Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
Parent:
5.19 S
Précédent:
suture
Suivant:
symbolisation
Index:
Index
symbole
L'assomption
jubilatoire
de son
image
spéculaire,
par
l'être
infans
,
manifeste
la
matrice
symbolique,
où le
je
se précipite en une
forme
primordiale.
[
Lac66a
, p. 94]
*
Les
structures
de la
société
sont
symboliques;
l'individu
en tant que
normal
s'en
sert
pour des
conduites
réelles;
en tant qu'il est
psychopathe,
il les
exprime
par des
conduites
symboliques.
[
Lac66a
, p. 132]
La
métaphore
n'est que le
synonyme
du
déplacement
symbolique,
mis en
jeu
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 260]
L'homme
parle
parce que le
symbole
l'a
fait
homme.
[
Lac66a
, p. 276]
Le
nom-du-père
sert
de
support
à la
fonction
symbolique.
[
Lac66a
, p. 278]
Il s'agit d'un
langage
de
désir
dans les
symboles
du
symptôme.
[
Lac66a
, p. 293]
Le
symbole
est
refoulé
dans
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 294]
Le
symbole
ne
porte
en lui
aucun
indice
de
régression
ni
d'immaturation.
[
Lac66a
, p. 294]
Le
symbole
se
manifeste
d'abord
comme
meurtre
de la
Chose,
et cette
mort
constitue
dans le
sujet
l'éternisation de son
désir.
[
Lac66a
, p. 319]
Il
existe
trois
registres
très
distincts
de la
réalité
humaine,
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Le
fantasme
n'a
strictement
qu'une
valeur
symbolique.
Dans les
symptômes,
il s'agit
toujours
de
symboles
organisés
dans le
langage.
Ce qui
distingue
le
symbole
du
signe,
c'est la
fonction
inter-humaine
du
symbole.
Faute de
réaliser
l'ordre
du
symbole,
le
sujet
réalise
des
images
désordonnées
dont elles sont les
substituts.
Le
symptôme
a une
valeur
symbolique.
Une
relation
analysable
est une
relation
interprétable
symboliquement.
La
psychanalyse
se
situe
dans
l'ordre
symbolique.
Les
sciences
physiques
réduisent
le
symbolique
à la
fonction
d'outil à
disjoindre
le
réel.
Le
rapport
symbolique
de la
parole
prise
en tant que telle est un
tiers
élément.
La
fonction
symbolique
dans la
réalisation
humaine
est
autonome.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
réalisation
symbolique
par le
sujet
de
soi-même
qui est le
ça
inconscient.
Ce qui n'est pas
symbolisé,
c'est la
réalité
avant
toute
formation
du
symbole.
L'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel
sont
trois
systèmes
de
référence.
L'œil
est très fréquemment le
symbole
du
sujet.
La
situation
du
sujet
est
essentiellement
caractérisée
par sa
place
dans le
monde
symbolique,
dans le
monde
de la
parole.
*
Le
mot
introjection
s'accompagne
toujours
d'une
dénomination
symbolique.
Le
sujet
est
intégré
au
système
symbolique
et s'y exerce et s'y
affirme
par
l'exercice
d'une
véritable
parole.
L'acte
de la
parole,
en tant que
fonctionnement
symbolique,
est coordonné à
tout
un
système
symbolique
déjà établi.
La
fonction
symbolique
est
exactement
la
même
chose
que la
fonction
de la
parole.
Le
surmoi,
à la
différence
de
l'idéal-du-moi
se
situe
essentiellement
sur le
plan
symbolique
de la
parole.
La
notion
de
transfert
s'exerce à la
fois
dans les
registres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
sont des
registres
fonctionnels.
Il y a une
distinction
stricte
entre
symbolique
et
imaginaire.
La
sublimation
est dans le
plan
du
symbolique.
La
censure
est une
instance
symbolique
qui
parle.
Toute
l'expérience
analytique
se
développe
au
joint
de
l'imaginaire
et du
symbolique.
*
C'est la
relation
symbolique
qui
définit
la
position
du
sujet
comme
voyant.
C'est la
parole,
la
fonction
symbolique
qui
peut
définir
le
plus
ou
moins
grand
degré
de perfection, de
complétude,
d'approximation de
l'imaginaire.
La
position
dans la
structuration
imaginaire
n'est
strictement
concevable
que pour autant
qu'au-delà
se
trouve
un
guide
au
niveau
du
plan
symbolique.
L'amour
provoque
une
véritable
subduction du
symbolique.
C'est
l'échange
symbolique
qui
lie
les
êtres
humains
et qui
fait
de la
parole
une
sorte
de
lien.
La
relation
symbolique
est éternelle.
Le
symbole
introduit
un
tiers,
élément
de
médiation,
qui
fait
passer
sur un
autre
plan
les
deux
personnages
en
présence.
Le
registre
symbolique
est celui par où se
constitue
l'être
humain
en tant que tel.
Le
milieu
vital
de
l'homme
est le
milieu
symbolique
du
rapport
du
moi
à
l'autre.
L'inconscient
est quelque
chose
qui sera
réalisé
dans le
symbolique,
qui grâce au
progrès
symbolique
dans
l'analyse,
aura été.
Le
retour
du
refoulé
est le
signal
effacé
de quelque
chose
qui ne
prendra
sa
réalisation
symbolique
que dans le
futur.
Il n'y a pas
moyen
de s'avancer dans
l'expérience
analytique
sans
distinguer
les
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Le
désir
apprend
à se
reconnaître
par le
symbole,
c'est à dire dans le
langage.
Le
masochisme
fondamental
se
situe,
dans sa
forme
structurante,
fondamentale,
non
déviée,
au
point
de
jonction
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Le
monde
du
symbole
annule
la
Chose
existante.
C'est dans
l'autre,
et par
l'autre,
que le
désir
va être
nommé,
reconnu,
va
entrer
dans la
relation
symbolique
du
je
et du
tu.
C'est sur le
plan
symbolique
que les
désirs
vont être
ré-assumés
par le
sujet,
après leur
passage
dans
l'autre
spéculaire.
