Topologos Lutecium
Les Mathèmes de Lacan
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Jacques B. Siboni
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5.18 R
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réduction
Suivant:
refente, Ichspaltung
Index:
Index
réel, réellement
L'
imago
est la
forme
définissable
dans
l'imaginaire
qui a pour
fonction
de
réaliser
l'identification
résolutive
d'une
phase
psychique.
[
Lac66a
, p. 188]
*
Les
structures
de la
société
sont
symboliques;
l'individu
en tant que
normal
s'en
sert
pour des
conduites
réelles;
en tant qu'il est
psychopathe,
il les
exprime
par des
conduites
symboliques.
[
Lac66a
, p. 132]
*
Le
transfert
n'est
rien
de
réel
dans le
sujet.
[
Lac66a
, p. 225]
L'analyse
a pour
but
la
réalisation,
par le
sujet,
de son
histoire
dans sa
relation
à un
futur.
[
Lac66a
, p. 302]
Il
existe
trois
registres
très
distincts
de la
réalité
humaine,
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Faute de
réaliser
l'ordre
du
symbole,
le
sujet
réalise
des
images
désordonnées
dont elles sont les
substituts.
*
Le
réel
à quoi
l'analyste
s'affronte est un
homme
qu'il faut laisser
parler.
Les
sciences
physiques
réduisent
le
symbolique
à la
fonction
d'outil à
disjoindre
le
réel.
La
résistance
part
de
l'impuissance
du
sujet
à
aboutir
dans le
domaine
de la
réalisation
de sa
vérité.
La
fonction
symbolique
dans la
réalisation
humaine
est
autonome.
Le
complexe
œdipien
est
fondamental
pour
toute
réalisation
symbolique
par le
sujet
de
soi-même
qui est le
ça
inconscient.
Le
réel
est quelque
chose
qui
résiste
absolument
à la
symbolisation.
L'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel
sont
trois
systèmes
de
référence.
Le
réel
primitif
est ineffable.
Dans la
psychose
il y a
synthèse
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans
l'ordre
du
communiqué
il y a
tendance
à
réaliser
un accord sur
l'objet.
La
notion
de
transfert
s'exerce à la
fois
dans les
registres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
sont des
registres
fonctionnels.
*
Il se
passe
quelque
chose
dans la
schizophrénie
qui
perturbe
complètement
les
relations
du
sujet
au
réel.
Le
psychotique
est un
sujet
qui
perd
la
réalisation
du
réel.
*
Les
objets
réels
sont à la
même
place
que
l'objet
imaginaire.
C'est son
propre
moi
qu'on
aime
dans
l'amour,
réalisé
à ce
moment
au
niveau
imaginaire.
L'inconscient
est quelque
chose
qui sera
réalisé
dans le
symbolique,
qui grâce au
progrès
symbolique
dans
l'analyse,
aura été.
Le
retour
du
refoulé
est le
signal
effacé
de quelque
chose
qui ne
prendra
sa
réalisation
symbolique
que dans le
futur.
Il n'y a pas
moyen
de s'avancer dans
l'expérience
analytique
sans
distinguer
les
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
C'est au
moment
où, en
présence
d'une
situation
où
l'imaginaire
et le
réel
de la
situation
analytique
se
confondent
que le
désir
du
sujet
est là à la
fois
présent
et
inexprimable.
Le
monde
symbolique
n'est pas
uniquement
limité
au
sujet
car le
monde
symbolique
se
réalise
dans une
langue
qui est la
langue
commune,
qui est le
système
symbolique
universel.
Pour
l'enfant,
il y a
d'abord
symbolique
et
réel.
Pour
l'enfant,
tout
se
compose,
s'enrichit, se diversifie dans le
registre
de
l'imaginaire,
à partir d'une
prédominance
essentielle
du
symbolique
et du
réel.
L'être,
le
verbe
même,
n'existe
que dans le
registre
de la
parole
qui
introduit
le
creux
de
l'être
dans la
texture
du
réel.
Toute
parole
formulée
comme telle
introduit
une
émergence
du
sens
dégageant du
réel
la
dimension
de la
vérité.
Dans le
réel,
il y a un
trou.
Les
catégories
élémentaires
sont la
tripartition
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
La
ligne
d'arête à la
jonction
de
l'imaginaire
et du
réel
s'appelle
la
haine.
La
ligne
d'arête à la
jonction
du
réel
et du
symbolique
s'appelle
l'ignorance.
*
Ce qui n'est pas
venu
au jour du
symbolique,
apparaît
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 388]
Le
réel
est le
domaine
de ce qui
subsiste
hors
de la
symbolisation.
[
Lac66a
, p. 388]
L'expulsion
primaire
définit
le
réel
comme
extérieur
au
sujet.
[
Lac66a
, p. 389]
Pour le
schizophrène,
tout
le
symbolique
est
réel.
[
Lac66a
, p. 392]
Il n'y a
aucune
espèce
d'autre
moyen
d'appréhender
le
réel
que par
l'intermédiaire
du
symbolique.
Le
réel
est
absolument
sans
fissure.
*
Le
réel
est
sans
fissure.
L'inconscience
ne se
réalise
qu'au
niveau
afférent.
*
Le
rêve
est
toujours
la
réalisation
d'un
désir,
d'un
souhait.
*
Le
sujet
se
réalise
toujours
ailleurs.
*
L'analyse
se
joue
à la
frontière
du
symbolique
et du
réel.
Prendre
l'imaginaire
pour du
réel
caractérise
la
paranoïa.
Le
réel
c'est quelque
chose
qu'on
retrouve
à la
même
place.
Les
sciences
exactes
consistent
à
lier
le
réel
à une
syntaxe.
*
Il n'y a pas
d'absence
dans le
réel.
Ce dont il s'agit dans la
réalisation
symbolique
du
sujet
est
toujours
création
symbolique,
relation
de la
parole.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
se
produit
dans la
réalisation
symbolique
du
sujet.
Dans le
schéma
L
figure
2.20.1
, la
relation
qui va de
à
est la
symbolisation
du
réel.
Tout
ce qui est
refusé
dans
l'ordre
symbolique
reparaît
dans le
réel.
Ce qui est
refusé
dans
l'ordre
symbolique,
resurgit dans le
réel.
*
Ce qui a été
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
Quand
l'Autre
est
exclu
véritablement,
ce qui
concerne
le
sujet
est
dit
par
l'autre
réellement.
La
répartition
triple
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel
s'applique au
langage.
Il y a
trois
objets
dans la
parole,
signifiant,
signifié,
et
discours
réel
concret.
La
parole
intègre les
trois
plans
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
parole,
le
réel
est le
discours
dans sa
dimension
diachronique.
Le
sujet
s'exprime
dans sa
langue
pour
faire
passer
des
significations
dans le
réel.
L'analyse
ne
change
rien
au
réel.
[
Lac66a
, p. 350]
Le
discours
vrai
est
constitué
par la
connaissance
du
réel,
en tant qu'il est
visé
par le
sujet
dans les
objets.
