Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.5 E
Précédent:
entraînement
Suivant:
entrecroisement
Index:
Index
entre
Il y a
discordance
primordiale
entre
le
moi
et
l'être.
[
Lac66a
, p. 187]
Toute
résolution
de la
discordance
entre
le
moi
et
l'être
mène à
l'agression
suicidaire
narcissique.
[
Lac66a
, p. 187]
*
La
relation
entre
signifiant
et
signifié
est
toute
entière
incluse
dans
l'ordre
du
langage
lui-même qui en
conditionne
intégralement
les deux
termes.
La
parole
est
médiation
entre
le
sujet
et
l'autre.
Aux
niveaux
de la
parole,
dans sa
fonction
de
reconnaissance,
il y a
deux
plans,
le
plan
de la
reconnaissance
de la
parole
en tant qu'elle
lie
entre
les
sujets
ce
pacte
par où les
sujets
eux-mêmes sont
transformés,
sont établis comme
sujets
humains
et
communiquant,
et
l'ordre
du
communiqué.
Les
rapports
entre
l'analysé
et
l'analyste
se
situent
sur le
plan
du
moi
et du
non-moi,
c'est à dire sur le
plan
de
l'économie
narcissique
du
sujet.
Il y a une
distinction
stricte
entre
symbolique
et
imaginaire.
Il y a un
rapport
étroit
entre
la
formation
de
l'objet
et celle du
moi.
Le
super-ego
se
situe
entre
le
moi
et le
ça.
Ce qui
fait
la
différence
entre
le
comportement
humain
et
animal,
c'est que
l'homme
se
sait
comme
corps.
Le
masochisme
fondamental
se
situe,
dans sa
forme
structurante,
fondamentale,
non
déviée,
au
point
de
jonction
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Il y a une
différence
de
niveau
entre
la
libido
qui
fixe
l'objet
à sa
propre
image
et
l'émergence
de cette
libido
prématurée.
*
C'est la
contradiction
dans le
discours
qui est le
départ
entre
la
vérité
et
l'erreur.
La
dénégation
se
situe
entre
l'erreur
et le
mensonge.
La
distinction
entre
sujet
et
individu
est
saisissable
sur le
plan
objectif.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
sujet
de
l'inconscient
et
l'organisation
du
moi.
L'appareil
psychique
est quelque
chose
qui est
entre
le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité.
L'investissement
de
l'ego
est le
critère
distinctif
entre
perception
et
souvenir.
L'analogie
entre
le
symptôme
névrotique
et le
sens
du
rêve
est
fondamentale.
L'investissement
de
l'ego
est le
critère
distinctif
entre
perception
et
souvenir.
*
La
parole
est
toujours
un
médiateur
entre
deux
sujets.
*
La
parole
s'intercale
comme
élément
de
révélation
entre
le
discours
universel
et le
langage.
La
ligne
de
clivage
entre
conscient
et
inconscient
passe
très
exactement
entre
ce qui est
refoulé
et ce qui tend à se
répéter.
Il y a une
modulation
symbolique
entre
ce qui est
refoulé
et ce qui tend à se
répéter.
La
division
ne
passe
pas
entre
inconscient
et
conscient.
La
division
passe
entre
quelque
chose
qui tend à se
répéter
et quelque
chose
qui y
fait
obstacle.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, pour les
sujets
humains
le
rapport
entre
et
passe
toujours
par le
circuit
.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, le
transfert
se
passe
entre
et
pour autant que le
,
en tant qu'il est
représenté
par
l'analyste,
fait
défaut.
Dans la
psychose
le
sujet
ne
peut
rétablir
le
pacte
du
sujet
à
l'Autre,
ne
peut
faire
une
médiation
entre
ce qui est
nouveau,
ce qui
apparaît
et lui-même.
Le
lien
entre
l'ouïr
et le
parler
n'est pas simplement
externe.
L'expérience
analytique
se
satisfait
de se
ranger
dans les
rapports
entre
les
ordres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Le
rapport
entre
la
signification
et le
signifiant
est celui qui est fourni par la
structure
du
discours.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
conscient
5
.