La
parole
a
fonction
de
reconnaissance;
c'est la
dimension
par où le
désir
du
sujet
est
authentiquement
intégré
sur le
plan
symbolique.
Dans
l'analyse
il s'agit de
l'intégration
symbolique
par le
sujet
de son
histoire;
c'est la
fonction
du
surmoi.
Le
surmoi
est une
scission
du
système
symbolique
intégré
par le
sujet
comme
formation
de la
totalité
qui
définit
l'histoire
du
sujet.
*
L'inconscient
est une
scission,
limitation,
aliénation
par le
système
symbolique
pour le
sujet.
Le
surmoi
se
produit
dans le
monde
symbolique,
mais n'est pas
uniquement
limité
au
sujet.
Le
monde
symbolique
n'est pas
uniquement
limité
au
sujet
car le
monde
symbolique
se
réalise
dans une
langue
qui est la
langue
commune,
qui est le
système
symbolique
universel.
Le
plan
de la
reconnaissance
est au
pivot
de la
relation
symbolique.
Le
registre
proprement
humain
s'installe
grâce à la
destruction
de la
Chose
et au
passage
de la
Chose
au
plan
symbolique.
Pour
l'enfant,
il y a
d'abord
symbolique
et
réel.
Pour
l'enfant,
tout
se
compose,
s'enrichit, se diversifie dans le
registre
de
l'imaginaire,
à partir d'une
prédominance
essentielle
du
symbolique
et du
réel.
Pour
tout
ce qui est du
langage
humain,
il n'y a
jamais
univocité
du
symbole.
Le
langage
n'est
concevable
que comme un
réseau
symbolique.
Les
catégories
élémentaires
sont la
tripartition
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
symbolique
et de
l'imaginaire
s'appelle
l'amour.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
réel
et du
symbolique
s'appelle
l'ignorance.
*
L'ordre
humain
se
caractérise
par ceci, que la
fonction
symbolique
intervient
à
tous
les
moments
et à
tous
les degrés de son
existence.
Les
symboles
impliquent
la
totalité
de
tout
ce qui est
humain.
*
Tout
se
classe,
s'ordonne
par
rapport
aux
symboles
surgis, aux
symboles
une
fois
qu'ils sont
apparus.
La
fonction
symbolique
chez
l'homme
constitue
un
univers
à
l'intérieur
duquel,
tout
ce qui est
humain
doit
s'ordonner.
*
Le
complexe
d'Œdipe
est à la
fois
universel
et
contingent,
parce qu'il est
uniquement
et
purement
symbolique.
*
Dès que se
forme
un
système
symbolique
quelconque, il est déjà de
droit
universel
comme tel.
*
Le
moi
qui est une
fonction
imaginaire,
n'intervient,
dans la
vie
psychique
que comme
symbole.
Le
sujet
se
pose
comme
opérant,
comme
humain,
au
moment
où
apparaît
le
système
symbolique.
À partir du
moment
où le
monde
symbolique
est
fondé,
le
moi
peut
servir
de
symbole.
Le
non-être
se
manifeste
dans
l'ordre
symbolique.
[
Lac66a
, p. 380]
L'effet
de la
Verwerfung
est une
abolition
symbolique.
[
Lac66a
, p. 386]
*
Ce qui n'est pas
venu
au jour du
symbolique,
apparaît
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 388]
Le
symbole
forclos
ne
rentre
pas dans
l'imaginaire.
[
Lac66a
, p. 392]
Le
symbole
forclos
n'existe
pas. [
Lac66a
, p. 392]
*
Dans
l'ordre
symbolique,
les
vides
sont aussi
signifiants
que les
pleins.
[
Lac66a
, p. 392]
Pour le
schizophrène,
tout
le
symbolique
est
réel.
[
Lac66a
, p. 392]
*
Dans la
machine
est incarnée
l'activité
symbolique.
Il n'y a
aucune
espèce
d'autre
moyen
d'appréhender
le
réel
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
La
répétition
est à
concevoir
comme
liée
à un
processus
circulaire
de
l'échange
de la
parole,
à un
circuit
symbolique
extérieur
au
sujet.
*
L'importance
du
rêve
est qu'il
permet
de
saisir
la
fonction
symbolique
comme telle.
Le
lieu
psychique
c'est la
dimension
symbolique.
Le
rêve
est le
lieu
de
l'échange
symbolique
comme tel.
iS
c'est mettre le
symbole
sous
forme
d'image.
iS
c'est
imaginer
le
symbole.
iS
c'est mettre le
discours
symbolique
sous la
forme
figurative
du
rêve.
Le
père
symbolique
reste
intact.
La
relation
symbolique,
le
pouvoir
de
nommer
les
objets,
est quelque
chose
qui
intervient
comme
absolument
essentiel
pour
structurer
la
perception
elle-même.
*
En lui-même le
jeu
du
symbole
organise
ce quelque
chose
qui
s'appelle
un
sujet.
Le
monde
du
symbole
est
aliénant
pour le
sujet.
L'ordre
symbolique
est
universel.
*
L'analyse
se
joue
à la
frontière
du
symbolique
et du
réel.
C'est au
niveau
irrationnel
du
discours
que
peuvent
intervenir
les
images
dans leur
valeur
symbolique.
Le
nom-du-père
c'est le
père
symbolique.
Un
sujet
se
lie
à un
autre
sujet
dans un
pacte
symbolique.
L'obsédé
est quelque
chose
d'un
usage
symbolique
possible.
Le
rapport
fondamental
de
l'homme
à
l'ordre
symbolique
est celui qui
fonde
l'ordre
symbolique
lui-même, c'est
l'ordre
du
non-être
à
l'être.
*
Tout
ce qui est
intuition
est beaucoup
plus
près de
l'imaginaire
que du
symbolique.
Il y a une
modulation
symbolique
entre
ce qui est
refoulé
et ce qui tend à se
répéter.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
,
est à la
fois
le
sujet,
le
symbole
et le
.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
se
produit
dans la
réalisation
symbolique
du
sujet.
*
Le
discours
universel
est
symbolique.
L'ordre
symbolique
est
différent
de
l'ordre
libidinal.
