avec le
fading
du
sujet,
le
a à
faire
avec le
petit
autre,
l'objet
du
désir.
Le
rapport
originaire
du
sujet
à
l'image
spéculaire,
s'instaure
dans la
réaction
de
l'agressivité.
La
phobie
est
faite
pour
soutenir
le
rapport
du
sujet
au
désir
sous la
forme
de
l'angoisse.
*
Le
désir
vient
à
émerger
pour
combler
le
manque
de
certitude,
le
manque
de
garantie
auxquels le
sujet
se
trouve
confronté.
Grand
est
l'Autre
du
sujet
parlant.
Dans
l'analyse
le
sujet
n'est pas le
sujet
de la
connaissance
mais le
sujet
de
l'inconscient.
Dans
l'identification,
il s'agit du
rapport
du
sujet
au
signifiant.
*
L'Autre
n'est pas un
sujet,
c'est un
lieu.
*
le
sujet
est
signifiant.
C'est en
prenant
l'autre
pour un
autre
que le
sujet
met cet
autre
au
niveau
de
l'Autre.
*
C'est de
l'effet
du
signifiant
que
surgit
comme tel le
sujet.
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
fonction
du
sujet
est dans
l'entre-deux
des
effets
idéalisant
de la
fonction
signifiante
et de
l'immanence
vitale.
L'inconscient
est le
lieu
du
sujet
où
ça
parle.
*
Quelque
chose,
à
l'insu
du
sujet,
est
profondément
remanié
par les
effets
de
rétroaction
du
signifiant
impliqué
dans la
parole.
*
Le
sujet
parle.
La
conscience
est la
surface
par où ce qui est au
cœur
du
sujet
reçoit
du
dehors,
ses
propres
pensées,
son
propre
discours.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
disjonction
du
et du
c'est que le
sujet
vient
à se loger comme tel, et que
l'identification
a à se
faire
avec ce quelque
chose
qui est
l'objet
du
désir.
Le
phallus
a une
fonction
privilégiée
dans
l'identification
du
sujet.
La
pulsion
sexuelle
fait
prévalence
de la
fonction
érotique
dans la
constitution
du
sujet.
*
Ce qui est
recherché
par le
sujet
c'est son
unicité
signifiante.
L'unaire
est
étroitement
accolé
et coextensif à la
structure
même
du
sujet.
*
Le
sujet
se
constitue
d'abord
comme
.
Le
sujet
a la
structure
d'un
anneau.
Le
sujet
c'est
d'abord
privation
de la
Chose.
La
propriété
de
l'anneau
symbolise
la
fonction
du
sujet
dans ses
rapports
à
l'autre.
Le
leurre
tient
à la
duplicité
radicale
de la
position
du
sujet.
*
Le
signifiant
se
définit
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
signifie
auprès de
l'autre
signifiant
cette
Chose
privilégiée
qu'est le
sujet
en tant que
rien.
C'est
l'impossible
à
l'Autre
qui
devient
le
désir
du
sujet.
Le
névrosé
est quelqu'un qui
s'engage
comme
sujet.
*
Le
sujet
introduit
le
rien
comme tel.
Le
danger
pour le
sujet
est de son abandon de
sujet
à la
demande.
*
Le
sujet
demande
le
désir
et le
phallus
désire.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que la
conséquence
qu'il y a du
signifiant.
*
La
naissance
du
sujet
tient
en ceci qu'il ne
peut
se
penser
que comme
exclu
du
signifiant
qui le
détermine.
Le
sujet
n'est que cette
part
exclue
d'un
champ
entièrement
défini
par le
signifiant.
Le
sujet
en tant que
marqué
par le
signifiant
est proprement, dans le
fantasme,
coupure
de
.
Le
sujet
est un
effet
de
signifiant.
*
le
signifiant
détermine
le
sujet.
Le
troisième
mode
d'identification
est là où le
sujet
se
constitue
comme
désir.
L'objet
manifesté dans le
fantasme
porte
la
marque
des
refentes
du
sujet.
Rien
du
sujet
ne
saurait
s'identifier
au
signifiant
sans
s'en
exclure.
le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
est ce que
l'Autre
désire
dans le
sujet
défaillant, dans le
fantasme
le
.
Le
sujet
instaure
l'objet
de la
castration
en un
Autre.
*
Le
trait
unaire
est
avant
le
sujet.
Par
rapport
à
l'Autre,
dépendant
de cet
Autre,
le
sujet
s'inscrit
comme quotient.
Le
sujet
est
marqué
du
trait
unaire
du
signifiant
dans le
champ
de
l'Autre.
*
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre.
Le
sujet
se
constitue
de sa
marque
dans le
rapport
au
signifiant.
Le
sujet
pervers
s'offre
loyalement à la
jouissance
de
l'Autre.
le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
révèle
le
sujet
mais en
effaçant
sa
trace.
*
Le
sujet
apparaît
avec la
naissance
du
signifiant,
mais comme
barré
,
comme
non
su
comme tel.
Le
signifiant
engendre
le
monde
du
sujet
qui
parle.
*
Les
signifiants
c'est la
trace
du
sujet
dans le
cours
du
monde.
*
La
bipolarité
dont
s'instaure
la
loi
morale
n'est
rien
d'autre que cette
refente
du
sujet
qui
s'opère
de
toute
intervention
du
signifiant,
nommément du
sujet
de
l'énonciation
au
sujet
de
l'énoncé.
[
Lac66a
, p. 770]
La
jouissance
de
l'expérience
sadienne
projette
d'atteindre
la
pudeur
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 771]
Le
désir
est le
suppôt
de la
refente
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 773]
*
Désir
n'est pas
sujet.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
plaisir
a pour
terme
l'évanouissement
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 774]
La
douleur
a pour
terme
l'évanouissement
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 774]
Dans le
schéma
du
fantasme
sadien,
est le
sujet
brut du
plaisir.
cf:
1.29.1
[
Lac66a
, p. 775]
La
psychanalyse
reconnaît
dans le
désir
la
vérité
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 785]
Le
sujet
sadien
vise
que sa
division
de
sujet
lui soit
toute
entière
de
l'Autre
renvoyée.
[
Lac66a
, p. 774]
Le
sujet
sadien
se mue en un
objet
éternel. [
Lac66a
, p. 778]
Le
sujet
est
d'abord
et
primitivement
inconscient.
Le
rapport
du
sujet
au
phallus
est qu'il n'est pas
sans
l'avoir.
incarne
la
fonction
la
plus
aliénante
du
sujet
dans
l'échange.
Le
désir
sadique
s'entend
à
faire
vibrer
l'angoisse
de
l'autre
par
rapport
à son
existence
essentielle
comme
sujet.
Le
sujet
se
constitue
au
lieu
de
l'Autre
comme
marqué
du
signifiant
avec un
reste
petit
.
Laisser
tomber
est le
corrélat
essentiel
du
passage
à
l'acte,
du
côté
du
sujet.
L'angoisse
est ce qui est
commun
au
sujet
et à
l'Autre.
*
L'
acting-out
c'est quelque
chose
dans la
conduite
du
sujet,
essentiellement
qui se
montre.
L'objet
est la
cause
du
manque
du
sujet
qui
parle
à
l'analyste.
La
loi
morale
intervient
en
élidant
le
sujet.
Le
réel
renvoie
le
sujet
à la
trace
et
abolit
aussi le
sujet.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a de
sujet
que par le
signifiant.
Le
sujet
a à se
constituer,
sous les
espèces
primaires
du
signifiant,
au
lieu
de
l'Autre
sur le
donné
du
trésor
du
signifiant.
Le
est le
reste
irréductible
dans
l'opération
totale
de
l'avènement
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre.
Le
est le
sujet
du
désir.
Dans une
phrase,
la
négation
explétive
marque
la
trace
signifiante
du
sujet
de
l'énonciation.
Le
sujet
de
l'énonciation
se
distingue
du
sujet
de
l'énoncé.
Le “ne”
explétif
marque
le
sujet
de
l'énonciation.
Dans
l'angoisse,
le
sujet
est étreint, concerné,
intéressé
au plus
intime
de lui-même.
*
L'objet
choit
du
sujet,
essentiellement
dans sa
relation
au
désir.
Le
sujet
n'a qu'un
désir,
celui de
retourner
à la
castration
première.
*
Le
rapport
du
sujet
au
signifiant
nécessite
la
structuration
du
désir
dans le
fantasme.
Le
sujet,
dès qu'il
parle,
est déjà, par cette
parole,
impliqué
dans son
corps.
La
racine
de la
connaissance,
c'est
l'engagement
de son
corps,
par le
sujet.
Le
lieu
du
manque,
dans son
rapport
au
désir,
est
structuré
par le
fantasme,
par la
vacillation
du
sujet
dans son
rapport
à
l'objet
partiel.
Le
fantasme
est la
vacillation
qui
unit
étroitement
le
sujet
au
.
La
coupure
est
interne
au
champ
du
sujet.
Le
désir
est
illusoire
parce qu'il
s'adresse
toujours
ailleurs,
à un
reste
constitué
par la
relation
du
sujet
à
l'Autre
qui
vient
s'y
substituer.
L'objet
fonctionne
comme
reste
de la
dialectique
du
sujet
à
l'Autre.
Tout
ce que le
sujet
reçoit
de
l'Autre
par le
langage,
est qu'il le
reçoit
sous une
forme
vocale.
L'angoisse
gît
dans le
rapport
fondamental
où le
sujet
est dans le
désir
de
l'Autre.
Pour
l'obsessionnel,
le
symptôme
n'est
constitué
que quand le
sujet
s'en
aperçoit.
est le
reste
de la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
en tant qu'il a à se
constituer
en
sujet
barré,
.
Le
symptôme
est
tout
entier
implicable
dans le
processus
de la
constitution
du
sujet
en tant qu'il a à se
faire
au
lieu
de
l'Autre.