[
Lac66a
, p. 351]
L'unité
de
signification
ne se
résout
jamais
en une
pure
indication
du
réel.
[
Lac66a
, p. 414]
*
La
signification
ne se
réalise
qu'à partir d'une
prise
des
Choses
qui est
d'ensemble.
[
Lac66a
, p. 414]
Dans la
psychose,
c'est ce qui n'est pas
symbolisé,
qui va se
manifester
dans le
réel.
Le
réel
définit,
par
rapport
à
l'acte
de la
parole,
un
champ
différent
du
symbolique.
Au
début
de la
psychose
les
réponses
fournies par la
Verneinung
sont
inadéquates
à
répondre
à ce qui
reparaît
dans le
réel.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
symbolique
dans la
névrose.
La
réalisation
du
désir
refoulé
se
situe
sur le
plan
imaginaire
dans la
psychose.
L'ordre
symbolique
est un
milieu
distinct
du
milieu
réel
et de la
dimension
imaginaire.
L'hallucination
est
située
dans le
réel.
L'expérience
analytique
se
satisfait
de se
ranger
dans les
rapports
entre
les
ordres
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Dans la
névrose,
le
réel
ou
l'imaginaire
entre
dans le
discours.
*
C'est
toujours
par
l'intermédiaire
de
l'Autre
que se
réalise
toute
parole
pleine.
Dans
l'Autre,
l'être
se
réalise
par un
aveu
de la
parole.
La
loi
dans la
sexualité
ne
permet
plus au
sujet
de
réaliser
sa
sexualité
que sur le
plan
symbolique.
Là où il n'y a pas de
matériel
symbolique,
il y a
défaut
de
réalisation
de
l'identification
essentielle.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant que la
fonction
de
l'homme
et de la
femme
est
symbolisée.
La
position
sexuelle
normale,
achevée,
se
réalise
en tant qu'elle est
arrachée
au
domaine
de
l'imaginaire
pour être
située
dans le
domaine
du
symbolique.
Le
subjectif
est quelque
chose
qui se
situe
dans le
réel.
Dans la
psychose,
il y a quelque
chose
qui ne
s'était
pas
réalisé
dans le
domaine
du
signifiant.
Dans la
psychose,
ce qui a
fait
l'objet
d'une
Verwerfung
reparaît
dans le
réel.
Dans la
psychose,
ce qui a été
supprimé
dans
l'idée
réapparaît
dans le
réel.
*
Le
complexe
d'Œdipe
est
absolument
essentiel
pour
l'être
humain
pour
accéder
à une
structure
humanisée
du
réel.
Dans la
forme
normale,
la
réalisation
symbolique
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
conflit
imaginaire.
Dans la
forme
névrotique,
la
réalisation
imaginaire
du
père
se
fait
par la
voie
d'un
exercice
symbolique
de la
conduite.
*
C'est
erroné
de
dire
que les
primitifs
ne savent pas le
côté
réel
de la
génération
par le
père.
Dans le
délire
surgit
une
fonction
imaginaire
qui est la
fonction
réelle
d'une
génération.
*
Le
principe
du
plaisir
tend à se
réaliser
en
formation
profondément
irréaliste.
La
satisfaction
du
principe
du
plaisir
tend à se
réaliser
dans une
forme
plus
ou
moins
hallucinée.
*
La
tendance
du
sujet
comme tel est de se
satisfaire
dans une
réalisation
irréelle,
dans une
réalisation
hallucinatoire.
La
notion
d'objet,
en
fin
de
compte,
se
réduit
au
réel.
*
Le
phallicisme
imaginaire
ne
peut
se
réduire
à quelque
donnée
réelle.
Le
pénis
est un
organe
réel.
*
Le
réel
a
plus
d'un
sens.
Le
réel
a quelque
chose
qui est à la
limite
de
l'expérience
analytique.
Au
départ,
il n'y a
aucune
espèce
de
distinction
dans la
relation
mère
enfant
idéale,
entre
l'hallucination
surgie
du
sein
maternel
et la
rencontre
de
l'objet
réel
dont il s'agit.
La
privation
c'est un
manque
réel,
c'est un
trou.
Le
trou
est une
absence
réelle.
La
castration
n'est pas un
objet
réel.
L'objet
de la
frustration
est un
objet
réel.
Tout
ce qui est
réel
est
toujours
et
obligatoirement
à sa
place.
*
L'absence
de quelque
chose
dans le
réel
est une
Chose
purement
symbolique.
Le
c'est le
signifiant
qui est déjà là dans le
réel
du
signifiant
incompris.
Dans la
privation
il y a dans le
réel,
une
limite
réelle,
une
béance
réelle.
Pour que le
sujet
accède
à la
privation
il faut qu'il
symbolise
déjà le
réel.
Le
manque,
considéré
dans le
réel,
c'est la
privation.
La
privation
c'est quelque
chose
qui est dans le
réel.
Pour
appréhender
la
privation
il faut
d'abord
que le
sujet
symbolise
le
réel.
Il y a chez la
mère
l'exigence
du
phallus
que
l'enfant
symbolise
ou
réalise
plus
ou
moins.
L'objet
de la
frustration
est
réel.
Dans la
frustration,
l'objet
de la
satisfaction
de
l'enfant
est un
objet
réel.
À partir du
moment
où la
mère
devient
puissance
et comme telle
réelle,
c'est d'elle que pour
l'enfant
va
dépendre
l'accès
à ces
objets
qui
étaient
jusque là
purement
et simplement
objets
de
satisfaction,
objets
de
dons.
Pour
l'enfant,
un
renversement
s'opère,
la
mère
devient
réelle
et
l'objet
symbolique.
Au
moment
de
réalisation
de la
mère,
elle
devient
toute
puissante.
*
L'enfant
en tant que
réel
symbolise
l'image.
L'enfant
en tant que
réel
pour la
mère
prend
la
fonction
symbolique
de son
besoin
imaginaire.
*
L'analyste
est là
conçu
comme
réel.
L'enfant
rencontre
une
double
déception,
déception
imaginaire
que le
phallus
lui
manque,
déception
à la
limite
du
symbolique
et du
réel
qu'il
manque
aussi à la
mère.
La
perversion
a la
propriété
de
réaliser
un
certain
mode
d'accès
à cet
au-delà
de
l'image
de
l'autre
qui
caractérise
la
dimension
humaine.
La
solution
fétichiste
réalise
une des
conditions
les
plus
concevables du
manque.
Le
réel
est
toujours
à sa
place.
[
Lac66a
, p. 25]
Entre
frustration
et
renonciation,
il y a
toute
la
différence
du
symbolique
au
réel.
[
Lac66a
, pp. 460–461]
La
réalisation
par le
sujet
de la
frustration
est par
définition
exclue,
parce qu'elle est
extraordinairement
instable.
Sur le
plan
du
réel,
aucune
espèce
d'idée
de
privation
n'est
concevable.
Pour le
garçon,
à la
fin
du
complexe
d'Œdipe,
au
moment
où il aura
réalisé
sur un
certain
plan
la
symbolique
du
don,
il faudra qu'il
fasse
don
de ce qu'il a.