L'ordre
symbolique
se
définit
par son
caractère
de
structure
organisée.
Dans
l'ordre
symbolique,
tout
élément
vaut en tant
qu'opposé
à un
autre.
Tout
ce qui est
refusé
dans
l'ordre
symbolique
reparaît
dans le
réel.
Ce qui est
refusé
dans
l'ordre
symbolique,
resurgit dans le
réel.
*
Ce qui a été
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
La
répartition
triple
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel
s'applique au
langage.
*
Il y a une
altérité
qui est de la
nature
du
symbolique.
La
parole
intègre les
trois
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
parole,
le
symbolique
est
représenté
par le
signifiant.
La
parole
donne
au
sens
son
support
dans le
symbole
qu'elle
incarne
par son
acte.
[
Lac66a
, p. 351]
La
fonction
symbolique
est
omniprésente
pour
l'être
humain.
[
Lac66a
, p. 415]
Quand
l'analyste
est
l'Autre,
il est sous
l'incidence
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 430]
Le
sujet
est
responsable
de la
dette
symbolique,
en tant que
sujet
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 434]
Pour le
petit
enfant,
le
symbole
est déjà là, le
langage
existe
déjà.
Les
êtres
humains
sont
immergés
dans le
symbole.
Le
réel
définit,
par
rapport
à
l'acte
de la
parole,
un
champ
différent
du
symbolique.
L'ordre
symbolique
subsiste
hors
de chaque
sujet.
L'ordre
symbolique
subsiste
comme tel,
hors
du
sujet,
distinct
de son
existence
et le
déterminant.
La
remémoration
est forcément dans
l'ordre
symbolique.
Dans la
névrose,
le
refoulé
reparaît
masqué
là où il a été
refoulé,
dans le
milieu
des
symboles.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
symbolique
dans la
névrose.
L'ordre
symbolique
est
constitutif
de la
réalité
humaine.
L'ordre
symbolique
est un
milieu.
L'ordre
symbolique
est un
milieu
distinct
du
milieu
réel
et de la
dimension
imaginaire.
L'expérience
analytique
se
satisfait
de se
ranger
dans les
rapports
entre
les
ordres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
*
La
réalité
est
marquée
d'emblée de la
néantisation
symbolique.
C'est dans le
champ
d'articulation
symbolique
que se
produit
la
Verwerfung
.
Dans les
psychoses
il y a un
trou,
une
déficience
dans le
symbolique.
Toute
l'intégration
de la
sexualité
chez le
sujet
humain
est
liée
à la
reconnaissance
symbolique.
Le
sujet
trouve
sa
place
dans un
appareil
symbolique,
préformé
qui
donne
la
loi,
qui
instaure
la
loi
dans la
sexualité.
La
loi
dans la
sexualité
ne
permet
plus au
sujet
de
réaliser
sa
sexualité
que sur le
plan
symbolique.
Entre
homme
et
femme
une
dissymétrie
essentielle
apparaît
au
niveau
du
signifiant,
au
niveau
du
symbolique.
La
différence
de
symbolisation
des
deux
sexes
tient
à ceci que
l'imaginaire
ne fournit qu'une
absence,
là où
ailleurs
il y a un
symbole
très
prévalent.
C'est en
fonction
du
père
que le
phallus
est un
symbole
dont il n'y a pas de
correspondant,
d'équivalent.
C'est
l'ordonnance
symbolique
qui
règle
tout.
Là où il n'y a pas de
matériel
symbolique,
il y a
défaut
de
réalisation
de
l'identification
essentielle.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant qu'elle est
arrachée
au
domaine
de
l'imaginaire
pour être
située
dans le
domaine
du
symbolique.
Le
signifiant
est le
symbolique
en tant qu'il
donne
une
forme
dans laquelle
peut
s'insérer
le
sujet
au
niveau
de
l'être.
*
Le
symbolique
est là pour
affirmer
que la
créature
n'engendre
pas la
créature.
*
Dans le
symbolique
rien
n'explique
la
création.
La
crise
de
l'œdipe
est
symbolique.
Le
passage
du
sujet
par
l'expérience
symbolique
de
l'œdipe
est
essentiel
à son
accès
à la
réalité.
La
juste
situation
du
sujet
humain
dans la
réalité
dépend
d'une certaine
expérience
purement
symbolique.
*
Normalement,
c'est par la
voie
d'un
conflit
imaginaire
que se
fait
l'intégration
symbolique.
Dans la
forme
normale,
la
réalisation
symbolique
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
conflit
imaginaire.
Dans la
forme
névrotique,
la
réalisation
imaginaire
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
exercice
symbolique
de la
conduite.
Le
caractère
signifiant
du
symbole
est
situé
au
même
point
de la
genèse
que
l'intervention
de
l'instinct
de
mort.
La
castration
se
classe
dans la
catégorie
de la
dette
symbolique.
La
castration
est
constituée
par la
dette
symbolique.
L'objet
de la
privation
est un
objet
symbolique.
*
L'absence
de quelque
chose
dans le
réel
est une
Chose
purement
symbolique.
Dans la
privation,
il s'agit d'un
objet
symbolique.
*
Dans la
castration
il y a
fondamentalement
un
manque
qui se
situe
dans la
chaîne
symbolique.
Ce n'est pas le
sujet
qui
introduit
l'ordre
symbolique.
La
castration
est
essentiellement
liée
à un
ordre
symbolique
en tant
qu'institué.
La
castration
institue
la
dette
symbolique.
Ce qui est mis en
jeu
dans la
dette
symbolique
c'est un
objet
imaginaire,
c'est le
phallus
comme tel.
Le
couple
d'opposition
présence
absence
est
l'agent
de la
frustration
qui
participe
de
l'ordre
de la
symbolicité.
*
Il y a
virtuellement
l'origine,
la
naissance,
la
possibilité,
la
condition
fondamentale
d'un
ordre
symbolique.
Dans la
frustration,
la
mère
est un
agent
symbolique.
Pour
l'enfant,
un
renversement
s'opère,
la
mère
devient
réelle
et
l'objet
symbolique.
