Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.6 F
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formation
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formel
Index:
Index
forme
*
Rien
ne
sépare
le
moi
de ses
formes
idéales,
Ich-Ideal
.
[
Lac66a
, p. 179]
L'
imago
est la
forme
définissable
dans
l'imaginaire
qui a pour
fonction
de
réaliser
l'identification
résolutive
d'une
phase
psychique.
[
Lac66a
, p. 188]
L'assomption
jubilatoire
de son
image
spéculaire,
par
l'être
infans
,
manifeste
la
matrice
symbolique,
où le
je
se précipite en une
forme
primordiale.
[
Lac66a
, p. 94]
Le
langage
humain
constitue
une
communication
où
l'émetteur
reçoit
du
récepteur
son
propre
message
sous
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 298]
L'
ego
est
formé
d'un
nucléus
verbal.
[
Lac66a
, p. 303]
*
Ce qui n'est pas
reconnu,
fait
irruption
dans la
conscience
sous
forme
du
vu.
La
parole
pleine
vise,
forme
cette
vérité
s'établissant dans la
reconnaissance
de l'un par
l'autre.
L'image
réfléchie
de
soi-même
est l'
Ur-Ich
, la
forme
originale
de
l'
Ich-Ideal
.
L'amour
est une
forme
de
suicide.
La
constitution
de
l'
Ideal-Ich
est la
forme
essentiellement
imaginaire,
spéculaire,
de la
genèse,
de
l'origine
fondamentalement
imaginaire
du
moi.
La
perpétuelle
réversion du
désir
à la
forme,
et la
forme
du
désir,
est le
mécanisme
fondamental
autour de quoi
tourne
tout
ce qui se
rapporte
à
l'ego.
Le
masochisme
fondamental
se
situe,
dans sa
forme
structurante,
fondamentale,
non
déviée,
au
point
de
jonction
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
*
Dès que se
forme
un
système
symbolique
quelconque, il est déjà de
droit
universel
comme tel.
Le
moi
n'est qu'une des
apparences,
une des
formes
incomplètes,
une
forme
erronée
du
je.
Au plus près de
l'élan
biologique,
le
désir
a
tendance
à se
manifester
sous une
forme
hallucinatoire.
iS
c'est mettre le
symbole
sous
forme
d'image.
iS
c'est mettre le
discours
symbolique
sous la
forme
figurative
du
rêve.
Le
symptôme
est
vérité
mise en
forme
en tant que
vérité.
Le
moi
est une des
formes
de la
fonction
imaginaire
du
vivant.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre,
sous une
forme
inversée.
L'aliénation
est une
forme
générale
de
l'imaginaire.
*
Le
sujet
reçoit
son
message
de
l'autre
sous une
forme
inversée.
*
Le
moi
se
forme
des
mêmes
moments
qu'un
symptôme.
[
Lac66a
, p. 336]
*
Le
mécanisme
imaginaire
est ce qui
donne
sa
forme
à
l'aliénation
psychotique,
mais
non
sa
dynamique.
C'est au
niveau
du
désir
sexuel
que
s'introduit
pour la
première
fois
et sous
toutes
ses
formes,
la
loi.
Le
signifiant
est le
symbolique
en tant qu'il
donne
une
forme
dans laquelle
peut
s'insérer
le
sujet
au
niveau
de
l'être.
La
mémoire
n'est pas
simple,
elle est
plurale,
multiple,
et
enregistrée
sous diverses
formes.
Dans la
forme
normale,
la
réalisation
symbolique
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
conflit
imaginaire.
Dans la
forme
névrotique,
la
réalisation
imaginaire
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
exercice
symbolique
de la
conduite.
L'altérité
en
miroir
fait
dépendre
l'humain
de la
forme
du
semblable.
Le
tu
dans sa
forme
verbalisée,
dans sa
forme
signifiante,
ne se
confond
ni ne
recouvre
le
grand
Autre.
Le
je
n'est
jamais
là où il
apparaît
sous la
forme
d'un
signifiant
particulier.
Le
sujet
reçoit
de
l'Autre
son
propre
message
sous la
forme
d'une
parole
inconsciente.
La
satisfaction
du
principe
du
plaisir
tend à se
réaliser
dans une
forme
plus
ou
moins
hallucinée.
La
libido
sous la
forme
active
est
toujours
plutôt
parente
de la
position
masculine.
De par sa
nature
de
parole,
un
message
est
reçu
de
l'Autre
sous
forme
inversée.
Les
trois
temps
de la
subjectivité
sont,
d'abord
la
frustration
au
sens
du
manque
d'objet,
puis la
réponse
à la
frustration
en tant
qu'impossible
à
satisfaire,
enfin
l'introduction
de la
loi
sous
forme
toujours
latente.
