Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.16 P
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premier
Suivant:
présence
Index:
Index
prendre
*
Dans un
langage
les
signes
prennent
leur
valeur
de leur
relation
les uns aux
autres.
[
Lac66a
, p. 297]
Le
rapport
symbolique
de la
parole
prise
en tant que telle est un
tiers
élément.
Le
retour
du
refoulé
est le
signal
effacé
de quelque
chose
qui ne
prendra
sa
réalisation
symbolique
que dans le
futur.
Le
transfert,
c'est la
prise
de
possession
d'un
discours
apparent
par un
discours
masqué,
le
discours
de
l'inconscient.
*
C'est par
rapport
à la
fonction
de la
parole
que les
différents
ressorts de
l'analyse
prennent
leur
sens,
leur
place
exacte.
*
L'amour
au
sens
du
désir
d'être
aimé
est
essentiellement
tentative
de
capture
de
l'autre
dans
soi-même
objet,
pris
en tant
qu'objet.
La
Bejahung
est le
procès
primaire
où le
jugement
attributif
prend
racine.
[
Lac66a
, p. 387]
Le
système
oméga
est la
fonction
de la
prise
de
conscience.
Dans la
position
de
l'obsessionnel,
tout
ce qui est de
l'ordre
du
don
est
absolument
pris
dans le
réseau
narcissique
dont il ne
peut
pas
sortir.
C'est par
rapport
à un
autre
sujet
que ses
relations
avec un
objet
prennent
leur
sens.
Le
paranoïaque
est un
sujet
pour lequel le
monde
a
commencé
à
prendre
une
signification.
Toute
connaissance
humaine
prend
son
origine
dans la
dialectique
de la
jalousie.
Le
maître
a
pris
à
l'esclave
sa
jouissance,
et ainsi a
perdu
son
humanité.
*
Ce qui est
pris
dans la
Verwerfung
,
est ce qui a été mis
hors
de la
symbolisation
générale
structurant
le
sujet.
Ce qui est
pris
dans la
Verwerfung
revient
du
dehors.
Chaque
élément
du
réseau
du
signifiant
prend
son
emploi
exact
d'être
différent
des
autres.
[
Lac66a
, p. 414]
*
La
signification
ne se
réalise
qu'à partir d'une
prise
des
Choses
qui est
d'ensemble.
[
Lac66a
, p. 414]
Le
lieu
de
l'Autre
s'étend bien
au-delà
du
discours
qui
prend
du
moi
ses
mots
d'ordre.
[
Lac66a
, p. 431]
Pour le
sujet
normal,
un
certain
nombre
de
réalités
existent,
mais il ne les
prend
pas
tout
à fait au
sérieux.
Le
matériel
lié
au
conflit
ancien
est
conservé
dans
l'inconscient
au titre de
signifiant
en
puissance,
virtuel,
pour être
pris
dans le
signifié
du
conflit
actuel
et lui
servir
de
langage,
c'est à dire de
symptôme.
L'aliéné
prend
au
sérieux
la
plus
grande
part
de son
discours
intérieur.
Le
sujet
normal
se met dans la
position
de ne pas
prendre
au
sérieux
la
plus
grande
part
de son
discours
intérieur.
L'analyste
se
doit
d'être
assez
mort
pour ne pas
être
pris
dans la
relation
imaginaire.
Le
signifiant
prend
sa
fonction
au
moment
où au
niveau
du
récepteur,
il est
pris
acte
du
message.
Le
signifiant
est un
système
corrélatif
d'éléments
qui
prennent
leur
place
synchroniquement
et
diachroniquement
les uns par
rapport
aux
autres.
Ce qui
distingue
le
signifiant
comme tel est le
fait
qu'on
prend
acte
du
signe
comme tel.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
est
prise
dans un
rapport
purement
duel
et dans un
rapport
démesuré.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
une
toute
autre
signification
que la
relation
d'exclusion
réciproque
que
comporte
l'affrontement
spéculaire.
Dans la
psychose,
la
relation
imaginaire
prend
la
fonction
de la
capture
imaginaire,
biologiquement.
Le
sujet
prend
la
parole
en
partie
à son
insu.
Un des
motifs
d'entrée
dans la
psychose
est lorsque le
sujet
est amené à
prendre
la
parole.
L'enfant
en tant que
réel
pour la
mère
prend
la
fonction
symbolique
de son
besoin
imaginaire.