La
première
version du
schéma
la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.1
, met en
relation
la
mère
imaginaire,
l'enfant
réel,
le
pénis
imaginaire
et le
père
symbolique.
Tout
objet
qui est
introduit
au titre de la
frustration
réalisée
ne
peut
être et ne
saurait
être qu'un
objet
que le
sujet
prend
dans cette
position
ambiguë
qui est celle de
l'appartenance
à son
propre
corps.
La
deuxième
version du
schéma
de la jeune
homosexuelle,
figure
4.7.2
met en
relation
l'enfant,
la dame
réelle,
le
père
imaginaire
et le
pénis
symbolique.
Le
fétiche
ce n'est pas le
pénis
réel.
La
petite
fille
entre
dans le
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
elle
peut
l'avoir.
Le
petit
garçon
sort
du
complexe
d'Œdipe
en
réalisant
que le
phallus
symbolique
il
peut
l'avoir.
Quand un
objet
réel
prend
sa
fonction
en tant que
partie
de
l'objet
d'amour,
il
prend
sa
signification
en tant que
symbolique.
*
La
pulsion
s'adresse
à
l'objet
réel
en tant que
partie
de
l'objet
symbolique.
*
L'objet
réel,
dès qu'il
entre
dans la
dialectique
de la
frustration,
n'est pas en lui-même
indifférent.
La
régression
est
applicable
à ce qui se
passe
quand
l'objet
réel
vient
se
substituer
à
l'exigence
symbolique.
Pour la
mère
symbolique,
il
devient
la
notion,
qu'au
niveau
du
grand
Autre,
il y a quelqu'un qui a le
phallus
en tant que
pénis
réel.
L'introduction
du
pénis
réel
dans
l'ordre
symbolique
est
l'inverse
de la
première
position
de la
mère.
Le
tableau
4.13.1
décrit les
relations
des
agents
que sont le
père
réel,
la
mère
symbolique
et le
père
imaginaire,
avec les
manques
d'objet
produits
par la
castration,
la
frustration
et la
privation
et avec les
objets
imaginaires,
réels
et
symboliques.
La
privation
est un
trou
réel.
La
castration
prend
comme
base
cette
appréhension
dans le
réel
de
l'absence
de
pénis
chez la
femme.
*
Tout
ce qui est
réel
se
suffit
à lui-même.
*
Le
réel,
par
définition,
est
plein.
L'interposition
des
fantasmes
et la
nécessité
de la
relation
symbolique
rendent très
difficile
à
l'enfant
l'appréhension
du
père
réel.
La
castration
est quelque
chose
qui est
toujours
liée
à
l'incidence,
à
l'intervention
du
père
réel.
Il y a un
lien
fondamental
entre
le
père
réel
et la
castration.
La
mère
symbolique
commence
à se
réaliser
dans la
crise
de la
frustration.
La
mère
objet
d'amour,
peut
être à chaque
instant
la
mère
réelle
pour autant qu'elle
frustre
cet
amour.
Le
signifiant
est
introduit
dans le
réel
à partir du
moment
où
on
parle.
La
peur
concerne
toujours
quelque
chose
d'articulable,
de
nommable,
de
réel.
Le
réel
est
plein
par sa
nature.
Pour
faire
un
trou
réel
dans le
réel,
il faut y
introduire
un
objet
symbolique.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
réel
est
l'agent
du
manque
de la
castration
par
dette
symbolique
du
phallus
imaginaire.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
la
mère
symbolique
est
l'agente
du
manque
de la
frustration
par
dette
imaginaire
du
sein
réel.
Le
tableau
4.16.1
des
relations
d'objet,
le
père
imaginaire
est
l'agent
du
manque
de la
privation
par
trou
réel
du
phallus
symbolique.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont
profondément
distincts.
Les
signifiants,
par leur
valeur
combinatoire,
viennent
restructurer
le
réel.
La
théorie
analytique
de
l'œdipe
pointe
que le
réel
ne
peut
être
réordonné
dans sa
nouvelle
configuration
symbolique
qu'au
prix
d'une
réactivation
régressive
de
tous
les
éléments
les
plus
imaginaires.
Le
réel
est
continu.
C'est dans la
mesure
où le
soin
devient
une
compensation
qu'il
devient
le
don
symbolique,
et la
mère
un
élément
réel.
C'est le
père
réel
qui
permet
l'assomption
de la
fonction
sexuelle
virile
par sa
fonction
de
père
castrateur.
Dans la
Verwerfung
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
La
disparition
de la
duplicité
de
l'Autre
à
l'autre
donne
au
psychosé
la
difficulté
toute
difficulté
à se
maintenir
dans le
réel
humain,
symbolique.
Le soc du
signifiant
qui creuse dans le
réel,
c'est le
signifié.
Le
soi
ne se
réalise
qu'à la
limite.
*
C'est d'un
refus
que le
réel
prend
existence.
[
Lac66a
, p. 439]
L'amour
fait
son
objet
de ce qui
manque
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 439]
Le
père
interdit
d'abord
la
satisfaction
réelle
de
l'impulsion
réelle.
La
castration
est une
intervention
réelle
du
père
concernant une
menace
de
castration
imaginaire.
5.9.1
L'agent
de la
castration
est quelqu'un de
réel.
5.9.1
La
frustration
est un
acte
imaginaire
concernant un
objet
bien
réel,
qui est la
mère,
en tant que
l'enfant
en a
besoin.
Dans le
complexe
d'Œdipe
le
père
n'est pas un
objet
réel.
La
mère
s'avère
être
l'objet
d'une
privation
réelle.
Le
trait
d'esprit
nécessite
que quelque
chose
se
réalise
au
niveau
de
l'autre.
La
catégorie
du
nom-du-père
se
distingue
des
incidences
du
père
réel.
Une
frustration
est quelque
chose
d'imaginaire
portant
sur un
objet
réel.
Une
privation
est quelque
chose
de
réel
qui
porte
sur un
objet
symbolique.
La
castration
n'est pas une
castration
réelle.
L'
acting-out
se
produit
sur le
champ
de
réalisation
dans
l'analyse
du
désir
inconscient.
L'articulation
signifiante,
par sa
seule
présence,
fait
apparaître
du
symbolique
dans le
réel.
Dans le
tableau
5.9.1
, dans la
castration,
l'action
est
symbolique,
l'agent
est
réel.
*
Ce qui est
Verwerfung
,
ou
rejeté
du
symbolique
réapparaît
dans le
réel.
La
demande
d'amour
qui
symbolise
l'Autre
distingue
l'autre
comme
objet
réel
capable
de
donner
satisfaction.
La
représentation
après le
refoulement
reste
comme
formation
réelle
dans le
système
ICS.
Dans le
schéma
R,
figure
1.21.1
, de
à
, soit en
,
se
situent
les
figures
de
l'autre
imaginaire
dans les
relations
d'agression
érotique
où elles se
réalisent.