*
L'effet
de la
parole,
l'effet
du
signifiant
est de
faire
surgir
dans le
sujet,
la
dimension
du
signifié
essentiellement.
*
La
mamelle
fait
partie
du
monde
intérieur
du
sujet
et
non
pas du
corps
de la
mère.
*
est
lié
à la
constitution
du
sujet
au
lieu
de
l'Autre
et le
représente.
Par
rapport
au
désir,
l'objet
se
présente
toujours
là où
s'élabore,
dans le
sujet,
la
fonction
de la
cause
même.
Le
sujet
se
constitue
d'abord
dans le
signifiant.
Le
cri
est cette
manifestation
de
l'angoisse
coïncidant
avec
l'émergence
même
au
monde
de celui qui sera le
sujet.
Il y a
impossibilité
pour le
sujet,
au
niveau
du
désir
de
trouver
en lui-même,
sujet,
sa
cause.
L'objet
est le
désirant
d'un
manque
qui n'est pas un
manque
du
sujet,
mais d'un
défaut
fait
à la
jouissance
qui se
situe
au
niveau
de
l'Autre.
Dans la
manie,
le
sujet
n'est lesté par
aucun
,
ce qui le livre
sans
aucune
possibilité
de
liberté,
à la
métonymie
infinie
et ludique et
pure
de la
chaîne
signifiante.
L'angoisse
est un
affect
de la
structure
du
sujet.
Le
sujet
se
définit
comme le
sujet
qui
parle
et qui se
détermine
dans un
effet
du
signifiant.
*
Dans
l'angoisse,
le
sujet
est
affecté
par le
désir
de
l'Autre.
*
L'objet
est ce qui a
chu
du
sujet
dans
l'angoisse.
*
Le
sujet
est
captif
de la
fonction
du
désir.
L'
agalma
est cet
objet
dont le
sujet
croit
que son
désir
le
vise
et où il
porte
à son extrême la
méconnaissance
de cet
objet
comme
cause
du
désir.
La
vérité
du
sujet
n'est pas en lui.
La
vérité
du
sujet
est dans un
objet
de
nature
voilé.
Faire
surgir
l'objet
de la
vérité
du
sujet,
est
élément
de
comique
pur.
*
L'inconscient
se
manifeste
toujours
comme ce qui
vacille
dans une
coupure
du
sujet.
La
coupure
est
liée
à la
fonction
inaugurale
du
sujet,
dans sa
relation
la
plus
initiale,
constituante
au
signifiant.
Le
Ich
est le
sujet.
Là où
c'était,
le
Ich
,
le
sujet
doit
advenir.
Le
sujet
de
l'inconscient
se
situe
dans un
lieu
qui n'est pas un
lieu
spatial.
Le
sujet
s'identifie
à ce qui est
originellement
subverti
par le
système
du
signifiant.
La
place
de
l'Autre
où se
constitue
le
sujet
est
située
entre
perception
et
conscience.
*
Initialement
c'est le
sujet
qui est
appelé.
*
Le
signifiant
est la
première
marque
du
sujet.
La
schize
se
produit
dans le
sujet
à
l'endroit
de la
rencontre.
La
schize
du
sujet
persiste
après le
réveil,
entre
le
retour
au
réel,
la
représentation
du
monde
et la
conscience
qui se
retrame.
La
schize
du
sujet
n'est que
représentant
la
schize
plus
profonde,
à
situer
entre
ce qui
réfère
le
sujet
dans la machinerie du
rêve,
et d'autre
part
ce qui le
cause
et en quoi il
choit.
*
Ce qui échappe au
sujet,
c'est que sa
syntaxe
se
constitue
en
rapport
avec certaines réserves
5
.
502
inconscientes.
La
schize
du
sujet
est
déterminée
comme
dépendance
de la
schize
du
sujet
par
rapport
à un
objet
privilégié
surgi
d'une
séparation
primitive,
de quelque
automutilation.
L'approche
du
réel
induit
une
automutilation
chez le
sujet.
L'objet
surgi
de la
séparation
primitive
chez le
sujet,
est le
regard.
Dans le
rapport
scopique,
le
regard
est
l'objet
d'où
dépend
le
fantasme
auquel le
sujet
est appendu dans une
vacillation
essentielle.
Dans le
rapport
scopique,
le
sujet
est appendu à un
fantasme.
Le
regard
que
rencontre
le
sujet
et qui le
surprend,
est un
regard
imaginé
au
champ
de
l'Autre.
Le
sujet
néantisant
est
corrélatif
du
monde
de
l'objet.
Le
sujet
néantisant
s'oppose
au
sujet,
se
soutenant
dans une
fonction
de
désir.
Le
sujet
est
néantisé
sous une
forme
qui est
l'incarnation
dans
l'image
du
de la
castration
et rend
nécessaire
l'organisation
des
désirs
à travers le cadre des
pulsions
fondamentales.
Le
rapport
du
sujet
avec
l'organe
est au
cœur
de
l'expérience
analytique.
*
Ce que le
sujet
imite foncièrement dans l'imitation, c'est une certaine
fonction
qu'il tend à
donner
de lui-même.
L'objet
a quelque
chose
dont le
sujet,
pour se
constituer,
s'est
séparé
comme
organe.
le
sujet
du
désir
est
l'essence
de
l'homme.
Il
existe
un
mouvement
du
sujet
qui ne
s'ouvre
que pour se
refermer,
en une certaine
pulsation
temporelle.
Dans
l'inconscient,
il y a les
effets
de la
parole
sur le
sujet.
Les
effets
de la
parole
déterminent
le
statut
du
sujet
comme
sujet.
L'inconscient
est le
seul
des
effets
qui se
dérobe
de la
parole
sur un
sujet,
au
niveau
où le
sujet
se
constitue
des
effets
du
signifiant.
Le
sujet
se
constitue
des
effets
du
signifiant.
Le
terme
de
sujet
ne
désigne
pas le
substrat
vivant
qu'il faut au
phénomène
subjectif.
Le
terme
de
sujet
ne
désigne
pas le
logos
qui
s'incarnerait
quelque part.
Le
terme
de
sujet
désigne
le
sujet
cartésien
qui
apparaît
au
moment
où le
doute
se
reconnaît
comme
certitude.
Quelque
chose
du
sujet
est aimanté à un
degré
profond
de
dissociation,
de
schize.
Le
sujet
est
symbolisé
par
,
en tant que
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Le
sujet
est
constitué
comme
second
par
rapport
au
signifiant.
Le
sujet
se
situe
d'abord
au
niveau
du
Un,
1 comme
compte.
Un
et 1
marquent
la
première
schize
qui
fait
que le
sujet,
comme tel, se
distingue
du
signe
par
rapport
auquel,
d'abord,
il a pu se
constituer
comme
sujet.
Le
sujet
se
constitue,
comme tel, par
rapport
à un
signe.
Le
sujet
se
voit
comme
image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
redoublé
dû à la
confusion
de la
fonction
de
avec
image
de
l'objet
.
Le
sujet
se
voit
comme
constitué
par
l'image
reflétée,
momentanément précaire, de sa
maîtrise.
Le
sujet
s'imagine
homme
seulement
de ce qu'il
s'imagine.
Dans la
pratique
analytique,
il n'y a pas à
repérer
le
sujet
par
rapport
à la
réalité.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
comme
idéal.
C'est dans
l'Autre
que le
sujet
se
constitue
dans sa
réalité
imaginaire,
ou
moi-idéal.
*
Là d'où le
sujet
se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
Le
sujet
se
voit
dans une
image
réelle
et
inversée
de son
propre
corps.
Le
sujet
se
voit
dans
l'espace
de
l'Autre.
Le
sujet
se
regarde
depuis
l'espace
de
l'Autre.
Le
sujet
parle
depuis
l'espace
de
l'Autre.
Le
sujet
est
d'abord
marqué
du
trait
unaire.
*
L'inconscient,
ce sont les
effets
sur le
sujet
de la
parole.
*
L'inconscient,
c'est la
dimension
où le
sujet
se
détermine
du
fait
et dans le
développement
des
effets
de la
parole.
La
double
face
de la
fonction
du
désir
est
résidu
dernier
de
l'effet
du
signifiant
dans le
sujet.
C'est du
point
où le
sujet
désire,
que la
connotation
de
réalité
est
donnée
dans
l'hallucination.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Tout
ce que
vivent
les
sujets
relèvent de la
satisfaction.
Ce à quoi
satisfont
les
sujets,
c'est la
loi
du
plaisir.
L'inconscient
se
situe
dans les
béances
que la distribution des
investissements
signifiants
instaure
dans le
sujet.
Les
béances
instaurées dans le
sujet
se
figurent
en un
losange,
le
poinçon
noté
.
Le
losange
est au
cœur
de
tout
rapport
de
l'inconscient,
entre
la
réalité
et le
sujet.
Ce que le
sujet
voyeur
cherche
à
voir,
c'est
l'objet,
en tant
qu'absence.
Ce n'est que lors de
l'apparition
du
sujet
au
niveau
de
l'autre
que
peut
être
réalisé
ce qu'il en est de la
fonction
de la
pulsion.
Dans le
sujet,
on
ne
saisit
que des
pulsions
partielles.
Le
sujet
est
divisé
par
l'effet
de
langage.
Le
sujet
n'est
sujet
que
d'être
assujettissement
au
champ
de
l'Autre.
L'assujettissement
du
sujet
au
champ
de
l'Autre
est
synchronique.
Le
placenta
représente
cette
part
de lui-même que le
sujet
perd
à la
naissance
qui
peut
symboliser
un
objet
perdu.
Le
sujet
est
déterminé
par le
langage
et la
parole.
*
Le
sujet,
in-initio
,
commence
au
lieu
de
l'Autre
en tant que là
surgit
le
premier
signifiant.