L'automatisme
de
répétition
prend
son
principe
dans
l'insistance
de la
chaîne
signifiante,
la
Wiederholungzwang
.
[
Lac66a
, p. 11]
*
L'homme
est, dès
avant
sa
naissance
et au-delà de sa
mort,
pris
dans la
chaîne
symbolique.
[
Lac66a
, p. 468]
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
Le
transfert
se
passe
essentiellement
quand quelque
chose
prend
son
sens
du
fait
que
l'analyste
devient
le
lieu
du
transfert.
C'est en tant que
métaphorique
que la
névrose
hystérique
prend
son
sens
et
peut
être
dénouée.
5
.
382
Quand un
objet
réel
prend
sa
fonction
en tant que
partie
de
l'objet
d'amour,
il
prend
sa
signification
en tant que
symbolique.
Les
dons
prennent
tout
l'ensemble
inter-subjectif
du
point
de
vue
du
sujet.
C'est en tant
qu'imaginaire
symbolisé
que le
fait
d'avoir
ou de ne pas
avoir
de
phallus
prend
l'importance
économique
qu'il a au
niveau
de
l'œdipe.
La
castration
prend
comme
base
cette
appréhension
dans le
réel
de
l'absence
de
pénis
chez la
femme.
La
métaphore
est la
fonction
que
prend
un
signifiant
en tant qu'il est
substitué
à un
autre,
latent,
dans la
chaîne,
en
simultanéité
positionnelle.
le
soi
est par
nature
au-delà
de la
prise
du
désir
dans le
langage.
*
C'est d'un
refus
que le
réel
prend
existence.
[
Lac66a
, p. 439]
Les
deux
registres
du
signifiant
et du
signifié
désignent
des
enchaînements
pris
dans leur globalité. [
Lac66a
, p. 444]
La
métaphore
jaillit
entre
deux
signifiants,
dont l'un s'est
substitué
à
l'autre,
en
prenant
sa
place
dans la
chaîne
signifiante.
[
Lac66a
, p. 507]
La
Verdichtung
,
ou
condensation,
c'est la
structure
de surimposition des
signifiants
où la
métaphore
prend
son
champ.
[
Lac66a
, p. 511]
Le
sujet
a
pris
position
à un
certain
moment
de son
enfance
sur le
rôle
du
père,
que la
mère
n'a pas le
phallus.
Le
phallus
est
pris
dans une
fonction
subjective
qui
doit
remplir
le
rôle
de
signifiant.
Le
phallus
est un
signifiant
carrefour
vers lequel converge ce qui se
passe
dans la
prise
du
sujet
humain
dans le
système
signifiant
Le
désir
humain
est
lié
à une
position
que
prend
le
sujet
en
présence
de cet
objet.
C'est à travers
l'œdipe
que le
désir
génital
vient
prendre
sa
place
dans
l'économie.
*
L'hystérique
prend
son
point
d'appui
dans un
désir
qui est le
désir
de
l'autre.
Le
désir
a à s'organiser, a
prendre
sa
place,
entre
l'appel
de la
satisfaction
et la
demande
d'amour.
Le
fantasme
est
l'imaginaire
qui est
pris
dans un
certain
usage
de
signifiant.
Le
fantasme
est
essentiellement
un
imaginaire
pris
dans une certaine
fonction
signifiante.
Le
jeu
des
symptômes
est
érotisé,
il est
pris
dans le
mécanisme
du
désir.
La
subjectivité
étant
prise
dans le
langage,
il y a
émission,
non
pas d'un
signe
mais d'un
signifiant.
Le
signifiant
prend
sa
valeur
du
rapport
à un
autre
signifiant,
dans une certaine
synchronie.
Toute
la
vie
du
sujet
est
prise
dans des
actes
de
parler.
Dans
l'idéal-du-moi
l'idéal
prend
la
place
de ce qui, chez le
sujet,
a été éprouvé comme
l'effet
d'un
enfant
désiré.
Dans la
psychose,
l'idéal-du-moi
a
pris
la
place
de
l'Autre.
[
Lac66a
, p. 572]
La
chaîne
signifiante
se
développe
selon des
liaisons
logiques,
dont la
prise
sur ce qui est à
signifier
s'exerce par les
effets
de
signifiant,
métaphore
et
métonymie.