[
Lac66a
, p. 553]
Le
schéma
,
figure
1.21.2
,
désigne
les
objets:
, qui
s'adresse
à nous,
,
la
jouissance
transsexualiste,
le laissé tombé par le créateur,
l'image
de la
créature,
,
,
,
,
, le
futur
de la
créature,
les
créatures
de la
parole,
la
parole
où se
maintient
le
réel,
,
,
aime
sa
femme.
[
Lac66a
, p. 571]
Dans la
psychose,
toute
l'épaisseur de la
créature
réelle
s'interpose
pour le
sujet
entre
la
jouissance
narcissique
de son
image
et
l'aliénation
de la
parole.
[
Lac66a
, p. 572]
Le
nom-du-père
est
appelé
par le
sujet,
par
Un-père
réel
qui se
situe
en
position
tierce
dans une
relation
imaginaire
–
. [
Lac66a
, p. 577]
Dans le
schéma
1.23.3
,
désigne
une
image
réelle.
[
Lac66a
, p. 680]
Une
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à quelque
chose
de
réel.
Le
désir
se
situe
au
point
où se nouent
ensemble
réel,
imaginaire
et
symbolique.
La
colère
n'est pas autre
chose
que
l'irruption
du
réel
qui
arrive
dans un belle
trame
symbolique.
*
L'enfant
s'identifie
à une certaine
position
de son
être
dans les
pouvoirs
de la
mère,
qu'il se
réalise.
Le
trou
dans le
réel
provoqué par une
perte,
un
deuil
se
trouve,
par cette
fonction,
dans une
relation
inverse
de la
Verwerfung.
Dans la
Verwerfung
ce qui est
rejeté
du
symbolique
réapparaît
dans le
réel.
Le
manque
associé
à la
privation
est un
trou
réel.
cf:
5.9.1
L'agent
de la
castration
est le
père
réel.
cf:
5.9.1
L'objet
de la
frustration
est le
sein
réel.
cf:
5.9.1
La
frustration
imaginaire
se
rapporte
toujours
à un
terme
réel.
cf:
5.9.1
La
privation
réelle
se
rapporte
à un
terme
symbolique.
cf:
5.9.1
Il n'y a pas de
fissure
dans le
réel.
Tout
manque
dans le
réel
est un
manque
à sa
place.
Le
manque
à sa
place
dans le
réel
est un
manque
symbolique.
Au
niveau
de la
castration
un
sujet,
en tant que
réel,
est
marqué
du
signe
de la
parole.
Le
réel
se
définit
comme
toujours
plein.
Le
réel
s'oppose
au
symbolique
et à
l'imaginaire.
*
Le
réel
du
sujet
n'est pas à
concevoir
comme le
corrélatif
d'une
connaissance.
L'être
c'est le
réel
pour autant qu'il
s'inscrit
dans le
symbolique.
L'être
c'est quelque
chose
qui se
pose
comme un
réel
articulé
dans le
symbolique.
L'être
c'est comme un
réel
qui a
pris
sa
place
dans le
symbolique.
Le
réel
est
fait
de
coupures.
Le
rapport
de la
coupure
du
réel
et de la
coupure
du
langage
est un
recouvrement
d'un
système
de
coupure
par un
autre
système
de
coupure.
La
discordance
dans le
symbolique
joue
un
rôle
fonctionnel
identifiable
au
symptôme
réel.
L'être
a à
voir
avec le
réel
et le
symbolique.
L'être
c'est le
réel
en tant qu'il se
manifeste
au
niveau
du
symbolique.
Lorsque
l'objet
rejoint le
réel,
le
réel
se
présente
comme ce qui
résiste
à la
demande.
Le
réel
revient
toujours
à la
même
place.
L'expérience
freudienne
prend
sa
place
par
rapport
à
l'opposition
du
fictif
et du
réel.
Symbolique,
imaginaire
et
réel
sont des
catégories
fondamentales.
Le
réel
part
d'une
opposition
première
entre
principe
de
réalité
et
principe
du
plaisir.
*
Les
sentiments,
en tant que guides vers le
réel
sont
trompeurs.
Le
réel
c'est ce qui se
retrouve
toujours
à la
même
place.
Du
rapport
de la
morale,
le
réel
peut
être
la
garantie
de la
Chose.
*
Le
rapport
du
réel
au
pensé
n'est pas celui du
signifié
au
signifiant.
[
Lac66a
, p. 705]
La
Chose
est ce qui du
réel
primordial
pâtit
du
signifiant.
La
Chose
est cet
objet
qui est
fait
pour
représenter
l'existence
du
vide
au
centre
du
réel.
Le
vide
au
centre
du
réel
se
présente
dans la
représentation
comme
rien.
Il y a
identité
entre
le
façonnement
du
signifiant
et
l'introduction
dans le
réel
d'une
béance,
d'un
trou.
La
Chose
est ce qui, du
réel,
pâtit
du
signifiant.
*
Ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
La
Chose
est ce qui du
réel
pâtit
de ce
rapport
fondamental,
initial
qui
engage
l'homme
dans les
voies
du
signifiant.
Ce que
demande
l'homme,
c'est
d'être
privé
de quelque
chose
de
réel.
La
demande
dernière
d'être
privé
de quelque
chose
de
réel
est la
signification
du
don
d'amour.
Tout
le
réel
est
rationnel
et
tout
le
rationnel
est
réel.
La
castration
c'est le
père
réel.
*
Les
dieux,
c'est un
mode
de
révélation
du
réel.
*
Les
dieux,
c'est une
manifestation
du
réel.
L'amour
comme
dieu
est
réalité
qui se
révèle,
qui se
manifeste
dans le
réel.
*
Tout
mythe
se
rapporte
à
l'inexplicable
du
réel.
La
réalisation
du
désir
n'est pas
possession
d'un
objet.
L'éclosion de
l'amour
de
transfert
est à la fois
chronologique
et
topologique
avec une
inversion
de la
position
de la
recherche
d'un
bien
à la
réalisation
du
désir.
La
coupure
de la
chaîne
signifiante
est la
seule
à
vérifier
la
structure
du
sujet
comme
discontinuité
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 801]
et
participent
de cette
offre
au
signifiant
que
constitue
le
trou
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 806]
La
mère
est
l'Autre
réel
de la
demande.
[
Lac66a
, p. 824]
*
La
loi
morale
est ce par quoi
l'acte
que la
symbolique
structure,
trouve
l'appui
du
pur
réel.
[
Lac84a
, p. 12]
L'analyste
doit
offrir
la
place
vacante
au
désir
du
patient
pour qu'il se
réalise
comme
désir
de
l'Autre.
c'est la
présence
réelle
du
désir.
Il y a
tout
un
décalage
de
l'objet
du
désir
par
rapport
à
l'objet
réel
qui est foncièrement
déterminé
par le
caractère
négatif
ou
inclus
de
l'apparition
du
phallus.
Le
sein
réel
n'est pas
mammaire.
Le
pénis,
partie
du
corps
réel,
tombe
sous le coup de la
menace
de
castration.
Le
névrosé
veut
savoir
ce qu'il y a de
réel
dans ce dont il est la
passion,
dans
l'effet
de
signifiant.
L'idéal
c'est
tout
ce qu'il y a de
réel
dans le
symbolique.