Pour
l'enfant,
l'objet
est
objet
de
satisfaction
de
besoin
et
symbole
de
puissance
favorable
maternelle.
L'enfant
en tant que
réel
pour la
mère
prend
la
fonction
symbolique
de son
besoin
imaginaire.
Dans le
schéma
L de la
figure
2.20.1
, la
relation
symbolique
et
imaginaire
s'entrecroisent.
Une
impossibilité
de
l'avènement
symbolique
constitue
la
névrose.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
Le
quatrième
terme
est le
père,
c'est celui qui
introduit
la
relation
symbolique.
*
C'est
l'ordre
symbolique
qui est, pour le
sujet,
constituant.
[
Lac66a
, p. 12]
Le
signifiant
n'est
symbole
que d'une
absence.
[
Lac66a
, p. 24]
Le
symbolique
peut
manquer
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
*
Le
sujet
suit
la filière du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 30]
Entre
frustration
et
renonciation,
il y a
toute
la
différence
du
symbolique
au
réel.
[
Lac66a
, pp. 460–461]
La
fonction
imaginaire
se
subordonne
à la
détermination
symbolique.
[
Lac66a
, p. 464]
*
L'ordre
symbolique
exige
trois
termes
au
moins.
[
Lac66a
, p. 464]
La
détermination
symbolique
est
d'abord
un
fait
de
syntaxe.
[
Lac66a
, p. 468]
*
L'homme
est, dès
avant
sa
naissance
et au-delà de sa
mort,
pris
dans la
chaîne
symbolique.
[
Lac66a
, p. 468]
La
chaîne
symbolique
a
fondé
le lignage
avant
que s'y brode
l'histoire.
[
Lac66a
, p. 468]
*
L'extériorité
du
symbolique
par
rapport
à
l'homme
est la
notion
même
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 469]
*
L'ordre
symbolique
n'est
abordable
que par son
propre
appareil.
[
Lac66a
, p. 470]
Une
écriture
peut
être
figurative,
elle est
toujours,
comme un
langage,
articulée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
Le
rêve
est
toujours
articulé
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 470]
Le
sujet
féminin
est
toujours
appelé
dans sa
rencontre
à une
sorte
de
retrouvaille
qui le
place
d'emblée par
rapport
à
l'homme,
dans une
ambiguïté
des
rapports
naturels
et
symboliques.
*
L'idée
de
privation
n'est
concevable
que pour un
être
qui
articule
quelque
chose
sur le
plan
symbolique.
Rien
ne
s'instaure,
ne se
constitue
comme
conflit
proprement
analysable,
si ce n'est à partir du
moment
où le
sujet
entre
dans
l'ordre
symbolique.
La
chaîne
symbolique
est
ordre
de
symbole,
ordre
de la
dette
symbolique.
La
formation
symbolique
est la
ligne
fondamentale
de ce qui
constitue
le
champ
de
l'inconscient.
*
La
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale
sont
deux
choses
différentes.
La
symbolique
du
phallus
fait
un
lien
étroit
entre
la
symbolique
du
don
et la
maturation
génitale.
Pour
l'enfant
femelle,
c'est en tant qu'elle ne
possède
pas le
phallus,
qu'elle va
être
introduite
à la
symbolique
du
don.
Pour le
garçon,
à la
fin
du
complexe
d'Œdipe,
au
moment
où il aura
réalisé
sur un
certain
plan
la
symbolique
du
don,
il faudra qu'il
fasse
don
de ce qu'il a.
La
première
version du
schéma
la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.1
, met en
relation
la
mère
imaginaire,
l'enfant
réel,
le
pénis
imaginaire
et le
père
symbolique.
La
deuxième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.2
met en
relation
l'enfant,
la dame
réelle,
le
père
imaginaire
et le
pénis
symbolique.
*
Il y a dans le
transfert
un
élément
imaginaire
et un
élément
symbolique.
*
Il y a
insistance
propre
à la
chaîne
symbolique.
L'insistance
propre
à la
chaîne
symbolique
n'est pas par
définition
assumée
par le
sujet.
*
Le
transfert
se
passe
au
niveau
de
l'articulation
symbolique.
Dans le
transfert,
l'analyste
devient
le
lieu
de
l'articulation
symbolique
comme telle.
Pour que le
sujet
féminin
entre
dans la
dialectique
de
l'ordre
symbolique,
il faut qu'il y
entre
par quelque
chose
qui est le
don
du
phallus.
Le
phallus
a une
fonction
symbolique.
C'est en tant que le
phallus
est là ou qu'il n'est pas là que
s'instaure
la
différenciation
symbolique
des
sexes.
Le
phallus
que la
femme
n'a pas est
phallus
symbolique
qui
existe
là en tant
qu'absence.
L'idée
de la
castration
chez la
femme
tient
à ce qu'elle n'a pas le
phallus
symboliquement.
L'absence
de
phallus
symbolique
chez la
femme
a pour
conséquence
qu'elle
peut
l'avoir.
La
petite
fille
entre
dans le
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
elle
peut
l'avoir.
Le
petit
garçon
sort
du
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
il
peut
l'avoir.
C'est par
l'intermédiaire
de la
valorisation
symbolique
du
phallus
que les
femmes
entrent
dans la
chaîne
de
l'échange
symbolique.
Le
fétiche
est un
symbole.
Le
refoulement
n'existe
qu'en tant qu'il y a une
chaîne
symbolique.
Quand un
objet
réel
prend
sa
fonction
en tant que
partie
de
l'objet
d'amour,
il
prend
sa
signification
en tant que
symbolique.
*
La
pulsion
s'adresse
à
l'objet
réel
en tant que
partie
de
l'objet
symbolique.
La
frustration
est le
refus
de
don
en tant qu'il est lui-même
symbole
de quelque
chose
qui
s'appelle
l'amour.
L'enfant
est déjà dans un
bain
qui
implique
l'existence
de
l'ordre
symbolique.
*
Toute
satisfaction
mise en
cause
dans la
frustration
y
vient
sur ce
fond
du
caractère
fondamentalement
décevant
de
l'ordre
symbolique.
Dans le
rêve
s'exprime
le
désir
de
l'impossible,
transposé
de
l'ordre
symbolique.
