Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Table des Matières
Jacques B. Siboni
Parent:
5.13 M
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métaphysique
Suivant:
meurtre
Index:
Index
métonymie
Dans la
métonymie
il y a
substitution
d'un
nom
par quelque
chose
qui en est le
contenant
ou la
partie
ou qui est en
connexion
avec.
Le
déplacement
s'appelle
métonymie.
*
La
métonymie
est au
départ.
La
métonymie
rend
possible
la
métaphore.
*
La
métaphore
est quelque
chose
qui est à un
autre
degré
que la
métonymie.
C'est
seulement
sur le
fondement
de la
métonymie
que la
métaphore
peut
intervenir.
Pour
l'enfant
la
métaphore
intervient
après la
métonymie.
*
L'opposition
de la
métaphore
et de la
métonymie
correspond
strictement
aux
deux
fonctions
possibles
de
l'autre.
La
métonymie
fait
entendre
quelque
chose
en
parlant
de quelque
chose
de
tout
à
fait
autre.
*
La
fonction
de la
perversion
du
sujet
est une
fonction
métonymique.
Le
souvenir-écran
est
métonymique.
La
constitution
de
l'objet
fétiche
n'est pas
métaphorique
mais
métonymique.
L'association
métonymique
donne
à un
mot
le
mot
suivant
qui
peut
venir
dans la
phrase.
La
métaphore
et la
métonymie
sont dans le
texte
du
sujet.
La
métonymie
met en
jeu
la
dimension
connective
de la
chaîne
signifiante.
Il n'y a
d'objet
que
métonymique.
Dans la
formule
de la
métonymie
,
est dans un
rapport
métonymique
avec
de la
signification.
Le
vecteur
du
graphe
5.1.1
, est
tout
ce qui
inclut
les
possibilités
de
décomposition,
de
réinterprétation,
d'effets
métaphoriques
et
métonymiques.
Métaphore
et
métonymie
sont des
fonctions
essentielles du
signifiant.
Métonymie
et
combinaison
ne sont pas
synonymes.
La
formule
de la
métonymie
avec la
diachronie,
il y a
combinaison
du
lien
du
signifiant.
La
dimension
métonymique
est celle qui
correspond
au
déplacement.
La
chaîne
signifiante
est au
principe
de la
combinaison
en tant que
lieu
de la
métonymie.
La
fonction
fétiche
est à
situer
dans la
métonymie.
Dans la
métonymie,
un
signifiant
est dans la
continuité
5
.
305
de la
chaîne
signifiante,
.
La
métonymie
est la
structure
fondamentale
dans laquelle
peut
se
produire
ce quelque
chose
de
nouveau
et de
créatif
qui est la
métaphore.
Il n'y aurait pas de
métaphore
s'il n'y avait pas de
métonymie.
Dans la
chaîne
métonymique
il y a un
glissement
du
sens.
Je
parle
forcément dans le
double
registre
de la
métonymie
et de la
métaphore.
Toutes
les
passions
sont
également
métonymiques.
Le sous-graphe
5.7.6
du
graphe
5.2.1
,
montre
la
conjonction
centripète
entre
l'Autre,
trésor
des
métonymies,
et
l'objet
métonymique.
La
métonymie
est la
fonction
proprement
signifiante
dans le
langage.
[
Lac66a
, p. 505]
Dans la
métaphore,
le
signifiant
occulté
reste
présent
de sa
connexion
métonymique
au
reste
de la
chaîne.
[
Lac66a
, p. 507]
La
Verschiebung
,
ou
déplacement,
c'est ce virement de la
signification
que la
métonymie
démontre.
[
Lac66a
, p. 511]
La
structure
métonymique
peut
être
symbolisée
par la
formule
:
le
signe
manifeste
la
barre
de
sur
.
[
Lac66a
, p. 515]
La
structure
métonymique,
c'est la
connexion
du
signifiant
au
signifiant,
qui
permet
l'élision
par quoi le
signifiant
installe
le
manque
de
l'être,
dans la
relation
d'objet.
[
Lac66a
, p. 515]
La
structure
métonymique
se
sert
de la
valeur
de
renvoi
de la
signification,
pour
l'investir
du
désir
visant
le
manque
qu'il
supporte.
[
Lac66a
, p. 515]
Le
signe
de la
métonymie
marque
l'irréductibilité
où se
constitue,
dans les
rapports
du
signifiant
au
signifié,
la
résistance
de la
signification.
[
Lac66a
, p. 515]
est
latent
dans la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 515]
*
Le
désir
est une
métonymie.
[
Lac66a
, p. 528]
Quelque
chose
lie
la
métonymie
au
manque-à-être.
[
Lac66a
, p. 528]
Le
phallus
est un
objet
métonymique.
Le
signifiant
est un
objet
métonymique
qui va
circuler
partout
dans le
signifié.
Le
rapport
de
l'homme
à
toute
signification,
du
fait
de
l'existence
du
signifiant
est un
objet
métonymique.
L'idéal-du-moi
a
toujours
un
certain
rapport
avec ce
facteur
commun
métonymique
qu'est le
phallus.
Un
rêve
se
développe
sur
deux
étages; l'étage proprement
signifiant
qui est la
parole,
et l'étage
imaginaire
où
s'incarne
l'objet
métonymique.
Le
désir
est
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
désir
est la
métonymie
de
l'être
dans le
sujet.
*
Le
phallus
est la
métonymie
du
sujet
dans
l'être.
La contiguïté n'est
rien
d'autre
que la
combinaison
discursive
sur laquelle se
fonde
l'effet
de
métonymie.