La
privation
est
réelle.
Le
seul
Autre
réel
est ce dont
on
pourrait
jouir
sans
la
loi.
C'est parce que le
réel
présente
des
surfaces
naturelles
que le
signifiant
peut
y
entrer.
*
Le
réel
est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Ce qui nourrit
l'émergence
du
signifiant,
c'est que
l'Autre
réel
ne
sache
pas.
L'angoisse,
c'est cette
coupure
sans
laquelle la
présence
du
signifiant,
son sillon dans le
réel
est
impensable.
Dans
l'expérience
sadienne,
l'objet
du
fantasme
se
situe
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 775]
ou
moi-idéal
est une
image
réelle.
Dès que quelque
chose
du
réel
vient
au
savoir,
un
morceau
de
corps
est
perdu.
*
La
privation
est quelque
chose
de
réel.
*
La
privation
c'est quelque
chose
de
réel.
La
loi
morale
provient
du
réel.
Le
réel
renvoie
le
sujet
à la
trace
et
abolit
aussi le
sujet.
L'angoisse
signale
un
réel.
Le
est ce qui
représente
le
dans son
réel
irréductible.
L'angoisse
est du
côté
du
réel,
ce qui ne
trompe
pas.
L'angoisse
se
présente
dans le
réel,
comme
signal.
Il n'y a de
désir
réalisable
qu'impliquant
la
castration.
Il ne
manque
rien
au
réel.
*
C'est parce que le
phallus
ne
réalise
pas, si ce n'est dans son
évanescence,
la
rencontre
des
désirs,
qu'il
devient
le
lieu
commun
de
l'angoisse.
*
Le
langage
existe
dans le
réel.
*
L'espace
fait
partie
du
réel.
*
L'espace
est
réel.
Le
dieu
est un
élément
du
réel.
Une
praxis
désigne
une
action
concertée par
l'homme
qui le met en
mesure
de
traiter
le
réel
par le
symbolique.
L'inconscient
montre
la
béance
par où la
névrose
se raccorde à un
réel.
L'inconscient
ce n'est ni
être
ni
non-être
c'est du
non
réalisé.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
La
tuché
,
c'est la
rencontre
du
réel.
Les
dieux
sont du
champ
du
réel.
Le
réel
se
présente
d'abord
sous la
forme
de ce qu'il y a en lui
d'inassimilable,
le
trauma.
Une
partie
essentielle
du
réel,
le
système
de
réalité,
reste
prisonnier du
processus
primaire.
La
fonction
de la
répétition
est à la
place
du
réel
qui va du
trauma
au
fantasme.
*
Le
réel
peut
se
représenter
par l'accident, le
petit
bruit, le
peu
de
réalité,
qui témoigne que nous ne
rêvons
pas.
Le
réel
est ce qui
gît
toujours
derrière
l'automaton.
*
Il est un
réel
qui
commande
plus
que
tout
autre
nos activités.
La
schize
fait
appréhender
le
réel
originellement
comme
malvenu.
La
schize
du
sujet
persiste
après le
réveil,
entre
le
retour
au
réel,
la
représentation
du
monde
et la
conscience
qui se
retrame.
L'approche
du
réel
induit
une
automutilation
chez le
sujet.
Le
phallus
fait
défaut
à ce qui
pourrait
être
atteint
de
réel
dans la
visée
du
sexe.
L'écran
rétablit les
choses
dans leur
statut
de
réel.
Le
sujet
se
voit
dans une
image
réelle
et
inversée
de son
propre
corps.
Le
réel
se
distingue
par sa
séparation
du
champ
du
principe
du
plaisir.
Le
réel
se
distingue
par sa
désexualisation.
Le
réel
se
distingue
par le
fait
que son
économie
admet
l'impossible.
Le
réel
se
définit
comme
l'impossible.
Le
réel
fait
obstacle
au
principe
du
plaisir.
*
Le
réel
neutre est le
réel
désexualisé.
Ce n'est que lors de
l'apparition
du
sujet
au
niveau
de
l'autre
que
peut
être
réalisé
ce qu'il en est de la
fonction
de la
pulsion.
Deux
manques
se
recouvrent,
le
sujet
dépend
du
signifiant
situé
d'abord
au
champ
de
l'Autre
et le
manque
réel,
que
constitue
la
perte
d'une
part
du
vivant
à la
naissance.
L'irréel
se
définit
de
s'articuler
au
réel
d'une
façon
qui
nécessite
l'usage
du
mythique.
Le
réel
est
structuré.
*
Le
langage
entre
dans le
réel
et il y
crée
la
structure.
Sans le
signifiant,
il n'y aurait
aucun
sujet
dans le
réel.
[
Lac66a
, p. 835]
*
Aucun
sujet
n'a de
raison
d'apparaître
dans le
réel,
sauf à ce qu'il y
existe
des
êtres
parlants.
[
Lac66a
, p. 840]
L'être
humain
doit
toujours
se fournir d'un
homoncule
dans sa
tête
pour
faire
d'un
réel
une
réalité.
[
Lac66a
, p. 846]
L'irréel
précède
le
subjectif
qu'il
conditionne,
d'être
en
prise
directe
sur le
réel.
[
Lac66a
, p. 847]
La
fonction
de la
nomination
introduit
dans le
réel
quelque
chose
qui
dénomme.
*
C'est du
réel
du
désir
et de son
statut
qu'il s'agit dans
l'opération
analytique.
*
Le
réel
se
définit
comme
l'impossible.
Le
psychanalyste,
par sa
position,
est
exclu
du
réel.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
*
Le
contingent
c'est, du
réel,
ce qui
peut
ne pas
être.
*
Le
réel
c'est
toujours
l'impossible.
*
est de
l'ordre
du
réel.
Le
hasard
se
rattache
essentiellement
à la
conception
du
réel
en tant
qu'impossible
à
interroger.
*
L'orgasme
est
l'instant
où est
réalisé
un
sommet
privilégié,
unique
de
bonheur.
Il importe de
distinguer
de la
réalité
humaine
ce qui est à proprement
parler
du
réel.
*
La
subjectivité
à
l'origine
n'est
d'aucun
rapport
au
réel,
mais d'une
syntaxe
qu'y
engendre
la
marque
signifiante.
[
Lac66a
, p. 50]
*
Le
processus
primaire
ne
rencontre
rien
de
réel
que
l'impossible.
[
Lac66a
, p. 68]
Le
symbolique
et
l'imaginaire
se
distinguent
dans leurs
relations
au
réel.
[
Lac66a
, p. 720]
Ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
L'être
de
l'homme
en tant que
verworfen
,
reparaît
dans le
réel,
cela
s'appelle
le
d'(être)itus
.
La
vérité
se
réalise
où elle
veut
quand elle
parle.
La
Verwerfung
,
ou
rejet,
est que
tout
ce qui est
rejeté
dans le
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Ce qui est
rejeté
dans le
symbolique
doit
être
focalisé dans un
champ
subjectif,
pour
reparaître
à un
niveau
corrélatif
dans le
réel.
désigne
le
rapport
significatif
de la
fonction
phallique
en tant que
manque
essentiel
de la
jonction
du
rapport
sexuel
avec sa
réalisation
subjective.