*
C'est du
champ
virtuel,
néantisation
symbolique,
que la
mère
constitue,
que
tous
les
objets
à
venir
tireront
chacun à leur
tour
leur
valeur
symbolique.
L'
objet
annulé,
en tant que
symbolique,
est
marqué
du
signe
du
rien.
Pour
l'enfant
l'ordre
symbolique
est déjà
institué,
déjà
présent.
La
régression
est
applicable
à ce qui se
passe
quand
l'objet
réel
vient
se
substituer
à
l'exigence
symbolique.
À une
frustration
symbolique
peut
toujours
succéder
de la
régression.
Le
phallus
imaginaire
joue
un
rôle
signifiant
majeur
dans
l'ordre
symbolique.
L'ordre
symbolique
transcende
le
développement
individuel.
Pour
l'enfant,
le
milieu
légal
et
l'ordre
symbolique
qui
l'entoure
est beaucoup
plus
important
que
l'entourage
biologique.
Ce sont les
particularités
de
l'ordre
symbolique
qui
donnent
sa
prévalence
à cet
élément
de
l'imaginaire
qu'est le
phallus.
Pour
l'enfant
en
fin
de
phase
préœdipienne,
il s'agit qu'il
assume
le
phallus
en tant que
signifiant
de
façon
qu'il le
fasse
instrument
de
l'ordre
symbolique
des
échanges.
Pour la
mère
symbolique,
il
devient
la
notion,
qu'au
niveau
du
grand
Autre,
il y a quelqu'un qui a le
phallus
en tant que
pénis
réel.
L'introduction
du
pénis
réel
dans
l'ordre
symbolique
est
l'inverse
de la
première
position
de la
mère.
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
La
castration
symbolise
une
dette
symbolique.
Le
père
symbolique
est une
sorte
de
donnée
5
.
515
irréductible
du
monde
du
signifiant.
L'interposition
des
fantasmes
et la
nécessité
de la
relation
symbolique
rendent très
difficile
à
l'enfant
l'appréhension
du
père
réel.
La
mère
est
d'abord
mère
symbolique.
La
mère
symbolique
commence
à se
réaliser
dans la
crise
de la
frustration.
C'est dans la
mesure
où le
symbole
recèle
l'ambiguïté
qu'apparaît
la
loi.
Pour
faire
un
trou
réel
dans le
réel,
il faut y
introduire
un
objet
symbolique.
Le
phallus
a une
valeur
symbolique
dans le
système
signifiant.
Quatre
termes
sont
nécessaires
au
fonctionnement
du
système
symbolique.
Le
progrès
de
l'imaginaire
au
symbolique
est une
organisation
de
l'imaginaire
au
mythe.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
la
mère
symbolique
est
l'agente
du
manque
de la
frustration
par
dette
imaginaire
du
sein
réel.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont
profondément
distincts.
L'œdipe
fait
entrer
en
jeu
le
nom
du
père
en tant que
père
symbolique.
Le
complexe
de
castration,
c'est que le
pénis
est
symboliquement
enlevé.
La
théorie
analytique
de
l'œdipe
pointe
que le
réel
ne
peut
être
réordonné
dans sa
nouvelle
configuration
symbolique
qu'au
prix
d'une
réactivation
régressive
de
tous
les
éléments
les
plus
imaginaires.
Le
symbolique
est
discontinu.
La
mère
symbolique
est la
mère
en tant qu'elle est le
premier
élément
de la
réalité
qui est
symbolisé
par
l'enfant.
La
mère
est
symbolique
en tant qu'elle
peut
être
absente
ou
présente.
C'est dans la
mesure
où le
soin
devient
une
compensation
qu'il
devient
le
don
symbolique,
et la
mère
un
élément
réel.
Le
nom-du-père
est le
père
symbolique.
Le
père
symbolique
est
essentiel
à la
structuration
du
monde
symbolique.
Le
père
symbolique
est
l'élément
médiateur
essentiel
du
monde
symbolique.
*
Le
père
symbolique
c'est le
père
mort.
Le
symbole
est la
mort
de la
Chose.
*
Le
père
symbolique
c'est le
nom-du-père.
Le
complexe
d'Œdipe
s'organise
sur le
plan
symbolique.
Dans la
Verwerfung
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
La
fonction
symbolique
est
seule
capable
de
rendre
compte
de la
détermination
dans le
sens
qu'est la
réalité
fondamentale
de
l'expérience
freudienne.
Le
moi
est
fonction
de la
relation
symbolique.
La
disparition
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre
donne
au
psychosé
la
difficulté
toute
difficulté
à se
maintenir
dans le
réel
humain,
symbolique.
Le
sens
ne
surgit
que de la
substitution
d'un
signifiant
à un
signifiant
de la
chaîne
symbolique.
Dans
l'idolâtrie
il y a une
régression
topique,
une
substitution
de
l'imaginaire
au
symbolique.
L'Autre
est
essentiellement
un
lieu
symbolique
qui est un
trésor.
Dès lors que
l'homme
est
entré
dans le
monde
symbolique,
rien
de la
demande
ne
peut
être
atteint,
sinon par une
sorte
de
succession
infinie
de
pas-de-sens.
Le
symptôme
est
symbolique.
[
Lac66a
, p. 437]
L'ordre
symbolique
est
constitué
par le
langage.
[
Lac66a
, p. 445]
désigne
une
place
essentielle
à la
structure
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 454]
Le
nom-du-père
c'est le
père
symbolique.
Le
père
symbolique
subsiste
au
niveau
du
signifiant.
Le
père
qui
promulgue
la
loi
est le
père
mort,
le
symbole
du
père.
La
castration
est
profondément
liée
à
l'articulation
symbolique
de
l'interdiction
de
l'inceste.
La
castration
est un
acte
symbolique.
5.9.1
Le
père
en tant que
symbolique
intervient
dans une
frustration.
5.9.1
Le
père
symbolique
est une
métaphore.
La
position
du
nom-du-père,
comme tel, la
qualification
du
père
comme
procréateur,
se
situe
au
niveau
symbolique.