La
chaîne
signifiante
se
développe
selon des
liaisons
logiques,
dont la
prise
sur ce qui est à
signifier
s'exerce par les
effets
de
signifiant,
métaphore
et
métonymie.
[
Lac66a
, p. 575]
Dans la
chaîne
signifiante,
la
combinaison
d'un
terme
à un
autre
produit
l'effet
de
métonymie.
[
Lac66a
, p. 622]
La
métonymie
est cet
effet
rendu
possible
de ce qu'il n'est
nulle
signification
qui ne
renvoie
à une
autre
signification.
[
Lac66a
, p. 622]
*
Le
désir
est la
métonymie
du
manque-à-être.
[
Lac66a
, pp. 623,640]
Le
moi
est la
métonymie
du
désir.
[
Lac66a
, p. 640]
Le
désir
règle
la
répétition
signifiante
du
névrosé
comme sa
métonymie.
[
Lac66a
, p. 682]
La
métonymie
et la
métaphore
sont
génératrices
du
signifié.
[
Lac66a
, p. 689]
Le
fantasme
occupe
la
fonction
de
métonymie
de
l'être.
La
métonymie
régressive
du
névrosé
a pour
conséquence
qu'il ne
peut
demander
que des
substituts
en croyant
demander
ce qu'il
désire.
Toute
métaphore
est le
masque
d'une
métonymie,
et en
dernier
ressort,
métonymie
de la
castration.
La
métonymie
du
névrosé,
c'est que le
phallus,
il ne
l'est
pas et pour autant il ne
l'a
pas, et qu'il s'agit de ne pas le
révéler.
Les
lois
du
déplacement
sont les
lois
de la
métonymie.
Le
désir
est ce
rapport
métonymique
d'un
signifiant
à
l'autre.
Le
désir
se
forme
comme ce qui
supporte
cette
métonymie,
à
savoir
ce que
veut
dire
la
demande
au-delà
de ce qu'elle
formule.
Les
effets
de
combinaison
métonymique
du
signifiant
apparaissent
dans la
dimension
diachronique
du
discours.
[
Lac66a
, pp. 799–800]
Le
moi
ne
s'achève
qu'à
être
articulé
comme
métonymie
de la
signification
du
je
du
discours.
[
Lac66a
, p. 809]
Le
désir
est, sous
forme
de
métonymie,
suspendu
à une
chaîne
signifiante.
La
dialectique
rencontre
la
fonction
métonymique
dans le
désir.
La
métonymie
est ce
phénomène
qui se
produit
dans le
support
du
sujet
à la
chaîne
signifiante.
La
métonymie
n'est
autre
que la
possibilité
du
glissement
indéfini
des
signifiants
sous la
continuité
de la
chaîne
signifiante.
La
formule
de la
métonymie
s'écrit
.
La
perte
essentielle
à la
métonymie
est la
perte
de la
Chose
dans
l'objet.
Le
moi
est une des
métonymies.
Le
désir
inconscient
est la
métonymie
de
toutes
les
demandes.
Le
symbole
est
symbole
de la
demande
qui est
désir
métonymique.
La
phonémisation
de
l'objet
se
supporte
d'un
système
d'oppositions,
de
possibilités
de
substitutions
et de
déplacements,
de
métaphores
et de
métonymies.
La
cause
du
désir
se
situe
au
niveau
de la
chaîne
signifiante
essentiellement
comme
métonymique.
Dans la
manie,
le
sujet
n'est lesté par
aucun
,
ce qui le livre
sans
aucune
possibilité
de
liberté,
à la
métonymie
infinie
et ludique et
pure
de la
chaîne
signifiante.
La
demande
laisse un
reste
métonymique
qui court sous elle.
Le
reste
métonymique
est dû au
fait
que la
demande
est
articulée
au
signifiant.
Le
reste
métonymique
s'est le
désir.
L'interprétation
concerne
la
métonymie.
Le
gîte
de la
métonymie
est
situé
dans les
intervalles
coupant
structurellement
les
signifiants.
C'est dans le
gîte
de la
métonymie,
que
glisse
le
désir.
Le
désir
fait
son lit de la
coupure
signifiante
où s'effectue la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 835]
Le
langage
des
animaux
est un
langage
de
signes
qui n'admet pas la
métaphore,
ni
n'engendre
la
métonymie.
[
Lac66a
, p. 840]
La
métonymie
est le véhicule du
désir.
[
Lac66a
, p. 843]
La
métaphore
présente
des
effets
métonymiques.
Dans le
rêve
apparaît
d'abord
la
métaphore
et la
métonymie.
La
chaîne
du
signifiant
reste
perméable aux
effets
de la
métaphore
et de la
métonymie.
La
métonymie,
c'est la
sélection
d'un
signifiant
dans sa
suite.
[
Lac70d
, p. 67]
La
métonymie,
joue
de la
jouissance
où le
sujet
se
produit
comme
coupure.
[
Lac70d
, p. 70]
La
métonymie
est le
support
du
plus-de-jouir.
Rien
de ce que le
langage
permet
de
faire
n'est
autre
que
métaphore
ou
métonymie.
L'objet
métonymique
est ce qui court
tout
au long de ce qui se déroule comme
discours.
La
formule
de la
métonymie
rend
compte
du
déplacement
dans
l'inconscient.
[
Lac77b
, p. 15]
L'objet
est le
pivot
dont se déroule chaque
tour
de
phrase,
en sa
métonymie.
[
Lac77b
, p. 16]
Suivant:
meurtre
Remonter:
5.13 M
Précédent:
métaphysique
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08