Le
sujet,
rejeté
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
Le
symptôme
c'est la
signifiance
des
discordances
entre
le
réel
et ce par quoi il se
donne.
L'impossible
c'est le
réel
tout simplement.
*
L'impossible
c'est le
réel.
Le
principe
de
non-contradiction,
ça n'a
absolument
rien
à
voir
avec le
réel.
*
Il n'est pas
question
de
contradiction
dans le
réel.
L'acte
symptomatique
réalisera
sa
plénitude
d'acte
après-coup.
*
Le
sujet
supposé
savoir
n'est pas
réel.
[
Lac68e
, p. 20]
Ce qui est
refusé
dans le
symbolique
reparaît
dans le
réel.
[
Lac68e
, p. 23]
La
réalité
est
commandée
par le
fantasme,
en tant que le
sujet
s'y
réalise
dans sa
division
même.
[
Lac68a
, p. 58]
L'objet
est la
réalisation
de cette
sorte
de
désêtre
qui frappe le
sujet
supposé
savoir
au
terme
de
l'analyse.
Avec la
castration,
le
sujet
ne se
réalise
exactement
qu'en tant que
manque,
cette
expérience
subjective
est
symbolisée
par
.
*
Tout
ce qui est
rejeté
du
symbolique
reparaît
dans le
réel.
*
Le
symptôme,
c'est ce
nœud
réel
où est la
vérité
du
sujet.
La
structure
c'est
réel
par ce que ça se
détermine
par convergence vers une
impossibilité.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
*
Il n'y a pas
d'autre
mode
d'entrée
pour le
sujet
dans le
réel
que le
fantasme.
[
Lac84b
, p. 16]
Le
fantasme
tient,
pour le
sujet,
la
place
du
réel.
[
Lac84b
, p. 16]
C'est dans le
réel
que se
situe
le
point
pivot
de ce qu'il en est de
l'éthique
de la
psychanalyse.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
*
La
sublimation
c'est cet
effort
pour
permettre
que
l'amour
se
réalise
avec la
femme.
Le
réel
ne
manque
de
rien.
*
Tout
ce qui est
refoulé
du
symbolique,
reparaît
dans le
réel.
*
Le
réel
c'est
l'impossible.
La
privation
est du
réel.
C'est de quelque
chose
de bien
réel
qu'il est
toujours
question
dans la
frustration.
*
Pour quelque
chose
de
réel,
rien
ne
saurait
manquer.
Le
père
réel
est
l'agent
de la
castration.
*
La
castration
c'est
l'opération
réelle
introduite
de par
l'incidence
du
signifiant.
*
L'impossible
c'est le
réel.
Le
réel
se
place
comme
l'impossible
à démontrer le
vrai
dans le
registre
d'une
articulation
symbolique.
Le
réel
est une
catégorie.
[
Lac70c
, p. 6]
*
Le
réel
se
distingue
de la
réalité.
[
Lac70d
, p. 60]
L'impossible
est la
limite
d'où
s'instaure,
par le
symbolique,
la
catégorie
du
réel.
[
Lac70d
, p. 69]
Le
réel,
c'est
l'impossible.
[
Lac70d
, p. 74]
*
L'impossible,
c'est le
réel.
[
Lac70d
, p. 83]
Le
nom,
ce n'est pas quelque
chose
qui se plaque sur le
réel.
Le
discours
scientifique
ne
trouve
le
réel
qu'à ce qu'il dépende de la
fonction
du
semblant.
Ce qui est
réel,
c'est ce qui
fait
trou
dans le
semblant
articulé
qu'est le
discours
scientifique.
cf:
18.2.1
Le
passage
à
l'acte
est le
réel
qui se
rencontre
aux
limites
du
discours.
Le
réel
s'incarne
de la
jouissance
sexuelle
comme
impossible.
C'est
réel
que le
garçon
et la
fille
sont le
phallus
pendant un
moment.
Le
phallus
est le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
en tant qu'elle est
détachée.
Le
réel
de la
jouissance
sexuelle,
c'est le
phallus,
c'est le
nom-du-père.
Le
référent
est
toujours
réel,
parce qu'il est
impossible
à
désigner.
La
femme
n'existe
dans
aucun
être
réel.
*
L'écriture
peut
être
dite
dans le
réel,
le
ravinement
du
signifié.
*
L'écriture,
la
lettre,
c'est dans le
réel.
La
fonction
du
besoin
doit
paraître
irréductible
dans le
réel.
*
Le
nombre
fait
partie
du
réel.
*
Le
réel
c'est ce qui
commande
toute
la
fonction
de la
signifiance.
Le
mathème
c'est du
réel.
*
Des
hommes
et des
femmes
c'est du
réel.
Le
réel
est
absolument
inapprochable sauf par la
voie
mathématique.
Le
réel
s'affirme
dans les
impasses
de la
logique.
Le
réel
se
situe
dans une
béance
irréductible
au
discours
logique.
Le
nombre
c'est du
réel.
*
C'est du
réel
que la
femme
prend
son
rapport
à la
castration.
L'Un
est un
réel
qui
peut
n'avoir
rien
à
faire
avec la
réalité.
Le
discours
analytique
donne
accès
au
réel
par le
symbolique.
Le
réel
est
attaché
à
l'Un.
*
Tout
ce que nous touchons du
réel,
c'est la
Spaltung
,
c'est la
fente.
L'impossible
du
rapport
sexuel
détermine
ce qu'il en est
réellement
du
statut
de
tous
les
autres
discours.
C'est de la
logique
que le
discours
psychanalytique
touche au
réel
à le
rencontrer
comme
impossible.
[
Lac73a
, p. 5]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 30]
L'impossibilité
de
dire
vrai
du
réel
se
motive
d'un
mathème
dont se
situe
le
rapport
du
dire
au
dit.
[
Lac73a
, p. 37]
Le
seul
réel
reconnu
d'abord
dans le
langage
est le
nombre.
[
Lac73a
, p. 37]
*
Le
dire
de
l'analyse,
en tant qu'il est
efficace,
réalise
l'apophantique.
[
Lac73a
, p. 46]
C'est
réel
qu'il n'y a pas de
rapport
sexuel.
[
Lac73a
, p. 47]
La
monade,
c'est le
point-de-réel
du
rapport
vide.
[
Lac75f
, p. 8]
Le
réel
se
signale
de
l'impossible.
Le
discours
de la
science
est
insertion
du
langage
sur le
réel
mathématique.
Le
seul
domaine
où
peut
se
formuler
une
impossibilité
symbolique
est le
réel
seul,
au-delà
du
langage.
L'impossible
est le
comble
du
réel.
Tout
savoir
naïf
est
associé
à un
voilement
de la
jouissance
qui s'y
réalise.
Le
sexe
c'est du
réel.
Les
mathématiques
sont un
réel
qui n'a
rien
à
faire
avec la
vérité.
C'est de
l'impossible
qu'en
mathématiques
s'engendre
le
réel.