Le
père
prive
quelqu'un de quelque
chose
qui n'a
d'existence
qu'en tant que
symbole.
Le
père
intervient
pour
faire
passer
ce qui est
l'objet
de la
mère
au
rang
proprement
symbolique.
*
C'est dans le
rapport
à sa
propre
image
que le
sujet
retrouve
la
duplicité
du
désir
maternel
à lui comme
enfant
désiré,
qui n'est que
symbolique.
Le
désir
doit
être
signifié,
pour autant qu'il
passe
nécessairement
par une
demande,
signifie
sur le
plan
symbolique.
Il y a
l'exigence
d'un
symbole
de
marge
qui
sépare
toujours
le
désir,
désir
toujours
marqué
de
l'altération
par
l'entrée
dans le
signifiant.
Une
privation
est quelque
chose
de
réel
qui
porte
sur un
objet
symbolique.
La
castration
est ce qui
symboliquement
ampute
le
sujet
de quelque
chose
d'imaginaire.
Le
désir
de la
mère
est une
désignation
symbolique.
C'est en tant que le
signifiant
se
présente
comme
annulé,
comme
marqué
de la
barre,
qu'il est un
produit
de la
fonction
symbolique.
Le
mécanisme
d'introjection
est
symbolique.
*
La
demande,
du
fait
d'être
articulée
en
termes
symboliques
est une
demande
qui va
au-delà
de
toutes
les
satisfactions.
L'articulation
signifiante,
par sa
seule
présence,
fait
apparaître
du
symbolique
dans le
réel.
Dans le
tableau
5.9.1
, dans la
castration,
l'action
est
symbolique,
l'agent
est
réel.
Dans le
tableau
5.9.1
, la
castration
est une
action
symbolique
qui
porte
sur quelque
chose
d'imaginaire.
Le
support
à
l'action
symbolique
propre,
la
castration,
est une
image
choisie
dans le
système
imaginaire.
*
Ce qui est
Verwerfung
,
ou
rejeté
du
symbolique
réapparaît
dans le
réel.
la
demande
d'amour
distingue
l'Autre
en tant
qu'objet
symbolique.
Concilier
l'imaginaire
avec le
symbolique
est une
forme
de dévoiement, de
perversion,
de
déviation,
voire de
délire.
Le
phallus
est le
symbole
d'un
objet
imaginaire.
[
Lac66a
, p. 554]
Le
père
symbolique,
en tant qu'il
signifie
la
loi,
est le
père
mort.
[
Lac66a
, p. 556]
*
Pour que la
psychose
se
déclenche,
il faut que le
nom-du-père,
verworfen
,
forclos,
c'est-à-dire
jamais
venu
à la
place
de
l'Autre,
y soit
appelé
en
opposition
symbolique
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 577]
L'objet
reçoit
une
fonction
du
symbolique.
[
Lac66a
, p. 682]
*
Un
dévoilement
de
l'Autre
intéressé
dans le
transfert
peut
modifier
une
défense
commandée
symboliquement.
[
Lac66a
, p. 732]
Le
désir
se
situe
au
point
où se nouent
ensemble
réel,
imaginaire
et
symbolique.
La
colère
n'est pas autre
chose
que
l'irruption
du
réel
qui
arrive
dans un belle
trame
symbolique.
Dans le
fantasme,
la
fonction
de
l'objet
est de
prendre
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement,
le
phallus.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
Dans la
Verwerfung
ce qui est
rejeté
du
symbolique
réapparaît
dans le
réel.
Le
manque
associé
à la
castration
est une
dette
symbolique.
cf:
5.9.1
L'agent
de la
frustration
est la
mère
symbolique.
cf:
5.9.1
L'objet
de la
privation
est le
phallus
symbolique.
cf:
5.9.1
La
castration
est une
action
symbolique.
cf:
5.9.1
La
privation
réelle
se
rapporte
à un
terme
symbolique.
cf:
5.9.1
Le
manque
à sa
place
dans le
réel
est un
manque
symbolique.
Le
réel
s'oppose
au
symbolique
et à
l'imaginaire.
L'être
c'est le
réel
pour autant qu'il
s'inscrit
dans le
symbolique.
L'être
c'est quelque
chose
qui se
pose
comme un
réel
articulé
dans le
symbolique.
L'être
c'est comme un
réel
qui a
pris
sa
place
dans le
symbolique.
La
discordance
dans le
symbolique
joue
un
rôle
fonctionnel
identifiable
au
symptôme
réel.
L'être
a à
voir
avec le
réel
et le
symbolique.
L'être
c'est le
réel
en tant qu'il se
manifeste
au
niveau
du
symbolique.
Le
fictif
est du
côté
du
symbolique.
L'inconscient
est
structuré
en
fonction
du
symbolique.
Symbolique,
imaginaire
et
réel
sont des
catégories
fondamentales.
La
loi
morale
est
structurée
par le
symbolique.
*
Les
processus
symboliques
dominent
tout.
*
Le
processus
symbolique
est
inopérant
dans le
monde
animal.
*
Le
ressort
de la
paranoïa
est
essentiellement
rejet
d'un
certain
appui
dans
l'ordre
symbolique.
*
Ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
*
Les
besoins
d'homme
se
logent
dans la
partie
symbolique.
La
privation
est une
fonction
instituée
comme telle dans le
symbolique.
*
La
frustration
est l'affaire de la
mère
symbolique.
Le
passage
du
de
l'image
phallique,
d'un
côté
à
l'autre
de
l'équation
de
l'imaginaire
au
symbolique,
le
positive,
et il
devient
le
. [
Lac66a
, p. 823]
est le
phallus
symbolique,
impossible
à
négativer,
signifiant
de la
jouissance.
[
Lac66a
, p. 823]
*
La
loi
morale
est ce par quoi
l'acte
que la
symbolique
structure,
trouve
l'appui
du
pur
réel.
[
Lac84a
, p. 12]
Les
seuls
messages
authentiques
sont du
domaine
du
symbolique.
L'éloge a une
fonction
métaphorique,
symbolique
de
l'amour.