Un
signifiant
représente
un
sujet,
mais pas pour un
autre
sujet.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
naît,
en tant qu'au
champ
de
l'Autre,
surgit
le
signifiant.
La
lamelle
représente
le
rapport
du
sujet
vivant
à ce qu'il
perd
de
devoir
passer
pour sa
reproduction,
par le
cycle
sexuel.
De
naître
avec le
signifiant,
le
sujet
naît
divisé.
Le
sujet,
c'est ce
surgissement
qui,
juste
avant, comme
sujet,
n'était
rien,
mais qui, à peine
apparu,
se
fige
en
signifiant.
La
finalité
de la
topologie
lacanienne
est de
rendre
compte
de la
constitution
du
sujet.
La
chaîne
du
signifiant
commande
tout
ce qui va
pouvoir
se
présentifier
du
sujet.
Le
champ
de
l'Autre
est le
champ
de ce
vivant
où le
sujet
a à
apparaître.
*
Dans le
psychisme,
rien
n'est
suffisant
par quoi le
sujet
puisse
se
situer
comme
être
de
mâle
ou
être
de
femelle.
Dans le
psychisme,
le
sujet,
à la
différenciation
mâle,
femelle,
substitue
par des
équivalents
activité,
passivité.
La
sexualité
se
représente
par une
relation
du
sujet
qui
s'instaure
dans le
champ
du
sujet,
par une
voie
qui est la
voie
du
manque.
Deux
manques
se
recouvrent,
le
sujet
dépend
du
signifiant
situé
d'abord
au
champ
de
l'Autre
et le
manque
réel,
que
constitue
la
perte
d'une
part
du
vivant
à la
naissance.
La
dialectique
de la
pulsion
se
distingue
de ce qui est de
l'amour,
comme ce qui est du
champ
du
bien
du
sujet.
La
relation
du
sujet
à
l'Autre
s'engendre
toute
entière
dans un
processus
de
béance.
Entre
le
sujet
et
l'Autre
les
procès
sont à
définir
comme
circulaires.
Le
processus
entre
le
sujet
et
l'Autre
est
dissymétrique.
*
Le
signifiant
se
produisant
au
champ
de
l'Autre,
fait
surgir
le
sujet
de sa
signification.
le
signifiant
ne
fonctionne
comme
signifiant,
qu'à
réduire
le
sujet,
en
instance,
à
n'être
plus qu'un
signifiant.
L'
aphanisis
est à
situer
au
niveau
où le
sujet
se
manifeste
dans un
mouvement
de
disparition
qui est le
point
de
fading
du
sujet.
5
.
503
Au
champ
de
l'Autre,
la
caractéristique
du
sujet
de
l'inconscient
est
d'être
à une
place
indéterminée.
Le
sujet
de
l'inconscient
est sous le
signifiant
qui
développe
ses
réseaux,
ses
chaînes
et son
histoire.
Le
sujet
peut
occuper
diverses
places
selon que
l'analyste
le met sous l'un ou
l'autre
des
signifiants
de
l'interprétation.
Le
sujet
dépend
du
signifiant.
La
première
opération
essentielle
où se
fonde
le
sujet,
est
l'aliénation
notée,
.
L'aliénation
consiste
dans ce
vel,
qui condamne le
sujet
à
n'apparaître
que dans une
division
où il
apparaît,
d'un coté comme
sens
produit
par le
signifiant,
de
l'autre
comme
aphanisis
.
L'interprétation
vise
à aider à
retrouver
les
déterminants
de
toute
la
conduite
du
sujet.
Un
manque
est, par le
sujet,
rencontré
dans
l'Autre,
dans
l'intimation
même
que lui
fait
l'Autre
par son
discours.
Le
désir
de
l'Autre
est
appréhendé
par le
sujet,
dans ce qui ne
colle
pas, dans les
manques
du
discours
de
l'Autre.
La
dialectique
des
objets
du
désir
fait
le
joint
du
désir
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
Le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre,
c'est le
même.
Le
sujet
se
définit
comme
l'effet
du
signifiant.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre.
*
Le
sujet
apparaît
d'abord
dans
l'Autre
en tant que le
premier
signifiant,
le
signifiant
unaire,
surgit
au
champ
de
l'Autre,
et qu'il
représente,
comme tel, le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
celui-ci a pour
effet
l'
aphanisis
du
sujet.
L'
aphanisis
du
sujet
c'est la
division
du
sujet.
La
division
du
sujet
se
manifeste
de ce que le
sujet
apparaît
quelque part comme
sens,
et
ailleurs,
se
manifeste
comme
disparition
ou
fading
.
Le
sujet
est un
signifiant
binaire.
Le
sujet,
en tant que
signifiant
binaire,
est
cause
de sa
disparition.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
C'est en tant que le
désir
de
l'Autre
est
au-delà
ou en-deçà de ce qu'il
dit,
de ce qu'il
fait
surgir
comme
sens,
c'est en tant que son
désir
est
inconnu,
c'est en ce
point
de
manque,
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
Le
sujet
revient
au
point
initial
de son
manque
comme tel, de son
aphanisis
,
de sa
disparition.
*
Ce dont le
sujet
a à se
libérer,
c'est de
l'effet
aphanisique
du
signifiant
binaire.
*
À
toute
représentation,
il faut un
sujet.
Ce qui
constitue
le
sujet
est
corrélatif
de
l'
aphanisis
du
sujet.
La
dialectique
du
sujet
s'institue
dans
l'aliénation
que
constitue
l'
aphanisis
,
dans cette
division
fondamentale.
*
Il n'y a de
surgissement
du
sujet
au
niveau
du
sens,
que de
l'
aphanisis
du
sujet
en
l'autre
lieu
qui est celui de
l'inconscient.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir.
*
Le
transfert
est un
phénomène
où sont
inclus
ensemble,
le
sujet
et le
psychanalyste.
Dès qu'il y a quelque part le
sujet
supposé
savoir,
il y a
transfert.
La
division
du
sujet,
où se
situe
l'essence
de
l'aliénation
est
liée
de
façon
essentielle
à la
fonction
du
couple
des
signifiants.
Deux
signifiants
en
couple
sont un
ensemble
d'éléments
tels que, s'il n'en
existe
que
deux,
le
phénomène
d'aliénation
se
produit;
d'où il
résulte
qu'au
niveau
de
l'autre
signifiant
le
sujet
s'évanouit.
La démarche
cartésienne
fonde
le
sujet.
Au
fond
de la
paranoïa
il y a
absence
d'un des
termes
de la
croyance,
là où se
désigne
la
division
du
sujet.
Ce qui est
essentiel
dans
l'interprétation,
c'est que le
sujet
voit,
au-delà
de la
signification,
à quel
signifiant,
il est, comme
sujet,
assujetti.
Le
moment
de
perte
du
sujet
est
représentée
par la
fonction
du
,
refoulé
primordial.
La
dialectique
du
désir
du
sujet
se
constitue
du
désir
de
l'Autre.
Le
sujet
ne se
constitue
que de la
chute
nécessaire
du
premier
signifiant.
Le
signifiant
primordial
fonde
le
sens
et le
non-sens
radical
du
sujet.
Le
signifiant
primordial
constitue
le
sujet
dans sa
liberté
à l'égard de
tous
les
sens.
Les
significations
dialectisées
dans le
rapport
du
désir
de
l'Autre
donnent
au
rapport
du
sujet
à
l'inconscient
une
valeur
déterminée.
Le
transfert
prend
son
départ
dans le
sujet
supposé
savoir.
Le
sujet
supposé
savoir
est
supposé
savoir
la
signification.
*
Le
sujet
est
supposé
savoir
de
seulement
être
sujet
du
désir.
L'effet
de
transfert
ferme
le
sujet
à
l'effet
de
l'interprétation.
Le
sujet,
en tant
qu'assujetti
au
désir
de
l'analyste,
désire
le
tromper
de cet
assujettissement.
Le
moi-idéal
est le
point
où le
sujet
désire
se complaire en lui-même.
Le
sujet
a une
relation
à son
analyste
dont le
centre
est ce
signifiant
privilégié,
l'idéal-du-moi.
Par la
fonction
de
l'objet
,
le
sujet
se
sépare,
cesse
d'être
lié
à la
vacillation
de
l'être,
au
sens
qui
fait
l'essentiel
de
l'aliénation.
*
Le
sujet
est
immanent
à son
hallucination
verbale.
*
La
science
élide,
élude,
sectionne,
un
champ
déterminé
dans la
dialectique
du
sujet.
La
science
se
situe
au
niveau
de la
dialectique
du
sujet
à
l'Autre,
comme celui de la
séparation.
L'analyse
s'engage
dans le
manque
central,
où le
sujet
s'expérimente
comme
désir.
La
dialectique
du
sujet
se
constitue
dans le
défilé
du
signifiant,
par le
double
temps
de
l'aliénation
et de la
séparation.
La
béance
constitue
la
division
inaugurale
du
sujet.
La
division
inaugurale
du
sujet
est
bouchée
par
l'objet
.
L'objet
ne
franchit
jamais
la
béance
inaugurale
du
sujet.
L'hypnose
peut
se
définir
par la
confusion,
en un
point,
du
signifiant
idéal
où se
repère
le
sujet
avec
l'objet
.
L'analyste
est
appelé,
par le
sujet,
à incarner le
.
Le
franchissement
du
plan
de
l'identification
est
possible,
par
l'intermédiaire
de la
séparation
du
sujet
dans
l'expérience.
Le
désir
de
l'analyste
est
d'obtenir
la
différence
absolue
quand,
confronté
au
signifiant
primordial,
le
sujet
vient
pour la
première
fois
en
position
de se
l'assujettir.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
signifie
jamais
rien
d'autre
que le
sujet.
*
Le
rapport
du
signifiant
au
sujet,
en tant qu'il
intéresse
la
fonction
de la
signification,
passe
par un
référent.