Le
vrai
vise
le
réel.
*
Le
réel
ne
saurait
s'inscrire
que d'une
impasse
de la
formalisation.
Le
schéma
20.9.1
désigne
les
relations
entre
réel,
symbolique,
imaginaire,
l'impossibilité
de
dire
tout
le
vrai
,
le
peu
de
réalité
,
le
semblant
d'être
,
et la
jouissance
.
Le
réel
est un
ouvert
entre
le
semblant
qui
résulte
du
réel
et la
réalité
telle qu'elle se
supporte
dans le
concret
de la
vie
humaine.
cf:
20.9.1
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont des
catégories.
*
La
science
mathématique
concerne
le
réel
que véhicule le
symbolique.
Les
trois
dit-mansions
s'appellent
le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel.
Figure
21.1.1
Ce qui
réalise
le
symbolique
de
l'imaginaire,
c'est la
religion.
L'analyste
imagine
le
réel
du
symbolique,
c'est la
mathématique.
le
procédé
mathématique
consiste
à
s'apercevoir
de ce qu'il y a de
réel
dans le
symbolique.
Le
réel
c'est
l'impossible.
Pour que la
dupe
n'erre
pas il faut un
réel
dont elle soit
dupe.
Le
symbolique
a le
rôle
de
moyen
entre
le
réel
et le
symbolique.
*
L'amour
est le
rapport
du
réel
au
savoir.
*
L'amour
devient
réellement
le
moyen
par quoi la
mort
s'unit
à la
jouissance.
L'amour
est ce
lien
essentiel
du
réel
et du
symbolique.
C'est par
l'impossible
de
dire
toute
la
vérité
qu'elle
tient
au
réel.
[
Lac74b
, p. 9]
C'est le
réel
qui
permet
de
dénouer
ce dont le
symptôme
consiste.
[
Lac74b
, p. 22]
Le
discours
hystérique
manifeste
un
réel
proche
du
discours
scientifique.
[
Lac75d
, p. 15]
Le
nœud
borroméen
noue
l'imaginaire,
le
symbolique
et le
réel.
Il n'y a que
l'écriture
qui
distingue
réel,
symbolique
et
imaginaire.
Le
nœud
borroméen,
son
réel
est de ne
tenir
qu'à ce qu'il
fait
tresse.
ex:
21.4.2
le
réel
est
trois.
Le
réel
fait
trois
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
*
Triple
est le
réel.
*
L'imaginaire
c'est le
faux,
deuxième
par
rapport
au
réel.
*
La
logique
ne
peut
se
définir
que
d'être
la
science
du
réel.
Le
réel
ne se fraye que par
l'écrire.
*
Le
réel
c'est ce qui se
détermine
de ce que ne
puisse
pas
d'aucune
façon
s'y
écrire
le
rapport
sexuel.
Le
dire
vrai
est
distinct
de
toute
science
du
réel.
Le
c'est un
réel.
Pour
l'enfant
le
réel
ça sera n'importe quel
tiers.
Le
réel
est
trois.
La
logique
c'est le
savoir
du
réel.
Le
trou
dans le
réel
c'est là où il n'y a pas de
rapport
sexuel.
Dans le
réel
il y a un
trou.
Le
réel
c'est ce qui avec
l'imaginaire
et le
symbolique
fait
trois.
Les
mathématiciens
jouissent
du
réel.
*
La
jouissance
du
réel
ne va pas
sans
le
réel
de la
jouissance.
C'est du
trois
que
s'introduit
le
réel.
L'écrit
est à
situer
au
bord
du
réel.
La
lettre
est inhérente au
passage
au
réel.
La
jouissance
fait
éruption
5
.
409
dans le
réel.
Le
réel
c'est ce qui
revient
toujours
à la
même
place.
Le
savoir
de l'artisan est à
exclure
du
réel.
*
La
logique
c'est la
science
du
réel.
*
Le
réel
c'est
l'écriture.
La
fonction
du
réel
surgit
de
l'inscription.
Le
nœud
borroméen
présentifie
le
registre
du
réel.
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
*
L'inconscient
c'est quelque
chose
dans le
réel.
Le
sujet
est
pris
dans le
rapport
du
symbolique,
de
l'imaginaire
et du
réel.
Le
symptôme,
c'est du
réel.
R, S, I sont le
réel,
le
symbolique
et
l'imaginaire.
*
Réel,
symbolique
et
imaginaire
ont un
sens.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
sont
trois.
*
Le
réel
c'est ce qui est
strictement
impensable.
Réel,
symbolique
et
imaginaire
véhiculent un
sens.
Le
savoir
de
Dieu,
c'est le
savoir
supposé
par le
réel.
L'angoisse
c'est quelque
chose
qui
part
du
réel.
*
Le
symptôme
est de
l'effet
du
symbolique
dans le
réel.
Le
nœud
borroméen
est bien
réel,
quoique
seulement
reflété
dans
l'imaginaire.
Le
nœud
borroméen
est une
écriture
qui
supporte
un
réel.
*
Le
réel
peut
se
supporter
d'une
écriture.
Il n'y a pas d'autre
idée
sensible
du
réel
que de se
supporter
d'une
écriture.
Le
réel
c'est le
nœud
borroméen.
Les
trois
du
borroméen
tiennent
entre
eux
réellement.
*
Au
regard
du
réel,
c'est d'autre
chose
que de
sens
qu'il s'agit dans la
jouissance.
La
jouissance
phallique
est en
relation
à ce qui au
réel
ex-siste
.
La
jouissance
ex-siste
au
réel
comme
faisant
trou.
*
Il y a du
savoir
dans le
réel.
[
Lac82d
]
La
sexualité
fait
trou
dans le
réel.
[
Lac74a
, p. 10]
*
Tout
abord
du
réel
est
tissé
par le
nombre.
Il y a dans le
réel
quelque
chose
qui
fait
trou.
Le
sens
répond
du
réel.
Le
monde
comme
représentation
dépend
de la
jonction
des
trois
consistances,
le
réel,
le
symbolique
est
l'imaginaire.
Les
trois
consistances
du
réel,
du
symbolique
et de
l'imaginaire
sont
strictement
équivalentes.
Le
réel
est le
nœud
mental
de
l'
ex-sistence
.
L'
ex-sistence
est de
l'ordre
du
réel.
L'
ex-sistence
du
nœud
est
réelle.
Le
symbolique,
l'imaginaire
et le
réel
sont les
noms-du-père.
Le
phallus
c'est le
réel
surtout en tant
qu'on
l'élide.
*
Le
phallus
ce n'est pas
l'
ex-sistence
du
réel.
Il y a un
réel
qui
ex-siste
au
phallus,
c'est la
jouissance.
*
Le
réel
c'est ce qui
ex-siste
au
sens.
Le
réel
c'est
l'expulsé
du
sens,
c'est
l'impossible.
Le
nœud
est
supposé
être
le
réel
dans le
fait
de ce qu'il
détermine
comme
ex-sistence.
*
Le
réel
se
démontre
de
n'avoir
pas de
sens.