Dans les
coupures
suivies d'explosions dans le
bégaiement
se laisse
entrevoir
la
fonction
symbolique
du ruban
excrémentiel.
*
Quelque
chose
est
plus
précieux que le
désir
lui-même, d'en garder le
symbole
qui est le
phallus.
Le
symbole
est un
symbole
innommable.
est le
phallus
symbolique.
est un
symbole
qui
répond
à la
place
où sa
produit
le
manque
de
signifiant.
Le
signifiant
phallus
a une
polarité
symbolique
et une
polarité
imaginaire.
Le
phallus,
à la
place
symbolique
de
l'instrument
du
désir
est porté à la
fonction
de
signifiant.
La
place
symbolique
du
phallus
est la
place
du
point
mort
occupé par le
père
en tant que déjà
mort.
L'idéal-du-moi
est une
introjection
symbolique.
Que la
satisfaction
narcissique
se
développe
dans le
rapport
au
moi-idéal
dépend
de la
possibilité
de
référence
à ce
terme
symbolique
primordial
qu'est
l'
einziger Zug
.
est le
phallus
symbolique.
La
fonction
de
l'identification
est du
registre
du
symbolique
et se passe
essentiellement
au
niveau
de la
structure.
L'idéal
c'est
tout
ce qu'il y a de
réel
dans le
symbolique.
Le
symbole
est
symbole
de la
demande
qui est
désir
métonymique.
est le
symbole
du
phallus.
*
Le
manque
n'est
saisissable
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
*
Rien
ne
manque
qui ne soit de
l'ordre
symbolique.
Le
manque
est
symbolique,
.
La
castration
est
symbolique.
*
Le
symbole
du
don
est
essentiel
à la
relation
à
l'Autre.
Une
praxis
désigne
une
action
concertée par
l'homme
qui le met en
mesure
de
traiter
le
réel
par le
symbolique.
La
mascarade
joue
au
niveau
symbolique.
Projeter
se
rapporte
au
champ
du
symbolique.
Le
nécessaire
se
fonde
dans la
relation
symbolique.
*
Le
symbole
est
identique
à ce qu'il
cause,
c'est-à-dire le
manque
du
sujet.
*
Toute
la
réalité
humaine
n'est
rien
d'autre que
montage
du
symbolique
et de
l'imaginaire.
Que le
signifiant
ne
saurait
se
signifier
lui-même
peut
s'écrire
; le
symbole
figure
un ou
exclusif.
L'ordre
symbolique
n'explique
pas
tout.
[
Lac66a
, p. 42]
La
répétition
est
répétition
symbolique.
[
Lac66a
, p. 46]
L'ordre
du
symbole
n'est pas
constitué
par
l'homme,
mais le
constitue.
[
Lac66a
, p. 46]
L'homme
pense
l'ordre
symbolique,
car il y est
d'abord
pris
dans son
être.
[
Lac66a
, p. 53]
L'homme
a pu
entrer
dans
l'ordre
symbolique,
comme
sujet,
par la
voie
d'une
béance
spécifique
de sa
relation
imaginaire
à son
semblable.
[
Lac66a
, p. 53]
L'entrée
de
l'homme
dans
l'ordre
symbolique
ne
peut
se
faire
que par le
défilé
radical
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 53]
Le
symbolique
et
l'imaginaire
se
distinguent
dans leurs
relations
au
réel.
[
Lac66a
, p. 720]
*
Un
symbole
vient
à la
place
du
manque
constitué
par le
manque
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 722]
Le
manque
à sa
place
est
nécessaire
au
départ
de la
dimension
de
déplacement
d'où
procède
tout
le
jeu
du
symbole.
[
Lac66a
, p. 722]
Le
symbole
a une
structure
de
nœud
vrai.
[
Lac66a
, p. 724]
Ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
La
Verwerfung
,
ou
rejet,
est que
tout
ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Ce qui est
rejeté
dans le
symbolique
doit
être
focalisé dans un
champ
subjectif,
pour
reparaître
à un
niveau
corrélatif
dans le
réel.
Le
trait
unaire
joue
le
rôle
de
repère
symbolique
d'exclure
que ce ne soit pas la
différence
qui se
pose
au
principe
de la
différenciation.
Le
sujet,
rejeté
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Le
phallus
est le
symbole
d'une
jouissance
soustraite
comme telle.
Ce qui est
refusé
dans le
symbolique
reparaît
dans le
réel.
[
Lac68e
, p. 23]
Dans le
symbolique
il y a le
mythe
œdipien.
[
Lac68e
, p. 27]
*
Tout
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
*
Pour qu'il y
ait
du
symbolique
il faut qu'il se
compte
au
moins
Un.
Le
Un
symbolise
le
champ
du
symbolique.
L'objet
est
essentiellement
fondé
des
effets
de ce qui se
passe
au
champ
de
l'Autre,
du
symbolique,
du
rangement,
de
l'ordre,
du
rêve
de
l'unité,
de
l'imaginaire.
*
Tout
ce qui est
refoulé
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
L'hystérique
promeut la
castration
au
niveau
du
nom-du-père
symbolique.
La
castration
est une
fonction
essentiellement
symbolique
qui ne se
conçoit
nulle
part
ailleurs
que de
l'articulation
symbolique.
Dans la
privation
quelque
chose
de
symbolique
manque.
Le
réel
se
place
comme
l'impossible
à démontrer le
vrai
dans le
registre
d'une
articulation
symbolique.
La
structure
s'attrape
du
point
où le
symbolique
prend
corps.
[
Lac70d
, p. 60]
Le
symbolique
possède
un
corps.
[
Lac70d
, p. 61]
L'impossible
est la
limite
d'où
s'instaure,
par le
symbolique,
la
catégorie
du
réel.
[
Lac70d
, p. 69]
Le
signifiant,
c'est dans le
symbolique.
Le
symbolique
c'est la
puissance
même.
Le
mathème
est
abordé
par les
voies
du
symbolique.
Zéro
est
symbole
d'inexistence.
Le
discours
analytique
donne
accès
au
réel
par le
symbolique.
*
L'identification
imaginaire
s'opère
par une
marque
symbolique.
La
fonction
du
signifiant,
c'est de
fonder
le
symbolique.