La
barre
de la
formule
est cet
autre
effet
du
signifiant
en quoi le
signifiant
ne
fait
que
représenter
le
sujet.
Le
sujet
ne
peut
être
rien
d'autre
que ce qui
pense:
Donc
je
suis.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
fonction
du
signifiant
est le
fait
que le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
L'inconscient
est un
concept
forgé sur la
trace
de ce qui
opère
pour
constituer
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 830]
Le
langage
est
cause
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 830]
*
L'effet
du
langage,
c'est la
cause
introduite
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 835]
La
cause
dans le
sujet,
c'est le
signifiant.
[
Lac66a
, p. 835]
Sans le
signifiant,
il n'y aurait
aucun
sujet
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
qui
écoute,
se
réduit
au
signifiant
pour lequel un
signifiant
représente
un
sujet.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet,
ça
parle
de lui. [
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet,
on
ne lui
parle
pas. [
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
s'appréhende
là où
ça
parle
de lui. [
Lac66a
, p. 835]
Le
sujet
traduit
une
synchronie
signifiante.
[
Lac66a
, p. 835]
*
Le
sujet
cartésien
est le
présupposé
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 839]
L'inconscient
est
entre
le
sujet
et
l'Autre
leur
coupure
en
acte.
[
Lac66a
, p. 839]
*
L'aliénation
est le
fait
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Aucun
sujet
n'a de
raison
d'apparaître
dans le
réel,
sauf à ce qu'il y
existe
des
êtres
parlants.
[
Lac66a
, p. 840]
Le
Witz
éclaire la
division
du
sujet
avec lui-même. [
Lac66a
, p. 840]
Le
registre
du
signifiant
s'institue
de ce qu'un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac66a
, p. 840]
*
Le
signifiant
se
produisant
au
lieu
de
l'Autre
non
encore
repéré
y
fait
surgir
le
sujet
de
l'être
qui n'a pas
encore
la
parole.
[
Lac66a
, p. 840]
Le
signifiant
fige
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 840]
L'Autre
est pour le
sujet
le
lieu
de sa
cause
signifiante.
[
Lac66a
, p. 841]
*
Nul
sujet
ne
peut
être
cause
de
soi.
[
Lac66a
, p. 841]
L'aliénation
réside
dans la
division
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 841]
L'opération,
où se
ferme
la
causation
du
sujet,
s'appelle
la
séparation
ou
Ichspaltung
,
ou
refente
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 842]
La
refente
du
sujet
se
fonde
dans une
refente
de
l'objet
phallique.
[
Lac66a
, p. 842]
Le
sujet
se
trouve
constitué
en
deux
parts.
[
Lac66a
, p. 844]
Le
signifiant
comme tel, a, en
barrant
le
sujet
par
première
intention,
fait
entrer
en lui le
sens
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
pulsion
divise
le
sujet
et le
désir.
[
Lac66a
, p. 853]
Le
désir
ne se
soutient
que du
rapport
qu'il
méconnaît,
de la
division
du
sujet
à un
objet
qui le
cause.
[
Lac66a
, p. 853]
*
L'enseignement
de la
psychanalyse
ne
peut
se
transmettre
d'un
sujet
à un
autre
que par les
voies
d'un
transfert
de
travail.
[
Lac82a
, p. 76]
Dans
l'analyse,
le
sujet
qui
parle
ne
parle
pas pour
dire
ses
pensées.
*
Le
sujet,
d'où il se
voit,
ce n'est pas là d'où il se
regarde.
Le
lieu
de
l'Autre
est le
lieu
qui est
propre
au
sujet.
*
Le
sujet,
c'est ce que le
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
sujet
se
définit
comme ce qui, du
signifiant,
se
représente
à
l'intérieur
du
système
du
signifiant.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
se véhicule de
signifiant
à
signifiant,
représentant
chaque
signifiant
pour celui qui le
suit.
Le
terme
de
certitude
est
constituant
le
sujet
dans
l'expérience
et la
visée
de
l'analyse.
L'idéal-du-moi
marque
le
départ
du
sujet
au
champ
de
l'Autre.
C'est autour de
l'idéal-du-moi
que se
joue
le
drame
des
identifications
du
sujet.
*
L'image
du
corps,
le
s'origine
dans le
sujet,
dans
l'expérience
spéculaire.
La
position
du
sujet
est comme
apparaissant
et
disparaissant
en une
pulsation
toujours
répétée
comme
effet
toujours
évanouissant
et
renaissant
du
signifiant.
La
castration,
dans le
vécu
terminal
d'une
analyse
de
névrosé,
passe
par
l'expérience
que le
sujet
a à
faire
de la
faille
qui le
sépare
de la
reconnaissance
de ceci, qu'il
vit
ailleurs
que dans la
réalité.
L'objet
est ce
résidu
essentiel
par quoi
s'incarne
le
caractère
radicalement
divisé
du
du
sujet
au-delà
de la
demande
et
au-delà
du
transfert.
Le
sujet
se
pose
d'abord
sous la
forme
du
shifter
.
Le
sujet
de la
phrase
est
d'abord
racine
de
l'événement
où il se
dit.
Que de
n'avoir
pas
l'objet
du
choix,
le
sujet
vient
à
l'être.
est
l'image
inversée
de ce qui
sert
de
support
à
conceptualiser
la
fonction
du
sujet.
Le
langage
n'est pas un
code
parce que, dans le moindre
énoncé,
il véhicule avec lui le
sujet
présent
dans
l'énonciation.
La
demande
vient
toujours
au
joint
du
sujet
et de
l'Autre.
*
Le
signifiant,
à la
différence
du
signe,
c'est quelque
chose
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant,
déterminant
le
sujet,
le
barre
entraînant
vacillation
et
division
du
sujet.
*
Le
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
qui
représente
le
sujet
est
émetteur.
Parmi les
signes,
il y en a certains qui sont des
signifiants
en tant qu'ils
représentent
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
d'un
message
engendre
le
sujet.
Le
sujet
se
situe,
se
caractérise
essentiellement
comme
étant
de
l'ordre
du
manque.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
représente,
auprès du
,
qui est le
sujet
en tant que
barré.
Le
psychanalyste
est
appelé,
en la
situation
analytique,
comme
étant
le
sujet
supposé
savoir.
Au
psychanalyste
est confié
l'opération
de la
conversion
éthique
radicale
qui
introduit
le
sujet
à
l'ordre
du
désir.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Au
fondement
de
l'analyse,
l'analyste
doit
être
le
sujet
supposé
savoir.
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Avec
l'inconscient,
le
sujet
refuse
un
certain
point
de
savoir.
*
Le
sujet
s'institue
d'un
signifiant
rejeté,
verworfen
,
d'un
signifiant
dont
on
ne
veut
rien
savoir.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Il y a du
verworfen
fondateur
du
sujet
par
disparition
du
signifiant.
*
Le
sujet
en
sait
plus
qu'il ne
croit,
en
dit
plus
qu'il ne
veut.
Le
sujet,
pouvant
être
inconscient,
est le
représentant
de la
Vorstellung
.
Savoir,
sujet
et
sexe
constituent
trois
bords.
*
C'est du
côté
du
savoir
que le
sujet
se
trouve
recevoir
cette
marque
de
division
qui
s'inscrit
dans le
symptôme.
*
Le
sujet
est ce qui
fait
défaut
au
savoir.
Chaque
fois
que le
sujet
trouve
sa
vérité,
ce qu'il
trouve,
il le
change
en
objet
.
Dans la
dialectique
psychanalytique,
rien
n'y est
concevable
sans
la conjugaison du
sujet,
du
savoir
et du
sexe.
La
relation
du
sujet,
du
savoir
et du
sexe
est
marquée
de
division.
5
.
504
Le
fantasme
n'est que la
conjonction
de la
division
du
sujet
avec le
.
Dans la
névrose,
c'est par
rapport
à la
demande
de
l'Autre
que se
constitue
le
désir
du
sujet.
*
Le
désir
du
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
Le
savoir
du
rapport
du
sujet
à son
symptôme,
c'est le
premier
pas de la
psychanalyse.
La
psychanalyse
repère,
dans sa
praxis,
l'état
de
refente,
de
Spaltung
du
sujet.
La
psychanalyse
opère
sur le
sujet
de la
science.
L'humain
est
toujours
responsable
de sa
position
de
sujet.
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
Le
sujet
est en
exclusion
interne
à son
objet.
L'objet
vient
s'insérer
dans la
division
du
sujet.
La
praxis
psychanalytique
n'implique
d'autre
sujet
que celui de la
science.
Le
sujet
est
divisé
entre
savoir
et
vérité.
*
Là où
c'était,
là comme
sujet
dois
je
advenir.
La
nature
du
phallus
se
révèle
au
sujet
par le
manque
du
pénis
de la
mère.
5
.
505
Le
phallus
n'est
rien
d'autre
que ce
point
de
manque
qu'il
indique
dans le
sujet.
Le
sujet
se
divise
entre
vérité
et
savoir.
Il y a une
coupure
constituante
de la
fonction
du
sujet.
Il y a
trou
du
sujet
de
l'énonciation.
*
Le
symbole
est
identique
à ce qu'il
cause,
c'est-à-dire le
manque
du
sujet.
Le
signifiant
détermine
la
division
du
sujet.
Le
sujet
est
fondamentalement
divisé.
La
bande
de
Mœbius
peut
être
le
support
structural
de la
constitution
du
sujet
comme
divisible.
Il
manque
l'Un
pour
désigner
le
sujet.
Le
transfert
en
début
d'analyse
fait
de
l'analyste
le
sujet
supposé
savoir.
L'analyste
est, au
départ,
le
représentant
pour le
sujet,
de la
toute
puissance
de la
frustration.
Le
psychanalyste
repère
le
sujet
dans sa
Spaltung
ou
refente.