154
et le
préconscient.
5
.
155
Entre
homme
et
femme
une
dissymétrie
essentielle
apparaît
au
niveau
du
signifiant,
au
niveau
du
symbolique.
Dans la
psychose,
une certaine
problématique
s'insère
entre
l'image
du
moi
et une
image
du
grand
Autre
qu'est
l'image
paternelle.
Il y a
point
de
capiton
entre
signifiant
et
signifié.
Son
propre
message
que le
sujet
reçoit
est
interdit,
déformé,
arrêté,
capté,
méconnu
par
l'interposition
de la
relation
imaginaire
entre
et
dans la
figure
2.20.1
du
schéma
L.
La
relation
imaginaire
interrompt,
ralentit,
inhibe,
inverse
et
méconnaît
le
rapport
de
paroles
entre
le
sujet
et
l'Autre.
Il y a une
béance
entre
le
principe
du
plaisir
et le
principe
de
réalité.
Il y a une
opposition
foncière
entre
la
réalité
et ce qui est
cherché
par la
tendance.
La
relation
d'objet
est une
relation
en
miroir
où il y a
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet.
Au
départ,
il n'y a
aucune
espèce
de
distinction
dans la
relation
mère
enfant
idéale,
entre
l'hallucination
surgie
du
sein
maternel
et la
rencontre
de
l'objet
réel
dont il s'agit.
*
La
libido
est ce quelque
chose
qui va
lier
entre
eux le
comportement
des
êtres.
L'auto-érotisme
est le
stade
du
rapport
primitif
entre
l'enfant
et
l'objet
maternel
primordial.
Entre
un
sujet
et
l'objet
extérieur
qui est
l'analyste,
il ne
peut
en
principe
s'établir
que la
relation
pulsionnelle
primitive.
Entre
frustration
et
renonciation,
il y a
toute
la
différence
du
symbolique
au
réel.
[
Lac66a
, pp. 460–461]
La
relation
imaginaire
s'inscrit
dans un
rapport
de
spécularité,
de
réciprocité
entre
le
moi
et
l'autre.
La
symbolique
du
phallus
fait
un
lien
étroit
entre
la
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale.
Il y a une
différence
radicale
entre
le
don
comme
signe
d'amour
et
l'objet
qui
vient
pour la
satisfaction
des
besoins
de
l'enfant.
Le
schéma
de la
figure
4.10.1
décrit les
relations
entre
l'idéal-du-moi,
le
moi,
l'objet
et
l'objet
extérieur.
Le
schéma
de la
figure
4.12.1
indique
les
relations
entre
la
mère,
le
phallus
et
l'Autre.
Il y a un
lien
fondamental
entre
le
père
réel
et la
castration.
La
relation
d'objet
est
destinée
à
instituer
une certaine
relation
stable
entre
les
sexes.
Il y a
béance
entre
la
structuration
du
désir
et la
structuration
des
besoins.
Le sous-graphe
5.7.6
du
graphe
5.2.1
,
montre
la
conjonction
centripète
entre
l'Autre,
trésor
des
métonymies,
et
l'objet
métonymique.
La
métaphore
jaillit
entre
deux
signifiants,
dont l'un s'est
substitué
à
l'autre,
en
prenant
sa
place
dans la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 507]
Le
père
fait
obstacle
entre
l'enfant
et la
mère
en tant que
porteur
de la
loi.
*
Il y a un
rapport
étroit,
intime
entre
le
désir
et la
marque.
Il y a une
Spaltung
essentielle
entre
ce qui est
désir
et ce qui est
masque.
La
Spaltung
est
responsable
de la
béance
entre
le
désir
et la
demande,
de la divergence qui
s'établit
entre
le
désir
et la
demande.
Entre
l'enfant
et
l'Autre,
il n'y a au
départ
qu'une
faible
lisière; mais elle est
marquée
par ce qui se
passe
au
niveau
narcissique.
L'hystérique
est
suspendue
à ce
clivage
nécessaire
entre
la
demande
et le
désir.
Il y a
Spaltung
entre
demande
et
désir.
