Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.13 M
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morcellement
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mort
La
tendance
suicide
présentifie
l'instinct
de
mort
ou
masochisme
primordial.
[
Lac66a
, p. 186]
Le
symbole
se
manifeste
d'abord
comme
meurtre
de la
Chose,
et cette
mort
constitue
dans le
sujet
l'éternisation de son
désir.
[
Lac66a
, p. 319]
L'obsédé
attend
la
mort
du
maître.
*
L'obsédé
n'assume
pas son
être
pour la
mort.
Il n'y a pas de
maître
autre
que le
maître
absolu,
la
mort.
La
fonction
de la
mort
est ce à quoi
résiste
la
vie.
La
mort
c'est
l'innommable
par excellence.
La
mort
est ce qui
dépossède
le
moi.
L'obsédé
est
mort
pour celui qui est son
maître.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
l'instinct
de
mort
est en
.
*
L'analyste
intervient
concrètement
dans la
dialectique
de
l'analyse
en
faisant
le
mort.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
fait
le
mort
par son
silence,
là où il est
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
fait
le
mort
en
annulant
sa
propre
résistance,
là où il est
l'autre.
[
Lac66a
, p. 430]
En
faisant
le
mort,
l'analyste
présentifie
la
mort.
[
Lac66a
, p. 430]
L'analyste
se
doit
d'être
assez
mort
pour ne pas
être
pris
dans la
relation
imaginaire.
La
question
de la
mort
ou celle de la
naissance
n'ont pas de
solution
dans le
signifiant.
Le
caractère
signifiant
du
symbole
est
situé
au
même
point
de la
genèse
que
l'intervention
de
l'instinct
de
mort.
Un
obsessionnel
se met à l'abri de la
mort.
L'obsessionnel
mortifie
le
désir.
L'instinct
de
mort
c'est cette
limite
du
signifié
qui n'est
jamais
atteinte
par
aucun
être
vivant.
La
mort
est le
support,
la
base
par laquelle le
signifiant
existe.
Le
signifiant
matérialise
l'instance
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 24]
*
L'homme
est, dès
avant
sa
naissance
et au-delà de sa
mort,
pris
dans la
chaîne
symbolique.
[
Lac66a
, p. 468]
*
Le
père
symbolique
c'est le
père
mort.
Le
symbole
est la
mort
de la
Chose.
Les
dieux
sont les
immortels
du
langage.
Le
père
qui
promulgue
la
loi
est le
père
mort,
le
symbole
du
père.
Le
père
mort
c'est le
nom-du-père.
Le
père
mort
est
porteur
d'un
signifiant
qui
autorise
et
fonde
tout
le
système
de
signifiant.
La
demande
de
l'obsessionnel
est une
demande
de
mort.
La
demande
de
mort
empêche
toute
articulation
de la
demande
du
sujet.
La
demande
de
mort
implique
la
mort
de la
demande.
La
demande
de
mort
est
équivalente
à la
mort
de la
demande.
La
demande
de
mort
est
mort
de la
demande.
L'opération
autorisante
de
l'analyste
est
disjointe
d'avec la
demande
de
mort
fondamentale.
Dans le
rêve
le
désir
est
maintien
du
sommeil
et
désir
de
mort.
Le
père
symbolique,
en tant qu'il
signifie
la
loi,
est le
père
mort.
[
Lac66a
, p. 556]
*
Sans la
loi,
la
Chose
est
morte.
La
jouissance,
en tant que
jouissance
implique
l'acceptation de la
mort.
*
S'il n'y a plus de
manque,
l'Autre
défaille,
le
signifiant
est celui de la
mort
de
l'Autre.
*
La
pulsion
de
mort
se
présente
dans le
champ
de la
pensée
analytique
comme une
sublimation.
Le
nom-du-père
n'est
rien
d'autre
que le
père
mort.
Le
père
souhaité
du
névrosé
est le
père
mort.
[
Lac66a
, p. 824]
La
place
symbolique
du
phallus
est la
place
du
point
mort
occupé par le
père
en tant que déjà
mort.
La
loi,
pour
s'instaurer
comme
loi,
nécessite
comme antécédent la
mort
de celui qui la
supporte.
L'angoisse
de
castration,
c'est une
angoisse
qui se
rapporte
au
champ
où la
mort
se
noue
étroitement
au
renouvellement
de la
vie.
L'œil
porte
avec lui la
fonction
mortelle
d'être,
en lui-même, doué d'un
pouvoir
séparatif.
*
Le
lien
du
sexe
à la
mort
de
l'individu
est
fondamental,
essentiel.
La
libido
est
pur
instinct
de
vie
immortelle
irrépressible.
La
pulsion
partielle
est
pulsion
de
mort.
La
pulsion
partielle
représente
en elle-même la
part
de la
mort
dans le
vivant
sexué.
L'essentiel
du
vel
aliénant
est le
facteur
létal.
La
distinction
entre
pulsion
de
vie
et
pulsion
de
mort
est
vraie
pour autant qu'elle
manifeste
deux
aspects de la
pulsion.
Les
pulsions
sexuelles
font
surgir
la
mort
comme
signifiant,
et rien que comme
signifiant.
Le
signifiant
comme tel, a, en
barrant
le
sujet
par
première
intention,
fait
entrer
en lui le
sens
de la
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
*
Toute
pulsion
est
virtuellement
pulsion
de
mort.
[
Lac66a
, p. 848]
*
La
mort
est en
jeu
dans ce que
l'hystérique
aborde
de ce qu'il en est de la
femme.
Le
chemin
vers la
mort
s'appelle
la
jouissance.
Le
signifiant
maître,
,
idéalement
peut
s'identifier
à la
mort.
La
jouissance
sexuelle
n'a
trouvé
pour se
structurer
que la
référence
à
l'interdit,
en tant que
nommé,
de la
jouissance
mortelle.
La
jouissance
mortelle
rejoint la
dimension
du
sexuel,
à
porter
l'interdit
sur le
corps
dont le
corps
propre
sort,
à
savoir
sur le
corps
propre
de la
mère.
L'imaginaire
pris
comme
moyen
signe
l'amour
courtois
dans ce qu'il
imagine
de la
jouissance
et de la
mort.
*
L'amour
devient
réellement
le
moyen
par quoi la
mort
s'unit
à la
jouissance.
*
Il n'y a de
mort
que là où il y a
reproduction
de
type
sexuel.
Tout
mi-dire
a la
mort
pour
principe.
*
Le
sexe
est très
spécifiquement
lié
à la
mort
du
corps.
*
Il n'y a que chez les
êtres
sexués
que le
corps
meurt.
La
jouissance,
le
corps,
la
mort
sont
noués
seulement
par cette
impasse
invérifiable
du
sexe.
*
La
mort
n'est
abordable
que par un
acte.
*
La
pulsion
de
mort,
c'est le
réel
en tant qu'il ne
peut
être
pensé
que comme
impossible.
la
science
est
liée
à la
pulsion
de
mort.
[
Lac78
]
*
L'homme
tient
beaucoup à
être
mortel.
[
Lac78
]
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Jacques B. Siboni
2024-11-08