[
Lac66a
, p. 855]
La
division
du
sujet
est
entre
le
savoir
et la
vérité.
[
Lac66a
, p. 856]
Le
sujet,
sur quoi les
psychanalystes
opèrent,
est le
sujet
de la
science.
[
Lac66a
, p. 858]
*
Il n'y a pas de
science
de
l'homme,
parce que
l'homme
de la
science
n'existe
pas, mais
seulement
son
sujet.
[
Lac66a
, p. 859]
Le
sujet
de la
science
existe.
[
Lac66a
, p. 859]
Le
sujet
est en
exclusion
interne
à son
objet.
[
Lac66a
, p. 861]
La
praxis
de la
psychanalyse
n'implique
pas
d'autre
sujet
que la
science.
[
Lac66a
, p. 863]
*
Là où
c'était,
là comme
sujet
doit
je
advenir.
[
Lac66a
, p. 864]
Le
sujet
du “je parle”,
parle
au
lieu
de
l'Autre.
Dans la
structure
du
sujet
il y a
conjonction
de
l'identité
et de la
différence.
Dans
l'amour
courtois,
se
repère
de
l'idéal-du-moi,
objet
,
image
du
le
fondement
du
moi,
et
sujet
barré.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir
tout
sauf ce qu'il en est de la
vérité
du
patient.
C'est
barré
dans son
rapport
à la
demande,
,
que
s'accroche
la
division
du
sujet.
L'être
du
sujet
est
refendu.
L'être
du
sujet
est la
suture
du
manque
qui, se
dérobant
dans le
nombre,
le
soutient
de sa récurrence.
Le
trait
unaire
est ce qui
manque
au
signifiant
pour
être
l'Un
du
sujet.
Le
sujet
se
refend
d'être
à la
fois
effet
de la
marque
d'une
identification
primaire
et
support
de son
manque.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
L'œil
est le
sujet
idéal
de
l'identification
du
sujet
classique
de la
connaissance.
Le
sujet
est
fondamentalement
divisé.
*
C'est, en tant que
sujet
divisé,
que
l'analyste
est
appelé
à
répondre
à la
demande.
Le
sujet
est le
sujet
du
regard,
il est le
sujet
d'un
monde
vu.
Le
sujet
divisé
est
soutenu
par
l'objet
.
Dans le
regard,
c'est de la
structure
du
sujet
scopique
qu'il s'agit et
non
pas du
champ
de la
vision.
La
psychanalyse
part
de la
division
du
sujet.
*
Les
relations
du
sujet
à
l'Autre
ne sont pas
réciproques.
*
Le
fantasme
est le
statut
de
l'être
du
sujet.
Le
fantasme
est le
représentant
de
toute
représentation
possible
du
sujet.
L'objet
est l'enjeu
fondateur,
pour le
sujet,
dans son
rapport
à
l'Autre.
La
dimension
du
désir
surgit
avec
l'avènement
d'un
objet
qui n'est pas
l'objet
de la
satisfaction
d'un
besoin
mais d'un
rapport
de la
demande
du
sujet
au
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
n'est pas
immanent
mais
latent,
évanouissant
au
réseau
du
langage.
La
rétroaction
d'un
signifiant
sur
l'autre
est ce qui est la
condition
fondamentale
de
l'apparition
du
sujet.
Le
tient
lieu
de ce dont il retourne concernant la
division
du
sujet.
*
Le
sujet
est, pour une
part,
barré
de ce qui le
constitue.
Le
barré
d'une
barre
verticale c'est le
sujet
barré
de si et
seulement
si avec
l'objet
.
5
.
506
Il
existe
un
sujet.
Il y a du
sujet
à partir du
moment
où sont maniés des
signifiants.
*
Le
sujet
commence
avec la
coupure.
Le
petit
est à
l'intersection
du
sujet
et de
l'Autre.
La
réunion
du
sujet
à
l'Autre
définit
leur
liaison.
Le
est le
résultat
des
opérations
logiques
de
réunion
et
d'intersection
opérées
sur le
sujet
et
l'Autre.
*
Il n'y a de
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
*
en tant qu'il
tient
lieu
du
sujet
ne
fonctionne
que pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
barré
c'est ce qui
représente,
pour un
signifiant,
un
sens.
Le
signifiant
se
définit
de sa
fonction
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
répétition
instaure
dans son
fondement
le plus
radical
la
division
du
sujet.
Le
moi
du
sujet
s'aliène
de
façon
imaginaire.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
de la
métaphore
se
trouve
représenter
le
sujet
de
l'inconscient
dont il s'agit de
déterminer
l'effet
comme
effet
de
signification,
le
symptôme.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Là où
c'était,
là
je
dois,
comme
sujet,
devenir.
Dans le
parcours
subjectif,
l'actualité
du
sujet
a, dans son
présent,
le
futur
antérieur.
[
Lac66a
, p. 50]
L'homme
a pu
entrer
dans
l'ordre
symbolique,
comme
sujet,
par la
voie
d'une
béance
spécifique
de sa
relation
imaginaire
à son
semblable.
[
Lac66a
, p. 53]
Le
défilé
de la
parole
se
reproduit
chaque
fois
que le
sujet
s'adresse
à
l'Autre,
comme
absolu.
[
Lac66a
, p. 53]
L'Autre
peut
annuler
le
sujet.
[
Lac66a
, p. 53]
Dans le
schéma
1.2.2
,
symbolise
le
sujet
supposé
complété
du
freudien.
[
Lac66a
, p. 55]
C'est du
champ
de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, pp. 55–56]
Le
sujet
de la
séance
psychanalytique
est le
supposé
complété
du
.
[
Lac66a
, p. 55]
Nœud
veut
dire
la
division
qu'engendre
le
signifiant
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 724]
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
signifiant,
toujours
autre.
[
Lac66b
, p. 74]
La
structure
du
sujet
est
divisée.
[
Lac66b
, p. 75]
La
structure
du
sujet
laisse
choir
un
résidu
irréductible.
[
Lac66b
, p. 75]
*
Il n'y a pas de
sujet
de
désir.
[
Lac66c
, p. 9]
Il
existe
le
sujet
du
fantasme.
[
Lac66c
, p. 9]
Un
objet
cause
une
division
du
sujet.
[
Lac66c
, p. 9]
*
Le
sujet
de
l'inconscient
est un
être
parlé.
[
Lac66c
, p. 12]
Le
sujet
de
l'énonciation
est
différent
de sa
pointe
dans
l'énoncé.
La
dialectique
du
sujet
se
situe
entre
sujet
de
l'énoncé
et
sujet
de
l'énonciation.
L'aliénation
c'est le
signifiant
de
l'Autre,
en tant qu'il
fait
de
l'Autre
un
champ
marqué
de la
même
finitude
que le
sujet
lui-même
.
Le
sujet
vient
à
l'analyse
pour
savoir
ce qu'il
demande.
L'angoisse
de
l'Autre
est la
vraie
racine
de la
position
du
sujet
comme
position
masochique.
*
L'acte
est
fondateur
du
sujet.
Le
sujet,
dans
l'acte,
est
équivalent
à son
signifiant,
tout
en
restant
divisé.
Le
sujet
est
tout
entier
transformé
par
l'acte.
*
Le
sujet
est, dans
l'acte,
représenté
comme
division
pure.
Le
passage
à
l'acte
est le
mode
privilégié
et exemplaire
d'instauration
du
sujet.
D'un
acte
véritable,
s'instaure
un
sujet
qui
surgit
différent
car, par la
coupure,
sa
structure
est
modifiée.
L'acte
sexuel
est un
acte
en tant qu'il a un
rapport
avec
l'existence
du
sujet.
À la
répétition,
répond
comme
fondateur
du
sujet,
le
passage
à
l'acte.
La
structure
c'est que le
sujet
est un
fait
de
langage
et un
fait
du
langage.
*
L'acte
de se
taire
ne
libère
pas le
sujet
du
langage.
Ce n'est pas que la
science
se
passe
du
sujet,
c'est qu'elle le
vide
du
langage,
l'expulse.
La
science
se
crée
ses
formules
d'un
langage
vidé
du
sujet.
Le
sujet,
rejeté
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
*
le
sujet
a à se
mesurer
avec la
difficulté
d'être
un
sujet
sexué.
La
répétition
c'est
l'acte
d'où le
sujet
comme tel,
s'engendre.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
De la
répétition
naît
le
sujet.
Tout
ce qui est
identification
part
précisément pour le
sujet,
par
identification
à
l'idéal-du-moi,
au
niveau
de
l'Autre.
*
Le
sujet
ne
vient
au jour que par le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
Ce qui
coupe
l'Un
de
l'Autre
c'est très précisément cela qui
constitue
le
sujet.
*
Le
sujet
ne
sait
rien
de lui, sinon qu'il
doute.
La
fonction
du
sujet
n'est
rien
d'autre
que ce qui est
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
*
Un
sujet
n'est en
aucun
cas
une entité
autonome.
Le
nom
propre
peut
donner
l'illusion
que le
sujet
est une entité
autonome.
La
jouissance
est ce quelque
chose
qui a un
certain
rapport
au
sujet.
Le
sujet
est
effet
de la
signifiance.
Le
sujet
met le
corps
et la
jouissance
dans un
rapport
de
fonction
d'aliénation.
*
Le
maître
est un
sujet.
L'introduction
du
sujet
comme
effet
de
signifiant
gît
dans la
séparation
du
corps
et de la
jouissance.
Le
sujet
est au
disjoint
du
corps
et de la
jouissance.
Il y a
décalage
ou
Verschiebung
dès que
s'introduit,
entre
le
corps
et la
jouissance,
la
fonction
du
sujet.
La
fonction
de
sujet
a pour
effet
la
disjonction
du
corps
et de la
jouissance.