Les
cas
de transition
entre
l'obsession
et la
psychose
sont extrêmement
rares.
Le
désir
a à s'organiser, a
prendre
sa
place,
entre
l'appel
de la
satisfaction
et la
demande
d'amour.
Il y a
opposition
entre
être
et
avoir.
L'identification
est
régressive
en tant que
l'ambiguïté
reste
permanente
entre
la
ligne
de
transfert
et la
ligne
de
suggestion
dans le
graphe
5.24.1
.
Il
suffit
que le
patient
soit
satisfait
sur le
plan
de la
demande
pour que la
confusion
s'établisse irrémédiablement
entre
le
plan
de la
ligne
de
transfert
et celui de la
ligne
de
suggestion
dans le
graphe
5.24.1
.
Le
désir
s'oppose
à la
confusion
entre
la
ligne
de
transfert
et la
ligne
de
suggestion,
présenté dans le
graphe
5.24.1
.
Le
désir
se
produit
dans la
marge
qui
existe
entre
de la
satisfaction
du
besoin
et de la
demande
d'amour.
La
relation
entre
la
pulsion
et la
chaîne
signifiante
est présentée
figure
6.1.1
Entre
signifiant
et
signifié
il y a la
barre.
Il
existe
une
différence
entre
le
je
de
l'énoncé
et le
je
de
l'énonciation.
Il y a une
distinction
entre
le
je
de
l'énoncé
et le
je
de
l'énonciation.
Le ne
explétif
de la
discordance
est quelque
chose
qui se
situe
entre
le
procès
de
l'énonciation
et le
procès
de
l'énoncé.
Le
registre
synchronique
est
fait
d'oppositions
entre
éléments
irréductibles.
[
Lac66a
, p. 618]
Il n'y a pas,
entre
les
pulsions
qui
habitent
le
ça,
de
contradiction
qui
prenne
effet
de
l'exclusion
logique.
[
Lac66a
, p. 658]
Le
rapport
du
désir
au
fantasme,
dans le
graphe
6.6.1
,
s'exprime
dans le
champ
intermédiaire
entre
les
deux
lignes
structurales
de
toute
énonciation
signifiante.
Dans le
graphe
6.6.1
, le
désir
se
situe
entre
énoncé
et
énonciation,
soit
entre
les
vecteurs
et
.
Dans le
graphe
6.8.1
la
restitution
du
sens
du
fantasme,
,
c'est-à-dire quelque
chose
d'imaginaire
vient
entre
les
lignes
de
l'énoncé
de
l'intention
du
sujet
et celle,
fragmentée
de
l'énonciation
par la
langue.
Le
désir
va se
produire
entre
le
langage
purement
et simplement
quésitif
et le
langage
votif.
Un
fantasme,
est
entre
le
signifiant
de
l'Autre
et le
signifié
de
l'autre
.
Le
désir
du
sujet
est quelque part
intermédiaire
entre
une
pure
et
simple
signification,
et quelque
chose
de
fermé,
d'énigmatique,
,
de
l'ordre
du
signifiant.
Il y a une
division
entre
l'Autre
en tant que
parlant
et
l'autre
en tant
qu'imaginaire.
*
Il y a un
rapport
entre
le
phallus
et le
grand
Autre.
Il y a un
rapport
narcissique
entre
le
moi
et
l'image
de
l'autre
.
Il y a une
articulation
synchronique
entre
le
désir
et son
objet.
Le
fantasme
est le
pont
entre
ce qui est
accessible
à la
conscience
et ce qui ne l'est pas. cf:
6.22.1
.
Le
champ
de la
réalité
est à
situer
entre
et
.
cf:
6.22.1
L'objet
phobique
est là pour
occuper
la
place
entre
le
désir
du
sujet
et le
désir
de
l'Autre.
Le
réel
part
d'une
opposition
première
entre
principe
de
réalité
et
principe
du
plaisir.
C'est
entre
perception
et
conscience
que
vient
s'insérer
ce qui
fonctionne
au
niveau
du
principe
du
plaisir.
Entre
perception
et
conscience,
c'est là où se passent les
processus
de la
pensée.