Zéro
et
Un
ça
fait
deux
sur le
plan
symbolique
car
l'existence
s'enracine dans le
symbole,
ce qui
définit
l'être
parlant.
Un
être
quand il en
vient
à
n'être
que du
symbole
est un
être
sans
être.
Le
seul
domaine
où
peut
se
formuler
une
impossibilité
symbolique
est le
réel
seul,
au-delà
du
langage.
Le
est du
symbolique.
Le
symbolique,
c'est ce qui a été
fait
Dieu.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont des
catégories.
Le
symbolique
ne se
confond
pas avec
l'être.
Le
symbolique
subsiste
comme
ex-sistence
du
dire.
*
La
science
mathématique
concerne
le
réel
que véhicule le
symbolique.
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
Ce qui
réalise
le
symbolique
de
l'imaginaire,
c'est la
religion.
L'analyste
imagine
le
réel
du
symbolique,
c'est la
mathématique.
le
procédé
mathématique
consiste
à
s'apercevoir
de ce qu'il y a de
réel
dans le
symbolique.
Le
symbolique
a le
rôle
de
moyen
entre
le
réel
et le
symbolique.
L'amour
est ce
lien
essentiel
du
réel
et du
symbolique.
Le
nœud
borroméen
noue
l'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel.
Il n'y a que
l'écriture
qui
distingue
réel,
symbolique
et
imaginaire.
Le
réel
fait
trois
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
*
L'événement
ne se
produit
que dans
l'ordre
du
symbolique.
Le
réel
c'est ce qui avec
l'imaginaire
et le
symbolique
fait
trois.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
*
Le
symbolique
est de
l'ordre
du
Un.
R, S, I sont le
réel,
le
symbolique
et
l'imaginaire.
*
Réel,
symbolique
et
imaginaire
ont un
sens.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
sont
trois.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
véhiculent un
sens.
Le
symbolique
est dans
l'équivoque
fondamentale.
*
Le
sens
c'est ce par quoi
répond
quelque
chose
qui est
autre
que le
symbolique.
Dans
l'imaginaire
et dans le
symbolique
s'inscrivent
la
fonction
du
sens.
L'inhibition
c'est ce qui
s'arrête
de
s'immiscer
dans une
figure
de
trou
du
symbolique.
*
Le
symptôme
est de
l'effet
du
symbolique
dans le
réel.
Le
monde
comme
représentation
dépend
de la
jonction
des
trois
consistances,
le
réel,
le
symbolique
est
l'imaginaire.
Les
trois
consistances
du
réel,
du
symbolique
et de
l'imaginaire
sont
strictement
équivalentes.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont les
noms-du-père.
*
Le
trou
du
symbolique
est inviolable.
Le
symbolique
c'est qu'il n'y a pas
d'Autre
de
l'Autre.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est affligé de la
seule
Chose
qui
fasse
trou,
le
symbolique.
C'est le
trou
du
symbolique
en quoi
consiste
l'interdit
de
l'inceste.
Le
symbole
indiquant
qu'il est
couple,
introduit
la
division
dans le
sujet.
Le
symbole
ne
peut
être
qu'une
pièce
cassée.
*
Ce n'est pas que soient rompus le
symbolique,
l'imaginaire,
et le
réel
qui
définit
la
perversion.
L'ex-sistence
du
symptôme,
c'est ce qui est
impliqué
par la
position
qui
suppose
le
lien
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
est ce qui se
représente
de la
duplicité
du
symbole
et du
symptôme.
C'est en tant que le
discours
du
maître
règne, que le
se
divise
du
symbole
et du
symptôme.
La
division
du
symbole
et du
symptôme
est
reflétée
dans le
sujet.
Dans
l'articulation
du
symptôme
au
symbole
il n'y a qu'un
faux
trou.
Le
symbolique
comporte
un
trou.
Le
trou
est
l'essentiel
de ce qu'il en est du
symbolique.
L'
ex-sistence
du
réel
est de
sister
hors
de
l'imaginaire
et du
symbolique,
en
limitation.
Le
réel
n'a
d'
ex-sistence
qu'à
rencontrer
du
symbolique
et de
l'imaginaire
à
l'arrêt.
Dans la
psychose
paranoïaque
l'imaginaire,
le
symbolique
est le
réel
sont une
seule
et
même
consistance.
Au
symbolique
lieu
de
l'Autre,
rien
n'est
supposé.
La
jouissance
phallique
se
situe
à la
conjonction
du
symbolique
avec le
réel.
Il y a des
vérités
réelles,
symboliques
et
imaginaires.
Le
symbolique
ça a affaire avec le
trou.
Le
surmoi
relève du
symbolique.
*
La
jouissance
phallique
est au
joint
du
symbolique
et du
réel.
Le
symbolique
est le
lien
de
l'être
humain
au
langage.
*
Le
sens
résulte
d'un
champ
entre
l'imaginaire
et le
symbolique.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
ne se
confondent
pas.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
Il y a un
corps
du
symbolique,
c'est
lalangue
.
Le
symbolique,
supporté
par le
signifiant,
ne
dit
que des
mensonges
quand il
parle.
Le
symbolique
s'exprime
ordinairement par la
Verneinung
.
*
La
poésie
est
imaginairement
symbolique.
*
L'imaginairement
symbolique
s'appelle
la
vérité.
Le
réel
est
doublé
par le
symbolique.
[
Lac78
]
*
L'adéquation du
symbolique
ne
fait
les
choses
que
fantasmatiquement.
[
Lac78
]
La
névrose
est, chez
l'homme,
naturelle
pour autant qu'il y a un
symbolique.
[
Lac78
]
Le
fait
qu'il y
ait
un
symbolique
implique
qu'un
signifiant
nouveau
émerge,
.
[
Lac78
]
*
Le
symbolique,
c'est le
langage.
[
Lac78
]
Le
symbolique
c'est la
parole.
L'imaginaire
est
distinct
du
symbolique.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
parce qu'il y a un
imaginaire,
un
symbolique
et un
réel.
Suivant:
symbolisation
Remonter:
5.19 S
Précédent:
suture
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08