L'analyste
est
placé
en
position
de
sujet
supposé
savoir.
Le
transfert
est
source
de
résistance
entre
la
position
fausse
d'être
le
sujet
supposé
savoir,
ce que
l'analyste
sait
bien qu'il n'est pas, et celle
d'avoir
à rectifier les
effets
de cette
supposition
de la
part
du
sujet
au
nom
de la
vérité.
La
fonction
du
fantasme,
a deux
caractéristiques,
la
présence
d'un
objet
et
d'autre
part
ce qui
engendre
le
sujet
comme
,
à
savoir
une
phrase.
Le
sujet
est mis en
acte
dans la
psychanalyse.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il n'y a pas
d'opération
intéressant
comme telle les
signifiants
qui
n'implique
la
présence
du
sujet.
La
détermination
du
sujet
se
fonde
sur une
liaison
de
signifiant
à
signifiant.
Dans la
psychanalyse
il y a quelque
part,
quelque
chose
qui
joue
fonction
de
sujet
supposé
savoir.
*
Le
sujet,
comme tel, est déjà
déterminé
et
inscrit
dans le
monde
comme
causé
par un
certain
effet
de
signifiant.
*
Le
transfert
s'installe
en
fonction
du
sujet
supposé
savoir.
Du
fait
de son
entrée
en
analyse,
l'analysant
fait
référence
à un
sujet
supposé
savoir
mieux que les
autres.
L'analysant
n'identifie
pas son
analyste
au
sujet
supposé
savoir.
L'analyse
du
transfert
ne
peut
être que
l'élimination
du
sujet
supposé
savoir.
Il n'y a pas pour
l'analyse
ni pour
l'analyste,
nulle
part,
de
sujet
supposé
savoir.
Dans le
passage
à
l'acte,
le
sujet
retrouve
sa
présence
en tant que
renouvelée.
Le
sujet
est
déterminé
par
deux
signifiants.
Le
sujet
est
déterminé
par un
signifiant
le
représentant
pour un
autre
signifiant.
L'objet
commande
le
sujet.
*
Aucun
sujet
n'est
supposable
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 18]
Le
sujet
supposé
savoir
est le
pivot
d'où
s'articule
tout
ce qu'il en est du
transfert.
[
Lac68e
, p. 19]
Le
sujet
supposé
savoir
est
supposé
par un
autre
sujet.
[
Lac68e
, p. 19]
Un
sujet
ne
suppose
rien,
il est
supposé
par le
signifiant
qui le
représente
pour un
autre
signifiant.
[
Lac68e
, p. 19]
Le
supposé
par le
sujet
s'écrit avec la
formule:
est le
signifiant
du
transfert;
représente
le
sujet;
les
éléments
entre
parenthèses
représentent
le
savoir,
supposé
présent,
des
signifiants
dans
l'inconscient.
[
Lac68e
, p. 19]
*
Le
sujet
supposé
savoir
n'est pas
réel.
[
Lac68e
, p. 20]
Dans
l'acte
analytique,
l'objet
est actif et le
sujet
subverti.
[
Lac68d
, p. 34]
L'inconscient
a pour
fonction
d'effacer
le
sujet.
[
Lac68d
, p. 35]
L'inconscient
représente
la
représentation
qu'a le
sujet,
là où elle
manque,
là où
manque
le
sujet.
[
Lac68d
, p. 36]
La
position
du
psychanalyste
est
suspendue
à un
rapport
béant,
à la
méprise
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac68d
, p. 39]
Dans la
structure
de la
méprise
du
sujet
supposé
savoir,
le
psychanalyste
doit
trouver
la
certitude
de son
acte,
et la
béance
qui
fait
sa
loi.
[
Lac68d
, p. 40]
La
réalité
est
commandée
par le
fantasme,
en tant que le
sujet
s'y
réalise
dans sa
division
même.
[
Lac68a
, p. 58]
La
réalité
psychique
est celle du
sujet
divisé.
[
Lac68a
, p. 59]
Le
désir
du
sujet
est le
désir
de
l'Autre.
[
Lac70b
, p. 14]
*
La
division
du
sujet
se
symbolise
du
.
[
Lac70b
, p. 26]
Le
langage
fait
le
sujet.
Un
signifiant,
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
signifiant
est
antérieur
au
sujet.
*
Il y a du
sujet
seulement
et
uniquement
après qu'il y
ait
eu du
signifiant.
Le
signifiant
est
primordial
au
sujet.
L'objet
c'est la
formule
générale
de ce qui
manifeste
la
division
du
sujet.
c'est le
sujet
en tant que
divisé,
dans un
certain
rapport
à
l'objet
.
Le
désir
est
fonction
du
sujet.
Le
sujet
est
désigné
comme
effet
du
signifiant.
Là où
c'était,
le
sujet
doit
advenir.
Le
sujet
dépend
de la
cause
qui le
fait
divisé,
l'objet
.
Le
sujet
est
conséquence
de la
perte
de
l'objet
.
Le
transfert
se
rapporte
au
sujet
supposé
savoir.
*
Le
terme
de
l'analyse
consiste
dans la
chute
du
sujet
supposé
savoir.
Le
terme
de
l'analyse
consiste
en sa
réduction
à
l'avènement
de
l'objet
comme
cause
de la
division
du
sujet
qui
vient
à sa
place.
Dans
l'inconscient
il y a un
savoir
sans
sujet.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
n'implique
point de
sujet.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il n'est
plus
ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
présent
dans
l'inconscient
est
refoulé
en ceci qu'il
s'articule
à un
autre
signifiant
sans
y
représenter
un
sujet.
L'objet
est la
réalisation
de cette
sorte
de
désêtre
qui frappe le
sujet
supposé
savoir
au
terme
de
l'analyse.
La
tâche
à laquelle
l'acte
psychanalytique
donne
son
statut
est une
tâche
qui
implique
déjà en elle-même la
destitution
du
sujet.
Avec la
castration,
le
sujet
ne se
réalise
exactement
qu'en tant que
manque,
cette
expérience
subjective
est
symbolisée
par
.
L'analyste
sait
qu'il n'est pas le
sujet
supposé
savoir.
À la
fin
de
l'analyse,
l'analyste
est rejoint par le
désêtre
que
subit
le
sujet
supposé
savoir.
Il y a déjà
savoir
du
désêtre
du
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est la
position
nécessaire
de
départ
de la
passe
de
l'analysant
à
l'analyste.
Par le
désêtre
du
sujet
supposé
savoir,
le
sujet
devient
à
n'être
que le
support
de
l'objet
.
En
instaurant
l'acte
psychanalytique,
le
psychanalyste
donne
sa
garantie
au
transfert,
c'est-à-dire au
sujet
supposé
savoir.
Le
psychanalyste
doit
savoir
ce qu'il en est du
sujet
supposé
savoir.
L'opération
psychanalytique
doit
réduire
le
sujet
supposé
savoir
à la
fonction
de
l'objet
.
Le
sujet,
c'est ce qu'un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant.
C'est avec
l'introduction
du
sujet
que se
situe
la bipartition de
l'universel
et du
particulier.
*
La
distinction
de
l'universel
et du
particulier
est le
lien
de
l'universel
au
terme
du
sujet.
5
.
507
Le
sujet
est
essentiellement
ce quelque
chose
qui n'est que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
peut
fonctionner
comme
n'étant
pas.
Le
sujet
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
Un
sujet
se
définit
comme
effet
de
discours
en ceci qu'il
peut
n'être
représenté
que par son
absence.
Il y a
inégalité
du
sujet
à
toute
subjectivation
possible
de sa
réalité
sexuelle.
La
tâche
psychanalysante
comporte
de la
foi
au
sujet
supposé
savoir.
L'existence
de
l'inconscient
consiste
à
rayer
la
fonction
du
sujet
supposé
savoir.
L'acte
psychanalytique
est un
acte
de
foi
dans le
sujet
supposé
savoir.
Le
psychanalysant
est
sujet
mais pas
tout
sujet,
d'être
divisé.
La
logique
a pour
fin
de
résorber
le
problème
du
sujet
supposé
savoir.
Le
professeur
ne remet
jamais
en
question
le
sujet
supposé
savoir,
puisqu'il est son
représentant.
Le ne
explétif
introduit
le
sujet
de
l'énonciation.
Le
sujet
en tant qu'il
parle
est
divisé.
Le
sujet
de
l'énonciation
est
distinct
du
sujet
de
l'énoncé.
Le
sujet
qui est
l'effet
du
signifiant,
ne
s'institue
que comme
divisé
et d'une
façon
irréductible.
*
En
tout
acte,
il y a quelque
chose
qui, comme
sujet,
lui échappe.
Le
sujet
ne
s'institue
que
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
L'effet
de
sujet
est un
effet
de
division.
*
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
ne
peut
être
tout
ce qui
représente
le
sujet.
Tout
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Il y a un
sujet
supposé
savoir.
*
Le
langage
n'est pas du
tout
acte
du
sujet.
Le
discours
peut
parfois
être
acte
du
sujet.
Le
sujet,
d'être
second
par
rapport
au
savoir,
ne
dit
pas
tout
ce qu'il
sait.
Le
sujet
ne
sait
pas
tout
ce qu'il
dit.
La
vérité
gît
au
point
où le
sujet
refuse
de
savoir.
*
Le
symptôme,
c'est ce
nœud
réel
où est la
vérité
du
sujet.
*
Ce n'est qu'au
niveau
de
l'Autre
que, ce qui
détermine
le
sujet
s'articule
en
savoir.
*
Le
sujet
ne
sait
pas ce qu'il
demande.
*
Le
discours
détient les
moyens
de
jouir
en tant qu'ils
impliquent
le
sujet.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Un
sujet
c'est ce qui
peut
être
représenté
par un
signifiant
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est
causé
par le
rapport
inter-signifiant.