Il y a
identité
entre
le
façonnement
du
signifiant
et
l'introduction
dans le
réel
d'une
béance,
d'un
trou.
C'est une
conception
d'une
dialectique
inséparable
entre
principe
du
plaisir
et
principe
de
réalité.
La
plus
forte
coupure
dans le
discours
est la
barre
entre
signifiant
et
signifié.
[
Lac66a
, p. 801]
Par la
dimension
qu'il
constitue,
l'Autre
permet
de
distinguer
entre
tromperie
de la
parole
et
feinte.
[
Lac66a
, p. 807]
Le
procès
inconscient
de la
pensée
se
loge
entre
perception
et
conscience.
[
Lac84a
, p. 17]
L'amour
fait
partie
du
champ
entre
science
5
.
156
et
ignorance.
L'image
se
définit
comme
tout
arrangement
physique
qui a pour
résultat,
entre
deux
systèmes,
de
constituer
une concordance
biunivoque,
à quelque
niveau
que ce soit.
L'inconscient
se
situe
entre
perception
est
conscience.
Le
phallus
est un
médium
entre
demande
et
désir.
Entre
perception
et
conscience
il y a la
Selbstbewusstsein
.
Il y a un
rapport
profond,
nécessaire
entre
l'
acting-out
et le
.
L'angoisse
tient
une
position
médiane
entre
jouissance
et
désir.
Le
mode
le
plus
ordinaire de la
séduction
entre
sexes,
c'est de
faire
des
attributs
féminins
les
signes
de la
toute
puissance
de
l'homme.
La
place
de
l'Autre
où se
constitue
le
sujet
est
située
entre
perception
et
conscience.
La
schize
du
sujet
persiste
après le
réveil,
entre
le
retour
au
réel,
la
représentation
du
monde
et la
conscience
qui se
retrame.
La
schize
du
sujet
n'est que
représentant
la
schize
plus
profonde,
à
situer
entre
ce qui
réfère
le
sujet
dans la machinerie du
rêve,
et d'autre
part
ce qui le
cause
et en quoi il
choit.
Entre
l'œil
et le
regard,
telle est la
schize
où se
manifeste
la
pulsion.
Il y a
schize
entre
vision
et
regard.
Le
losange
est au
cœur
de
tout
rapport
de
l'inconscient,
entre
la
réalité
et le
sujet.
Sans le
processus
de
béance,
les
relations
entre
les
êtres
pourraient
s'engendrer
en termes de
relations
diversement
réciproques.
Entre
le
sujet
et
l'Autre
les
procès
sont à
définir
comme
circulaires.
Le
processus
entre
le
sujet
et
l'Autre
est
dissymétrique.
C'est dans
l'intervalle
entre
le
signifiant
unaire
et le
signifiant
binaire,
que
gît
le
désir
offert au
repérage
du
sujet,
dans
l'expérience
du
discours
de
l'Autre.
La
distinction
entre
pulsion
de
vie
et
pulsion
de
mort
est
vraie
pour autant qu'elle
manifeste
deux
aspects de la
pulsion.
Le
ressort
fondamental
de
l'opération
analytique,
c'est le
maintien
de la
distance
entre
le
et le
.
L'inconscient
est
entre
le
sujet
et
l'Autre
leur
coupure
en
acte.
[
Lac66a
, p. 839]
*
C'est
entre
le
sein
et la
mère
que
passe
le
plan
de
séparation
qui
fait
du
sein
l'objet
perdu
en
cause
dans le
désir.
[
Lac66a
, p. 848]
Il y a
opposition
entre
demande
et
désir.
Toute
interjection
se
situe
exactement
quelque
part
dans la
coupure
entre
le
et le
.
Le
sujet
est
divisé
entre
savoir
et
vérité.
Le
sujet
se
divise
entre
vérité
et
savoir.
La
division
du
sujet
est
entre
le
savoir
et la
vérité.
[
Lac66a
, p. 856]
*
La
vision
se
scinde
entre
l'image
et le
regard.
[
Lac75c
, p. 134]
Un
objet
divise
entre
le
savoir
et la
vérité.