[
Lac66a
, p. 575]
Le
désir
est à
prendre
à la
lettre.
[
Lac66a
, p. 620]
Il n'y a pas,
entre
les
pulsions
qui
habitent
le
ça,
de
contradiction
qui
prenne
effet
de
l'exclusion
logique.
[
Lac66a
, p. 658]
Dans le
fantasme,
la
fonction
de
l'objet
est de
prendre
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement,
le
phallus.
*
L'objet
du
fantasme
est cette
altérité,
image
et
pathos,
par où un
autre
prend
la
place
de ce dont le
sujet
est
privé
symboliquement.
L'être
c'est comme un
réel
qui a
pris
sa
place
dans le
symbolique.
L'expérience
freudienne
prend
sa
place
par
rapport
à
l'opposition
du
fictif
et du
réel.
*
L'image
spéculaire
est le
canal
que
prend
la transfusion de la
libido
du
corps,
vers
l'objet.
[
Lac66a
, p. 822]
*
Tout
discours
prend
ses
effets
de
l'inconscient.
[
Lac66a
, p. 827]
C'est dans la
mesure
où le
sujet
s'identifie
au
fantasme
fondamental,
que le
désir
comme tel
prend
consistance.
La
fondation
de
l'Un
que
constitue
le
trait
unique,
n'est
nulle
part
prise
ailleurs
que dans son
unicité.
Un
animal
parlant,
contrairement
à ce qui se passe chez
l'homme,
ne
prend
jamais
l'humain
pour un
autre.
C'est en
prenant
l'autre
pour un
autre
que le
sujet
met cet
autre
au
niveau
de
l'Autre.
C'est parce que
l'objet
devient
reconnaissable
comme
signifiant
d'une
demande
latente
qu'il
prend
valeur
d'un
désir
qui est d'un
autre
registre.
Le
point
phallique
signifie
l'abolition
comme telle de
toute
signifiance;
c'est là que
l'objet
,
objet
de la
castration
prend
sa
place.
L'angoisse
vient
se
constituer,
prendre
sa
place
dans un
rapport
au-delà
de ce
vide
d'un
temps
premier
de la
castration.
Dans le
Penisneid
,
la
femme
ne
peut
prendre
le
phallus
que pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire soit son
,
soit son trop
petit
à elle.
L'homme,
au
contraire
de
l'animal,
n'est pas
entièrement
pris
dans la
capture
imaginaire.
La
barre,
séparant
signifiant
et
signifié,
est à
prendre
au
sens
mathématique
du
trait
de
fraction.
Le
transfert
prend
son
départ
dans le
sujet
supposé
savoir.
Des
signifiants
se sont
trouvés
pris
dans le
symptôme.
[
Lac66a
, p. 842]
L'irréel
précède
le
subjectif
qu'il
conditionne,
d'être
en
prise
directe
sur le
réel.
[
Lac66a
, p. 847]
La
poussée,
le
Drang
prend
son
appui
sur
l'orifice
du
corps,
d'où il tire sa
constance.
La
jouissance
est
prise
au
réseau
du
langage
en tant qu'elle est
jouissance
sexuelle.
L'homme
pense
l'ordre
symbolique,
car il y est
d'abord
pris
dans son
être.
[
Lac66a
, p. 53]
L'Autre
c'est ce qui
prend
fonction
d'être
le
lieu
de la
parole.
C'est dans la
mesure
où quelque
objet
peut
venir
prendre
la
place
que
prend
le
dans
l'acte
sexuel
comme tel que la
sublimation
peut
subsister.
C'est parce qu'elle n'a pas le
phallus
que le
don
de la
femme
prend
une
valeur
privilégiée
quant à
l'être.
*
La
valeur
de
jouissance
prend
origine
dans le
manque,
marqué
par le
complexe
de
castration.
C'est en tant qu'elle n'a pas le
phallus
que la
femme
peut
en
prendre
la
valeur.
*
La
perversion
ne
prend
sa
valeur
qu'à
s'articuler
à
l'acte
sexuel.
Dans
l'interprétation
le
fantasme
prend
la
place
d'un
axiome.
*
Le
psychanalyste
ne
prend
pas en charge la
vérité.
*
La
passe
est ce
point
où,
d'être
venu
à bout de sa
psychanalyse,
la
place
que le
psychanalyste
a
tenue
dans son
parcours,
quelqu'un
fait
ce pas de la
prendre.