Le
sujet
est tel qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
signifiant
représentant
un
sujet
pour un
autre
signifiant
est ce qui
représente
le
savoir.
Le
savoir
se
présente
comme ce
terme
où
vient
s'éteindre
le
sujet,
l'
Urverdrängung
.
Le
signifiant
est le
rapport
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant
qui
représente
le
sujet
.
*
Le
signifiant
ne
représente
le
sujet
que pour un
autre
signifiant.
C'est au
lieu
de
l'Autre
qu'est appendue la
possibilité
du
sujet
en tant qu'il se
formule
comme
lieu
de la
vérité.
*
L'Autre
ne
donne
que
l'étoffe
du
sujet,
soit sa
topologie.
*
Il n'y a de
sujet
que d'un
dire.
Là où le
sujet
ne se
repère
que
d'être
effet
du
signifiant
est un des
champs
du
sujet.
Là où il y a
pathos
du
signifiant
sans
aucun
arrimage
encore
fait
dans le
discours
du
sujet
est un des
champs
du
sujet.
Le
sujet
est le
sous-ensemble
de
tous
les
signifiants.
Le
sujet
dans le
discours
ne se
produit
jamais
que
divisé.
*
Le
signifiant
c'est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
grammatical
n'est que la
place
où quelque
chose
vient
à se
représenter.
Une
subversion
se
produit
dans le
sujet
du
savoir.
[
Lac84b
, p. 8]
Les
quatre
concepts
qui
produisent
une
subversion
du
sujet
sont
l'inconscient,
la
répétition,
le
transfert
et la
pulsion.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
sujet
cartésien
se
distingue
du
sujet
de la
connaissance
comme
sujet
de la
certitude.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
sujet
cartésien
est un
préalable
de
l'action
psychanalytique.
[
Lac84b
, p. 8]
Un
objet
perdu
est la
cause
de la
position
du
sujet
que
subordonne
le
fantasme.
[
Lac84b
, p. 8]
Le
grand
Autre
est
constituant
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 9]
L'être
du
sujet
est
refendu.
[
Lac84b
, p. 9]
Le
cogito
fonde
la
refente
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 9]
L'être
du
sujet
est la
suture
d'un
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
sujet
se
refend
d'être
à la
fois
effet
de la
marque
et
support
de son
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 10]
*
Le
sujet
est ce qui
répond
à la
marque
par ce dont elle
manque.
[
Lac84b
, p. 10]
La
puissance
des
mathématiques
ne
repose
que sur la
suture
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 10]
Dans le
cogito
,
il s'agit du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac84b
, p. 14]
Le “
je
ne
suis
pas ” du
sujet
a sa
substance
dans
l'inconscient.
[
Lac84b
, p. 14]
la
castration
est une
incarnation
du
sujet.
[
Lac84b
, p. 14]
Le
sujet
n'est
qu'effet
de
langage.
[
Lac84b
, p. 14]
Dans
l'
acting-out
,
ce qui
dit
n'est pas
sujet,
mais
vérité.
[
Lac84b
, p. 15]
*
Il n'y a pas
d'autre
mode
d'entrée
pour le
sujet
dans le
réel
que le
fantasme.
[
Lac84b
, p. 16]
Le
fantasme
tient,
pour le
sujet,
la
place
du
réel.
[
Lac84b
, p. 16]
L'acte
porte
sur un
dire
dont il
change
le
sujet.
[
Lac84b
, p. 18]
L'acte
psychanalytique
destitue, en sa
fin,
le
sujet
même
qui
l'instaure.
[
Lac84b
, p. 18]
Il y a de
l'inconscient
veut
dire
qu'il y a du
savoir
sans
sujet.
[
Lac84b
, p. 19]
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac84b
, p. 20]
La
topologie
de la
jouissance
est la
topologie
du
sujet.
Tous les
problèmes
de la
jouissance
sont
essentiellement
liés
à la
division
du
sujet.
*
Le
sujet
fait
la
structure
de la
jouissance.
La
Spaltung
est la
division
originelle
du
sujet.
*
Le
sujet
du
savoir
est
posé
comme se
sachant
lui-même.
Le
signifiant
est
représentant
du
sujet
pour un
signifiant
qui est
autre.
Ce qui
représente
le
sujet
ne
peut
se poser que comme
d'avant
l'Autre.
L'objet
est
purement
dans le
rapport
instauré de
l'institution
du
sujet
comme
effet
de
signifiant.
*
Le
sujet
supposé
savoir
c'est
Dieu.
L'incidence
du
sujet
est
première
dans la
pratique
psychanalytique.
*
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
rapport
premier
du
signifiant
qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant
se note
c'est le
sujet
lui-même en tant qu'il ne
peut
être
représenté
que par un
représentant.
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'il
efface
ses
traces.
Ce qui
définit
le
sujet
c'est qu'un
signifiant
le
représente
pour un
autre
signifiant.
*
La
pudeur
est une
dimension
seulement
propre
au
sujet
comme tel.
Le
sujet
est
insaisissable
de ne
pouvoir
qu'être
représenté
par un
représentant.
Le
sujet
subsiste
de
s'inscrire
dans le
champ
de
l'Autre.
Il y a une
distinction
structurelle
complète
entre
un
sujet
et une
personne.
*
Au
niveau
du
sujet,
il n'y a point de
reconnaissance
comme telle du
mâle
par la
femelle
ni de la
femelle
par le
mâle.
*
Il n'y a pas de
sujet
de la
jouissance
sexuelle.
La
vérité
de
l'interprétation
analytique
est du
côté
du
désir,
c'est-à-dire de la
division
du
sujet.
Le
psychanalyste
est celui qui se
trouve
prendre
à sa charge le
support
du
sujet
supposé
savoir.
Le
psychanalyste
invite le
sujet
névrosé
à la
rencontre
d'un
sujet
supposé
savoir.
*
Le
transfert
se
définit
du
rapport
au
sujet
supposé
savoir
en tant qu'il est
structural
et
lié
au
lieu
de
l'Autre.
*
Pour le
névrosé,
le
savoir
est la
jouissance
du
sujet
supposé
savoir.
La
sublimation
est le
propre
de ceci qui
sait
faire
le
tour
de ce à quoi se
réduit
le
sujet
supposé
savoir.
Le
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant
,
L'Autre
sait,
seulement
il n'est pas un
sujet.
Un
signifiant
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
L'intervention
du
premier
Un
du
comme
représentation
du
sujet,
n'implique
l'apparition
du
sujet
comme tel qu'au
niveau
de
du
second
Un.
Le
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Le
névrosé,
noté
veut
dire
que le
sujet
est
toujours
Autre,
mais qu'en
plus
cet
Autre
n'est pas le
bon.
Le
signifiant
fonctionne
comme
représentant
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
désigne
le
sujet
comme
divisé.
Le
discours
du
maître
indique
le
signifiant
qui
représente
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
La
psychanalyse
est
fonction
de
l'ordre
du
sujet.
[
Lac70a
, p. 49]
Le
sujet
dépend
de
l'objet.
[
Lac70a
, p. 49]
L'objet
refend
le
sujet.
[
Lac70a
, p. 49]
Un
signifiant
représente
pour un
autre
signifiant
rien
d'autre qu'un
sujet.
Le
signifiant
s'articule
de
représenter
un
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
La
jouissance
s'introduit
dans la
dimension
de
l'être
du
sujet.
L'analyste,
c'est lui qui est
institué
comme
sujet
supposé
savoir.
*
Le
message
du
sujet,
il le
reçoit
de
l'Autre
sous sa
forme
inversée.
La
faille
qui
s'appelle
le
sujet,
c'est
l'ouverture
à
situer
entre
et
.
Un
signifiant
passe
en
position
de
signifiant
maître,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
discours
du
maître
commence
avec la
prédominance
du
sujet
en tant qu'il tend à
être
identique
à son
propre
signifiant.
Dans le
discours
du
maître,
le
sujet
se
trouve
lié,
avec
toutes
ses
illusions,
au
signifiant
maître,
alors que
l'insertion
de la
jouissance
est le
fait
du
savoir.
*
Le
sujet
n'est pas
univoque.
Le
discours
du
maître
masque
la
division
du
sujet.
La
division
du
sujet,
c'est que, où il n'est pas, il
pense,
et là où il ne
pense
pas, il est.
*
C'est du
discours
que
dépend
toute
détermination
du
sujet,
donc de
pensée.
Dans le
discours
de
l'analyste,
marque
l'impossibilité
pour le
sujet
de sa
position
de
représenter
l'agent,
la
cause
du
désir.
*
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet
est
d'origine
marqué
de
division.
[
Lac70d
, p. 57]
*
La
science,
de
faire
le
sujet
maître,
le
dérobe.
[
Lac70d
, p. 63]
Le
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
[
Lac70d
, p. 65]
Le
signifiant
ne
représente
pas pour un
autre
sujet.
[
Lac70d
, p. 65]
*
Pour le
sujet,
l'inconscient,
c'est ce qui
réunit
en lui les
conditions,
ou il n'est pas, ou il ne
pense
pas. [
Lac70d
, p. 69]
La
métonymie,
joue
de la
jouissance
où le
sujet
se
produit
comme
coupure.
[
Lac70d
, p. 70]
L'inconscient
fait
sujet
de la
négation.
[
Lac70d
, p. 78]
Être
fait
sujet
d'un
discours
peut
rendre
l'être
humain
sujet
au
savoir.
[
Lac70d
, p. 85]
*
L'hystérique,
c'est le
sujet
divisé.
[
Lac70d
, p. 89]
*
La
science
est une
idéologie
de la
suppression
du
sujet.
[
Lac70d
, p. 89]
Le
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
où le
sujet
n'est pas.
Le
sujet
étant
représenté
là où il n'est pas, il se
trouve
ainsi
divisé.
Le
sujet
n'apparaît
qu'une
fois
instaurée quelque part une
liaison
de
signifiants.