La
structure
de la
parole
implique
dans
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
*
C'est pour autant qu'elle
joue
dans le
sujet
sous la
forme
d'une
action
portant
sur un
objet
imaginaire,
que la
castration
entre
en
jeu.
La
perception
de la
structure
de
parole
est la
première
forme
de la
conception
du
surmoi.
*
La
névrose
est une
sorte
de
question
formée
pour le
sujet
lui-même, mais
organisée,
structurée,
comme
question.
La
fonction
imaginaire
du
père
se
présente
chez
l'enfant
sous la
forme
d'une
sorte
d'antagonisme
imaginaire.
Les
rapports
de
l'homme
au
langage
se font sous une
forme
aveugle
fermée.
Le
symptôme
se
présente
sous un
masque,
sous une
forme
paradoxale.
Le
phallus
est ce qui
représente
le
désir
dans sa
forme
la
plus
manifeste.
Le
premier
type
d'identification
est la
forme
la
plus
originelle
du
lien
de
sentiment
à un
objet
5
.
196
.
C'est sur la
ligne
de la
suggestion
dans le
graphe
5.24.1
que se
fait
l'identification
sous sa
forme
primaire.
la
première
forme
d'identification,
le
premier
lien
à
l'objet,
est
l'identification
à la
mère.
La
deuxième
forme
d'identification
est
l'identification
à
l'objet
aimé.
Concilier
l'imaginaire
avec le
symbolique
est une
forme
de dévoiement, de
perversion,
de
déviation,
voire de
délire.
Le
moi
est ce qui se
reflète
de la
forme
du
sujet
dans ses
objets.
[
Lac66a
, p. 549]
L'idéal-du-moi
se
forme
par l'adoption
inconsciente
de
l'image
de
l'Autre
en tant qu'il a la
jouissance
de ce
désir
[
Lac66a
, p. 752]
L'idéal-du-moi
se
forme
avec le
refoulement
d'un
désir
du
sujet.
[
Lac66a
, p. 752]
*
L'inconscient
se
présentifie
sous la
forme
du
discours
de
l'Autre.
Le
sujet
apparaît
dans les
trois
formes
castration,
frustration,
privation,
trois
formes
aliénées.
La
mère
donne
dans
l'Autre
la
première
forme
de
l'omnipotence.
La
métaphore
paternelle
instaure
chez le
sujet,
sous la
forme
du
phallus,
une
dissociation,
ou bien le
sujet
ne
l'est
pas, ou bien il ne
l'a
pas.
est la
formule
de la
seconde
identification
imaginaire
du
sujet
à sa
forme
spéculaire.
*
Le
pervers
est
identifié
à la
forme
imaginaire
du
phallus.
La
Verneinung
représente
la
forme
inversée
d'un
certain
point
de
vue
de la
Verdrängung
.
est la
symbolisation
du
fantasme
qui est la
forme
sous laquelle
s'appuie
le
désir
du
sujet.
L'amour
courtois
est une
forme
exemplaire de
sublimation
très
proche
de
l'art.
Toutes
les
formes
de la
Chose
représentées
par
l'homme
sont du
registre
de la
sublimation.
*
Dans
l'art
il y a une
forme
d'une
Verdrängung
,
un
refoulement
de la
Chose.
*
Le
principe
du
plaisir
tend au
réinvestissement
de la
représentation
et
donne
aux
Vorstellungen
une
forme
satisfaisante.
*
La
transgression
dans le
sens
de la
jouissance
ne
s'accomplit
qu'à s'appuyer sur le
principe
contraire,
sur les
formes
de la
loi.
Le
désir
se
forme
comme ce qui
supporte
cette
métonymie,
à
savoir
ce que
veut
dire
la
demande
au-delà
de ce qu'elle
formule.
*
La
forme
du
corps
se
présente
comme
l'enveloppe
de
tous
les
fantasmes
du
désir
humain.
La
société
entraîne
par son
effet
de
censure,
la
névrose
qui est une
forme
de
déségrégation.
Le
trait
unaire
aliène
le
sujet
dans
l'identification
première
qui
forme
l'idéal-du-moi.
[
Lac66a
, p. 808]
Le
désir
de
l'homme
trouve
forme
comme
désir
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 813]
Le
désir
est, sous
forme
de
métonymie,
suspendu
à une
chaîne
signifiante.
Le
sujet
conserve une
chaîne
articulée,
hors
de la
conscience,
sous
forme
de
demande.
La
phobie
est
faite
pour
soutenir
le
rapport
du
sujet
au
désir
sous la
forme
de
l'angoisse.
La
demande
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
La
répétition
n'est
rien
d'autre
que la
forme
la
plus
radicale
de
l'expérience
de la
demande.
La
première
forme
d'identification
est
l'identification
au
père.
*
La
forme
,
mon
image,
ma
présence
dans
l'Autre
est
sans
reste.