[
Lac70b
, p. 25]
C'est par un
fait
de
signifiant
que
prend
place
le
retour
de
l'effet
de
signifié
qui se
produit
de la
parole
dans le
langage
et qui est
radicalement
divisant.
L'Autre
est le
lieu
où la
parole
vient
prendre
place.
Le structuralisme est la
prise
au
sérieux
du
savoir,
comme
cause
dans la
pensée.
C'est en tant que ce
champ
de
l'Autre
n'est pas
consistant
que
l'énonciation
prend
la
tournure
de la
demande.
C'est en tant que
l'Autre
n'est pas
consistant
que
l'énonciation
prend
la
tournure
de la
demande.
Le
lieu
de
l'Autre
n'est pas à
prendre
ailleurs
que dans le
corps.
[
Lac84b
, p. 17]
L'être
parlant
est
pris
dans le
discours.
*
L'obsessionnel
est celui qui
refuse
de se
prendre
pour un
maître.
*
L'hystérique
se
caractérise
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
Le
psychanalyste
est celui qui se
trouve
prendre
à sa charge le
support
du
sujet
supposé
savoir.
L'obsessionnel
ne
veut
pas se
prendre
pour le
maître.
*
L'hystérique
s'introduit
de ne pas se
prendre
pour la
femme.
C'est du
trait
unaire
que
prend
son
origine
tout
ce qui
intéresse
l'analyste
comme
savoir.
La
jouissance
prend
statut
seulement
dans un
effet
d'entropie, de
déperdition.
C'est de ce que la
vérité
du
discours
du
maître
est
masquée
que
l'analyse
prend
son
importance.
C'est de la
répétition
que
s'engendre
la
perte
où le
plus-de-jouir
prend
corps.
Est
sémiotique,
toute
discipline qui
part
du
signe
pris
pour
objet.
[
Lac70d
, p. 56]
La
structure
s'attrape
du
point
où le
symbolique
prend
corps.
[
Lac70d
, p. 60]
Le
plus-de-jouir
prend
sa
source
dans le
champ
d'où
tout
part,
l'effet
du
langage
dans le
désir
de
l'Autre.
*
Toute
logique
est
faussée
de
prendre
départ
du
langage-objet.
*
L'homme,
la
femme
n'ont
aucun
besoin
de
parler
pour
être
pris
dans un
discours.
Le
sophiste
s'en
prend
au
discours.
La
fonction
prend
une
valeur
vraie
pour
tout
du
domaine.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
*
Le
semblant
ne
prend
effet
que
d'être
manifeste.
*
La
logique
c'est de
repérer
dans la
grammaire
ce qui
prend
forme
de la
position
de
vérité.
La
notion
de
discours
est à
prendre
comme
lien
social
fondé
sur le
langage.
C'est de la
place
du
semblant,
qu'un
dire
prend
son
sens.
[
Lac73a
, p. 7]
L'être
parlant
est celui qui
prend
être
de la
parole.
[
Lac75f
, p. 7]
L'origine
de
tous
les
faits
est que quoi que ce soit ne
prend
rang
de
fait
que quand c'est
dit.
Bander
pour une
femme,
ça
veut
dire
lui
donner
la
fonction
, ça
veut
dire
la
prendre
comme
phallus.
L'objet
c'est ce par quoi
l'être
parlant,
quand il est
pris
dans des
discours,
se
détermine.
*
L'universel
masculin
peut
prendre
son assiette dans
l'assurance
qu'il
n'existe
pas de
femme
qui
ait
été
châtrée.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel,
parce que la
jouissance
de
l'Autre,
prise
comme
corps,
est
toujours
inadéquate.
L'imaginaire
pris
comme
moyen
signe
l'amour
courtois
dans ce qu'il
imagine
de la
jouissance
et de la
mort.
L'imaginaire
pris
comme
moyen,
c'est le
fondement
de la
vraie
place
de
l'amour.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
C'est de cette
fonction
du
trou,
que le
langage
opère
sa
prise
sur le
réel.
La
résistance
c'est quelque
chose
qui
prend
son
point
de
départ
chez
l'analyste
lui-même.
Seul
le
discours
analytique
ne se
prend
pas pour la
vérité.
[
Lac75g
]
Suivant:
présence
Remonter:
5.16 P
Précédent:
premier
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08