*
Le
réel
ne
commence
qu'au
chiffre
trois.
*
Le
réel
se
caractérise
de se
nouer.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est
troué.
L'inconscient
c'est le
réel
en tant qu'il est affligé de la
seule
Chose
qui
fasse
trou,
le
symbolique.
Le
nœud
n'est pas la
réalité,
il est le
réel.
Le
nœud
est la
distinction
entre
le
réel
et la
réalité.
*
Le
réel
c'est pas
tout.
Le
réel
ex-siste
comme
impossible.
*
La
notion
de
référent
vise
le
réel.
L'imaginaire
est homogène au
réel.
*
Ce n'est pas que soient rompus le
symbolique,
l'imaginaire,
et le
réel
qui
définit
la
perversion.
L'ex-sistence
du
symptôme,
c'est ce qui est
impliqué
par la
position
qui
suppose
le
lien
de
l'imaginaire,
du
symbolique
et du
réel.
La
division
fait
le
réel.
Le
langage
est
lié
à quelque
chose
qui, dans le
réel,
fait
trou.
C'est de cette
fonction
du
trou,
que le
langage
opère
sa
prise
sur le
réel.
Il n'y a de
vérité
comme telle
possible
que d'évider le
réel.
La
cassure
peut
toujours
être
le
réel
comme
impossible.
L'
ex-sistence
du
réel
est de
sister
hors
de
l'imaginaire
et du
symbolique,
en
limitation.
Le
réel
n'a
d'
ex-sistence
qu'à
rencontrer
du
symbolique
et de
l'imaginaire
à
l'arrêt.
C'est en tant qu'il
ex-siste
au
réel
que
l'imaginaire
rencontre
le heurt.
Dans la
psychose
paranoïaque
l'imaginaire,
le
symbolique
est le
réel
sont une
seule
et
même
consistance.
La
jouissance
phallique
se
situe
à la
conjonction
du
symbolique
avec le
réel.
L'imaginaire
et le
réel
sont
deux
lieux de la
vie.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
langage
fait
nœud
de
l'imaginaire
et du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
La
logique
est une
science
du
réel.
[
Lac75g
, p. 4]
Le
réel
est
complètement
dénué de
sens.
Le
réel
ne
s'écrit
pas avec des
mots,
mais avec des
petites
lettres.
Il y a des
vérités
réelles,
symboliques
et
imaginaires.
*
Le
réel
n'est pas le
monde
extérieur.
Le
réel
a affaire avec
tout
le
corps.
*
Le
ça
de
F
REUD
,
c'est le
réel.
*
La
jouissance
phallique
est au
joint
du
symbolique
et du
réel.
*
Le
mode
d'existence
du
père
tient
au
réel.
C'est
seulement
dans le
mode
d'existence
du
père,
que le
réel
est
plus
fort que le
vrai.
Le
réel
peut
être
mythique.
*
Le
réel,
c'est
l'impossible
à
pénétrer.
L'Autre
de
l'Autre
réel
est
impossible.
Le
réel
se
fonde
par le
sens
qui en est
exclu.
Le
réel
ne
consiste
et
n'existe
que dans le
nœud.
*
L'écriture
des
petites
lettres
c'est ça qui
supporte
le
réel.
Imaginaire,
symbolique
et
réel
ne se
confondent
pas.
*
La
jouissance
c'est du
réel.
La
jouissance
du
réel
comporte
le
masochisme.
Le
masochisme
est le
majeur
de la
jouissance
que
donne
le
réel.
*
Quand
on
écrit
on
peut
bien toucher au
réel,
mais pas au
vrai.
*
C'est la
façon
de les
présenter
dans leur
nœud
de
chaîne
qui, à elle
toute
entière,
fait
le
réel
du
nœud.
Le
réel
n'a
aucun
sens.
*
La
pulsion
de
mort,
c'est le
réel
en tant qu'il ne
peut
être
pensé
que comme
impossible.
Ce qui
fonctionne
vraiment
n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
Le
réel
conditionne
la
réalité.
Le
réel
apporte
l'élément
qui
peut
faire
tenir
ensemble
imaginaire
et
symbolique.
*
Le
réel
est un
sinthome.
*
Le
réel
a et n'a pas un
sens
en ce que son
champ
en est
distinct.
Le
réel
est
dépourvu
de
sens.
Le
réel
est
sans
loi.
*
Le
vrai
réel
implique
l'absence
de
loi.
*
Le
réel
n'a pas
d'ordre.
*
La
loi
n'a
absolument
rien
à
faire
avec les
lois
du
monde
réel.
*
Le
nœud
est ce par quoi
s'introduit
le
réel
comme tel.
Le
réel
n'a
rien
à
faire
avec le
monde.
La
métaphore
en
usage
pour ce
qu'on
appelle
l'accès
au
réel,
c'est le
modèle.
On
recourt
à
l'imaginaire
pour se
faire
une
idée
du
réel.
Il y a un
corps
du
réel.
Réel
et
vrai
ne sont pas
partout
synonymes.
La
foi
religieuse
c'est un
vrai
qui n'a
rien
à
faire
avec le
réel.
Le
discours
du
maître
est
menteur
en cela qu'il
atteint
le
réel.
Le
savoir
absolu
c'est qu'il y a du
savoir
quelque
part
dans le
réel.
Le
réel
dit
la
vérité
mais ne
parle
pas.
*
Il n'y a pas de
conséquence
réelle.
*
Le
réel
n'est
lié
que par une
structure.
Le
réel
est
incohérent
pour autant qu'il est justement
structure.
*
L'impossible
c'est le
réel.
*
Il n'y a pas de
vérité
sur le
réel.
Le
réel
exclut
le
sens.
Le
réel
c'est ce qui est
impossible
à
rejoindre.
*
De
réel
il n'y a que
l'impossible.
*
La
notion
de
réel
exclue
5
.
410
le
sens.
*
La
vérité
a à
faire
avec le
réel.
[
Lac78
]
Le
réel
est
doublé
par le
symbolique.
[
Lac78
]
L'inconscient,
c'est le
réel
en tant
qu'impossible
à
dire.
[
Lac77a
, p. 14]
*
Le
réel,
c'est
l'impossible.
[
Lac77a
, p. 15]
L'inconscient,
c'est la
face
de
réel
dont
on
est empêtré. [
Lac78
]
*
Le
réel
ne
cesse
pas de
s'écrire.
[
Lac78
]
Le
réel
n'apparaît
que par un
artifice.
[
Lac78
]
*
Nous
n'avons
aucune
idée
du
réel.
[
Lac78
]
*
Ce qu'il y a de
plus
réel,
c'est
l'écrit.
[
Lac78
]
C'est la
béance
entre
l'imaginaire
et le
réel
qui
fait
l'inhibition.
[
Lac78
]
L'imaginaire
imagine
le
réel.
Il n'y a pas de
rapport
sexuel
parce qu'il y a un
imaginaire,
un
symbolique
et un
réel.
Suivant:
refente, Ichspaltung
Remonter:
5.18 R
Précédent:
réduction
Table des Matières
Index
Jacques B. Siboni
2024-11-08