*
La
sexualité
entre
en
jeu
d'abord
par le
biais
du
désir
de
savoir.
*
L'être
est
dissocié
entre
l'être
antérieur
à la
pensée
et
l'être
que la
pensée
fait
surgir.
La
pulsion
n'est pas un
instinct
mais un
montage
entre
des
réalités
de
niveaux
essentiellement
hétérogènes.
La
première
scission
se
situe
entre
plaisir
et
déplaisir.
Il y a rapprochement
entre
l'université
et
l'univers
du
discours.
La
dialectique
du
sujet
se
situe
entre
sujet
de
l'énoncé
et
sujet
de
l'énonciation.
creuse
l'intervalle
entre
l'énoncé
et
l'énonciation.
Il y a
hétérogénéité
radicale
entre
la
jouissance
mâle
et la
jouissance
femelle.
L'Un
du
trait
unaire
fait
l'unitif
entre
le
et le
grand
Autre.
Le
symptôme
c'est la
signifiance
des
discordances
entre
le
réel
et ce par quoi il se
donne.
Il n'y a
aucun
lien
entre
le
champ
de
l'Un
et le
champ
de
l'Autre.
Il y a
décalage
ou
Verschiebung
dès que
s'introduit,
entre
le
corps
et la
jouissance,
la
fonction
du
sujet.
Il y a une
distinction
radicale
entre
l'acte
pervers
et
l'acte
névrotique.
C'est au
niveau
de la
partition
entre
corps
et
jouissance
qu'intervient
le
plus
typiquement la
perversion.
Le
transfert
est
source
de
résistance
entre
la
position
fausse
d'être
le
sujet
supposé
savoir,
ce que
l'analyste
sait
bien qu'il n'est pas, et celle
d'avoir
à rectifier les
effets
de cette
supposition
de la
part
du
sujet
au
nom
de la
vérité.
Le
supposé
par le
sujet
s'écrit avec la
formule:
est le
signifiant
du
transfert;
représente
le
sujet;
les
éléments
entre
parenthèses
représentent
le
savoir,
supposé
présent,
des
signifiants
dans
l'inconscient.
[
Lac68e
, p. 19]
*
La
psychanalyse
consiste
dans le
maintien
d'une
situation
convenue
entre
deux
partenaires,
qui s'y posent comme le
psychanalysant
et le
psychanalyste.
[
Lac68e
, p. 20]
Il y a
antinomie
entre
vision
et
regard.
[
Lac84b
, p. 8]
est ce qui
marque
comme
fondamentale
la
distance
entre
demande
et
besoin.
Il y a
homologie
entre
les
failles
de la
logique
et de la
structure
du
désir.
Le
symptôme
névrotique
s'articule
entre
le
champ
du
moi
tel qu'il
s'ordonne
spéculairement
et celui du
désir
en tant qu'il
s'articule
par
rapport
au
champ
dominé
par
l'objet
.
Il y a une
distinction
structurelle
complète
entre
un
sujet
et une
personne.
Il
manque
le
rapport
sexuel,
à
savoir
une
relation
définissable
comme telle
entre
le
signe
du
mâle
et celui de la
femelle.
Entre
savoir
et
vérité
doit
se
situer
la
question
du
transfert.
Dans la
règle
de
l'analyse,
il est
demandé
à celui qui y
entre
d'éviter
le
passage
à
l'acte.
La
faille
qui
s'appelle
le
sujet,
c'est
l'ouverture
à
situer
entre
et
.
La
linguistique
s'institue
d'une
coupure
qui est la
barre
posée
entre
le
signifiant
et le
signifié.
[
Lac70d
, p. 55]
La
frontière
entre
vérité
et
savoir
est
partout.
[
Lac70d
, p. 94]
Le
phallus
introduit
le
choix
qu'il y a
entre
les
fonctions
de
l'être
et de
l'avoir.
Entre
la
jouissance
et le
savoir,
la
lettre
ferait
littoral.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a un
littoral.
La
formule
qu'il n'y a pas de
métalangage
nie
que la
division
entre
langage
méta et
langage-objet
soit
tenable.