Le
discours
de
l'hystérique
existe
quand le
sujet
est en
place
de
l'agent
dans sa
division
fondatrice
de
l'inconscient.
cf:
18.2.1
Le
du
sujet
est le
point
qui, dans le
discours
du
maître,
est
rompu.
*
La
parole
s'efforce
de
réduire
la
femme
à la
sujétion.
*
C'est de
l'effacement
du
trait,
que se
désigne
le
sujet.
*
Le
sujet
est
divisé
par le
langage.
*
Le “toute femme” est
l'énonciation
dont se décide
l'hystérique
comme
sujet.
C'est de la
conjonction
du
trait
premier
et de ce qui
l'efface,
que le
ruissellement
se
fait
sujet.
[
Lac71a
, p. 7]
Le
sujet
est
divisé
par le
langage.
[
Lac71a
, p. 9]
Un
signe
est
toujours
le
signe
d'un
sujet.
L'analyste
est
sujet
supposé
savoir.
La
fonction
de
sujet
supposé
savoir
fonde
les
phénomènes
de
transfert.
L'objet
c'est un
objet,
seulement
en ce
sens
qu'il se
substitue
définitivement à
toute
notion
de
l'objet
comme
supporté
par un
sujet.
Le
sujet
s'écrit
car il n'est
jamais
que
supposé.
Un
signifiant
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant,
noté
objet
.
Le
fantasme
est ce
rapport
entre
l'objet
et la
fente
qui se
condense,
le
sujet.
Le
sujet
est
toujours
béant.
*
Le
est la
cause
de la
Spaltung
du
sujet.
est le
sujet.
cf:
18.2.1
*
Le
sujet
n'est pas celui qui
pense.
*
Le
corps
des
parlants
est
sujet
à se
diviser
de ses
organes.
[
Lac73a
, p. 12]
a pour
sens
que
tout
sujet,
en tant que tel,
s'inscrit
dans la
fonction
phallique
pour
parer
à
l'absence
du
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 15]
Dans les
asphères,
la
coupure
fermée,
qui est le
dit,
elle
fait
sujet.
[
Lac73a
, p. 29]
*
L'analyse
se
fonde
du
sujet
supposé
savoir.
[
Lac73a
, p. 33]
*
Un
tore
n'a de
trou,
central
ou
circulaire,
que pour qui le
regarde
en
objet,
non
pour qui en est le
sujet.
[
Lac73a
, p. 42]
Un
n'est que le
savoir
supérieur au
sujet.
[
Lac75f
, p. 8]
Deux
symbolise
dans la
langue
le
sujet
supposé
du
savoir.
[
Lac75f
, p. 8]
Le
prolétaire
est le
sujet
du
discours
du
capitaliste.
Ce qui
distingue
le
discours
du
capitaliste
c'est que le
sujet
est le
prolétaire.
L'objet
est
déterminé
comme
sujet,
car
divisé
comme
sujet,
il est la proie du
désir.
*
La
femme,
au
regard
de la
fonction
phallique
ne se
situe
que du pas
toute
à y
être
sujette.
*
C'est dans la
mesure
où elle converge vers un
signifiant,
qui en
émerge,
que la
névrose
va
s'ordonner
selon le
discours
dont les
effets
ont
produit
le
sujet.
*
L'universalité
des
hommes
est
sujette
à la
castration.
est le
sujet
pour autant qu'il n'est
rien
d'autre
que
l'effet
du
signifiant.
Le
sujet
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
L'ensemble
n'est
rien
d'autre
que le
sujet
et donc ne
saurait
se manier
sans
l'addition
de
l'ensemble
vide.
Le
signifiant
se
caractérise,
de
représenter
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
Le
sujet,
ce n'est
rien
d'autre
que ce qui
glisse
dans une
chaîne
de
signifiants.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que
l'effet
intermédiaire
entre
ce qui
caractérise
un
signifiant
et un
autre
signifiant.
Dans
l'amour,
ce qui est
visé,
c'est le
sujet.
Le
transfert
fait
le
sujet
supposé
savoir.
,
le
sujet
barré
n'a
jamais
affaire, en tant que
partenaire
sexuel,
qui est
l'Autre,
qu'à
l'objet
.
cf:
20.8.1
*
Dans
l'Autre,
ça
sait
parce que
ça
se
supporte
des
signifiants
dont se
constitue
le
sujet.
L'animal
parlant,
d'habiter
le
signifiant,
il
résulte
qu'il en est
sujet.
le
sujet
a affaire à la
discordance
entre
savoir
et
être.
Je
est le
sujet
de
toute
phrase
de
demande.
La
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet
est
totale.
Pour
tout
être
parlant,
la
cause
du
désir
est
strictement
équivalente
à sa
division
du
sujet.
*
L'Autre
ne se
présente,
pour le
sujet,
que sous une
forme
a-sexuée
.
L'objet
est la
cause
par quoi le
sujet
s'identifie
à son
désir.
L'individu
qui est
affecté
de
l'inconscient,
c'est le
même
qui
fait
le
sujet
d'un
signifiant.
Le
signifiant
fait
le
support
formel
d'un
sujet
en tant que
signifiant.
*
Le
sujet
n'est
jamais
que
ponctuel
et
évanouissant.
Le
sujet
n'est
sujet
que par un
signifiant
et pour un
autre
signifiant.
Le
est ce qui assure
l'unité
de la
copulation
du
sujet
avec le
savoir.
*
Le
transfert,
c'est le
sujet
supposé
savoir
qui le
motive.
*
L'inconscient
c'est un
savoir
dont le
sujet
peut
se
déchiffrer.
*
Le
sujet
naît
inclus
dans le
langage.
Le
sujet
est
déterminé
dans son
inconscient,
par le
désir
de
l'Autre.
*
Le
sujet
de
l'inconscient
ne touche à
l'âme
que par le
corps.
[
Lac74b
, p. 16]
Le
transfert
fonctionne
avec le
sujet
supposé
savoir.
[
Lac74b
, p. 49]
*
La
vérité
du
maître,
ça n'est
rien
d'autre
que le
sujet.
*
Le
sujet
c'est ce dont
est la
cause.
L'analyste
est le
sujet
supposé
savoir.
Ce qui nous
possède
comme
sujet
c'est le
désir
de
l'Autre.
L'écrit
c'est le
savoir
supposé
sujet.
Le
transfert
révèle
la
vérité
de
l'amour
du
sujet
supposé
savoir.
La
métaphysique
suppose
un
sujet.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
*
Un
signifiant
est ce qui
représente
un
sujet
pour un
autre
signifiant.
*
Le
savoir
ça n'a pas de
sujet.
*
Le
sujet
est
su.
La
condition
du
sujet
c'est de
n'être
que
supposable.
*
L'inconscient
est ce qui de
parler
détermine
le
sujet
en tant
qu'être.
*
Le
sujet
est
causé
d'un
objet
qui n'est
notable
que d'une
écriture.
Le
sujet
se
conditionne
de ce qui, dans le
nœud
détermine
des
points
triples
du
fait
du
serrage
du
nœud.
Le
symbole
indiquant
qu'il est
couple,
introduit
la
division
dans le
sujet.
La
vérité
est, dans le
discours
du
maître,
comme
supposée
dans le
sujet.
Le
sujet,
en tant que
divisé,
est
sujet
au
fantasme.
La
division
du
symbole
et du
symptôme
est
reflétée
dans le
sujet.
*
Le
sujet
c'est ce qu'un
signifiant
représente
auprès d'un
autre
signifiant.
Tout
sujet
n'est
toujours
qu'une
supposition.
Le
sujet
est
toujours
divisé.
La
science
fait
d'un
objet
un
sujet,
alors que le
sujet
est lui-même
divisé.
*
Le
sujet
n'est
jamais
que
supposé.
s'appelle
sujet.
est ce par quoi se
représente
le
sujet:
une
parole,
le
parlêtre.
C'est en tant que
l'analyste
est un
semblant
de
déchet
,
qu'il
intervient
au
niveau
du
sujet
;
c'est à
dire
qu'il est
conditionné
par ce qu'il
énonce
et par ce qu'il ne
dit
pas.
représente
un
sujet,
vraiment.
Le
sujet
réside
dans cette
division
même
d'un
signifiant
à un
autre
signifiant.
*
Un
sujet
est un
signifiant
en tant qu'il est
représenté
auprès d'un
autre
signifiant.
Un
signifiant
représente
le
sujet
auprès d'un
autre
signifiant.
Un
signifiant
c'est ce qui
représente
le
sujet
pour un
autre
signifiant.
Dans le
cas
de
l'impératif,
c'est celui qui
écoute
qui
devient
sujet.
Le
transfert
positif
se
définit
sous le
nom
de
sujet
supposé
savoir.
Le
sujet,
d'essence,
est
barré.
Le
sujet
se
supporte
en tant que
divisé
entre
et
.
[
Lac78
]
Il faut
être
un
sujet
pour
faire
usage
du
langage.
[
Lac77a
, p. 13]
Le
sujet
ne
peut
être
pensé,
si ce n'est comme
structuré
par le
langage.
[
Lac77a
, pp. 13–14]
Ce qui est comme
sujet,
c'est ce qui
pense
: donc
je
suis.
[
Lac77a
, p. 14]
Il
arrive
que
ça
pense,
là où il est
impossible
que le
sujet
articule
“ donc
je
suis
”. [
Lac77a
, p. 14]
Dans
tout
énoncé,
le
sujet
de
l'énonciation
est
séparé
de
l'être
par une
barre.
[
Lac77a
, p. 14]
La
logique
du
sujet
est une
logique
étirable. [
Lac77a
, p. 15]
*
Un
sujet
est
toujours
supposé.
[
Lac78
]
Il n'y a pas de
sujet,
il n'y a que le
supposé
savoir.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08