Il y a
rapport
réciproque
du
désir
à
l'angoisse
sous une
forme
radicalement
masquée.
Tout
ce que le
sujet
reçoit
de
l'Autre
par le
langage,
est qu'il le
reçoit
sous une
forme
vocale.
L'homme
n'est dans la
femme
que par délégation de sa
présence,
sous la
forme
d'un
organe
caduc.
Le
réel
se
présente
d'abord
sous la
forme
de ce qu'il y a en lui
d'inassimilable,
le
trauma.
Le
sujet
est
néantisé
sous une
forme
qui est
l'incarnation
dans
l'image
du
de la
castration
et rend
nécessaire
l'organisation
des
désirs
à travers le cadre des
pulsions
fondamentales.
Le mimétisme se
présente
sous les
formes
de travesti, camouflage et intimidation.
L'objet
petit
a des
formes
multiples.
Dans le
schéma
11.16.2
,
l'intersection
se
situe
dans la
même
lunule
où se
trouve
la
forme
de la
béance
du
bord.
La
psychanalyse
ne touche à la
sexualité
que pour autant, que sous la
forme
de la
pulsion,
elle se
manifeste
dans le
défilé
du
signifiant.
La
fonction
du
transfert
peut
se
topologiser
sous la
forme
d'un
huit
intérieur.
cf:
11.20.1
L'oubli
freudien,
c'est la
forme
la
plus
précise de la
mémoire.
Le
moi
se
forme
des
histoires
successives
des
mois idéaux.
La
première
forme
de
libido
est la
pulsion
orale
par où
s'opère
l'incorporation.
Dans la
seconde
forme
de
l'identification
s'instaure
la
dialectique
de la
demande
et de la
frustration,
à partir du
moment
où
s'introduit
l'objet
d'amour.
Le
sujet
se
pose
d'abord
sous la
forme
du
shifter
.
La
première
forme
de
l'identification
est
l'incorporation.
*
Féminin
est
radicalement
trompeur,
sous
toutes
les
formes
où il se
présente.
Aucun
signifiant
réduit
à sa
forme
minimale de
lettre,
ne
saurait
se
signifier
lui-même.
La
méconnaissance
est une des
formes
de la
négation.
Dans le
langage,
notre
message
nous
vient
de
l'Autre,
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, p. 9]
C'est du
champ
de
l'Autre
que le
sujet
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac66a
, pp. 55–56]
*
Tout
ce qui a simplement
forme
grammaticale,
fait
sens.
L'essence
du
langage
détermine
une
coupure
sous
forme
de
seuil.
L'
acting-out
se
situe
à cette
place
élidée
où quelque
chose
se
manifeste
du
champ
de
l'Autre
éliminé,
mais sous une
forme
de
manifestation
véridique.
Ce que
donne
la
femme
sous la
forme
de ce qu'elle n'a pas est aussi la
cause
de son
désir.
Pour les
analystes
la
vérité
n'a
d'autre
forme
que le
symptôme.
L'être
parlant,
dans son
rapport
au
langage,
reçoit
son
message
sous une
forme
inversée.
Le
désir
se
forme
au
lieu
de
l'Autre.
[
Lac68b
, p. 43]
À se mettre à la
place
de
l'analyste,
celui-ci en
viendra
en
fin
à
être,
sous la
forme
du
,
cet
objet
rejeté.
Le
trait
unaire
est une des
formes
de
l'identification.
Dans le
discours
de
l'hystérique,
la
dominante
apparaît
sous la
forme
du
symptôme.
Dans la
répétition,
et sous la
forme
du
trait
unaire,
le
savoir
se
trouve
être
le
moyen
de la
jouissance.
*
Le
message
du
sujet,
il le
reçoit
de
l'Autre
sous sa
forme
inversée.
Le
corps
est une des
formes
de
l'Un.
*
La
logique
c'est de
repérer
dans la
grammaire
ce qui
prend
forme
de la
position
de
vérité.
La
fonction
de la
parole
c'est
d'être
la
seule
forme
d'action
qui se
pose
comme
vérité.
Le
discours
est une
forme
de
lien
social.
Un
discours,
c'est ce qui
détermine
une
forme
de
lien
social.
Je
vient
se
substituer
à
l'Autre
sous la
forme
de la
cause
du
désir.
*
L'Autre
ne se
présente,
pour le
sujet,
que sous une
forme
a-sexuée
.
La
forme
la
plus
dépourvue de
sens
de ce qui
s'imagine,
c'est la
consistance.
*
L'Un
dialogue
tout
seul,
puisqu'il
reçoit
son
propre
message
sous une
forme
inversée.
*
Aucun
discours
n'est
émis
de quelque part qu'à y
être
retour
du
message
sous une
forme
inversée.
[
Lac77b
, p. 10]
Suivant:
formel
Remonter:
5.6 F
Précédent:
formation
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Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08