*
Entre
centre
et
absence,
entre
savoir
et
jouissance,
il y a
littoral.
[
Lac71a
, p. 7]
Le
discours
analytique
se
tient
à la
frontière
entre
la
vérité
et le
savoir.
Sans une
distinction
entre
code
et
message,
il n'y a pas de
place
pour la
parole.
Le
fantasme
est ce
rapport
entre
l'objet
et la
fente
qui se
condense,
le
sujet.
Il y a stricte
équivalence
entre
topologie
et
structure.
Entre
signifiant
et
signifié
il y a quelque
chose
de
barré
à
franchir.
Il y a solidarité
entre
le
non-rapport
des
sexes
et le
fait
qu'un
être
soit
parlant.
[
Lac75f
, p. 7]
*
Le
signifiant
Un
n'est pas un
signifiant
entre
autres.
[
Lac75f
, p. 8]
Dans le
rapport
entre
l'homme
et la
femme,
la
castration
elle est
partout.
*
Il y a quelque
chose
de
distinct
entre
parler
et
dire.
La
fonction
de la
parole
supplée
à ceci que la
fonction
phallique
est justement qu'il n'y a chez
l'homme
que les
relations
mauvaises
entre
les
sexes.
*
Le
propre
du
sens
c'est
d'être
toujours
confusionnel,
car il y a
croyance
d'un
pont
entre
un
discours,
en tant que s'y précipite un
lien
social,
avec ce qui, d'un
autre
ordre,
provient
d'un
autre
discours.
Le
sujet
n'est
rien
d'autre
que
l'effet
intermédiaire
entre
ce qui
caractérise
un
signifiant
et un
autre
signifiant.
Entre
les
sexes,
chez
l'être
parlant,
le
rapport
ne se
fait
pas.
Entre
l'homme
et la
femme
se
situe
un
certain
Autre.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Le
réel
est un
ouvert
entre
le
semblant
qui
résulte
du
réel
et la
réalité
telle qu'elle se
supporte
dans le
concret
de la
vie
humaine.
cf:
20.9.1
le
sujet
a affaire à la
discordance
entre
savoir
et
être.
Il y a
l'impossible
d'inscrire
la
relation
sexuelle
entre
deux
corps
de
sexes
différents.
La
réciprocité
entre
le
sujet
et
l'objet
est
totale.
*
Il n'y a
rien
de
commun
entre
l'inconscient
et
l'occulte.
Le
symbolique
a le
rôle
de
moyen
entre
le
réel
et le
symbolique.
Il y a un
lien
entre
le
sexe
et la
parole.
Ce n'est que de
tenir
entre
eux que
consistent
les
trois
du
borroméen.
Les
trois
du
borroméen
tiennent
entre
eux
réellement.
*
Dieu
n'est
rien
d'autre
que ce qui
fait
qu'à partir du
langage
il ne
saurait
s'établir
de
rapports
entre
sexués.
Entre
l'Un
et le
il n'y a
strictement
aucun
rapport
rationnellement
déterminable.
Interdit
ça
veut
dire,
dit
entre
les
lignes.
Le
nœud
est la
distinction
entre
le
réel
et la
réalité.
Le
signifié
n'est qu'un
signe
d'arbitrage
entre
deux
signifiants.
La
fin
de la
vérité
est
qu'entre
homme
et
femme,
ça
ne marche pas.
Il y a un
rapport
entre
le
discours
scientifique
et le
discours
hystérique.
*
Le
sens
résulte
d'un
champ
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
*
Le
savoir
et la
vérité
n'ont
aucune
relation
entre
eux.
La
passe
c'est se
reconnaître
entre
savoir.
*
La
différence
qu'il y a
entre
la
métaphore
et la
structure,
c'est que la
métaphore
est justifiée par la
structure.
Le
sujet
se
supporte
en tant que
divisé
entre
et
.
[
Lac78
]
C'est la
béance
entre
l'imaginaire
et le
réel
qui
fait
l'inhibition.
[
Lac78
]
Il y a une
correspondance
entre
la
topologie
et la
pratique.
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Jacques B. Siboni
2024-11-08